Election FNAIM 2012 : Programme de Jean-François Buet
1. Jean-François Buet
Candidat à l’élection présidentielle de la FNAIM
25 mai 2012
LA FNAIM
EN TÊTE www.jean-francois-buet.fr
2. Que faut-il pour être un bon président de la FNAIM ? Je veux une Fédération décentralisée et participative.
La FNAIM a été créée il y a près de 70 ans sur des principes étonnamment modernes :
L’envie, la lucidité et le courage. elle est une Fédération de syndicats de proximité, et non une institution centralisée.
Elle doit vivre complètement cette décentralisation et aider les chambres à agir
L’envie, parce que le mandat est exigeant, qu’il conduit à donner le meilleur de soi-même et toute son énergie,
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avec efficacité. Elle doit profiter des richesses humaines et de la créativité
sans compter. des chambres en se gardant d’un pilotage solitaire.
La lucidité, parce qu’il est indispensable de connaître le fonctionnement interne, sans doute pour le faire évoluer,
pour le respecter aussi, de connaître l’histoire de notre institution, de connaître les dossiers et les méthodes de l’action Je m’engage à :
syndicale. La mission ne s’improvise pas, et les défis du moment ne laisseront pas à l’élu le temps de se former… • transformer l’Académie des Présidents en Centre du Développement Fédéral,
lieu de formation et de partage des bonnes pratiques ;
Le courage d’agir et la volonté de déplacer les lignes. Oui, la FNAIM doit faire face à des enjeux de plus en plus lourds
• assister les chambres dans leurs missions d’organisation et d’action politique
pour les femmes et les hommes chefs d’entreprise qui lui font confiance. Oui, la FNAIM doit s’adapter et changer.
et médiatique, en leur affectant des correspondants territoriaux ;
Oui, pour ses adhérents, la FNAIM a désormais une obligation de résultat.
• mettre à la disposition des chambres des kits d’actions, disponibles
Pour que nous ayons la fierté collective d’être membres de la FNAIM, de l’incarner, et constamment actualisés sur le site Intranet ;
je veux de toutes mes forces la conduire plus loin, plus vite, • définir et partager les orientations stratégiques avec le Conseil Fédéral ;
• organiser au sein des chambres régionales des débats sur les thèmes ouverts
pour qu’elle gagne. par la Fédération ;
• valoriser le travail des commissions et les rendre plus représentatives
des territoires et des métiers ;
• créer une commission communication.
Je veux une Fédération écoutée et entendue
des pouvoirs publics, nationaux et locaux.
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La FNAIM est d’abord une force politique. Plus jamais de loi ni de décret concernant
Je veux une Fédération qui épanouisse les talents syndicaux
LA FNAIM
et valorise l’engagement militant.
nos métiers qui ne porte notre marque. Plus de dispositions financières ou fiscales
hostiles au marché. À la place, un lien de confiance entre la Fédération La FNAIM doit identifier des talents nouveaux et les faire émerger.
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et les décideurs publics, et une Fédération respectée. Elle doit s’enrichir de toutes ses forces vives, en leur donnant la parole et en favorisant
le partage des solutions.
EN TÊTE
Je m’engage à :
• créer un pool politique constitué d’élus nationaux et territoriaux
Je m’engage à :
de la FNAIM, chargé d’élaborer le discours et de définir les prises de position ; • créer un Club Croissance Plus FNAIM, cellule d’analyse prospective des métiers
et des méthodes ;
• m’appuyer sur une cellule économique, pour construire des argumentaires
« MES 7
étayés et piloter des études et des observatoires de vente, de location • favoriser la création de clubs de chefs d’entreprise, désireux de partager
et de charges de copropriété ; les bonnes pratiques ;
• professionnaliser le lobbying fédéral, en installant une cellule dédiée • soutenir les initiatives locales innovantes ;
à la défense de la profession ; • instituer des dispositifs d’intégration pour les nouveaux adhérents ;
• œuvrer à des alliances politiques avec les autres organisations professionnelles • développer la pratique du partage intercabinets, la constitution de fichiers
ENGAGEMENTS »
du secteur, en France et en Europe ; communs et le recours au mandat exclusif ;
• agir non seulement à l’échelon national, mais aussi au niveau territorial, • imposer la FNAIM comme le modèle professionnel de référence en Europe
grâce au réseau des chambres ; et dans le monde, notamment par une présence plus forte au sein des organisations
• multiplier les événements pour dialoguer avec les pouvoirs publics internationales de l’immobilier.
et créer une lettre politique destinée au gouvernement, au Parlement
et aux collectivités ;
• fonder l’Institut des Hautes Études de l’Immobilier, « think tank » ouvert
aux professionnels et à des personnalités extérieures à la profession.
Je veux une Fédération responsable de l’exigence,
de la transparence et de la discipline professionnelles.
