1. INTRODUCTION :
DIFFICULTÉ D’UNE DÉFINITION DE LA VILLE :
Beaucoup de définition ont été avancé par les architectes, sociologues,
économistes ; chaqu’un utilisant des critères urbaines propre à sa propre
discipline. Toutes les définitions se sont trouver devant une impasse, pour
se la une définition de synthèse à été avancé.
PIERRE GEORGE «pour définir la ville, nous nous tiendront aux notions les
plus simples de dimension et d’aspects, c’est les plus générales et se
complète l’un à l’antre ».
La diversité des définitions trouve sa repense dans la variété des critères
adopté par les différents pays pour caractériser la ville : Nombre
d’habitants, fonctions, répartition de la population actifs.
Il existe un étérogenete des villes en fonction de la variété des principes
qui commande le développement urbain, la diversité des civilisations. La
variété de la ville est en fonction des techniques d’une époque, des
systèmes économiques et sociaux.
Cette difficulté dans la définition de la ville est un avantage aggravé par
l’apparition de nouveaux types de ville (ville satellite, agroville, ville
dortoir, ville champignon)
Tous se la souligne la complexité croissante du phénomène urbain a titre
d’exemple on peut signaler la mégalopolis nord américaine, une énorme
rébuleuse polynucléaire qui sur tant sur 900Km de long depuis BOSTON a
WACHINGTON (cette rebuleuse est une suite d’agglomérations et
d’usines, elle regroupe plus de 50 million d’habitant qui se trouve
ressembler sur moins de 20% du territoire américain
2. FORMATION DU CADRE URBAIN :
I / ASPECT STATISTIQUE :
Les critères de définition sont en nombre de 4 :
Un nombre minimal d’habitants : c’est une donné quantitative qui se
retrouve dans tous les pays comme critère de définition d’une population
urbaine, le seuil retenu est de 2000 en France, il est de 2500 au E.U, 5000
en Algérie. Ce seuil s’abaisse a 200 au Danemark (population disperse,
mais il monte à 10000 en Grèce et en Espagne, 40000 en Kourie.
Les brancher d’activités économiques (B.A.E) : on considère que très
peux peut travailler la terre, moins de 30% de la population active.
La concentration, la densité des hommes et des activités : 64% de la
population sont rassemble sur moins de 2%de la surface de territoire
national au E.U et produisent 74% de revenu national.
Une unité économique : l’agglomération urbaine constitue un
groupement permanant d’hommes et d’activité sur un espace, c’est une
unité économique complexe.
La ville constitue un agent économique abritant diverse centre de
discision, entreprise, ménages, administration, institue financière, le siège
de production, de consommation, elle est également le siège de répartition
des revenus.
II/ ORIGINE ET GENESSE DE LA VILLE :
L’existence des villes est un fait très ancien dans le majeur parti du globe.
Une première génération qui compose les villes qui n’ont pas était touchée
par les formes récentes du développement urbain. Se sont les villes
séculaire et millénaire du Proche-Orient (ville de Mésopotamie).
Il existe une seconde génération qui regroupe les villes a long passe
historique, elle a subit directement le choc de l’industrie (extension spatial
et croissance de la population).
CHRONOLOGIE DES ETAPES DE DÉVELOPPEMENT URBAIN :
Il y a deux révolutions urbaines :
*selon MILTON SANTOS : « l’urbanisation du monde ne s’est pas faite
progressivement, mais à partir de bonds chronologie rependant a chaque
fois a une mutation technique et économique »
3. L’apparition des cites et leur développement ce trouve lier au deux
révolution technique et économique qui façonner les deux civilisations du
monde (du globe).
-la révolution agraire du néolithique : 6eme millénaire avant JC.
-la révolution industrielle du 19eme siècle.
L’APPARITION DE LA CITÉ :
Jusqu'à 7eme millénaire AV-JC, l’homme était essentiellement un
prédateur (chasse, pêche,..) a cette époque, au Proche-Orient dans des
conditions encore mal connus, l’homme découvre l’élevage et la culture
(agriculture) amélioration des condition d’existence. Et la
possibilité de constitue des réserves alimentaires, donc l’homme échappe
peut à peut a l’obligation de la recherche quotidienne de la nourriture. Puis
vers 3eme millinaire commence un nouveau processus (selon les théorie de
MAUMFORD) des cultivateur refoulent peu à peu ce qui reste comme
prédateur (les chasseurs) mais ces derniers qui gardent leurs vigueur
physique, quoi que minoritaire, il exerce une autorité sue le groupe paysan,
dont il institue le protecteur, se sont des guerriers, leur chef
autoproclame ROI
Mais pour impose leur volante au agricultures et pour stocker les
richesses, les guerriers construisent des citadelles, ses pour cette raison
quand dit que les premiers fonction urbaine fut une fonction autoritaire :
commandement .
