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PRÉSENTATION DE
JEAN-FRANCOIS
RAMASSAMY
MON CURSUS SCOLAIRE
MON CURSUS PROFESSIONNEL
MON PASSé DE SPORTIF ET MES RELATIONS AVEC LE TISSU ASSOCIATIF
« Mon parcours » a démarré dans une « école
Marron », située à l’allée Coco. J’y suis resté
jusqu’à l’âge de 4 ans. Après une année en
grande section à l’ancienne école maternelle
de Lacaussade, j’ai effectué l’élémentaire à
l’école Paul Herman. En 1982, arrivèrent les
études secondaires, au collège Joseph Bé-
dier : “la grande école”, comme on disait.
C’est là que j’ai commencé à pratiquer le foot-
ball dans le cadre de l’UNSS : toutes les oc-
casions étaient alors propices à “taper” dans
une bouteille d’huile, dans une balle de tennis
ou même, quelques fois, dans des boites de
conserve. Le plaisir de jouer entre copains
était trop fort. L’arrivée au collège, c’était aus-
si les nouveautés, les nombreuses matières,
les langues (l’anglais, l’espagnol et le tamoul).
A la Fin de la 3è, le brevet des collèges en
poche, est venu le moment de l’orientation.
Comme mon souhait a toujours été de deve-
nir un chef d’entreprise, j’ai pris la direction
du lycée Amiral P. Bouvet à Saint-Benoît, en
1986, pour y préparer un Bac de gestion et
comptabilité que j’ai obtenu en 1990. J’ai
opté alors pour la filière expertise comptable,
juridique et financière à Saint-Benoit, puis à
Saint-Denis. Mais j’ai été contraint de m’ar-
rêter au bout de la 4è année (équivalent Li-
cence), pour reprendre en main la gestion de
la station-service familiale en 1995.
 Mon rêve a toujours été de diriger une « af-
faire » et de suivre son évolution dans le
temps.
Mon père, se trouvant alors en métropole, me
confit, avec l’accord de mes sœurs et de mon
frère, la gestion de l’entreprise familiale, une
station-service. Dans ces années là, ce type
d’activité, outre le carburant, rimait avec les
réparations mécaniques, de pneumatiques et
le lavage manuel des véhicules.
Ma vision a été celle de supprimer ces
« métiers de base » et de développer
des activités de “point chaud” et de
« snacking », innovantes à l’époque.
Cela m’a permis d’être désigné à plusieurs
reprises, comme l’un des meilleurs gérants
du réseau de distribution. En 1999, ma famille
me demande de reprendre le local de l’ancien
Score (appartenant à une SCI familiale) et
d’en faire une structure de distribution.
Un challenge difficile, avec des moyens très
limités ! Je me lance alors dans cette aven-
ture où j’élabore, avec l’assentiment de mes
proches, un concept de vente en 1/2 gros-dé-
tail : C’est la création de la Centrale. Com-
ment lutter face aux autres enseignes natio-
nales, possédant des moyens gigantesques,
et disproportionnés par rapport aux nôtres ?
La solution :
des ventes en gros, des conditionnements et
une présentation sommaires, et de la masse.
Résultats : en six ans, création de 2 autres
magasins, à Salazie et Saint-Benoît, et 10 an-
nées de succès.
À partir de 2009, mon rôle au sein du groupe
familial évolue. Je dois alors davantage me
consacrer aux négociations annuelles avec
les fournisseurs locaux et étrangers, aux
salons internationaux, à la communication
et aux relations avec les partenaires finan-
ciers, laissant l’exploitation des structures
aux autres membres de ma famille. En 2010,
nous ouvrons un autre magasin aux Camélias
à Saint-Denis.
Depuis 2011, en plus de mon activité profes-
sionnelle, j’intègre l’équipe de Réunion 1ère
Radio, en tant que journaliste sportif : une ex-
périence riche en rencontres, élargissant en-
core plus ma vision de la Réunion et confor-
tant davantage mon analyse de la société
Réunionnaise. En 2013, Élections obligent, je
me rends disponible pour les municipales de
2014.
« C’est à l’âge de 11 ans que j’ai commencé la
pratique du football, au collège tout d’abord,
dans le cadre de l’UNSS, puis en club, aux
léopards de Saint-André, de la catégorie mi-
nimes aux juniors.
Des souvenirs inoubliables, et l’honneur de
porter ce maillot jaune, représentatif de ma
ville. Après un passage à Sainte-Suzanne,
à l’US Marine, j’ai créé mon club de football
corporatif, l’amicale SCORAMAT en 1995,
afin de poursuivre ma passion, dans la me-
sure où ma profession ne me permettait plus
de continuer à évoluer en championnat civil.
De cette période, je garde en mémoire les
derbys enflammés avec l’association de foot-
ball de la mairie (ASSA), de grands moments.
Après 2 années d’arrêts, j’ai rejoué en 2011
et 2012 à l’Amicale Pasrel, un club de Petit
Bazar. Bien sûr, je rechausserai les crampons
au mois d’avril, j’ai déjà pris des contacts.
En plus du football, j’ai eu l’occasion de
faire du tennis de table, mais surtout de la
pétanque, dans plusieurs clubs de la ville,
l’ABSA, le CBSA, celui de chemin du centre
également où j’étais vice-président.
Par ailleurs, depuis plus d’une quinzaine
d’années, sous mon impulsion, le groupe fa-
milial à toujours accompagné et soutenu de
nombreuses associations sportives, cultu-
relles ou parfois caritatives de la commune.
De plus, j’ai été à l’origine de la création du
club de football de la Cressonnière, élément
fédérateur et apaisant à l’époque pour ce
quartier. En tant que membre fondateur, la
naissance de ce club reste une grande fierté
pour moi. Car quand on aime sa ville, ses ha-
bitants, en fonction de ses possibilités, c’est
un devoir d’aider ses compatriotes.
« Saint-Andréen de pure souche », je suis né il
y a 43 ans à l’ancienne maternité de Saint-An-
dré, située au chemin Lagourgue.
Ma mère, Ginette Perrier (fille de Léon Per-
rier, Responsable Technique à l’usine de Ra-
vine-Creuse et de Stella Apavou Tamoudou
Alamellou, mère au foyer. Ma famille mater-
nelle est restée longtemps à Ravine-Creuse,
avant de s’installer à Mille-Roches), Ma mère
est décédée à l’âge de 73 ans le 25 septembre
dernier. Ayant débuté à la Caisse Centrale (fi-
liale de la Banque de France), Elle a accompli
toute sa carrière professionnelle à la BNPI de
Saint-André en qualité de Directrice d’agence.
Mon père, Yvon RAMASSAMY, âgé de 73 ans
(fils de Jean RAMASSAMY, dit « Gros Jean »,
secrétaire de mairie à Bras-Panon, Conseiller
général et Maire de Saint-André dans les an-
nées 60. Sa mère, Raymonde Mélicourt, était
femme au foyer. Ma famille paternelle est ori-
ginaire de Cambuston).Mon père fût adjoint au
maire de 1983 à 1989. Il a fait toute sa carrière
à la DDASS (actuellement ARS), en tant que
responsable du service contentieux.
Issu d’une fratrie de 5 enfants (3 filles et 2
garçons), j’ai vécu pendant 18 ans au lieu dit
« Pente Adelin » près de la cité Lamarque,
avant d’habiter au chemin Lagourgue durant
18 autres années.
À la suite de mon mariage en 2007, j’ai vécu
pendant 5 ans à la Rivière-du-Mât-les-bas,
puis à chemin Fantaisie, où j’habite depuis 1
an. Actuellement, je suis père d’une petite fille
âgée de 5 ans.
3
MES VALEURS
Dans une société de plus en plus individuelle où les vraies valeurs
se perdent, je pense qu’il faut se battre pour ce que l’on croit : C’est
l’essence même de mon engagement politique au sein du LPA.
L’Intégrité, l’humilité, la responsabilité, le respect, la générosité et
la loyauté sont les valeurs que je porterai en tant qu’élu :
MON ENGAGEMENT POLITIQUE
Dés mon plus jeune âge, j’ai baigné
dans cette atmosphère entourant les
campagnes électorales (mon père et
mon grand-père étant des membres
actifs de ce milieu politique). D’ail-
leurs, je collectionnais les profes-
sions de foi des divers candidats aux
scrutins locaux ou nationaux. « Faire
de la politique » ne m’intéressait pas
forcément. Au contraire, faire « ma
politique », oui : L’ambition d’œuvrer
pour autrui, voir sa ville évoluer, rendre
heureux ses compatriotes par ses ac-
tions  ; S’engager auprès d’eux tout
simplement.
Pour moi, « la gauche » et « la droite »,
cela ne veut plus rien dire. Ces 2
mouvances sont au pouvoir depuis
plusieurs décennies sur notre com-
mune et sur la Réunion d’une manière
générale. Ils sont responsables de
ce désastre économique et social. Ils
ont créé un « lobbying politique», un
système mafieux, permettant l’instau-
ration du favoritisme, de la magouille,
du mensonge et du clientélisme.
Faire Une Politique différente, pour
ses concitoyens, c’est le sens de
mon engagement au sein du mouve-
ment La Politique Autrement. C’est le
seul parti à faire émerger des valeurs
d’honnêteté, d’équité, de justice et de
responsabilité.
Je suis candidat à ces municipales
2014, car j’ai les capacités, l’envie,
l’intégrité, la volonté de faire avancer
ma ville de Saint-André. Je serai dis-
ponible pour mes concitoyens et dé-
fendrai leurs intérêts.
Saint-Andréens,
Saint-Andréennes,
Vous êtes de plus en plus
d’électeurs à voter « blanc »
ou à vous abstenir lors des
échéances électorales. Vous êtes
ainsi de moins en moins nombreux
à vous intéresser à la politique.
Pourtant, le moment est
d’importance !
Vitrine de la France dans l’Océan Indien, la Réunion est bercée par une
certaine idée de modernité. Or, derrière cette belle vitrine, les vestiges
d’une ancienne société coloniale ont du mal à s’effacer, pour laisser
place à une véritable société moderne fondée sur la justice et l’équité.
À l’heure actuelle, notre île a besoin d’une force politique dotée
d’une vision et d’une volonté de mettre en place une stratégie de
développement au sein de laquelle chaque Réunionnais aura la même
chance de prendre la place qui lui revient.
L’avenir de notre île nécessite une action politique courageuse,
déterminée et menée d’une manière rigoureuse. L’histoire politique de
la Réunion est donc arrivée à un tournant, où chacun, jeune et moins
jeune, doit s’engager pour prendre son destin en main. C’est cette
AMBITION POUR LA RÉUNION qui a animé la création d’un nouveau
parti politique :
Avec la Politique Autrement, nous démocratisons la politique sans
reproduire les schémas Gauche contre Droite, et sans créer un parti
dans lequel tout le pouvoir est confisqué par quelques personnes
uniquement. CHACUN prend sa place, prend ses responsabilités et
s’engagera avec courage, force et conviction.
Avec La Politique Autrement, nous affichons aussi la volonté de dire
STOP à toutes les injustices et les discriminations qui existent encore
à la Réunion. C’est ensemble que nous pourrons les dénoncer et les
combattre.
