Annie Ernaux Extérieurs. pptx. Exposition basée sur un livre .
Trabajo de el rojo y el negro
1. LE ROUGE ET LE NOIR
MARIA JOSÉ GÓMEZ GUTIÉRREZ
JENNIFER PEDRAZA NOVALBOS
LAURA DEL CERRO GÓMEZ
2º BACHILLERATO CCNN 15/11/2011
2. INDEX
• INTRODUCTION
• BIOGRAPHIE HENRI BEYLE DIT STENDHAL
• CONTEXTE SOCIO-HISTORIQUE
• RÉSUMÉ
• PERSONNAGES DE “LE ROUGE ET LE NOIR”
– DESCRIPTION PHYSIQUE ET PHYCHOLOGIQUE DE JULIEN SOREL
– EXPRESSIONS QUI APPARAÎSSENT DANS LA RENCONTRE ENTRE JULIEN ET Mme DE RÊNAL
– LES TRAITS PSYCHOLOGIQUES DE JULIEN SOREL
– DESCRIPTION DE Mme. DE RÊNAL ET MATHILDE DE LA MOLE
• THÈMES
• LA PLACE DU NARRATEUR
• STYLE
• LES FAITS RÉELS
• RELATION ENTRE LES HÉROS DE STENDHAL DANS SES ROMANS « Le Rouge et le Noir »
ET « La Chartreuse de Parme»
• CONCLUSION
• BIBLIOGRAPHIE
3. INTRODUCTION
• Le Rouge et le Noir est un roman français écrit
par Henri Beyle, plus connu sous le nom de
plume de Stendhal, publié à la mi-novembre
1830. L'intrigue se déroule au IX ème siècle en
France pendant les années trente, et tourne
autour des ambitions d'un jeune homme à
s élever au-dessus de la pauvreté de sa
naissance. Elle est une pièce fondamentale du
début du roman réaliste.
4. BIOGRAPHIE HENRI BEYLE DIT
STENDHAL
• Stendhal, de son vrai nom Henri Beyle, naît à Grenoble. Ses premières
années sont malheureuses: sa mère, qu'il adore, meurt en couches alors qu'il
n'a que sept ans. Confié à sa tante Séraphie, il se révolte contre son
précepteur, l'abbé Raillane, puis contre son père, qui incarne à ses yeux le
rigorisme moral le plus insupportable et toute la mesquinerie étroite et
l avarice d'une bourgeoisie qu'il a en horreur. Le seul membre de sa famille
avec lequel il ait une relation d'affection et de complicité est son grand-père
Gagnon, vieux philosophe plein de sagesse et favorable aux idées
révolutionnaires.
Après avoir effectué ses humanités, le jeune Henri Beyle entre à l'École
centrale de Grenoble, puis se rend à Paris (1799) pour y suivre des études de
mathématiques. Il songe un moment au concours de l'École polytechnique,
mais y renonce pour s'engager dans l'armée de Bonaparte (1800) où il devient
sous-lieutenant des dragons dans l'armée d'Italie. Sans doute hanté par le
souvenir presque amoureux d'une mère d'origine italienne, il s'enthousiasme
pour ce pays et pour sa culture ; il commence, en 1801, à reporter ses
impressions de voyage dans son Journal (posthume, 1888-1935).
5. De retour à Paris en 1802, il se met à écrire, avec l'ambition de
composer « des comédies comme Molière ». Il y mène un temps une
vie mondaine de dandy, fréquente les salons et les théâtres, puis, sans
doute faute de mieux, reprend du service dans l'Intendance (1806) ; il
accompagne l'armée de Napoléon en Allemagne, où la petite ville de
Stendhal (Saxe-Anhalt) lui fournit son futur pseudonyme.
Sa carrière se poursuit avec régularité et ennui : adjoint aux
commissaires des guerres, chargé de missions diplomatiques sous les
ordres du comte Daru à Strasbourg, à Vienne et à Linz (1809), il est
nommé auditeur au Conseil d'État en 1810, puis inspecteur du mobilier
et des bâtiments de la Couronne. C'est dans le cadre de ces fonctions
qu'il se lie avec Mérimée et qu'il renoue avec cette existence raffinée et
brillante qu'il a connue lors des premières années passées à Paris.
6. CONTEXTE SOCIO-HISTORIQUE
• En 1789, la Révolution française éclate et ses
idées libérales, en poussant la bourgeoisie au
pouvoir au détriment de la monarchie
aristocratique. Une radicalisation de la
révolution arrive, l'Empire napoléonien.
• Quand Napoléon est tombé stands de la
première Restauration, le régime des rois
Bourbon. La Restauration a atteint "la paix",
mais avec une population polarisée: les ultra-
monarchistes qui souhaitent la Restauration
de la monarchie et font des pressions pour
revenir à la situation pré-révolutionnaire, et les
libéraux, (bourgeois et nobles), qui se sont
battus pour maintenir et dépasser les
républicains gains.
7. • Ces médias officiels ont provoqué le
mécontentement populaire et la réaction
des libéraux, aboutissant à un soulèvement
à Paris en Juillet 1830. Les
révolutionnaires réussissent et renversent
le roi Charles X.