LA CITÉ CARBONIFER / LA RÉVOLUTION
INDUSTRIELLE DU 19eme SIÈCLE :
Lorsque on analyse l’histoire des villes, on distingue l’époque préindustrielle
et l’époque industrielle.
Une révolution industriel qui reposer essentiellement sur l’exploitation de
charbon qui a permet de fondre le minerai et d’accéléré l’utilisation des
machines, avec la production de fente, d’acier, utilisation de la machine a
vapeur, autant d’éléments qui marquent le début de l’aire de
machinisme( concentration des moyens de production : machines
nombreuses, vaste usine, concentration abondante de la population
ouvrière) dont la fixation répond avant tout a une fonction de production.
CONCLUSION
Ainsi donc des deux grandes révolutions urbaines de l’humanité sont liées à
deux transformations radicales des méthodes de productions, l’une dans
4. l’agriculture et l’autre dans l’industrie. Dans les deux cas il y a eu
enrichissement, et dégagement de nouvelles ressources qui ont permet
l'émergence et le développement des cites, mais entre les deux
événements il y a une différence fondamentale :
- la cite pré- historique (antique) consomme des produits (des biens)
prélevé dans la compagne (fonction prédatrice)
- la ville industrielle crée sa propre richesse, elle défuse dans la région
environnante des bien qu’elle produit ainsi elle mit en valeur cette
dualité du la vie urbaine, entre une fonction de production et une
fonction de consommation.
Le dosage respective de l’une ou l’autre détermine le rôle de la ville, la
place quelle tienne dans sa région et la nature des rapports quelle tisse
avec elle.
III/VILLE ET CONDITION NATURELLE :
La description de l’environnement naturel tienne une place importante dans
l’étude d’une ville (le site et la situation), la ville qui née ou s’ait développe
pour l’exercice d’une fonction déterminé se place naturellement à l’endroit
le mieux indiqué pour l’exercice de cette fonction.
Cet endroit caractérise la situation ou position géographique de la ville.
De cette situation il faut distinguer soigneusement, le site et en effet
la place la plus commode pour la vie quotidienne des populations, la plus
confortable (approprié).
Pour les structures physiques de la ville (cadres bâtis) c’est la situation
qui commande, les hommes s’on arrange de mieux qu’ils peuvent et le site
représente précisément le résultat de cet arrangement.
La situation est donc lié à la fonction (l’inverse est possible) les
exigences de fonction détermine la position ou la situation de la ville, elle
oblige parfois a s’installé dans des conditions inconfortable :(Hassi
Massoud, des villes de pole Nord, des villes de siberie), l’emplacement
précis de la ville représente le site.
Tout comme la situation, le choix du site est parfois très limité, il est
imposé par la nécessité de fonction.
5. IV/L’ASPECT, LA FORME ET LE DÉVELOPPEMENT :
La ville en premier lieu est la maison urbain qui appartiens à une série
alignée dans les villes traditionnelles, elle est dispose en corps de bâtiment
agencé autour d’une cour ou d’espace vert intérieur,dans l’urbanisme
moderne il s’agit la de l’aspect ( la morphologie des éléments interne de la
cite).
La forme (la configuration est révélé par la carte a grande échelle : plan),
le plan d’une ville met en évidence le noyau initial pour le rattaché a une
famille de traditions urbain d’abord mais également a un type
architectural.
L’extension et la forme de la ville se modèle sur le cadre physique. La
situation et le site s’associent intimement pour donner au plan (la ville) son
originalité.
La manière dont se concentre les axes de circulation privilégies définisse
une position de carrefour qui influe directement sur le dessin de plan.
Les formes fondamentales se limite à un très petit nombre :
• la disposition (la forme) désordonné : il s’agit souvent de la localisation
des maisons le long de réseaux sénieuse (rues tortueuse) son ligne
directrice sous lesquelles se greffent des impasses et des cours
intérieurs c’est le plan de beaucoup de ville de moyen age européenne
(poitier) c’est également le plan des médinas et des Proche-Orient
(casbah de fesse).
• le plan radico-concentrique : ce plan est le résultat d’une révolution
classique en europe.
La ville se développe auteur d’un careffoure ou vient Se croise des vois
secondaires, elle englobe plusieurs noyaux fonctionnel différent a
l’intérieur d’enceinte successive Ex : paris.
• le plan cadrier ou en échiquier (en damier) : il est le plan type de camp
romain dans la province de l’empire romain est sur les frontières. il est
apparu à plusieurs reprises au cours du moyen âge comme à l’époque
moderne.
Comme moyen rationnel pour la création de nouvelles villes (Batna, Sétif)
6. LA VILLE LINÉAIRE :
Il s’agit d’une construction (l’habitat, commerce, autre équipement) le long
d’un axe de circulation privilégie (la vois central ou principale) : Ex LNI et
Ain Hammam.
LA PHYSIONOMIE DU NOYAU :
Toutes les villes ne se distinguent guère par leur quartiers récents ou
par leurs annexes sub-urbaines, c’est par leurs noyaux initiaux historiques
qui sont l’expression des formes particuliers de la vie urbaine, dans le
passé que chaqu’une d’elle se rattache à une famille historique.