Pour mener ses actions, La Politique Autrement est structurée autour
d’un bureau et d’un conseil Départemental, qui constituent les instances
décisionnelles du Parti.
Au sein de chaque commune, et de chaque canton, des citoyens se sont
retrouvés pour élire un représentant à leur image, sans subir quelqu’un
qui leur est imposé.
Au sein de La Politique Autrement, la voix de la population est ainsi
prépondérante : chaque citoyen est consulté sur les sujets de société
d’importance pour notre île. Cette discipline nous semble tant naturelle,
qu’elle constitue la seule manière de conserver la proximité, qui doit
guider l’action politique.
C’est donc autour du partage de valeurs communes que sont la
JUSTICE, la recherche de l’ÉQUITÉ et la RESPONSABILITÉ, que j’invite
toutes celles et tous ceux qui le souhaitent à contribuer à faire avancer
la Réunion à rejoindre LA POLITIQUE AUTREMENT.
Saint-André a besoin, d’une nouvelle équipe avec un bâtisseur à sa tête,
Jean-François RAMASSAMY possède toutes les qualités nécessaires
pour remplir ce rôle.
Avec lui et ses colistiers, Saint-André va avancer.
Respectueusement,
Thierry ROBERT
Président du LPA - Député-Maire de Saint-Leu
Message de soutien à
Jean-François Ramassamy.
Thierry Robert et Jean-François Ramassamy
Intégrité
Une majorité de citoyens ne croient plus aux hommes politiques. Il faut
restaurer la confiance entre la population et ses élus. L’honnêteté,
l’équité et la recherche de la transparence sont les axes impératifs que je
mettrai en œuvre dans mon rôle de gestionnaire.
Humilité
Les lois de décentralisation ont donné beaucoup de pouvoirs aux élus d’une
manière générale. Il en résulte la création des « roitelets » de la République :
des élus qui se prennent pour les monarques des temps modernes, avec
toutes ses dérives. Moi, en tant qu’élu, je resterai simple, accessible et
humble. Je ferai tout pour désacraliser cette fonction.
Responsabilité
Un engagement politique n’est pas chose facile. Elu, j’assumerai mes
mandats avec courage et détermination. Mon seul leitmotiv sera de me
mettre au service de mes administrés et de défendre leurs intérêts.
Respect 
Une majorité d’élus changent souvent de comportement après avoir gagné
les élections. Ils deviennent hautains, insolents et irrespectueux envers
la population. Cependant, à l’approche des élections, ils redeviennent
humains, souriants. En clair, ils se refont « une virginité ». En tant qu’élu,
j’aurai un comportement irréprochable, linéaire, pendant toute la durée
de mon mandat.
Générosité
L’humain sera au centre de mon action d’élu. Etre présent pour sa
population, dire « non » quand cela ne sera pas possible et «  oui », s’il y aura
la possibilité. Chaque Saint-Andréen sera traité de manière respectable et
équitable. Je serai un élu de cœur et de raison.
Loyauté
En tant qu’élu, ma loyauté sera totale vis-à-vis de mes administrés et de
ma ville. Je mettrai en place une politique visionnaire, source d’espoir pour
mes concitoyens.
4
Moralisation de la vie
publique
Il faut impérativement de la transpa-
rence dans la gestion des affaires com-
munales afin de restaurer la confiance
entre la population et ses élus.
•	 Lutte contre la corruption.
•	 Des élus qui affichent l’état de leur patri-
moine avant, pendant et après leur man-
dat.
•	 Création d’un office de contrôle citoyen
(compose à 100 % de citoyens, tirés au sort sur
les listes électorales) chargé de contrôler les
associations bénéficiant de subventions
municipales, d’effectuer un contrôle plus
important sur les dépenses communales et
d’une manière générale sur la gestion de la
municipalité.
•	 Contrôle permanent de l’utilisation des
outils de fonctionnement misent à la dis-
position des élus (tel que GSM et véhicule de
fonction).
•	 Baisse des indemnités des élus .
•	 Restriction des mandats qui favorisent
l’enrichissement des élus. (Le Maire actuel de
Saint-André perçoit plus de 15000€ par mois).
•	 Redéfinition du rôle de l’élu : Plus de proxi-
mité, de respect, d’écoute vis avis de la
population. (Tous les rendez-vous pris par les ad-
ministrés doivent être honorés le plus rapidement
possible et obligatoirement par les élus).
•	 Casser les pratiques « donnant-donnant».
•	 Rendre accessibles les comptes commu-
naux à tous.
•	 Des élus exemplaires.
Insécurité
Des groupuscules ont pris possession
de notre ville, entrainant vols, agres-
sions verbales et physiques, incivilités.
Il faut tout faire pour ramener la paix
sociale dans notre ville : Stop à la dé-
linquance !
•	 Augmentation des effectifs de la police
municipale (+ de préventions, + de rondes aux
abords des établissements scolaires, dans les quar-
tiers, nuit comme jour les citoyens doivent se sentir
en sécurité 24h/24).
•	 Intégration des jeunes dans des projets
sportifs, culturels et sociaux.
•	 Mise en place de conciliateur type « grand
frère » (prévention, communication, conciliation,
apaisement…).
•	 Création de postes d’agent de prévention
de la délinquance dans les quartiers.
•	 Davantage d’éclairage public dans les
quartiers (voir environnement).
•	 Pallier le manque de trottoirs (voir voiries
communales), qui expose la population à des
risques d’accidents mortel.
Le développement
économique
Malgré la zfu, la micro région Est, est le pa-
rent pauvre de notre île en termes de créa-
tion d’emploi. Le réel développement de
notre ville, par la même occasion de la zone
Est, ne peut venir que par la dynamisation
du secteur marchand (privé), véritable levier
pour constituer des emplois pérennes. On
ne peut pas parler de création de richesse,
source d’activités et d’offres d’embauche,
si on exclut les chefs d’entreprise de tout
type de dispositif visant l’expansion éco-
nomique de notre territoire. Aussi, il est
fondamental d’instaurer un partenariat mu-
nicipalité-entreprise, afin d’éviter le piège
des décisions, régies d’une manière unila-
térale par les technocrates :
•	 Création d’une chambre économique lo-
cale (cel) : Composée de commerçants,
d’artisans, d’agriculteurs, d’industriels,
d’entrepreneurs de tout corps de métier …
Et d’élus. Cette structure aura un rôle ca-
pital dans les prises de décisions de notre
collectivité sur le plan économique. Cette
CEL pourra accompagner efficacement les
créateurs d’entreprises.
•	 Plu : Mise en place de zones d’activités
spécifiques afin de permettre aux entre-
prises Saint-Andréennes (prioritairement) ou
extérieures de se développer (1 zone artisa-
nale, 1 zone dédiée aux services et à l’industrie
agro-alimentaire et 1 zone Hi-tech).
•	 Un avis sur tous les projets d’implantation
commerciale : Avant d’accorder un permis
de construire à toute entreprise, il est im-
portant d’analyser l’impact du projet pro-
posé sur les commerces et les entreprises
existants.
•	 Création d’une chartre entre le cel et les
établissements scolaires ou/et de forma-
tions afin de faciliter l’attribution de stages
aux jeunes Saint-Andréens.
•	 Mise en place d’une convention entre le
cel et l’office local pour l’emploi (voir em-
ploi communal) afin de donner priorité à nos
jeunes si des postes sont à pourvoir.
•	 Établissement d’un schéma local écono-
mique, dont le but sera de créer les condi-
tions pour un développement respectueux
et harmonieux de notre ville.
•	 Intervenir sur tous les points négatifs (trot-
toirs, voies, emplacements, circulation, parking…) :
Freins qui empêchent ou ralentissent la
bonne marche de l’activité économique à
Saint-André.
•	 Mise en place d’une foire commerciale et
artisanale à dimension Régionale dans la
Zone de l’Océan Indien, afin de valoriser
le savoir-faire de nos professionnels et va-
loriser des échanges économiques notam-
ment avec les pays voisins (voir projet).
•	 Ouverture périodique des commerces la
nuit (voir animation).
•	 Accompagner nos jeunes désireux se
lancer dans une formation ou dans la
recherche d’un emploi en Europe ou à
l’étranger (voir relations internationales).
•	 Les emplacements communaux seront en
priorité réservés aux Saint-Andréens dési-
rant se lancer dans des activités commer-
ciales.
•	 Favoriser l’attribution des marchés publics
aux entreprises Saint-Andréennes (en fonc-
tion des possibilités) et obligation pour les en-
treprises qui soumissionnent de mettre en
place des clauses sociales et d’insertion.
•	 Mise en place de projets permettant l’ac-
croissement d’activités (le Colosse, le Parc des
Lumières Maison Valliamée, la zone marchande).
•	 Développement de l’activité touristique à
Saint-André (voir tourisme).
•	 Création d’un port de plaisance, pour réa-
nimer l’activité pêche à Saint-André et dans
toute la région Est (voir intercommunalité).
L’emploi communal
Comme à chaque élection, le personnel
communal est sollicité. Le LPA ne rentrera
pas dans le même jeu démagogique que
ses adversaires, dans un but purement
électoraliste. L’objectif principal est d’avoir
un service public de qualité sur notre com-
mune, bien entendu avec un personnel for-
mé et heureux.
•	 Amélioration des conditions de travail du
personnel (locaux, matériel, planning,…).
•	 Plus de justice et d’équité entre les sala-
riés.
•	 Mise en place de « cercle de qualité » :
Davantage de réunions de travail dans les
divers services afin d’améliorer la qualité
des prestations destinées aux administrés
et prise en considération des remarques
des salariés.
•	 Personnel mieux formé et le travail mieux
valorisé.
•	 Évolution de la rémunération sur la base du
mérite.
•	 Création d’un office local pour l’emploi,
fonctionnant collégialement avec 3/4 de ci-
toyens (tirage au sort effectué sur les listes élec-
torales, avec un mandat de courte durée) et 1/4
élus. Son rôle : Attribution des emplois sur
Programme
5
« Ensamb » allons modernise Saint-André »
des critères définis avec un partage des
emplois communaux (sur la base du « chacun
son tour »).
Éducation
Quel type de société voulons-nous ? Des
jeunes épanouis, de parfaits citoyens,
respectueux, honnêtes et responsables.
Même s’il est difficile d’imaginer cette pos-
sibilité, au LPA nous croyons en ces valeurs
et nous pensons qu’il faut impérativement
investir dans la jeunesse.
•	 LA CANTINE A 10€ PAR ENFANT ET
PAR MOIS POUR TOUS
•	 Mise en place d’un office local d’éduca-
tion civique. Son rôle : Intervenir dans les
établissements publics, par un partenariat
avec les associations sportives, culturelles
et sociales de la commune, pour un re-
tour de la morale dans notre vie de tous
les jours.
•	 Véritable réhabilitation des écoles (préaux,
cantines, classes, cour, …).
•	 En concertation avec les acteurs (parents
et enseignants) faire des propositions so-
lides pour lutter contre la chaleur dans les
classes.
•	 Formation et valorisation du personnel (at-
sem-surveillants- encadrants-…).
•	 Création de garderies scolaires (avant et
après les classes).