• Louis Philippe est appelé au trône,
considéré comme démocrate. Ce règne
sera connue comme la «monarchie de
Juillet". Toutefois, ce gouvernement déçoit
les républicains. C'est donc une double
opposition: d'un côté les partisans du
régime des Bourbons, de l'autre: les
républicains trichés. Cela conduit à une
révolte qui a abouti à l'abdication du roi et
au renversement de la monarchie en 1848.
8. RÉSUMÉ
• Julien Sorel, fils de charpentier, acquiert une
solide culture grâce à une mémoire prodigieuse
qui lui permet d’apprendre par cœur l’Ancien
Testament. Son modèle personnel autant que
confidentielle (monarchie oblige) est Napoléon
Bonaparte, qui Julien fait rêver d’une ascension
aussi fulgurante que le jeune lieutenant, car il
est devenu empereur. Il devient précepteur des
enfants de M. de Rênal, maire ultra-royaliste de
la ville de Verrières. Il conquiert le cœur de
Mme de Rênal, mais doit rivaliser de tartufferie
pour que son époux ne s’en rende pas compte.
Le jeune fils de sa maîtresse tombe gravement
malade, et Mme de Rênal se croit châtié par
Dieu pour son comportement immoral. M. de
Rênal finit par faire connaissance de la liaison
adultère, et chasse Sorel de la ville. Celui-ci ne
cessera d’aimer celle qu’il quitte.
9. • Il entre au séminaire de Besançon, où l’abbé Pirard lui proposera le poste de
secrétaire du marquis de la Môle, à Paris. Il ne tardera pas à séduire la fille du
marquis, Mathilde, qui, enceinte, convaincra son père de la marier à Sorel. Le
marquis finit par céder, et le fait anoblir. Sorel est sur le point de se marier
lorsque le Marquis reçoit une lettre de Mme de Rênal qui le met en garde
contre son futur beau-fils dépravé et menteur. Sorel, fou de colère, se rend à
Verrières où il tente d’assassiner son ancienne maîtresse, sans succès.
Emprisonné, il recevra les visites de sa promise, ainsi que celles de Mme de
Rênal, qui lui a pardonné. Condamné à mort, Sorel finira sur l’échafaud. Un
ami rachètera son corps, Mathilde embrassera une dernière fois le front du
père de son enfant, et Mme de Rênal mourra trois jours plus tard.
11. DESCRIPTION PHYSIQUE ET
PHYCHOLOGIQUE DE JULIEN SOREL
• Julien Sorel est un jeune homme intelligent, beau et ambitieux.
• Julien Sorel apparaît ainsi comme un héros romantique assez bien
caractérisé, porté à la fois par la jeunesse, le déclassement, l'ambition et
l'orgueil, le sentiment amoureux, l'apprentissage de soi et du monde avant de
dresser sa propre statue de rebelle qui accomplit son destin tragique.
• Il est par là le frère d'Hernani ou de Ruy Blas et le cousin de Rastignac ou de
Rubempré qui sont des figures majeures du drame romantique hugolien ou
du roman balzacien de la même époque. Mais la complexité du personnage de
Stendhal ne se réduit pas à un adjectif et d'autres pistes mériteraient d'être
explorées... À commencer par celle du joueur qui, pour une part, joue sa vie
sur des coups de roulette, en misant tantôt sur le Rouge, tantôt sur le Noir...
• Dans le livre de Le Rouge et Le Noir figurent des adjectifs qui définent le
physique et la personnalité de Julien, comme: « féroce mais faible », «
saisissante », « svelte », « victime », « pensif », « ambitieux », « intellectuel »,
« méchant et colère mais tranquille »…
12. EXPRESSIONS QUI APPARAÎSSENT DANS
LA RENCONTRE ENTRE JULIEN ET Mme
DE RÊNAL
• Expressions qui révèlent:
– Du charme : « air doux », « pâle »,
« esprit un peu romanesque »,
« timidité », « grâce », « vivacité », « un
teint si éblouissant », « presque un
enfant »…
– Des sentiments : « timidité »,
« bonheur », « larmes »…
– Des réactions : « Julien se tourna
vivement, et, frappé du regard si rempli
de grâce de madame de Rênal… », « En
dépit de sa piété, Mme de Rênal cède à
la passion qui l’entraîne vers Julien. »…
13. LES TRAITS PSYCHOLOGIQUES DE
JULIEN SOREL
Julien Sorel, comme un personnage littéraire, a quatre principales caractéristiques:
1. Hypocrisie: C'est leur principale arme pour réussir dans la société. C'est un moment où
la courtoisie est une estimation de la valeur absolue. Julien a la pensée libérale et vit l'ère
de la Restauration. Si vous réussissez, vous devez arrêter leurs points de vue (par
exemple, son amour pour Napoléon, puisque les deux le marquis et la haine du maire).
Pour illustrer cela, juste de lire le chapitre V qui explique les raisons derrière l'hypocrisie de
Julien. Ainsi, l'un des maîtres du Tartuffe de Sorel (prêtre hypocrite de Molière). Le noir,
l'habitude qui choisit de monter socialement Julian ne reflète pas une vocation religieuse,
mais un déguisement afin d'ascension sociale. Dans la grotte, la star admet qu'elle est
hypocrite de tous, y compris son ami Fouqué. Il suffit de trouver le moment de la véritable
liberté dans ce lieu et une fois condamné à mort. Cependant, Julian est trop singulier pour
réussir par l'hypocrisie, il se démarque. Cela arrive très tôt dans le séminaire. Échoue dans
sa tentative de satisfaire la société par l'hypocrisie.