LES PROCESSUS DE DÉVELOPPEMENT :
La ville s’accroît fonctionnellement en même temps démographiquement,
ces deux phénomènes sont inséparables, dans l’examen des modalités de l’
accroissement urbain les statistiques sont unanimes, il faut faire la part
des choses entre deux phénomènes.
L’accroissement naturel et le déplacement des populations.
- le pouvoir d’attraction des villes et facilité par l’existence des vois
de communication.
- l’exode rural matérialisé par l’attraction de la ville.
« La ville s’est bien souvent l’exutoire de la misère rurale ».PIERRE
GORGE
V- STRUCTURE DES VILLE DES PAYS D’ÉCONOMIE
SOUS-DÉVELOPPÉ :
Le cas des pays de l’Afrique du nord :
Ville relativement ancienne de l’antiquité, les phéniciens surtout les
romains ont édifié des villes réputées dont sont conservée de
magnifique Restes (ruines) : Carthage, Tipasa, Cherchell (ion cesaré),
ces villes constituent a la fois des centres politiques, pour certaine, des
bases offensives ou bien simplement des comptoirs commerciaux.
Les villes étaient constitues avec un noyau central entoure des chapes
d’artisans, de boutiquiers mais également des résidences des militaire,
privilégié avec de nombreux domestiquer, ces cites était souvent
étroitement groupé à l’ abri de murailles. elle ne sont demeuré au moyen
age, précisément a la fin de la période médiévale, ces villes était
formée de maisons cubique dont les terrasses communique, des villes
7. peut ouverte sur l’extérieure avec des rues encaissé en cadre des cours
intérieurs et de beaux jardins.
Ces noyaux sont resté bien vivants en choc et forme toute une partie
des agglomérations actuelles dans les grandes villes (la casbah d’Alger,
la médina de fes, et Merakeche, Tunis).
Ces villes ont substitue tel quelle dans les petites villes et les cites
saintes de la montagne maghrébines ou bien des régions désertiques
notamment au Maroc. Dans ces cites une hiérarchie des fonctions : a
une activité économique complexe (artisanale, commerciale, agricole), il
existe également un rayonnement comme foyer de culture musulmane
(Fès, Rabat, Tunis, Tlemcen).
Des villes également à fonction militaire (Merakeche, Mekhnès, Alger,
Tunis). Des villes à fonction portuaire aux activités commerciales
extravertie (Tunis, Alger, Safi).
L’installation des européennes a bouleversé cette hiérarchie
traditionnelle surtout a Alger, de nombreux foyers anciens ont
disparus, éventrer par les percés des rues modernes (boulevard, fond
de mer au niveau de la casbah d’Alger) les fléaux de nouvelles
construction, nous avons enfin l’implantation ex nihilo (de toutes pièce-
Sidi Bel Abbas, Batna, Sétif).
VI- L’EXTENSION PROPREMENT DITES DES VILLES :
Nous avants déjà signalé que toute ville tend a s’accroître
fonctionnellement et démographiquement.
Bien souvent l’extension des villes est anarchique.
J.Beau Jeu Garmier distingue 2 modes d’accroissement « l’agglutination »
et « l’extension poly-nucléaire ».
AGGLUTINATION :
La forme la plus simple d’extension : édification à la porte et à la
périphérie de la ville en raison de la cherté du terrain. Cette agglutination
peut révéler plusieurs formes :
• les formes en étoile :
C’est la forme que prend souvent l’extension par agglutination
• absorption du village :
Il s’agit de l’absorption de centres ruraux par extension de tissus urbains
anciens, les paysans cèdent leurs terrains ou de nouvelles constructions se
8. créent, la vie rurale disparut peu à peu cèderont le passage de nouvelles
activités urbaine.
• Les bidonvilles :
Il s’agit de la forme la plus limitée de cette extension d’agglutination
POLY-NUCLÉAIRE :
L’extension par agglutination on oppose l’extension en poly-nucléaire. Il ne
s’agit dans un premier temps que de points de condensation de
construction et de concentration de la population aux portes de la ville.
Par exemple prenant le cas simple de la juxtaposition d’une nouvelle ville a
côté de la ville ancienne. Cette juxtaposition a été particulièrement mise
dans les villes coloniales, les nouveaux arrivants « Européenne » pour des
raisons de commodité et de sécurité se sont écarté des villes indigènes,
ils ont construit une ville à eux imposant la ségrégation, l’exemple de
l’agglomération d’Alger est significatif : les Européen s’étaient rétablis de
part et d’autre de la casbah dans des quartiers modernes (Mustapha,
Belcour….).
L’EXTENSION DIRIGEE (PLANIFIEE) :
Les temps modernes ont eu raison des contraintes, les particuliers se
trouvent devant des problèmes qui les dépassent