Bien que ces nouveaux supports intègrent une dimension technologique évidente, il faut replacer l’intérêt de ces objets connectés pour le patient (bien-être, accompagnement
thérapeutique, observance du traitement, rééducation ) et son environnement : famille, professionnels de santé, aidants …
3. INTERACTION
HEALTHCARE
/
AGENCE
DIGITALE
SANTÉ
CONSEIL
STRATEGIQUE
COMMUNICATION
DIGITALE
SOLUTIONS
MOBILES
SERIOUS
GAME
&
SIMULATION
VIRTUELLE
4. INTERACTION
HEALTHCARE
/
SOCIÉTÉ
SPÉCIALISEE
DANS
LA
E-‐SANTE
ET
LE
SERIOUS
GAME
SANTE
BPI
France
Excellence
Interac<on
Healthcare
est
iden<fiée
comme
l’une
des
2000
entreprises
françaises
les
plus
innovantes
par
le
réseau
BPI
France
Excellence
Projets
innovants
avec
les
laboratoires
de
recherche
CNRS
et
INRIA
sur
la
simula<on
médicale
numérique
Membre
du
Pôle
de
compéIIvité
Cap
Digital
Filière
des
contenus
et
services
numériques
5. INTERACTION
HEALTHCARE
/
ILS
NOUS
FONT
CONFIANCE
Les objets connectés dans
le domaine de la santé
6. Les
objets
connectés,
quan<fied
self
…
centrés,
avant
tout,
sur
le
paIent
Bien
que
ces
nouveaux
supports
intègrent
une
dimension
technologique
évidente,
il
faut
replacer
l’intérêt
de
ces
objets
connectés
pour
le
paIent
(bien-‐être,
accompagnement
thérapeu<que,
observance
du
traitement,
rééduca<on
)
et
son
environnement
:
famille,
professionnels
de
santé,
aidants
…
7. Une
explosion
des
maladies
chroniques
et
un
vieillissement
de
la
popula<on
v Un
mode
de
vie
induisant
des
maladies
cardiovasculaires,
l’obésité
ou
encore
le
diabète.
v Un
enjeu
sociétal
pour
les
entreprises
:
plus
de
15
millions
de
personnes
en
France
souffrant
d'une
maladie
chronique,
travaillent
ou
veulent
travailler.
v Un
vieillissement
de
la
popula<on
avec
une
nécessité
d’accompagnement
sur
le
manque
d’autonomie
v Un
problème
important
d’observance
des
traitements
(Par
exemple,
50%
des
diabé<ques
oublient
de
prendre
leur
médicament
une
fois
par
semaine)
8. A
la
fron<ère
entre
“bien-‐être”
et
“santé”
?
Des
bracelets,
des
bijoux,
des
balances
ou
des
montres
connectées
capables
de
renseigner
sur
l'état
de
santé
de
leur
propriétaire
9. Un
coach
virtuel
de
votre
santé
…
le
service
“connecté”
à
la
préven<on
10. A
la
fron<ère
entre
“bien-‐être”
et
“santé”
?
Faites
entrer
la
cuisine
et
la
nutri<on
dans
l’ère
du
numérique
:
OPEN
FOOD
SYSTEM,
porté
par
le
Groupe
SEB
vise
au
développement
de
solu<ons
avancées
de
cuisine
numérique
pour
le
grand
public.
Des
applica<ons
pour
des
pa<ents
diabé<ques
sont
également
intégrées
à
ce
projet
de
recherche
collabora<f
11. Les
objets
connectés
pour
la
collecte
de
données
médicales
Des
appareils
spécialisés
peuvent
surveiller
toutes
sortes
de
données,
telles
que
la
température
corporelle,
la
glycémie,
la
pression
artérielle
ainsi
que
les
mouvements
des
muscles
ou
les
bahements
du
coeur.
Un
capteur
flexible
capable
de
réaliser
un
bilan
médical
12. L’accompagnement
thérapeu<que
Les
objets
connectés
peuvent
également
accompagner
les
pa<ents
dans
leur
parcours
de
soins
(Exemple,
post-‐interven<on
chirguricale
pour
un
pa<ent
obèse
opéré
bariatrique
…)
et
influencer
éventuellement
leur
comportement.
On
peut
parler
ainsi
de
«
modified
self
»
La
«
fourchehe
connectée
»
de
Slow
Control
13. Les
piluliers
intelligents
au
service
de
l’observance
iMedipac
de
MEDissimo
Cet
ou<l
des<né
en
par<culier
aux
personnes
âgées
et/ou
malades
chroniques
a
pour
objec<f
de
favoriser
une
bonne
observance
aux
traitements,
véritable
enjeu
médical
et
économique.
L’implica<on
des
pharmaciens
Le
pilulier
SIVAN
de
MedSecure
est
essen<elle
pour
la
diffusion
de
ces
objets.
15. Les
objets
connectés
s’invitent
dans
la
salle
d’opéra<on
…
et
dans
la
télémédecine
Médecin
espagnol,
Pedro
Guillén
est
devenu
le
premier
chirurgien
au
monde
à
réaliser
une
opéra<on
en
u<lisant
les
lunehes
de
réalité
augmentée
de
Google.
Photo:
Europa
Press
16. La
ques<on
de
la
ges<on
des
données
de
santé
La
bio-‐impédance
(ou
l’impédancemétrie)
permet
de
collecter
jusqu’à
80
paramètres
physiologiques.
La
mul<plica<on
des
collectes
de
données
pose
une
ques<on
réelle
de
la
ges<on
sécurisée
de
ses
propres
données
de
santé
dans
sa
vie
privée
et
professionnelle.
Le
phénomène
du
«
big
data
»
doit
mehre
en
évidente
l’analyse
macro
que
certains
acteurs
de
santé
peuvent
obtenir.
17. Le
partage
des
données
entre
pa<ents
et
professionnels
de
santé
Système
Tac<o
RPM
18. La
probléma<que
du
modèle
économique
De
plus
en
plus
adopté
par
les
pa<ents,
les
objets
connectés
doivent
cependant
s’intégrer
au
mieux
dans
le
financement
des
dépenses
de
santé.
Si
l’intérêt
médical
et
scien<fique
est
prouvé,
qu’en
est-‐il
des
financeurs
:
Sécurité
sociale,
mutuelles,
La
dépense
annuelle
moyenne
d’une
personne
souffrant
d’au
moins
une
maladie
chronique
est
de
5
076€
contre
859€
pour
une
personne
«normale».
assurances,
entreprises
?
Le
débat
reste
ouvert
…
et
en<er