•	 Sécurisation des abords des écoles et des
locaux (régler les problèmes récurrents de dégra-
dation et de vandalisme).
•	 Équiper les écoles en matériel nécessaire :
photocopieurs, informatique, plateaux et
matériel sportifs.
•	 Faciliter l’acquisition de Tableaux Numé-
riques Interactives (TNI) dans chaque école.
•	 Plus d’intervenants extérieurs  qualifiés et
diversification des activités proposées.
•	 Multiplication d’action de Soutien sco-
laire et des associations plus contrôlées.
•	 Mise en place de l’Anglais dés la mater-
nelle (avec des intervenants extérieurs qualifiés).
•	 Éradiquer les « Mobil homes » dans les
écoles.
•	 Améliorer la restauration scolaire (qualité,
service et lutte contre le gaspillage).
•	 Création d’une cellule d’échange et de
partage entre enseignants-parents-direc-
tion-municipalité.
•	 Favoriser la création de crèches et mi-
ni-crèches familiales.
•	 Création d’une école de la 2è
chance pour
lutter contre l’illettrisme et l’exclusion des
jeunes et moins jeunes Saint-Andréens.
•	 Mise en place de classes préparatoires
pour les Grandes Ecoles sur Saint-André.
•	 Mise à disposition d’un personnel diplômé
et de matériel adéquat dans le cadre de la
semaine des 4 jours et demi. (Activités pé-
ri-scolaires)
Sport
L’objectif avoué est de mettre tout le
monde au sport à Saint-André, du plus
jeune au plus âgé. Pour cela, il faut rendre
le sport aux sportifs.
•	 Une meilleure répartition des budgets entre
les différentes disciplines sportives (voir vie
associative).
•	 Démocratiser la pratique de toutes les acti-
vités sportives : Création d’une carte-pass.
(un partenariat avec les clubs et autres associations
sportives facilitera l’accès à des activités souvent
onéreuses).
•	 Création d’un véritable parcours de santé
(voir projets).
•	 Réhabiliter les différents plateaux sportifs
de tous les quartiers.
•	 Création de « sites sport libre » : des pla-
teaux omnisports dans les quartiers.
•	 Création d’un circuit vélo-sécurisé (voir pro-
jets).
•	 Solutionner le transport des jeunes à l’oc-
casion des compétitions (voir intercommuna-
lité).
•	 Développer les rencontres inter-quartiers :
•	 Jeux inter-quartiers (type inter-ville), 1 fois par an.
•	 Coupe inter-quartiers dans diverses dis-
ciplines sportives (pétanque, hand, course à
pied.....).
•	 Mise en place d’un championnat de foot-
ball inter-cité sur petits terrains afin d’in-
citer les jeunes à la pratique du sport, en
toute convivialité et amitié.
•	 Soutenir les athlètes de haut niveau. (com-
pétitions à l’extérieur).
Environnement
Faire de Saint-André une ville propre,
exemplaire et écologique.
•	 Responsabilisation des comportements
dans la lutte contre les dépôts sauvages
(amendes si besoin).
•	 Nettoyage sérieux et régulier des espaces
verts (des équipes affectées dans chaque quar-
tier).
•	 Réflexion solaire (éclairage public).
•	 Encourager le photovoltaïque et le système
de récupération des eaux de pluie.
•	 Afin de réduire les dépôts sauvages, mettre
un n° vert à la disposition des administrés,
ne pouvant se rendre dans les déchetteries.
•	 Mettre des caissons affectés aux détritus
végétaux et aux déchets divers (autres qu’ali-
mentaires) dans tous les quartiers.
•	 Afin d’éliminer le nombre de cadavres
d’animaux ou de résidus carnés dans la
nature, mise en place d’un caisson adap-
té (fonctionnant tous les jours) dans plusieurs
quartiers de la commune, sur simple de-
mande.
•	 Embellir tous les quartiers de Saint-André
(plantations d’arbres, de fleurs…).
3è
jeunesse
Faire bouger la 3é
jeunesse.
•	 Création de maisons de quartier. Leur rôle :
développer des activités culturelles, spor-
tives et favoriser davantage les rencontres
et les échanges.
•	 Proposer plus d’excursions le week-end.
•	 Éradication de l’isolement et mise en place
d’un service S.O.S secours en cas de pro-
blème de santé.
•	 Favoriser les relations intergénération-
nelles.
•	 En fonction de leurs ressources, les loisirs
et les transports seront gratuits pour nos
anciens.
Animation
Le site du colosse
Dynamisation du parc le soir et week-
end :
•	 En faire un lieu familial avec davantage
d’activités pour les enfants (structures et ani-
mations).
•	 Plus d’animations podium (groupe de théâtre,
de musique et de danse…).
•	 Plus d’animations grand public (marché de
nuit, nuits du roller, Zumba géante…).
•	 Sécurisation du site
•	 Éclairage plus conséquent et adapté.
•	 Nettoyage régulier.
•	 Plus de passage de la police municipale et
amélioration du service de sécurité.
•	 Sécurisation des abords de l’étang.
•	 Faciliter l’accès au site.
Les quartiers
•	 Création de maisons d’animation.
•	 Décentralisation des manifestations (Di-
pavali – fêt kaf – jour de l’an chinois - …)
Centre-ville
6
•	 Plus d’animations (partenariat commer-
çant-municipalité).
•	 Davantage de parkings.
•	 Implantation d’espaces de détente fami-
liale.
•	 Retour du Dipavali en ville de Saint-André.
•	 Revoir le fonctionnement du cinéma. (Salle
Guy Alphonsine)
•	 Organisation de grosses manifestations.
•	 Mise en place d’un village de Noël au mois
de décembre.
•	 Ouverture nocturne, couplée avec des ma-
nifestations sportives, culturelles ou thé-
matiques.
Personnes en situation
d’handicap
•	 Mise aux normes des infrastructures faci-
litant la libre circulation des personnes à
mobilité réduite (trottoirs, accès aux commerces
et bâtiments publics…).
•	 Création d’un pôle d’aide et d’écoute.
•	 Beaucoup plus d’activités spécifiques
(sportives et culturelles).
•	 Tout mettre en œuvre pour faciliter leur in-
tégration sur le marché du travail et dans la
société d’une manière générale.
•	 Création à Saint-André d’une cellule de
transport pour personnes en situation de
handicap avec l’aide du G.I.H.P (Association
financée par le Conseil Général et les Institutions
Sociales).
Proximité des élus
Le lien entre les élus et la population doit
être permanent.
En mairie (ou mairie annexe) :
•	 La réception des administrés se fera sous
la forme « d’accueil spontané » (sans prise de
rdv), quasiment tous les jours (par tranche de
1/2 journée) par l’ensemble des élus habili-
tés. (1 fois/semaine pour le maire et ses adjoints)
Chez l’habitant (ou à la mairie selon le souhait de
la personne) :
•	 C’est un rendez-vous personnalisé, sou-
haité par le citoyen (1 fois/semaine pour le maire
et ses adjoints), par tranche de 1/2 journée.
Réunion de quartier :
•	 Une réunion d’échange entre les élus (maire
et l’élu du coin) et les habitants du quartier
sera organisée chaque samedi matin dans
un quartier de la ville.
Projets
•	 Faire du colosse un véritable pôle touris-
tique, de détente et de loisirs (voir intercom-
munalité)
•	 Création d’un véritable parcours de santé
(marche, course à pied, vélo.....), entre la Cres-
sonnière et Cambuston, en passant par
le littoral de Rdm-les-bas, Grand- canal,
Champ-borne, Colosse et Cambuston
(mettant en valeur du même coup, le petit et le
grand étang du quartier, non valorisés jusqu’à pré-
sent).
•	 Création d’un champ de foire autour de la
Maison Valliamée ( « le Parc des Lumières »).
Sur un espace foncier de plusieurs hec-
tares, cet investissement va permettre à la
commune d’organiser ou de repositionner
des activités foraines temporaires, de ré-
gler le manque de salles et d’organiser des
manifestations populaires :
- Organisation de manifestations de tout
type.
- Organisation d’un marché aux puces.
- Location de salles de réception (mariages,
baptêmes, anniversaires,..), augmentant ainsi
l’offre en salles dans la commune.
•	 Création d’une zone marchande. Nous al-
lons créer la plus grande zone marchande
de l’île. Cette zone s’étalera de la Rivière
St-Jean à Cambuston, jusqu’au Tournant
Vidot, quasiment à l’entrée de Bras-Panon.
Nous miserons ainsi, sur l’authenticité, le
choix et la convivialité afin de nous dé-
marquer des structures classiques. Nous
ferons de Saint-André, la place forte du
shopping à la Réunion, pour les touristes
et les locaux.
•	 Création de 1500 places de parking sur la
ville. La fin du tcsp, un projet qui va da-
vantage détruire que construire à Saint-An-
dré, va permettre la création de centaines
de places de parking. De même que l’ac-
quisition du terrain se trouvant à côté du
cimetière de la ville (derrière l’école de Féli-
cienne Jean), sur 2 niveaux, va contribuer à
résoudre le manque de places de parking
dans notre ville.
•	 Création d’un Parc végétalisé (ex-caserne
des pompiers). Notre ville, comme beaucoup
de communes à la Réunion, ne possède
pas de parc en centre-ville. Il est impéra-
tif « d’oxygéner » notre centre-ville et de
mettre en valeur notre future zone mar-
chande.
Action sociale
•	 Redéfinir le rôle et le champ d’action du
CCAS de la ville. (Mieux cibler les aides, mieux
contrôler les interventions).
•	 Mise en place d’un service d’aide aux per-
sonnes ayant des difficultés à gérer leur bud-
get.
•	 Initier la création de « Saint-André Soli-
darité », structure associative dont le but
sera d’aider les personnes en difficulté, où
toutes les associations religieuses, carita-
tives ou œuvrant dans le domaine social
seront sollicitées (banque alimentaire, vente de
vêtements ou d’objets à petits prix…).
•	 Accentuer le rôle de la municipalité dans
la prévention et l’aide aux victimes de vio-
lences conjugales.
Petite enfance
•	 Augmenter les places en crèches. (Favoriser
la création de crèches et mini-crèches familiales.)
•	 Transparence dans l’attribution des places
en crèches, par la mise en place de com-
missions ouvertes aux citoyens et l’anony-
mat des dossiers traités.
•	 Augmentation des haltes garderies, des
jardins d’enfants ou des structures de type
MAM (aide à la location ou mise à disposition des
locaux pour le démarrage de l’activité).
•	 Création de crèches ouvertes : Lieu
d’échanges entre parents et de « sociabili-
sation » de l’enfant de 0 à 2 ans. (Ludothèque).
•	 Favoriser l’ouverture des TPS (très petites
sections) dans les écoles maternelles. (Scola-
risation des enfants de 2 ans et ½)
Urbanisme-logement
(aménagement du territoire)
•	 Revoir le plan d’aménagement du terri-
toire : Réadapter le plan local d’urbanisme
(PLU)
•	 Mettre fin au favoritisme qui existe dans
l’attribution des logements sociaux (anony-
mat des dossiers, transparence des commissions).