14. 2. Ambition: dés qu`il était petit garçon, Julien a très claire quels sont ses
objectifs dans la vie: réussir dans la société, la réalisation de la dignité, de la
distinction, du respect et de l argent pour vivre avec élégance. De cette façon,
il pense constamment à faire des plans pour atteindre ses objectifs. Il pense d
une manière logique, calculatrice et froide.
3. La peur d'être humilié, il est constamment à l'œuvre. Il a peur de manger
avec les domestiques et le maire Rénale déteste l'impolitesse. A la maison de
La Môle, la peur d'être humilié est constante. Le marquis sait, ce qu'il craint le
plus, c'est le mépris de Julian. Julien atteint plus grande échelle, plus elle
augmente leur crainte d'être humilié, depuis la chute est plus grande. Cette
crainte le conduit au bord de la folie. Même quand il est sur le point de mourir,
pas de soucis sur sa fin, mais apparemment pas peur à ce moment là.
15. 4. Âme de feu: Le personnage a une forte volonté et une grande énergie
qui l'anime. Cette énergie en bordure sur la passion entre en conflit avec
son esprit logique. Julien a un cœur passionné. Tombe en amour de Mme
de Rénal et Mathilde étant un séminariste. Lorsqu`il offense, à Paris, tente
d'effectuer un duel. Cette passion incontrôlable va le conduire à sa fin. A
son point culminant avec la tentative d'assassinat sur Mme. de Rênal. de
Rênal. Lorsqu`il rentre en prison essaie de penser logiquement et
raisonnablement à son crime, il devient clair que cet acte est le produit
d'une âme de feu. L'affrontement entre ces deux éléments (de la logique et
de la passion) construisent le vrai Julien Sorel.
16. DESCRIPTION DE Mme. DE RÊNAL
ET MATHILDE DE LA MÔLE
• Face à Julien, Mathilde de la Môle et Mme de Rênal
incarnent deux formes opposées de l’amour, plus
passionnel chez celle-ci, plus intellectuel chez celle-là.
• Mme de Rênal, femme mariée, et mère de deux enfants,
aime avec passion et tendresse, là où Mathilde n’aime
que par orgueil, lorsqu’elle se sent dominée, mais alors,
avec fougue et enthousiasme. Mme de Rênal, qui écrit
cette funeste lettre sous la dictée de son confesseur, tente
malgré tout de sauver son amant, et avec Mathilde,
déploie tous ses efforts en vain. Ces deux femmes très
différentes communient dans l’amour du même homme.
Mais la fin pathétique de Mme de Rênal, qui se laisse
mourir, sans pour autant attenter à ses jours, comme elle
l’a promis, s’oppose au geste dramatique et spectaculaire
de Mathilde qui, en enterrant cette tête chère, revit le
geste romanesque de Marguerite de Navarre. Ces deux
images finales révèlent bien le caractère de l’une et l’autre.
17. THÈMES
Les thèmes de ce roman sont:
1. L ASCENSION SOCIALE
2. SYMBOLES DU ROMAN
3. LES COULEURS COMME SYMBOLE
1. LE NOIR: LA RELIGION
2. LE ROUGE: LA PASSION, L AMOUR ET L ASSASSINAT
4. CIRCONSTANCES AGGRAVANTES ET ATTÉNUANTES DE LA
TENTATIVE D ASSASSINAT DE Mme RÊNAL
5. L’AMOUR ENTRE LES PERSONNAGES
6. RELATION ENTRE JULIEN ET SON PÈRE
7. RELATION DE JULIEN AVEC NAPOLEON
8. LA CONNAISSANCE PERSONNEL MALGRÉ L AMBITION
9. LE BEYLISME
18. 1. L ASCENSION SOCIALE
• Le roman fait la chronique de l ascension sociale de Julien Sorel, fils cadet du
charpentier de Verrières. Il suit les principales étapes de son parcours: précepteur
des enfantes du maire, puis séminariste et répétiteur au séminaire de Besançon,
secrétaire du marquis de la Mole, et enfin chevalier de la Vernaye, lieutenant des
hussards et probablement futur époux de la fille du marquis. Chaque promotion
sociale est le fruit d un dur apprentissage: il s agit d étudier un rôle, d apprendre de
nouveaux codes de comportement, de nouveaux langages, tout en censurant et en
dissimulant les vrais désirs et les vrais idéaux. Dans cette perspective, l hypocrisie
est la seule planche de salut. Cet apprentissage métamorphose et efface peu à peu
tout ce qui révèle l origine paysanne de Julien: il a l air dévot à Verrières, il devient
dandy à Paris, noble et officier à Strasbourg. Chaque étape de l ascension sociale
est couronnée de succès, l ambitieux excelle dans tout ce qu il fait: les enfants de M.
de Rênal aiment leur précepteur, le séminariste répond brillamment aux
examinateurs, le marquis de La Môle confie volontiers des missions délicates à son
habille secrétaire, en quelques jours le lieutenant des hussards fait la conquête des
officiers de régiment à Strasbourg. L ambitieux énergique refuse les solutions faciles
au fur et à mesure qu elles se présentent: le mariage avec Elisa, la femme de
chambre de Madame de Rênal, le commerce avec l ami Fouqué, l appui de la
congrégation au séminaire. Il se retrouve ainsi toujours plus seul et plus isolé.