Nous ne devons plus accepter que nos professions soient dévalorisées. La FNAIM doit être responsable
et garante de l’accès à la profession, de la correction des pratiques professionnelles, du niveau
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Je veux une Fédération visible de tous, de compétence acquis par la formation ainsi que de la discipline.
symbole de la compétence immobilière.
La FNAIM doit être la référence immobilière aux yeux des médias et aux yeux de l’opinion. Je m’engage à :
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Ses avis, ses informations économiques, ses appréciations sur les professions • mettre la formation au cœur de nos entreprises ;
et sur le marché doivent être recherchés et servir de repères incontestables. • édicter une obligation de formation continue par métier pour les détenteurs de cartes
professionnelles et les dirigeants de succursales ;
Je m’engage à : • obtenir l’instauration d’un Haute Autorité de l’Immobilier ;
• bâtir et faire évoluer une véritable stratégie de communication élaborée • instaurer un véritable label distinguant les entreprises les plus vertueuses en matière
par un groupe d’élus assisté des permanents de la Fédération ; de formation ;
• dynamiser les relations avec la presse, en particulier avec un discours ouvert • créer des commissions régionales de contrôle des pratiques professionnelles en mettant
sur les préoccupations du consommateur ; à leur disposition un « vade-mecum » des jurisprudences existantes ;
• animer une chaîne numérique d’information immobilière télévisée ; • exiger une formation initiale et continue pour les collaborateurs salariés ou non-salariés ;
• exploiter les réseaux sociaux pour diffuser des messages fédéraux • exiger une formation initiale diplômante pour les mandataires indépendants à distance
et créer de l’empathie avec l’opinion ; œuvrant pour le compte d’entreprises adhérentes ;
• moderniser l’ensemble des outils fédéraux de marketing direct ; • instaurer un mode de cotisation adapté aux réseaux de mandataires.
• construire un observatoire des loyers et des charges.
3. Je veux une Fédération soucieuse de l’efficacité des services
apportés et vigilante sur son équilibre économique.
La FNAIM doit assurer l’équité entre tous ses adhérents et permettre aux entreprises petites
et moyennes (groupes, réseaux, franchises, indépendants, artisans…) de disposer des moyens
professionnels les plus efficaces.
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Elle doit aussi veiller à la plus totale transparence et à l’équilibre économique de ses activités
de service aux adhérents.
Je m’engage à :
• faire du fnaim.fr le site de référence de l’immobilier, en particulier en y ajoutant
des services associés et en déléguant sa gestion tout en protégeant de manière absolue
nos données ;
• refonder l’Intranet FNAIM ;
• mettre en place un club des utilisateurs de logiciels professionnels ;
• proposer aux adhérents des audits pour l’ensemble des fonctions d’entreprise,
en partenariat avec la CGAIM ;
• créer des packs de services adaptés aux entrepreneurs, associant conseil, assistance
et formation ;
• mettre en place une évaluation périodique des services et des actions de la Fédération
par ses adhérents.
Je veux une Fédération morale, exemplaire et généreuse.
La FNAIM ne peut prétendre être une référence professionnelle sans être elle-même
exemplaire : son équipe dirigeante doit être économe de ses moyens financiers.
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Elle doit également donner l’image de la générosité des professionnels immobiliers
et de leur engagement civique et social.
Je m’engage à :
• rationaliser et maîtriser les dépenses de la Fédération ;
• exploiter à des fins pédagogiques les observations collectées par le service qualité
de la Fédération ;
• associer la Fédération à une organisation caritative engagée dans le logement
et inciter les chambres à faire de même localement.
Le 25 mai 2012
Jean-François Buet :
un candidat, une vie dédiée à l’immobilier
Âgé de 55 ans, Faculté de droit de l’Université de Bourgogne, marié, père de 3 enfants.
Jean-François Buet a créé son entreprise immobilière en 1993, à Dijon, sa ville d’origine,
après avoir été cadre de banque et directeur commercial d’une grande société de promotion immobilière dijonnaise.
Il y exerce non seulement la transaction et les deux grands métiers de l’administration de biens, la gestion locative
et la gestion de copropriété, mais aussi l’expertise et le conseil en immobilier d’entreprise.
Il est également promoteur-constructeur. Il manage une équipe de 25 collaborateurs.
Il est adhérent de la FNAIM depuis 22 ans et a occupé aux échelons national et local l’ensemble des mandats.
F25912 - Tél. 04 73 73 25 25
On retient notamment son action déterminante au sein de la commission formation fédérale. Il préside aujourd’hui
la Chambre FNAIM de Côte-d’Or et assume le secrétariat général de la Fédération.
Jean-François Buet est également professeur de droit à la Faculté de Dijon, en licence professionnelle
Gestion de l’immobilier locatif. Enfin, il est juge au tribunal de commerce.
(Auvergne - France)
Correspondez avec Jean-François Buet sur son blog :
www.jean-francois-buet.fr