•	 Création d’une mixité sociale (association du
« privé » et du « social ») dans les nouveaux
quartiers par une vraie accession à la pro-
priété.
•	 Déclassement d’un grand nombre de par-
celles agricoles (en fonction des dispositions
légales) afin de permettre aux Saint-An-
dréens, propriétaires, d’y implanter leurs
résidences principales, tout en préservant
bien entendu les surfaces cultivées.
•	 Révision du Coefficient d’Occupation de
Sol (COS) afin de permettre davantage de
constructions en verticalité (possibilité de
construction d’immeubles à plusieurs niveaux)
au regard du prix exorbitant du foncier à
Saint-André.
Jeunesse
•	 Mise en place de véritables « maisons de
quartier  » proposant de vraies activités
culturelles et artistiques, des points info
jeunesse…
•	 Réhabilitation du centre de vacances de la
Saline (qui était jadis un véritable lieu d’évasion
et de découverte pour des jeunes Saint-andréens
hors de leur commune).
•	 Remise en place des centres de loisirs (un
dans chaque quartier avec un accueil et une pro-
grammation attrayants, garants d’un épanouisse-
ment supplémentaire)
7
•	 Création d’aires de jeux municipales dans
les quartiers.
Circulation/transport
•	 Mise en place de navettes reliant le site du
Colosse aux différents quartiers.
•	 Création d’un véritable circuit vélo-sécuri-
sé sur le littoral. (Voir projet).
•	 Mise en place du RIC (Réseau Inter-Cité) :
Quadrillage de tous les secteurs de la ville,
avec des passages fréquents (en concerta-
tion avec les professionnels du transport), avec
des bus adaptés et des tarifs avantageux
ceci afin de désenclaver tous les écarts de
la commune.
•	 Fluidifier la circulation dans certains carre-
fours de la ville (exemples : Chemin du Centre,
rond-point de Pente Sassy, Pharmacie de Cam-
buston, Avenue des Mascareignes…) par l’instal-
lation de feux tricolores ou autres systèmes
de régulation.
•	 Davantage de parkings (voir projets).
Démocratie participative
La population Saint-Andréenne ne doit
plus rester en marge des décisions prises
concernant sa ville. Elle doit avoir son mot
à dire, tout au long de la mandature de
l’équipe municipale.
•	 Mise en place de consultations populaires
pour des projets supérieurs à 10 millions
d’euros.
•	 Filmer et mettre en ligne les conseils mu-
nicipaux.
•	 Créer un espace de libre expression sur le
site de la mairie, où chaque citoyen pourra
donner son avis, formuler des propositions
ou poser des questions à l’équipe munici-
pale.
•	 Mettre en place un Conseil Municipal des
jeunes avec un budget et des actions spé-
cifiques.
•	 Délocaliser les conseils municipaux dans
les quartiers.
•	 Création d’un comité de réflexion citoyen
composé des forces vives de Saint-An-
dré (réflexions citoyennes sur des sujets sen-
sibles, force de propositions afin de faire avancer
Saint-André).
Gestion de l’eau
La problématique de l’eau à Saint-An-
dré date depuis très longtemps. Il est
impératif de trouver enfin
•	 une solution durable.
•	 Réalisation d’un audit externe sur « la
gestion de l’eau » à Saint-André : Analy-
ser l’existant, à savoir : les canalisations,
le stockage, le traitement, un bilan du tra-
vail réalisé par le fermier (Cise actuellement),
les ressources, le tarif et la qualité.
•	 Mise en place du PLGE (Plan Local pour la
Gestion de l’Eau) : A partir des conclusions
de l’audit, déterminer une stratégie locale,
visant à garantir aux Saint-Andréens un ap-
provisionnement sécurisé, une eau de qua-
lité (même en période de forte pluie) et le tarif
le plus juste possible. Bien entendu, toute
cette démarche tiendra compte des pers-
pectives démographiques, du futur plan
local d’urbanisme et des contraintes inhé-
rentes aux normes européennes en vigueur.
•	 Favoriser de nouvelles ressources et le
stockage de l’eau de pluie. Régler le pro-
blème de la qualité de l’eau des robinets
(après les fortes pluies) dans les écoles. (Mise
en place de système de filtration d’eau et de points
d’eau réfrigérée, …)
•	 Ainsi, la question du maintien du contrat
de fermage ou d’une gestion en régie mu-
nicipale sera étudiée, dans l’intérêt de la
population.
Relations internationales
•	 Saint-André doit s’ouvrir au monde. Nos
jeunes doivent s’enticher des expériences
à l’étranger, pour revenir plus forts ou pour
y construire leur avenir. Nous devons tis-
ser des liens avec les pays les plus dyna-
miques économiquement, plus précisé-
ment les pays émergents et Européens, à
travers des jumelages élargis.
•	 Créer des échanges culturels, touristiques
et économiques qui peuvent générer, à
moyen ou long terme, un accroissement
local d’activités.
La vie associative
Les associations de la ville (culturelles,
sociales ou sportives)  ont un rôle  capital
dans l’épanouissement et l’équilibre
de vie des Saint-Andréens et des
Saint-Andréennes. Sans doute encore
plus dans la lutte contre la délinquance
et l’exclusion des jeunes et moins
jeunes. Ainsi, une attention particulière
doit être portée pour empêcher l’oisi-
veté, la solitude et l’inactivité chez nos
concitoyens. De plus, une place im-
portante doit être réservée à l’éduca-
tion civique, car il est vital de mettre un
terme aux mauvais comportements,
trop fréquents dans notre société.
•	 Mise en place d’un cahier des charges
destiné aux associations.
•	 Obligation pour les associations de signer
une convention avec la municipalité, les
engageant à respecter les termes de ce
partenariat.
•	 Redéfinir les règles d’octroi des subven-
tions municipales : Toutes les associations
qui rentrent dans le cadre de la chartre
définie doivent être traitées d’une manière
équitable.
•	 Création d’un office local à la vie associa-
tive, chargé de :
- Contrôler et de faire les suivis des asso-
ciations.
- Accompagner dans la création, la gestion
ou la formation les futurs citoyens désirant
se lancer dans un projet associatif.
- Aider dans le montage des divers dossiers
(subventions ou autres...)
- Aide juridique.
L’intercommunalité
La Cirest prend une part importante dans
le développement de la micro-région Est
et l’EPCI (établissement public de coopération
intercommunale) se doit d’initier des projets
structurants et valorisants.
Le colosse
•	 Espace intercommunal de détente, de loi-
sirs, de pique-nique, d’accueil touristique,
d’activités de pêche et de sports extrêmes.
•	 Le site du Colosse, s’étend sur un immense
espace, ouvert sur la mer, bénéficiant
d’atouts naturels fantastiques. Il pourrait
offrir des perspectives économiques indé-
niables, à la fois pour notre commune et
pour la micro région Est :
•	 Bassins de baignade sécurisés et propres.
•	 Attractions foraines permanentes.
•	 Davantage de structures de jeux pour en-
fants et adultes.
•	 Plus de kiosques.
•	 1 Hôtel 2*, de 80 chambres + resto + salles
de séminaires.
•	 Complexe de salles de cinéma.
•	 Discothèque (plusieurs salles de danse, dont une
pour la 3è jeunesse).
•	 Complexe de restauration.
•	 Amphithéâtre de 500 places pour les spec-
tacles.
•	 Port de plaisance, pour réanimer l’activité
pêche dans l’Est.
•	 Activités nautiques.
•	 Skate Park.
•	 Piste de bicross.
•	 Circuit de vitesse, sécurisé et homologué :
auto, moto et pour tout autre sport méca-
nique.
Le transport pour les associations spor-
tives
•	 Toutes les associations sportives de
Saint-André et des autres villes de l’inter-
communalité sont confrontées à la même
problématique : Comment assurer le trans-
ENSAMB » ALLONS FAIT
BOUGE SAINT-ANDRÉ
Tél. : 0692 65 36 33
Email : jf.Ramassamy@gmail.com
Facebook : jean-françois ramassamy
Site internet : www.Ramassamy.re
Blog : jean-francois-ramassamy.Blogspot.com
VOTRE EQUIPE MUNICIPALE
port de leurs licenciés à l’occasion de ren-
contres officielles ? Souvent obligés de les
conduire dans leur véhicule personnel, les
dirigeants sont contraints de prendre des
risques, engageant leur propre responsabi-
lité civile. Il est urgent de rétablir un service
gratuit de transport afin de garantir la sé-
curité de nos sportifs et de nos bénévoles.
Projets sportifs
•	 Projet d’un boulodrome couvert intercommunal.
•	 Projet d’un espace intercommunal dé-
dié aux sports de combat (judo, boxe, kara-
té, autres…) pour les rencontres officielles,
avec tribunes.
Voiries communales
•	 Toutes les routes communales ou ruelles
privées (après leur rétrocession à la mairie) se-
ront refaites à Saint-André
•	 Notre ville n’est pas à l’abri d’inondations
importantes (dérèglement climatique oblige). De
plus, beaucoup de voies qui ne sont pas
normalisées (chemin fantaisie…) ou qui ne
possèdent pas de trottoirs (Chemin du Centre,
Chemin Lagourgue, Chemin Rio, Rocade Sud,
Chemin Valentin, Chemin l’étang…) font courir
de graves dangers à nos enfants et à nos
concitoyens (déjà un certain nombre d’accidents
mortels à déplorer ces dernières années). Il est
donc impératif de régler en priorité cette si-
tuation en mettant un programme de mise
aux normes de nos voies communales et
de faire pression sur le Conseil Général et
sur le Conseil Régional pour faire de même
pour les routes sous leurs responsabilités.
(Chemin Patelin, routes nationales....).
•	 Mise en place de canaux bétonnés, plus
profonds afin de maximiser la récupération
des eaux pluviales.
•	 Mise en place de trottoirs (avec trou d’hommes
pour faciliter le curage) au-dessus des canaux.
•	 Aussi, nous prévoyons sur les voies le per-
mettant, la mise en place de trottoirs dans
un sens et des places de parking dans
l’autre afin de favoriser l’activité écono-
mique.
•	 Réadapter les canalisations (surtout pour l’as-
sainissement : chemin l’étang).
•	 Ainsi, nous allons gérer en régie munici-
pale, tous ces travaux :
•	 Achats du matériel, Rapidité d’exécution,
Économie pour la commune, Retour rapide
sur investissement.
Dénomination des noms
de voies, des établisse-
ments publics ou places
publiques.
•	 Le nom des voies ou équipements pu-
blics seront réservés exclusivement aux
Saint-Andréens ou Saint-Andréennes
ayant, par leurs actions, énormément ap-
portés à notre ville ou à ses habitants,
dans des domaines variés comme la po-
litique (ex : Laurent Vergès, Louis Virapoullé et
les autres…), le sport, la culture, le social ou
l’économie. C’est un devoir de mémoire et
identitaire.
Le tourisme
Le but avoué est de développer sur
Saint-André un tourisme de masse, à la
fois local et extérieur.