19. 2. SYMBOLES DU ROMAN
Stendhal utilise nombreux symboles pour exprimer sentiments (comme l amour entre les
personnages), actes (comme la tentative d assassinat de Mme Rênal ou la violence
entre Julien et son père) ou thèmes (comme l ascension sociale de Julien Sorel, la mort,
le amour, la religion, le beylisme ou la admiration de Julien pour Napoleón ). Ils sont les
suivantes:
1. L` opposition entre le rouge et le noir représente la réalité du ce moment de la
Histoire. Le titre du roman de Stendhal « Le Rouge et le Noir », se référent à
l'opposition entre les uniformes (symbolisant la Révolution) l amour ou la passion; et
les soutanes, la religion et la mort dans l échafaud (symbolisant l'Ancien Régime).
2. La nuit, la cachette et les ombres comme symbole de la mort, le danger et
l insécurité.
3. L'horloge et les sons inespéré comme symbole de l inévitable destin de tout les
hommes, c est-à-dire, la mort comme fin de la vie.
4. Royalistes et libéraux comme symbole de la lutte social après la Restauration (le
contexte socio-historique).
5. Elévations et la position haute ou baisse entre Julien et son père pour souligner
l isolement de Julien et la violence qui il reçoit.
6. La prison et la petite fenêtre pour symboliser la faut de liberté et d espoir.
7. L'échelle comme symbole de l ascension sociale de Julien dans le roman.
8. Les évanouissements et la peine de Julien comme symbole de la fragilité humaine.
20. 3. LES COULEURS COMME
SYMBOLE
Le titre du roman est un bon point de départ pour une étude de Le Rouge et Le
Noir : obscur à première vue, il concentre en fait bon nombre des significations
essentielles du texte. Il est fondé sur le principe de l’opposition de deux
couleurs : le rouge, couleur connotant le sang, la passion, s’oppose ici au noir
du deuil, de la mort, de la religion. Une des interprétations du titre est liée aux
jeux de hasard, où l’on peut miser sur le rouge ou sur le noir ; la destinée serait
alors un jeu de hasard où l’on peut tomber sur une bonne ou une mauvaise
carte.
On retrouve les deux couleurs à divers moments dans le roman.
Traditionnellement, ce couleurs connotent différentes sensations à le lecteur:
- le ROUGE, couleur connotant le sang, la passion, l amour,
l assassinat et la mort
- le NOIR, couleur associé à la religion, le deuil, l obscurité et aussi la
mort.
21. 3.1. LE NOIR: LA RELIGION
• Traditionnellement, le noir est associé à la religion : l’habit que
M. de Rênal fait confectionner pour Julien est un « habit noir » ;
de même, arrivé aux portes du séminaire, le héros doit laisser
ses habits civils chez l’hôtesse de l’hôtel des Ambassadeurs et
revêtir son vêtement noir de séminariste. Le séminaire lui-
même est décrit selon les procédés du roman gothique,
comme un univers noir et terrible, gardé par un portier « vêtu
de noir » ; la grande croix de cimetière à l’entrée de la chambre
de l’abbé Pirard est « en bois blanc peint en noir », et les
tableaux « noircis par le temps » figurant dans la chambre
ressortent terriblement sur les murs blanchis à la chaux. Même
les yeux du directeur du séminaire sont décrits comme des
« yeux noirs faits pour effrayer le plus brave ». Dans l’univers
du séminaire, l’opposition entre le rouge et le noir semble
remplacée par l’opposition entre le noir et le blanc. Tout
contraste en effet de façon frappante et vient souligner la
pauvreté et la simplicité de l’univers carcéral où habite Julien.
Les couleurs ne reviennent pour Julien que lors des rares
excursions à l’extérieur, pour attacher les tapisseries à
l’intérieur de la cathédrale ou porter la lettre de l’abbé Pirard à
l’évêque de Besançon.
22. • Arrivé à Paris, Julien est toujours en habit de prêtre : « ce
jeune homme pâle et vêtu de noir » semble d’ailleurs
« singulier aux personnes qui daignaient le remarquer » à
l’hôtel de la Mole. Cependant, s’il ne connaît pas encore
le rouge du titre, Julien va être l’objet d’une promotion,
qui se manifeste directement dans les couleurs de son
habit : le marquis de la Mole lui donne en effet la
permission de porter un « habit bleu » lorsqu’il ne fait pas
directement fonction de secrétaire. Avec cet habit bleu, il
est considéré par le marquis comme un égal, pour son
plus grand plaisir. C’est la seconde fois du roman que le
héros voit son ascension marquée par un habit, la
première étant le moment où Madame de Rênal lui
confectionne un habit de garde d’honneur pour la visite
d’un roi à Verrières, habit également bleu, qui permet à
Julien « de quitter, ne serait-ce que pour un jour, son
triste habit noir ». Le noir est donc dans Le Rouge et le
Noir associé à la religion et au statut subalterne de
Julien. Plus loin dans le roman, le héros est débarrassé
de son habit noir, qui reflète la plus grande élégance,
puis habillé en uniforme de hussards, avant qu’il ne soit
mis en prison.
