2. • Selon les Nations Unies, d'ici à 2050, il y aura 2,2
milliards de personnes en plus sur la planète (on
passerait de 6,9 à 9,1 milliards d'habitants)
• Dans le même temps, les deux tiers de la population
mondiale résideront en zone urbaine (3,4 à 6,3 milliards)
• L’un des enjeux les plus importants du 21ème siècle :
La gestion globale des villes comme un écosystème
3. • la ville dispose d'un réseau comme le système nerveux
et ses synapses qui collectent des données et
provoquent des actions
4. • URBAN OS : Un système d’exploitation pour les villes
capable de traiter toutes les données disponibles et de
les intégrer dans une gestion globale intelligente
5. • Exploitation des toutes les données déjà accessibles
• Caméras, capteurs qui transmettent en temps réel toute
une série d'informations relatives à la gestion urbaine au
quotidien
• Ce système d'exploitation automatisé permet de
coordonner le travail de nombreux services et ainsi de
mieux gérer le flux
• Le trafic
• Transports Publics
• Mobilitédouce
• Consommationénergétique des bâtiments
• Niveau de pollution de l’air
• Gestion des déchets
• Gestion des incidents majeurs
6. • Obtenir de grandes quantités de données via capteurs, services
administratifs, SITG, SIG, GVA Airport, TPG, Fondation des
parkings…
• Transmettre efficacement ces données à l’Urban OS
• Prendre des mesures locales sur les événements en temps réel
selon les besoins ou les urgences
• Coordonner et contrôler ces événements au niveau de l’ensemble
de la ville
• Analyse des informations en vue d’amélioration de la gestion à
moyen et long-terme
• Partage des données
7. Avantages +
• Améliorer les flux etla mobilité dans la ville
• Réduction de la consommation énergétique (bâtiments et éclairage
public, hopitaux, écoles, musées, écoles..)
• Amélioration logistique (eau, déchets…)
• Meilleure gestion en cas de pollution de l’air ou d’incidents (fuite de
gaz ou de produits toxiques…)
8. Avantages +
• Penser l’infrastructure de la ville en réseau ouvert(Internet, Wifi, bornes,
puces RFID, tags, réalité augmentée…)
• Interfaces entre les technologies, les données et les utilisateurs qui
permettent de faciliter l’accès à l’information et de la transmettre de
manière verticale et horizontale (Urban apps…)
• Recréer un réseau de solidarité urbain (personnes âgées, à mobilité
réduite…)
• Développer des initiatives de durabilité environnementale, sociale et
éducativevia la participation des citoyens et des différents services de
la ville aux processus de mise en place d’une ville intelligente
• Développer une"intelligence communautaire" qui améliore la gestion, la
planification et le développement urbains et régionaux
9. Risques -
• Imposer des solutions technologiques toutes faites, sans en penser
leur intégration dans l'existant
• Dépendre de grands groupes (Cisco, IBM, Microsoft, Opérateurs…)
aux intérêts financiers évidents à court-terme (8 milliards de dollars
en 2010 à plus de 39 milliards de dollars en 2016)
• Entrave à la liberté personnelle – surveillance – utilisation des
données ?
• Fracture technologique entre les personnes ayant accès ou non aux
nouvelles technologies
10. Exemples
• Amsterdam
Citoyens, les entreprises et les pouvoirs publics, la ville a mis en place
des mesures écologiques visant à diminuer sa production en CO2 de
40% d'ici à 2015
• Tokyo
10 000 puces RFID (Radio Frequency IDdentification) intégrées dansle
mobilier urbain, à même de «dialoguer» avec les mobiles multimédias
des citadins
• Paredes (Portugal)
• 1 millions de capteurs installés dans une nouvelle ville (30 à 40%
économie)
225’000 habitants en 2015
• Arabie Saoudite - King Abdullah Economic City (KAEC)
TIC vidéoconférence, télémédecine, le télétravail, la télésurveillance (-
15% CO2)