•	 Valorisation de nos sites, à travers des par-
cours de découverte  :
Le grand étang (site classé réserve naturelle) et
le petit étang de Cambuston. La cascade
Pichon. Le site de chemin d’eau.Le littoral
de Champ-Borne, Les berges de la Rivière-
du-Mât. Les hauteurs de Saint-André (Dioré
et Bras-Des-Chevrettes). Le Colosse (voir inter-
communalité). Les sites religieux. La culture de
la canne à sucre, l’usine de Bois- rouge, la
culture de la vanille. Les Musées. L’Architec-
ture créole. Visite des Restaurants Exotiques.
•	 Mise en place des structures d’accueil :
•	 Favoriser l’implantation des gîtes dans les
hauts de Saint-André (Dioré et Bras-Des-Che-
vrettes) pour les touristes en quête d’au-
thenticité.
•	 Création d’un Hôtel 2* de 80 chambres (voir
colosse-intercommunalité)
•	 Mise en avant des centre d’intérêt de la
ville, à travers :
- Des visites touristiques guidés et soignées.
- Des propositions de loisirs plus impor-
tantes. (colosse voir intercommunalité). Une
offre de Shopping  plus grande : faire de
Saint-André, « la ville des achats ».
- Une Restauration variée (cuisine créole, des
îles, chinoise…).
Rétrocession lotissement
ou ruelle privée
•	 Un grand nombre de nos concitoyens, ré-
sidants dans des lotissements ou ruelles
privés sont confrontés au laxisme de nos
dirigeants ou/et des lotisseurs.
•	 Quelle que soit la nature des problèmes, la
municipalité se doit de trouver les solutions
qui s’imposent afin que ces propriétaires,
qui payent leurs impôts, bénéficient d’un
service public de qualité.
•	 Rigidifier les contrôles et les autorisations à
l’avenir, pour garantir les intérêts des pro-
priétaires.
•	 Mettre en place des réunions entre les
principaux intéressés et la municipalité
pour trouver les solutions (ou consensus) qui
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  • 2. 2 PRÉSENTATION DE JEAN-FRANCOIS RAMASSAMY MON CURSUS SCOLAIRE MON CURSUS PROFESSIONNEL MON PASSé DE SPORTIF ET MES RELATIONS AVEC LE TISSU ASSOCIATIF « Mon parcours » a démarré dans une « école Marron », située à l’allée Coco. J’y suis resté jusqu’à l’âge de 4 ans. Après une année en grande section à l’ancienne école maternelle de Lacaussade, j’ai effectué l’élémentaire à l’école Paul Herman. En 1982, arrivèrent les études secondaires, au collège Joseph Bé- dier : “la grande école”, comme on disait. C’est là que j’ai commencé à pratiquer le foot- ball dans le cadre de l’UNSS : toutes les oc- casions étaient alors propices à “taper” dans une bouteille d’huile, dans une balle de tennis ou même, quelques fois, dans des boites de conserve. Le plaisir de jouer entre copains était trop fort. L’arrivée au collège, c’était aus- si les nouveautés, les nombreuses matières, les langues (l’anglais, l’espagnol et le tamoul). A la Fin de la 3è, le brevet des collèges en poche, est venu le moment de l’orientation. Comme mon souhait a toujours été de deve- nir un chef d’entreprise, j’ai pris la direction du lycée Amiral P. Bouvet à Saint-Benoît, en 1986, pour y préparer un Bac de gestion et comptabilité que j’ai obtenu en 1990. J’ai opté alors pour la filière expertise comptable, juridique et financière à Saint-Benoit, puis à Saint-Denis. Mais j’ai été contraint de m’ar- rêter au bout de la 4è année (équivalent Li- cence), pour reprendre en main la gestion de la station-service familiale en 1995.  Mon rêve a toujours été de diriger une « af- faire » et de suivre son évolution dans le temps. Mon père, se trouvant alors en métropole, me confit, avec l’accord de mes sœurs et de mon frère, la gestion de l’entreprise familiale, une station-service. Dans ces années là, ce type d’activité, outre le carburant, rimait avec les réparations mécaniques, de pneumatiques et le lavage manuel des véhicules. Ma vision a été celle de supprimer ces « métiers de base » et de développer des activités de “point chaud” et de « snacking », innovantes à l’époque. Cela m’a permis d’être désigné à plusieurs reprises, comme l’un des meilleurs gérants du réseau de distribution. En 1999, ma famille me demande de reprendre le local de l’ancien Score (appartenant à une SCI familiale) et d’en faire une structure de distribution. Un challenge difficile, avec des moyens très limités ! Je me lance alors dans cette aven- ture où j’élabore, avec l’assentiment de mes proches, un concept de vente en 1/2 gros-dé- tail : C’est la création de la Centrale. Com- ment lutter face aux autres enseignes natio- nales, possédant des moyens gigantesques, et disproportionnés par rapport aux nôtres ? La solution : des ventes en gros, des conditionnements et une présentation sommaires, et de la masse. Résultats : en six ans, création de 2 autres magasins, à Salazie et Saint-Benoît, et 10 an- nées de succès. À partir de 2009, mon rôle au sein du groupe familial évolue. Je dois alors davantage me consacrer aux négociations annuelles avec les fournisseurs locaux et étrangers, aux salons internationaux, à la communication et aux relations avec les partenaires finan- ciers, laissant l’exploitation des structures aux autres membres de ma famille. En 2010, nous ouvrons un autre magasin aux Camélias à Saint-Denis. Depuis 2011, en plus de mon activité profes- sionnelle, j’intègre l’équipe de Réunion 1ère Radio, en tant que journaliste sportif : une ex- périence riche en rencontres, élargissant en- core plus ma vision de la Réunion et confor- tant davantage mon analyse de la société Réunionnaise. En 2013, Élections obligent, je me rends disponible pour les municipales de 2014. « C’est à l’âge de 11 ans que j’ai commencé la pratique du football, au collège tout d’abord, dans le cadre de l’UNSS, puis en club, aux léopards de Saint-André, de la catégorie mi- nimes aux juniors. Des souvenirs inoubliables, et l’honneur de porter ce maillot jaune, représentatif de ma ville. Après un passage à Sainte-Suzanne, à l’US Marine, j’ai créé mon club de football corporatif, l’amicale SCORAMAT en 1995, afin de poursuivre ma passion, dans la me- sure où ma profession ne me permettait plus de continuer à évoluer en championnat civil. De cette période, je garde en mémoire les derbys enflammés avec l’association de foot- ball de la mairie (ASSA), de grands moments. Après 2 années d’arrêts, j’ai rejoué en 2011 et 2012 à l’Amicale Pasrel, un club de Petit Bazar. Bien sûr, je rechausserai les crampons au mois d’avril, j’ai déjà pris des contacts. En plus du football, j’ai eu l’occasion de faire du tennis de table, mais surtout de la pétanque, dans plusieurs clubs de la ville, l’ABSA, le CBSA, celui de chemin du centre également où j’étais vice-président. Par ailleurs, depuis plus d’une quinzaine d’années, sous mon impulsion, le groupe fa- milial à toujours accompagné et soutenu de nombreuses associations sportives, cultu- relles ou parfois caritatives de la commune. De plus, j’ai été à l’origine de la création du club de football de la Cressonnière, élément fédérateur et apaisant à l’époque pour ce quartier. En tant que membre fondateur, la naissance de ce club reste une grande fierté pour moi. Car quand on aime sa ville, ses ha- bitants, en fonction de ses possibilités, c’est un devoir d’aider ses compatriotes. « Saint-Andréen de pure souche », je suis né il y a 43 ans à l’ancienne maternité de Saint-An- dré, située au chemin Lagourgue. Ma mère, Ginette Perrier (fille de Léon Per- rier, Responsable Technique à l’usine de Ra- vine-Creuse et de Stella Apavou Tamoudou Alamellou, mère au foyer. Ma famille mater- nelle est restée longtemps à Ravine-Creuse, avant de s’installer à Mille-Roches), Ma mère est décédée à l’âge de 73 ans le 25 septembre dernier. Ayant débuté à la Caisse Centrale (fi- liale de la Banque de France), Elle a accompli toute sa carrière professionnelle à la BNPI de Saint-André en qualité de Directrice d’agence. Mon père, Yvon RAMASSAMY, âgé de 73 ans (fils de Jean RAMASSAMY, dit « Gros Jean », secrétaire de mairie à Bras-Panon, Conseiller général et Maire de Saint-André dans les an- nées 60. Sa mère, Raymonde Mélicourt, était femme au foyer. Ma famille paternelle est ori- ginaire de Cambuston).Mon père fût adjoint au maire de 1983 à 1989. Il a fait toute sa carrière à la DDASS (actuellement ARS), en tant que responsable du service contentieux. Issu d’une fratrie de 5 enfants (3 filles et 2 garçons), j’ai vécu pendant 18 ans au lieu dit « Pente Adelin » près de la cité Lamarque, avant d’habiter au chemin Lagourgue durant 18 autres années. À la suite de mon mariage en 2007, j’ai vécu pendant 5 ans à la Rivière-du-Mât-les-bas, puis à chemin Fantaisie, où j’habite depuis 1 an. Actuellement, je suis père d’une petite fille âgée de 5 ans.