23. 3.2. LE ROUGE: LA PASSION, L AMOUR
ET L ASSASSINAT
Le rouge est beaucoup moins présent dans Le Rouge et le
Noir en tant que véritable couleur, que ce soit celle des
habits ou celle de lieux du roman. Il y a cependant une
décoration dont le ruban est de couleur rouge, la Légion
d’honneur que le chirurgien-major, premier père substitutif de
Julien, lègue à son protégé. L’opposition amenée par le titre
peut par conséquent être reliée à l’opposition explicitée par le
narrateur au chapitre V entre carrière militaire et carrière
ecclésiastique. Le rouge, couleur de la légion d’honneur, est
le symbole de la carrière militaire quand le noir est celui de la
carrière religieuse. Dès lors, la destinée de Julien va du noir
(précepteur, séminariste, puis étudiant en théologie lorsqu’il
est à l’hôtel de la Mole) au rouge lorsque le marquis de la
Mole lui octroie la croix et, plus tard, lui donne un brevet de
lieutenant de hussard. Cependant, la couleur rouge est aussi
présente au chapitre V du livre premier lorsque Julien
pénètre dans l’église de Verrières. Celle-ci est en effet
décorée « d’étoffe cramoisie » qui crée, à la lumière du soleil,
« un effet de lumière éblouissant, du caractère le plus
imposant et le plus religieux ».
24. • « Julien tressaillit » à cette vue et s’assoit sur le banc
de la famille Rênal. Plusieurs commentaires doivent
être faits de ce passage ; en premier lieu, l’église de
Verrières est celle, tendue des mêmes rideaux
cramoisis, où Julien, à la fin du roman, tentera
d’assassiner Madame de Rênal. Le rouge peut ainsi
être considéré comme un présage de mort dans le
début du roman, qui se réalise finalement à la fin :
c’est le sang de Madame de Rênal que fera couler
Julien au chapitre XXXVI du livre second. Mais ce
passage montre aussi que le rouge a partie liée avec
la religion : les rideaux cramoisis qui ont tellement
marqué Barbey d’Aurévilly sont ceux de l’église de
Verrières où se joue la première scène de
dissimulation de Julien qui juge qu’il « serait utile à
son hypocrisie de faire une station dans l’église ».
D autre part, le rouge ce le symbole de l amour entre
Julien, Mme Rênal et Mathilde. C est- à-dire, le rouge
souligne la passion entre ce triangle amoureuse avec
jaloux, passion, rage, les sentiments et l amour vrai.
25. • Le rouge est ici associé à un dévoilement, symbolisé
par la lumière du soleil projetée par les vitraux de
l’église. Le héros ne peut être hypocrite et doit se
rendre à l’évidence : la mort est liée à sa destinée,
comme il le découvre en lisant « un petit morceau de
papier, étalé là comme pour être lu » où est
mentionnée l’exécution de Louis Jenrel sur un côté, et
où figure de l’autre côté les mots « le premier pas ».
Le premier pas, c’est dans le roman celui que franchit
Julien en se présentant chez les Rênal et qui,
inexorablement, va mener à son exécution à
Besançon, ce qu’il pressent en remarquant que le nom
du condamné finit comme le sien. De même, à sa
sortie de l’église, il ne peut pas ne pas remarquer que
le bénitier semble rouge : « C’était de l’eau bénite
qu’on avait répandue : le reflet des rideaux rouges qui
couvraient les fenêtres la faisait paraître du sang. »
Encore une fois, en colorant l’eau, le rouge, marque
de violence, vient corriger le noir associé à la religion
et le rendre sanglant ; la légion d’honneur épinglée sur
l’habit noir de Julien à la fin du roman ne peut ainsi
amener que du sang, celui de Madame de Rênal tout
d’abord, puis celui de Julien décapité.
26. 4. CIRCONSTANCES AGGRAVANTES
ET ATTÉNUANTES DE LA TENTATIVE
D ASSASSINAT DE Mme RÊNAL
La tentative d assassinat de Mme de Rénal, c`est un
crime avec circonstances aggravantes et
circonstances atténuantes.
•Les circonstances aggravantes sont:
-L` intention de Julien est d assassiner Mme de
Rénal.
-L utilisation d une arme de feu.
•Les circonstances atténuantes sont:
-Mme de Rénal n est pas morte.
- L état mental de Julien n est pas bon: il est dérangé
mental.
27. 5. L’AMOUR ENTRE LES PERSONNAGES
• Dans ce roman s’utilise • La morale de ce roman est basée
fréquentment le désir triangulaire: en des instincts et des sentiments
un personnage sentit attraction subjectifs qui font dépendre pour
pour quelque chose, a cause d’un l’opinion publique ou des
troisième élément. Par exemple, la nécessités vitales, par justifier
cause de la relation entre Julien et l’adultère avec l’amour libre, le
Mme. de Rênal est l’envie et suicide, l’hypocrisie, la mensonge,
l’humiliation qui provoque son rival l’assassinat, la calomnie, la
politique Valenod. Et la cause de la subornation,… la fin justifie des
relation entre Julien et Mathilde de moyens.
la Mole est la fin de l’ennui dans
elle vécut.
28. 6. RELATION ENTRE JULIEN ET
SON PÈRE
• Stendhal crée un roman rempli de
références à la relation entre Julien et
son père. Par exemple, Le Rouge et le
Noir montre la violence constante dans
la relation entre le père et le fils dans le
premier chapitre « l empechâ d entendre
la terrible voix de son père ». Ceci
s accentue avec la position du
personnage principal Julien au sujet de
son père au premier chapitre « il allait
tomber à douze ou quinze pieds plus
bas ». Aussi, Stendhal s aide d insultes
et offenses pour souligner l absence de
respect entre le père et son fils
« descends, animal » ou « vilain
effronté »
29. 7. RELATION DE JULIEN AVEC
NAPOLEON
• Julien Sorel renie de son propre père à
cause de sa condition sociale et du
traitement qu il reçoit de son père.
Julien remplace son vrai père pour un
autre symbolique qui est Napoléon
Bonaparte. Il voit Napoléon comme un
héros, une personne noble, féroce,
hautain et avec des ambitions.
• Julien cache son vrai idéal au sujet de
Napoleon Bonaparte dans les lieux
publiques puisque le roi est dans le
pouvoir et les nobles avec qui il a des
relations sont contraires a Napoleon.
30. • Julien, qui admire énormément
Napoléon Bonaparte, a la conviction
qu aucune décision se justifie sans le
combat ou la lutte. Son orgueil
s explique à travers l idéal guerrier.
• Il refuse le pardon du Jury et il meurt
en acceptant sa propre révolte et il
avoue ses idéaux. C est pourquoi , il
finit sa vie proclamant ses
convictions qui il cache pendant tout
le roman quand il est avec les
nobles.
31. 8. LA CONNAISSANCE PERSONNEL
MALGRÉ L AMBITION
1. LA CONNAISSANCE PERSONNEL À TRAVERS DE L ASCENSION
SOCIALE
• Au début du roman se décrire a Julien comme un jeune intelligent,
attractif et ambitieux qui il monte rapidement à l escale sociale.
Stendhal veut refléter la connaissance personnel de Julien au moyen
de son ascension sociale en laissant derrière de son condition de
prolétariat mais en s affrontant a les classes dominantes provinciales
pendant la Restauration. Autre renseignement au sujet de son
personnalité c est son intelligence et son mémoire prodigieuse qui le
catapulte a connaître le succès, tant en les salons de l aristocraties
parisienne comme en missions diplomatiques à l étranger.
32. 2. LA CONNAISSANCE PERSONNEL À TRAVERS DE
L AMOUR
Julien Sorel apparaît ainsi comme
un héros romantique assez bien
caractérisé, porté à la fois par la
jeunesse, le déclassement,
l'ambition et l'orgueil et le
sentiment amoureux qui se reflète
avec ses relations amoureuses.
En plus, Julien refuse les offres de
son domestique et décide séduire
a le douce et fragile Madame de
Rênal, a modo de défi social.
33. 3. LA CONNAISSANCE PERSONNEL À TRAVERS DE SA
MORT
• Finalement, la vraie personnalité de Julien
Sorel apparaît à sa mort. À la fin du
roman, Julien semble uniquement
intéressé à dénoncer la justice de classes
qu on lui applique. D une façon
surprenante, Julien agit comme un
révolutionnaire à celui qu on le condamne
pour sa courage face à la société, et no
pour son tentative d assassinat. Il on
refuse de demander la remise de peine et
mort, très digne, à l échafaud. Jusqu à le
dernier moment, Julien considère sa mort
comme une conséquence directe de son
lutte, comme s il manie sa vie jusqu à le
fin. Mathilde conservera sa tête comme un
objet de culte « romantique ».
34. 9. LE BEYLISME
• Son ouvre révèle une conception de la vie et un art de vivre très
personnel, que l on a appelé le beylisme. Beyle et ses héros les
plus typiques unissent deux traits de caractère souvent jugés
inconciliables: ce sont des épicuriens passionnés. Pour Stendhal
l essentiel de la vie réside dans la « chasse au bonheur ». Dans
cette « chase » les hommes se montrent vraiment eux-mêmes,
sans faux-fuyants ni dissimulation. Le plaisir ressenti est le grand
critère, esthétique et moral. Cet épicurisme est inséparable d un
individualisme qui va jusqu à l égotisme, culte du moi non pas
inquiet mas allègre, enthousiaste et conquérant. Stendhal aime les
tempéraments ardents, originaux et passionnés. Les passions,
lorsqu elles sont sincères, enrichissent ceux qui les éprouvent, leur
font goûter des sensations exaltantes, irremplaçables.
35. • Enfin l individualité s affirme par l énergie, la « vertu », qui
achève de distinguer les héros stenhaliens du vulgaire; elle les
anime dans les luttes que soutient leur amour ou leur ambition
contre les obstacles, contre les préjugés, contre la morale même.