  • 3. 3 MES VALEURS Dans une société de plus en plus individuelle où les vraies valeurs se perdent, je pense qu’il faut se battre pour ce que l’on croit : C’est l’essence même de mon engagement politique au sein du LPA. L’Intégrité, l’humilité, la responsabilité, le respect, la générosité et la loyauté sont les valeurs que je porterai en tant qu’élu : MON ENGAGEMENT POLITIQUE Dés mon plus jeune âge, j’ai baigné dans cette atmosphère entourant les campagnes électorales (mon père et mon grand-père étant des membres actifs de ce milieu politique). D’ail- leurs, je collectionnais les profes- sions de foi des divers candidats aux scrutins locaux ou nationaux. « Faire de la politique » ne m’intéressait pas forcément. Au contraire, faire « ma politique », oui : L’ambition d’œuvrer pour autrui, voir sa ville évoluer, rendre heureux ses compatriotes par ses ac- tions  ; S’engager auprès d’eux tout simplement. Pour moi, « la gauche » et « la droite », cela ne veut plus rien dire. Ces 2 mouvances sont au pouvoir depuis plusieurs décennies sur notre com- mune et sur la Réunion d’une manière générale. Ils sont responsables de ce désastre économique et social. Ils ont créé un « lobbying politique», un système mafieux, permettant l’instau- ration du favoritisme, de la magouille, du mensonge et du clientélisme. Faire Une Politique différente, pour ses concitoyens, c’est le sens de mon engagement au sein du mouve- ment La Politique Autrement. C’est le seul parti à faire émerger des valeurs d’honnêteté, d’équité, de justice et de responsabilité. Je suis candidat à ces municipales 2014, car j’ai les capacités, l’envie, l’intégrité, la volonté de faire avancer ma ville de Saint-André. Je serai dis- ponible pour mes concitoyens et dé- fendrai leurs intérêts. Saint-Andréens, Saint-Andréennes, Vous êtes de plus en plus d’électeurs à voter « blanc » ou à vous abstenir lors des échéances électorales. Vous êtes ainsi de moins en moins nombreux à vous intéresser à la politique. Pourtant, le moment est d’importance ! Vitrine de la France dans l’Océan Indien, la Réunion est bercée par une certaine idée de modernité. Or, derrière cette belle vitrine, les vestiges d’une ancienne société coloniale ont du mal à s’effacer, pour laisser place à une véritable société moderne fondée sur la justice et l’équité. À l’heure actuelle, notre île a besoin d’une force politique dotée d’une vision et d’une volonté de mettre en place une stratégie de développement au sein de laquelle chaque Réunionnais aura la même chance de prendre la place qui lui revient. L’avenir de notre île nécessite une action politique courageuse, déterminée et menée d’une manière rigoureuse. L’histoire politique de la Réunion est donc arrivée à un tournant, où chacun, jeune et moins jeune, doit s’engager pour prendre son destin en main. C’est cette AMBITION POUR LA RÉUNION qui a animé la création d’un nouveau parti politique : Avec la Politique Autrement, nous démocratisons la politique sans reproduire les schémas Gauche contre Droite, et sans créer un parti dans lequel tout le pouvoir est confisqué par quelques personnes uniquement. CHACUN prend sa place, prend ses responsabilités et s’engagera avec courage, force et conviction. Avec La Politique Autrement, nous affichons aussi la volonté de dire STOP à toutes les injustices et les discriminations qui existent encore à la Réunion. C’est ensemble que nous pourrons les dénoncer et les combattre. Pour mener ses actions, La Politique Autrement est structurée autour d’un bureau et d’un conseil Départemental, qui constituent les instances décisionnelles du Parti. Au sein de chaque commune, et de chaque canton, des citoyens se sont retrouvés pour élire un représentant à leur image, sans subir quelqu’un qui leur est imposé. Au sein de La Politique Autrement, la voix de la population est ainsi prépondérante : chaque citoyen est consulté sur les sujets de société d’importance pour notre île. Cette discipline nous semble tant naturelle, qu’elle constitue la seule manière de conserver la proximité, qui doit guider l’action politique. C’est donc autour du partage de valeurs communes que sont la JUSTICE, la recherche de l’ÉQUITÉ et la RESPONSABILITÉ, que j’invite toutes celles et tous ceux qui le souhaitent à contribuer à faire avancer la Réunion à rejoindre LA POLITIQUE AUTREMENT. Saint-André a besoin, d’une nouvelle équipe avec un bâtisseur à sa tête, Jean-François RAMASSAMY possède toutes les qualités nécessaires pour remplir ce rôle. Avec lui et ses colistiers, Saint-André va avancer. Respectueusement, Thierry ROBERT Président du LPA - Député-Maire de Saint-Leu Message de soutien à Jean-François Ramassamy. Thierry Robert et Jean-François Ramassamy Intégrité Une majorité de citoyens ne croient plus aux hommes politiques. Il faut restaurer la confiance entre la population et ses élus. L’honnêteté, l’équité et la recherche de la transparence sont les axes impératifs que je mettrai en œuvre dans mon rôle de gestionnaire. Humilité Les lois de décentralisation ont donné beaucoup de pouvoirs aux élus d’une manière générale. Il en résulte la création des « roitelets » de la République : des élus qui se prennent pour les monarques des temps modernes, avec toutes ses dérives. Moi, en tant qu’élu, je resterai simple, accessible et humble. Je ferai tout pour désacraliser cette fonction. Responsabilité Un engagement politique n’est pas chose facile. Elu, j’assumerai mes mandats avec courage et détermination. Mon seul leitmotiv sera de me mettre au service de mes administrés et de défendre leurs intérêts. Respect  Une majorité d’élus changent souvent de comportement après avoir gagné les élections. Ils deviennent hautains, insolents et irrespectueux envers la population. Cependant, à l’approche des élections, ils redeviennent humains, souriants. En clair, ils se refont « une virginité ». En tant qu’élu, j’aurai un comportement irréprochable, linéaire, pendant toute la durée de mon mandat. Générosité L’humain sera au centre de mon action d’élu. Etre présent pour sa population, dire « non » quand cela ne sera pas possible et «  oui », s’il y aura la possibilité. Chaque Saint-Andréen sera traité de manière respectable et équitable. Je serai un élu de cœur et de raison. Loyauté En tant qu’élu, ma loyauté sera totale vis-à-vis de mes administrés et de ma ville. Je mettrai en place une politique visionnaire, source d’espoir pour mes concitoyens.
  • 4. 4 Moralisation de la vie publique Il faut impérativement de la transpa- rence dans la gestion des affaires com- munales afin de restaurer la confiance entre la population et ses élus. • Lutte contre la corruption. • Des élus qui affichent l’état de leur patri- moine avant, pendant et après leur man- dat. • Création d’un office de contrôle citoyen (compose à 100 % de citoyens, tirés au sort sur les listes électorales) chargé de contrôler les associations bénéficiant de subventions municipales, d’effectuer un contrôle plus important sur les dépenses communales et d’une manière générale sur la gestion de la municipalité. • Contrôle permanent de l’utilisation des outils de fonctionnement misent à la dis- position des élus (tel que GSM et véhicule de fonction). • Baisse des indemnités des élus . • Restriction des mandats qui favorisent l’enrichissement des élus. (Le Maire actuel de Saint-André perçoit plus de 15000€ par mois). • Redéfinition du rôle de l’élu : Plus de proxi- mité, de respect, d’écoute vis avis de la population. (Tous les rendez-vous pris par les ad- ministrés doivent être honorés le plus rapidement possible et obligatoirement par les élus). • Casser les pratiques « donnant-donnant». • Rendre accessibles les comptes commu- naux à tous. • Des élus exemplaires. Insécurité Des groupuscules ont pris possession de notre ville, entrainant vols, agres- sions verbales et physiques, incivilités. Il faut tout faire pour ramener la paix sociale dans notre ville : Stop à la dé- linquance ! • Augmentation des effectifs de la police municipale (+ de préventions, + de rondes aux abords des établissements scolaires, dans les quar- tiers, nuit comme jour les citoyens doivent se sentir en sécurité 24h/24). • Intégration des jeunes dans des projets sportifs, culturels et sociaux. • Mise en place de conciliateur type « grand frère » (prévention, communication, conciliation, apaisement…). • Création de postes d’agent de prévention de la délinquance dans les quartiers. • Davantage d’éclairage public dans les quartiers (voir environnement). • Pallier le manque de trottoirs (voir voiries communales), qui expose la population à des risques d’accidents mortel. Le développement économique Malgré la zfu, la micro région Est, est le pa- rent pauvre de notre île en termes de créa- tion d’emploi. Le réel développement de notre ville, par la même occasion de la zone Est, ne peut venir que par la dynamisation du secteur marchand (privé), véritable levier pour constituer des emplois pérennes. On ne peut pas parler de création de richesse, source d’activités et d’offres d’embauche, si on exclut les chefs d’entreprise de tout type de dispositif visant l’expansion éco- nomique de notre territoire. Aussi, il est fondamental d’instaurer un partenariat mu- nicipalité-entreprise, afin d’éviter le piège des décisions, régies d’une manière unila- térale par les technocrates : • Création d’une chambre économique lo- cale (cel) : Composée de commerçants, d’artisans, d’agriculteurs, d’industriels, d’entrepreneurs de tout corps de métier … Et d’élus. Cette structure aura un rôle ca- pital dans les prises de décisions de notre collectivité sur le plan économique. Cette CEL pourra accompagner efficacement les créateurs d’entreprises. • Plu : Mise en place de zones d’activités spécifiques afin de permettre aux entre- prises Saint-Andréennes (prioritairement) ou extérieures de se développer (1 zone artisa- nale, 1 zone dédiée aux services et à l’industrie agro-alimentaire et 1 zone Hi-tech). • Un avis sur tous les projets d’implantation commerciale : Avant d’accorder un permis de construire à toute entreprise, il est im- portant d’analyser l’impact du projet pro- posé sur les commerces et les entreprises existants. • Création d’une chartre entre le cel et les établissements scolaires ou/et de forma- tions afin de faciliter l’attribution de stages aux jeunes Saint-Andréens. • Mise en place d’une convention entre le cel et l’office local pour l’emploi (voir em- ploi communal) afin de donner priorité à nos jeunes si des postes sont à pourvoir. • Établissement d’un schéma local écono- mique, dont le but sera de créer les condi- tions pour un développement respectueux et harmonieux de notre ville. • Intervenir sur tous les points négatifs (trot- toirs, voies, emplacements, circulation, parking…) : Freins qui empêchent ou ralentissent la bonne marche de l’activité économique à Saint-André. • Mise en place d’une foire commerciale et artisanale à dimension Régionale dans la Zone de l’Océan Indien, afin de valoriser le savoir-faire de nos professionnels et va- loriser des échanges économiques notam- ment avec les pays voisins (voir projet). • Ouverture périodique des commerces la nuit (voir animation). • Accompagner nos jeunes désireux se lancer dans une formation ou dans la recherche d’un emploi en Europe ou à l’étranger (voir relations internationales). • Les emplacements communaux seront en priorité réservés aux Saint-Andréens dési- rant se lancer dans des activités commer- ciales. • Favoriser l’attribution des marchés publics aux entreprises Saint-Andréennes (en fonc- tion des possibilités) et obligation pour les en- treprises qui soumissionnent de mettre en place des clauses sociales et d’insertion. • Mise en place de projets permettant l’ac- croissement d’activités (le Colosse, le Parc des Lumières Maison Valliamée, la zone marchande). • Développement de l’activité touristique à Saint-André (voir tourisme). • Création d’un port de plaisance, pour réa- nimer l’activité pêche à Saint-André et dans toute la région Est (voir intercommunalité). L’emploi communal Comme à chaque élection, le personnel communal est sollicité. Le LPA ne rentrera pas dans le même jeu démagogique que ses adversaires, dans un but purement électoraliste. L’objectif principal est d’avoir un service public de qualité sur notre com- mune, bien entendu avec un personnel for- mé et heureux. • Amélioration des conditions de travail du personnel (locaux, matériel, planning,…). • Plus de justice et d’équité entre les sala- riés. • Mise en place de « cercle de qualité » : Davantage de réunions de travail dans les divers services afin d’améliorer la qualité des prestations destinées aux administrés et prise en considération des remarques des salariés. • Personnel mieux formé et le travail mieux valorisé. • Évolution de la rémunération sur la base du mérite. • Création d’un office local pour l’emploi, fonctionnant collégialement avec 3/4 de ci- toyens (tirage au sort effectué sur les listes élec- torales, avec un mandat de courte durée) et 1/4 élus. Son rôle : Attribution des emplois sur Programme