• Individualisme , énergie, passions puissantes, vie dangereuse,
goût du plaisir et sens du bonheur: ces traits rendent chère à
Stendhal l Italie des carbonari ou de la Renaissance. Cet idéal
est romantique à bien des égards, mais d un romantisme qui ne
ressemble nullement à celui de Chateaurbriand ou de Lamartine:
Stendhal est aussi un héritier du XVIII ème siècle, fortement
marqué par l esprit voltarient. Il ignore le sentiment religieux, se
défie du lyrisme e e l éloquence. Analyste rigoureux, il réagit par
l ironie aux tentations de la sensibilité; mais son ironie n est plus
celle de Voltaire, elle se nuance souvent de sympathie. Son
épicurisme traduit une âme ardente, romantique, avide
d originalité et qui redoute avant tout l ennui.
36. LE PLACE DU NARRATEUR
• Le Rouge et le Noir se présente comme un roman à la
troisième personne classique, similaire dans son
fonctionnement aux grands romans de Balzac ou de Hugo. Le
narrateur est omniscient, c’est-à-dire qu’il en sait plus que son
héros, connaît ses faits et gestes, ses pensées, mais aussi
ceux des autres personnages. Son savoir n’est pas limité dans
le temps et dans l’espace comme celui du personnage
principal. Cependant, dans le détail, le fonctionnement du
Rouge et le Noir est beaucoup plus complexe. Le lecteur qui
commence la lecture du roman remarque ainsi que le narrateur
fait mention d’un « voyageur parisien » qui découvrirait les
charmes et les laideurs de la petite ville de Verrières. Très vite,
cependant, ce voyageur est oublié au profit d’une voix plus
impersonnelle qui décrit selon une vision surplombante les
événements qui se déroulent dans le roman. Cette voix
narrative surplombante se fait par exemple entendre à la fin du
chapitre II et semble ne plus se taire de tout le roman : « C’était
par un beau jour d’automne que Monsieur de Rênal se
promenait sur le cours de la Fidélité, donnant le bras à sa
femme. » A partir de ce moment, Le Rouge et le Noir semble
suivre un fonctionnement narratif classique.
37. • Auparavant, une subjectivité qu’on ne connaît pas s’est cependant fait entendre ; un « je »
qui serait un narrateur personnel, et qui s’exprime à plusieurs reprises dans les deux
premiers chapitres intervient : « Combien de fois, songeant aux bals de Paris abandonnés
la veille, et la poitrine appuyée contre ces grands blocs de pierre d’un beau gris tirant vers
le bleu, mes regards ont plongé dans la vallée du Doubs ! », ou encore « Je ne trouve
quant à moi, qu’une chose à reprendre au cours de la Fidélité », toujours dans le
deuxième chapitre. Cette voix narrative personnelle incarnée dans la première personne
prend le relais du narrateur impersonnel, exprime ses opinions, et on est tenté d’y voir un
visage de l’auteur lui-même. Sans autre indice pourtant, on se dit qu’il s’agit simplement
d’un narrateur personnel extra-diégétique qui apparaît seulement au début du roman. Et
voilà qu’au chapitre V, cette voix réapparaît, usant cette fois d’une adresse directe au
lecteur : de même qu’il voulait faire partager son sentiment sur la vallée du Doubs, de
même il veut ici expliquer le caractère de Julien à son lecteur, lui demandant : « Ce mot
[d’hypocrite] vous surprend ? » La modalité interrogative porte ici la subjectivité du
narrateur qui n’est plus impersonnel mais fait entendre son avis. A partir de ce passage
du roman, un dialogue fictif s’instaure entre le narrateur et son lecteur, à travers ce que
Georges Blin dans son ouvrage Stendhal et les problèmes du roman appelle des «
intrusions d’auteur ». Celui que Georges Blin nomme l’auteur, et qu’en toute rigueur on
doit encore considérer comme un avatar du narrateur, déroule une conversation critique
sur les personnages du roman, les lieux qu’ils traversent ou leurs attitudes, leurs
sentiments ou leurs actions, condamnant, appréciant au contraire, quelquefois avec ironie
certains épisodes du récit. Une complicité se noue entre cette voix narrative impertinente
et le lecteur, amusé et séduit de se voir pris à parti.
38. • Lorsque Julien est au séminaire, le narrateur indique : « Le lecteur voudra bien nous
permettre de donner très peu de faits clairs et précis sur cette époque de la vie de
Julien. Ce n’est pas qu’ils nous manquent, bien au contraire ; mais peut-être ce qu’il vit
au séminaire est-il trop noir pour le coloris moderne que l’on a cherché à conserver
dans nos feuilles. » Ici le narrateur paraît effectivement se confondre avec l’auteur,
appréciant à l’avance les réactions de son lectorat et explicitant ses intentions. Dans
un autre passage en revanche, il note entre parenthèses au sujet de Mathilde : « de
tels caractères sont heureusement fort rares », ce qu’on ne peut manquer d’interpréter
comme une critique, mais aussi comme une antiphrase soulignant que Mathilde est un
caractère hors du commun. Ici, le narrateur semble se cacher derrière des masques et
ne pas se réduire à la figure de l’auteur. De même, la note au chapitre XXXXIII du livre
second : « c’est un jacobin qui parle », qui peut être considérée comme une mise en
garde afin qu’on n’attaque pas l’auteur pour pensée révolutionnaire et séditieuse, doit
être surtout comprise comme une remarque destinée à mettre l’accent sur les pensées
de Julien et à en souligner la pertinence. La position du narrateur est donc complexe
dans Le Rouge et le Noir. Suivant une stratégie originale, Stendhal crée une figure de
narrateur hybride, entre narrateur omniscient et narrateur personnel, entre auteur et
narrateur, qu’on ne peut pas prendre complètement au premier degré, mais qui énonce
toujours des vérités, explicitement ou à demi-mot. Une telle stratégie permet à l’auteur
du Rouge et le Noir de présenter son héros sous un regard mi-critique mi-tendre, qui
ne fait que renforcer l’adhésion du lecteur à l’histoire racontée.