  • 5. 5 « Ensamb » allons modernise Saint-André » des critères définis avec un partage des emplois communaux (sur la base du « chacun son tour »). Éducation Quel type de société voulons-nous ? Des jeunes épanouis, de parfaits citoyens, respectueux, honnêtes et responsables. Même s’il est difficile d’imaginer cette pos- sibilité, au LPA nous croyons en ces valeurs et nous pensons qu’il faut impérativement investir dans la jeunesse. • LA CANTINE A 10€ PAR ENFANT ET PAR MOIS POUR TOUS • Mise en place d’un office local d’éduca- tion civique. Son rôle : Intervenir dans les établissements publics, par un partenariat avec les associations sportives, culturelles et sociales de la commune, pour un re- tour de la morale dans notre vie de tous les jours. • Véritable réhabilitation des écoles (préaux, cantines, classes, cour, …). • En concertation avec les acteurs (parents et enseignants) faire des propositions so- lides pour lutter contre la chaleur dans les classes. • Formation et valorisation du personnel (at- sem-surveillants- encadrants-…). • Création de garderies scolaires (avant et après les classes). • Sécurisation des abords des écoles et des locaux (régler les problèmes récurrents de dégra- dation et de vandalisme). • Équiper les écoles en matériel nécessaire : photocopieurs, informatique, plateaux et matériel sportifs. • Faciliter l’acquisition de Tableaux Numé- riques Interactives (TNI) dans chaque école. • Plus d’intervenants extérieurs  qualifiés et diversification des activités proposées. • Multiplication d’action de Soutien sco- laire et des associations plus contrôlées. • Mise en place de l’Anglais dés la mater- nelle (avec des intervenants extérieurs qualifiés). • Éradiquer les « Mobil homes » dans les écoles. • Améliorer la restauration scolaire (qualité, service et lutte contre le gaspillage). • Création d’une cellule d’échange et de partage entre enseignants-parents-direc- tion-municipalité. • Favoriser la création de crèches et mi- ni-crèches familiales. • Création d’une école de la 2è chance pour lutter contre l’illettrisme et l’exclusion des jeunes et moins jeunes Saint-Andréens. • Mise en place de classes préparatoires pour les Grandes Ecoles sur Saint-André. • Mise à disposition d’un personnel diplômé et de matériel adéquat dans le cadre de la semaine des 4 jours et demi. (Activités pé- ri-scolaires) Sport L’objectif avoué est de mettre tout le monde au sport à Saint-André, du plus jeune au plus âgé. Pour cela, il faut rendre le sport aux sportifs. • Une meilleure répartition des budgets entre les différentes disciplines sportives (voir vie associative). • Démocratiser la pratique de toutes les acti- vités sportives : Création d’une carte-pass. (un partenariat avec les clubs et autres associations sportives facilitera l’accès à des activités souvent onéreuses). • Création d’un véritable parcours de santé (voir projets). • Réhabiliter les différents plateaux sportifs de tous les quartiers. • Création de « sites sport libre » : des pla- teaux omnisports dans les quartiers. • Création d’un circuit vélo-sécurisé (voir pro- jets). • Solutionner le transport des jeunes à l’oc- casion des compétitions (voir intercommuna- lité). • Développer les rencontres inter-quartiers : • Jeux inter-quartiers (type inter-ville), 1 fois par an. • Coupe inter-quartiers dans diverses dis- ciplines sportives (pétanque, hand, course à pied.....). • Mise en place d’un championnat de foot- ball inter-cité sur petits terrains afin d’in- citer les jeunes à la pratique du sport, en toute convivialité et amitié. • Soutenir les athlètes de haut niveau. (com- pétitions à l’extérieur). Environnement Faire de Saint-André une ville propre, exemplaire et écologique. • Responsabilisation des comportements dans la lutte contre les dépôts sauvages (amendes si besoin). • Nettoyage sérieux et régulier des espaces verts (des équipes affectées dans chaque quar- tier). • Réflexion solaire (éclairage public). • Encourager le photovoltaïque et le système de récupération des eaux de pluie. • Afin de réduire les dépôts sauvages, mettre un n° vert à la disposition des administrés, ne pouvant se rendre dans les déchetteries. • Mettre des caissons affectés aux détritus végétaux et aux déchets divers (autres qu’ali- mentaires) dans tous les quartiers. • Afin d’éliminer le nombre de cadavres d’animaux ou de résidus carnés dans la nature, mise en place d’un caisson adap- té (fonctionnant tous les jours) dans plusieurs quartiers de la commune, sur simple de- mande. • Embellir tous les quartiers de Saint-André (plantations d’arbres, de fleurs…). 3è jeunesse Faire bouger la 3é jeunesse. • Création de maisons de quartier. Leur rôle : développer des activités culturelles, spor- tives et favoriser davantage les rencontres et les échanges. • Proposer plus d’excursions le week-end. • Éradication de l’isolement et mise en place d’un service S.O.S secours en cas de pro- blème de santé. • Favoriser les relations intergénération- nelles. • En fonction de leurs ressources, les loisirs et les transports seront gratuits pour nos anciens. Animation Le site du colosse Dynamisation du parc le soir et week- end : • En faire un lieu familial avec davantage d’activités pour les enfants (structures et ani- mations). • Plus d’animations podium (groupe de théâtre, de musique et de danse…). • Plus d’animations grand public (marché de nuit, nuits du roller, Zumba géante…). • Sécurisation du site • Éclairage plus conséquent et adapté. • Nettoyage régulier. • Plus de passage de la police municipale et amélioration du service de sécurité. • Sécurisation des abords de l’étang. • Faciliter l’accès au site. Les quartiers • Création de maisons d’animation. • Décentralisation des manifestations (Di- pavali – fêt kaf – jour de l’an chinois - …) Centre-ville
  • 6. 6 • Plus d’animations (partenariat commer- çant-municipalité). • Davantage de parkings. • Implantation d’espaces de détente fami- liale. • Retour du Dipavali en ville de Saint-André. • Revoir le fonctionnement du cinéma. (Salle Guy Alphonsine) • Organisation de grosses manifestations. • Mise en place d’un village de Noël au mois de décembre. • Ouverture nocturne, couplée avec des ma- nifestations sportives, culturelles ou thé- matiques. Personnes en situation d’handicap • Mise aux normes des infrastructures faci- litant la libre circulation des personnes à mobilité réduite (trottoirs, accès aux commerces et bâtiments publics…). • Création d’un pôle d’aide et d’écoute. • Beaucoup plus d’activités spécifiques (sportives et culturelles). • Tout mettre en œuvre pour faciliter leur in- tégration sur le marché du travail et dans la société d’une manière générale. • Création à Saint-André d’une cellule de transport pour personnes en situation de handicap avec l’aide du G.I.H.P (Association financée par le Conseil Général et les Institutions Sociales). Proximité des élus Le lien entre les élus et la population doit être permanent. En mairie (ou mairie annexe) : • La réception des administrés se fera sous la forme « d’accueil spontané » (sans prise de rdv), quasiment tous les jours (par tranche de 1/2 journée) par l’ensemble des élus habili- tés. (1 fois/semaine pour le maire et ses adjoints) Chez l’habitant (ou à la mairie selon le souhait de la personne) : • C’est un rendez-vous personnalisé, sou- haité par le citoyen (1 fois/semaine pour le maire et ses adjoints), par tranche de 1/2 journée. Réunion de quartier : • Une réunion d’échange entre les élus (maire et l’élu du coin) et les habitants du quartier sera organisée chaque samedi matin dans un quartier de la ville. Projets • Faire du colosse un véritable pôle touris- tique, de détente et de loisirs (voir intercom- munalité) • Création d’un véritable parcours de santé (marche, course à pied, vélo.....), entre la Cres- sonnière et Cambuston, en passant par le littoral de Rdm-les-bas, Grand- canal, Champ-borne, Colosse et Cambuston (mettant en valeur du même coup, le petit et le grand étang du quartier, non valorisés jusqu’à pré- sent). • Création d’un champ de foire autour de la Maison Valliamée ( « le Parc des Lumières »). Sur un espace foncier de plusieurs hec- tares, cet investissement va permettre à la commune d’organiser ou de repositionner des activités foraines temporaires, de ré- gler le manque de salles et d’organiser des manifestations populaires : - Organisation de manifestations de tout type. - Organisation d’un marché aux puces. - Location de salles de réception (mariages, baptêmes, anniversaires,..), augmentant ainsi l’offre en salles dans la commune. • Création d’une zone marchande. Nous al- lons créer la plus grande zone marchande de l’île. Cette zone s’étalera de la Rivière St-Jean à Cambuston, jusqu’au Tournant Vidot, quasiment à l’entrée de Bras-Panon. Nous miserons ainsi, sur l’authenticité, le choix et la convivialité afin de nous dé- marquer des structures classiques. Nous ferons de Saint-André, la place forte du shopping à la Réunion, pour les touristes et les locaux. • Création de 1500 places de parking sur la ville. La fin du tcsp, un projet qui va da- vantage détruire que construire à Saint-An- dré, va permettre la création de centaines de places de parking. De même que l’ac- quisition du terrain se trouvant à côté du cimetière de la ville (derrière l’école de Féli- cienne Jean), sur 2 niveaux, va contribuer à résoudre le manque de places de parking dans notre ville. • Création d’un Parc végétalisé (ex-caserne des pompiers). Notre ville, comme beaucoup de communes à la Réunion, ne possède pas de parc en centre-ville. Il est impéra- tif « d’oxygéner » notre centre-ville et de mettre en valeur notre future zone mar- chande. Action sociale • Redéfinir le rôle et le champ d’action du CCAS de la ville. (Mieux cibler les aides, mieux contrôler les interventions). • Mise en place d’un service d’aide aux per- sonnes ayant des difficultés à gérer leur bud- get. • Initier la création de « Saint-André Soli- darité », structure associative dont le but sera d’aider les personnes en difficulté, où toutes les associations religieuses, carita- tives ou œuvrant dans le domaine social seront sollicitées (banque alimentaire, vente de vêtements ou d’objets à petits prix…). • Accentuer le rôle de la municipalité dans la prévention et l’aide aux victimes de vio- lences conjugales. Petite enfance • Augmenter les places en crèches. (Favoriser la création de crèches et mini-crèches familiales.) • Transparence dans l’attribution des places en crèches, par la mise en place de com- missions ouvertes aux citoyens et l’anony- mat des dossiers traités. • Augmentation des haltes garderies, des jardins d’enfants ou des structures de type MAM (aide à la location ou mise à disposition des locaux pour le démarrage de l’activité). • Création de crèches ouvertes : Lieu d’échanges entre parents et de « sociabili- sation » de l’enfant de 0 à 2 ans. (Ludothèque). • Favoriser l’ouverture des TPS (très petites sections) dans les écoles maternelles. (Scola- risation des enfants de 2 ans et ½) Urbanisme-logement (aménagement du territoire) • Revoir le plan d’aménagement du terri- toire : Réadapter le plan local d’urbanisme (PLU) • Mettre fin au favoritisme qui existe dans l’attribution des logements sociaux (anony- mat des dossiers, transparence des commissions). • Création d’une mixité sociale (association du « privé » et du « social ») dans les nouveaux quartiers par une vraie accession à la pro- priété. • Déclassement d’un grand nombre de par- celles agricoles (en fonction des dispositions légales) afin de permettre aux Saint-An- dréens, propriétaires, d’y implanter leurs résidences principales, tout en préservant bien entendu les surfaces cultivées. • Révision du Coefficient d’Occupation de Sol (COS) afin de permettre davantage de constructions en verticalité (possibilité de construction d’immeubles à plusieurs niveaux) au regard du prix exorbitant du foncier à Saint-André. Jeunesse • Mise en place de véritables « maisons de quartier  » proposant de vraies activités culturelles et artistiques, des points info jeunesse… • Réhabilitation du centre de vacances de la Saline (qui était jadis un véritable lieu d’évasion et de découverte pour des jeunes Saint-andréens hors de leur commune). • Remise en place des centres de loisirs (un dans chaque quartier avec un accueil et une pro- grammation attrayants, garants d’un épanouisse- ment supplémentaire)