39. STYLE
• En réaction contre le style de Jean-Jacques Rousseau et de
Chateaubriand, contre l effusion et l emphase, Stendhal a toujours
manifesté ses préférences pour un style concis, naturel et énergique; et
d ailleurs il déclarera plus tard que sont modèle stylistique est le Code civil.
Dans Le Rouge, c est avec leurs sentiments. Précis et pertinent dans le
choix des substantifs: un paysage ou un regarde peut être « affreux »,
« sombre », ou bien « charmant », « délicieux », « superbe », « beau »,
« joli ». Quand Stendhal veut atténuer l effet d un mot, il le modalise avec
« quelque », « certain », et quand il veut le mettre en valeur, il l écrit en
italiques; le procédé est plus rapide et plus efficace qu une périphrase.
D une façon générale, il préfère l ellipse et la litote, la phrase courte et
incisive qui vise à l essentiel. Mais c est en fin de paragraphe ou en fin de
chapitre que le plus souvent le romancier concentre en une formule ce qui
précède: « il était un Dieu » conclut-il à la fin du chapitre XIII pour résumer
l exaltation de Julien après la déclaration de Mathilde. Et si les personnages
prêt à intervenir avec son ironie pour tempérer, atténuer et prendre ainsi
ses distances.
40. LES FAITS RÉELS
• Le sujet de Le Rouge et le Noir est
fourni à Stendhal par la Gazette des
Tribunaux: l histoire de Julien Sorel
reproduit à peu près exactement celle
d Antoine Berthet, condamné à mort
par les assises de l Isère et exécuté en
février 1828, pour tentative de meurtre
sur la personne de Mme Michoud, chez
qui il avait été précepteur. Le sujet de
la Chartreuse est emprunté à une
chronique italienne (cf. p. 338)
41. RELATION ENTRE LES HÉROS DE STENDHAL
DANS SES ROMANS « Le Rouge et le Noir » ET
« La Chartreuse de Parme»
Ses romans montrent comment peu scrupuleux, la
tromperie machiavélique et sont le meilleur moyen de
mobilité sociale, afin que leurs personnages, l'esprit
d'exclusive, mais d'origine modeste, finissent par
s'entendre avec la société.
Dans «Rouge et Noir» et «La Chartreuse de Parme»,
Stendhal montre un style sec sur le modèle du code civil
napoléonien Cela affecte leur goût pour les détails exacts.
Mais ce qui continue d'intriguer le lecteur est la neutralité
morale de l'auteur, qui soutient la même énergie à ses
personnages quand ils sont hypocrites quand ils agissent
avec générosité.
42. CONCLUSION
• Ce roman traite l’amour et décrire l’ascension social d’une personne
malgré que l’origine est très humble. Le personnage reussit à travers
l’hypocrisie et l’ambition à son idéal qui est Napoléon Bonaparte parce
que Julien renie de son propre père à cause de sa condition sociale et
du traitement qu’il reçoit de son père.
• Nous pouvons connaître aussi que l’amour entre les personnages, qui
est un amour passionnel et turbulent , est symbolisé par la couleur
rouge, pendant que la couleur noir symbolise la religion.
• Nous pouvons connaître que le roman est baser sur des faits réels. Le
sujet du Rouge est fourni par Stendhal à travers la Gazette des
Tribunaux: l’histoire d’Antoine Berthet, condamné à mort par les
assises de l’Isère et exécuté en février 1828, pour tentative de meurtre
sur la personne de Mme Michoud.
43. BIBLIOGRAPHIE
L information pour élaborer ce travail appartient à les suivantes pages Web:
• http://w3.u-grenoble3.fr/stendhalia/mp.html
• http://www.site-magister.com/dissert.htm
• http://www.alalettre.com/stendhal-oeuvres-le-rouge-et-le-noir.php
• http://www.opuslibros.org/Index_libros/Recensiones_1/stendhal_rou.htm
• http://www.androidpit.com/es/android/market/aplicaciones/aplicacion/com.appmk.boo
k.AOBTTOOJY/Le-Rouge-et-le-Noir
• http://www.taringa.net/posts/apuntes-y-monografias/2857316/Rojo-y-negro-de-
Stendhal_-Resumen_.html
• http://wikipedia.fr/stendhal%598.fr
• http://wikipedia.fr/beylisme%562.fr
• http://www.livresstendhal/lerougeetlenoir%01-.fr
• Aussi les photocopies de cours
La plupart de la information de ce travail ce le fruit de notre investigation
personnel et de notres réflexions.
44. FIN
REALIZADO POR:
MARIA JOSÉ GÓMEZ GUTIÉRREZ
JENNIFER PEDRAZA NOVALBOS
LAURA DEL CERRO GÓMEZ
2º BACHILLERATO CCNN 15/11/2011