  • 7. 7 • Création d’aires de jeux municipales dans les quartiers. Circulation/transport • Mise en place de navettes reliant le site du Colosse aux différents quartiers. • Création d’un véritable circuit vélo-sécuri- sé sur le littoral. (Voir projet). • Mise en place du RIC (Réseau Inter-Cité) : Quadrillage de tous les secteurs de la ville, avec des passages fréquents (en concerta- tion avec les professionnels du transport), avec des bus adaptés et des tarifs avantageux ceci afin de désenclaver tous les écarts de la commune. • Fluidifier la circulation dans certains carre- fours de la ville (exemples : Chemin du Centre, rond-point de Pente Sassy, Pharmacie de Cam- buston, Avenue des Mascareignes…) par l’instal- lation de feux tricolores ou autres systèmes de régulation. • Davantage de parkings (voir projets). Démocratie participative La population Saint-Andréenne ne doit plus rester en marge des décisions prises concernant sa ville. Elle doit avoir son mot à dire, tout au long de la mandature de l’équipe municipale. • Mise en place de consultations populaires pour des projets supérieurs à 10 millions d’euros. • Filmer et mettre en ligne les conseils mu- nicipaux. • Créer un espace de libre expression sur le site de la mairie, où chaque citoyen pourra donner son avis, formuler des propositions ou poser des questions à l’équipe munici- pale. • Mettre en place un Conseil Municipal des jeunes avec un budget et des actions spé- cifiques. • Délocaliser les conseils municipaux dans les quartiers. • Création d’un comité de réflexion citoyen composé des forces vives de Saint-An- dré (réflexions citoyennes sur des sujets sen- sibles, force de propositions afin de faire avancer Saint-André). Gestion de l’eau La problématique de l’eau à Saint-An- dré date depuis très longtemps. Il est impératif de trouver enfin • une solution durable. • Réalisation d’un audit externe sur « la gestion de l’eau » à Saint-André : Analy- ser l’existant, à savoir : les canalisations, le stockage, le traitement, un bilan du tra- vail réalisé par le fermier (Cise actuellement), les ressources, le tarif et la qualité. • Mise en place du PLGE (Plan Local pour la Gestion de l’Eau) : A partir des conclusions de l’audit, déterminer une stratégie locale, visant à garantir aux Saint-Andréens un ap- provisionnement sécurisé, une eau de qua- lité (même en période de forte pluie) et le tarif le plus juste possible. Bien entendu, toute cette démarche tiendra compte des pers- pectives démographiques, du futur plan local d’urbanisme et des contraintes inhé- rentes aux normes européennes en vigueur. • Favoriser de nouvelles ressources et le stockage de l’eau de pluie. Régler le pro- blème de la qualité de l’eau des robinets (après les fortes pluies) dans les écoles. (Mise en place de système de filtration d’eau et de points d’eau réfrigérée, …) • Ainsi, la question du maintien du contrat de fermage ou d’une gestion en régie mu- nicipale sera étudiée, dans l’intérêt de la population. Relations internationales • Saint-André doit s’ouvrir au monde. Nos jeunes doivent s’enticher des expériences à l’étranger, pour revenir plus forts ou pour y construire leur avenir. Nous devons tis- ser des liens avec les pays les plus dyna- miques économiquement, plus précisé- ment les pays émergents et Européens, à travers des jumelages élargis. • Créer des échanges culturels, touristiques et économiques qui peuvent générer, à moyen ou long terme, un accroissement local d’activités. La vie associative Les associations de la ville (culturelles, sociales ou sportives)  ont un rôle  capital dans l’épanouissement et l’équilibre de vie des Saint-Andréens et des Saint-Andréennes. Sans doute encore plus dans la lutte contre la délinquance et l’exclusion des jeunes et moins jeunes. Ainsi, une attention particulière doit être portée pour empêcher l’oisi- veté, la solitude et l’inactivité chez nos concitoyens. De plus, une place im- portante doit être réservée à l’éduca- tion civique, car il est vital de mettre un terme aux mauvais comportements, trop fréquents dans notre société. • Mise en place d’un cahier des charges destiné aux associations. • Obligation pour les associations de signer une convention avec la municipalité, les engageant à respecter les termes de ce partenariat. • Redéfinir les règles d’octroi des subven- tions municipales : Toutes les associations qui rentrent dans le cadre de la chartre définie doivent être traitées d’une manière équitable. • Création d’un office local à la vie associa- tive, chargé de : - Contrôler et de faire les suivis des asso- ciations. - Accompagner dans la création, la gestion ou la formation les futurs citoyens désirant se lancer dans un projet associatif. - Aider dans le montage des divers dossiers (subventions ou autres...) - Aide juridique. L’intercommunalité La Cirest prend une part importante dans le développement de la micro-région Est et l’EPCI (établissement public de coopération intercommunale) se doit d’initier des projets structurants et valorisants. Le colosse • Espace intercommunal de détente, de loi- sirs, de pique-nique, d’accueil touristique, d’activités de pêche et de sports extrêmes. • Le site du Colosse, s’étend sur un immense espace, ouvert sur la mer, bénéficiant d’atouts naturels fantastiques. Il pourrait offrir des perspectives économiques indé- niables, à la fois pour notre commune et pour la micro région Est : • Bassins de baignade sécurisés et propres. • Attractions foraines permanentes. • Davantage de structures de jeux pour en- fants et adultes. • Plus de kiosques. • 1 Hôtel 2*, de 80 chambres + resto + salles de séminaires. • Complexe de salles de cinéma. • Discothèque (plusieurs salles de danse, dont une pour la 3è jeunesse). • Complexe de restauration. • Amphithéâtre de 500 places pour les spec- tacles. • Port de plaisance, pour réanimer l’activité pêche dans l’Est. • Activités nautiques. • Skate Park. • Piste de bicross. • Circuit de vitesse, sécurisé et homologué : auto, moto et pour tout autre sport méca- nique. Le transport pour les associations spor- tives • Toutes les associations sportives de Saint-André et des autres villes de l’inter- communalité sont confrontées à la même problématique : Comment assurer le trans-
  • 8. ENSAMB » ALLONS FAIT BOUGE SAINT-ANDRÉ Tél. : 0692 65 36 33 Email : jf.Ramassamy@gmail.com Facebook : jean-françois ramassamy Site internet : www.Ramassamy.re Blog : jean-francois-ramassamy.Blogspot.com VOTRE EQUIPE MUNICIPALE port de leurs licenciés à l’occasion de ren- contres officielles ? Souvent obligés de les conduire dans leur véhicule personnel, les dirigeants sont contraints de prendre des risques, engageant leur propre responsabi- lité civile. Il est urgent de rétablir un service gratuit de transport afin de garantir la sé- curité de nos sportifs et de nos bénévoles. Projets sportifs • Projet d’un boulodrome couvert intercommunal. • Projet d’un espace intercommunal dé- dié aux sports de combat (judo, boxe, kara- té, autres…) pour les rencontres officielles, avec tribunes. Voiries communales • Toutes les routes communales ou ruelles privées (après leur rétrocession à la mairie) se- ront refaites à Saint-André • Notre ville n’est pas à l’abri d’inondations importantes (dérèglement climatique oblige). De plus, beaucoup de voies qui ne sont pas normalisées (chemin fantaisie…) ou qui ne possèdent pas de trottoirs (Chemin du Centre, Chemin Lagourgue, Chemin Rio, Rocade Sud, Chemin Valentin, Chemin l’étang…) font courir de graves dangers à nos enfants et à nos concitoyens (déjà un certain nombre d’accidents mortels à déplorer ces dernières années). Il est donc impératif de régler en priorité cette si- tuation en mettant un programme de mise aux normes de nos voies communales et de faire pression sur le Conseil Général et sur le Conseil Régional pour faire de même pour les routes sous leurs responsabilités. (Chemin Patelin, routes nationales....). • Mise en place de canaux bétonnés, plus profonds afin de maximiser la récupération des eaux pluviales. • Mise en place de trottoirs (avec trou d’hommes pour faciliter le curage) au-dessus des canaux. • Aussi, nous prévoyons sur les voies le per- mettant, la mise en place de trottoirs dans un sens et des places de parking dans l’autre afin de favoriser l’activité écono- mique. • Réadapter les canalisations (surtout pour l’as- sainissement : chemin l’étang). • Ainsi, nous allons gérer en régie munici- pale, tous ces travaux : • Achats du matériel, Rapidité d’exécution, Économie pour la commune, Retour rapide sur investissement. Dénomination des noms de voies, des établisse- ments publics ou places publiques. • Le nom des voies ou équipements pu- blics seront réservés exclusivement aux Saint-Andréens ou Saint-Andréennes ayant, par leurs actions, énormément ap- portés à notre ville ou à ses habitants, dans des domaines variés comme la po- litique (ex : Laurent Vergès, Louis Virapoullé et les autres…), le sport, la culture, le social ou l’économie. C’est un devoir de mémoire et identitaire. Le tourisme Le but avoué est de développer sur Saint-André un tourisme de masse, à la fois local et extérieur. • Valorisation de nos sites, à travers des par- cours de découverte  : Le grand étang (site classé réserve naturelle) et le petit étang de Cambuston. La cascade Pichon. Le site de chemin d’eau.Le littoral de Champ-Borne, Les berges de la Rivière- du-Mât. Les hauteurs de Saint-André (Dioré et Bras-Des-Chevrettes). Le Colosse (voir inter- communalité). Les sites religieux. La culture de la canne à sucre, l’usine de Bois- rouge, la culture de la vanille. Les Musées. L’Architec- ture créole. Visite des Restaurants Exotiques. • Mise en place des structures d’accueil : • Favoriser l’implantation des gîtes dans les hauts de Saint-André (Dioré et Bras-Des-Che- vrettes) pour les touristes en quête d’au- thenticité. • Création d’un Hôtel 2* de 80 chambres (voir colosse-intercommunalité) • Mise en avant des centre d’intérêt de la ville, à travers : - Des visites touristiques guidés et soignées. - Des propositions de loisirs plus impor- tantes. (colosse voir intercommunalité). Une offre de Shopping  plus grande : faire de Saint-André, « la ville des achats ». - Une Restauration variée (cuisine créole, des îles, chinoise…). Rétrocession lotissement ou ruelle privée • Un grand nombre de nos concitoyens, ré- sidants dans des lotissements ou ruelles privés sont confrontés au laxisme de nos dirigeants ou/et des lotisseurs. • Quelle que soit la nature des problèmes, la municipalité se doit de trouver les solutions qui s’imposent afin que ces propriétaires, qui payent leurs impôts, bénéficient d’un service public de qualité. • Rigidifier les contrôles et les autorisations à l’avenir, pour garantir les intérêts des pro- priétaires. • Mettre en place des réunions entre les principaux intéressés et la municipalité pour trouver les solutions (ou consensus) qui s’imposent.