CCI MAGAZINE N°29 NOVEMBRE 2015 - CCI Iles de Guadeloupe
Mag 54
1. #54
Juin2009
L E S E N T R E P R I S E S O N T L A P A R O L E
CCi22
Saint-Cast Port d’Armor :
La CCI affirme son ambition maritime
2.
3. «Bon voyage sur nos côtes». Au
moment où se prépare la saison
touristique, comment ne pas réagir
à la présentation de nos côtes qui
a été faite lors d’une récente
émission du magazine Thalassa ?
La complaisance et la partialité
avec lesquelles certains médias
survolent les réalités d’un territoire
ne doivent pas nous faire oublier
les atouts du département, ni le
travail engagé depuis plusieurs
années par l’ensemble des acteurs
économiques des Côtes d’Armor,
qu’il s’agisse des agriculteurs, des entreprises, des collectivités ou
encore… des gestionnaires de ports.
Nous vous l’avions annoncé il y a quelques temps, la CCI
des Côtes d’Armor a été retenue comme exploitant du nouveau
port de Saint-Cast. Les travaux, lancés à l’initiative du Conseil gé-
néral, seront terminés pour la saison. Ils permettront l’amélioration
des conditions d’accueil des navires de pêche et la création de
780 places sur pontons pour la plaisance. Une cinquantaine de
places seront réservées aux professionnels et des espaces à terre
pour créer des ateliers ont été prévus. D’ores et déjà la totalité des
places sont attribuées, et on dénombre environ 800 plaisanciers
en liste d’attente : n’est-ce pas la meilleure réponse aux clichés mé-
diatiques, influencés par quelques intérêts partisans ? De plus, la
CCI a pris l’engagement d’aménager les espaces à terre du port en
respectant les principes du développement durable. Dans le do-
maine du tourisme et des activités liées à la vente et à l’entretien
des navires, une centaine d’emplois vont être créés. C’est un atout
essentiel pour le développement de l’économie de Saint-Cast et
des Côtes d’Armor.
Je vous donne donc rendez-vous le 2 juillet prochain à partir de 17 h
pour inaugurer ensemble ce nouveau port !
Costarmoricainement vôtre,
Alain Daher
Président de la CCI 22
CCi22 #54
Alain DAHER
Patrick SOLO, Eric de RANCOURT,
Vanessa ERMEL, Marie-Charlotte MAUGAIN,
Gwénolée POILVET et Marie-Hélène HELLIO
Pascal LE COZ
, 02 96 70 97 92
GUIVARC’H l’imprimerie, Plérin, 02 96 79 87 77
OCEA ROUTAGE
OUEST EDITO, Saint-Grégoire, 02 23 25 09 14
17 500 exemplaires
ÉDITO
3
ENTREPRENDRE 4 7
BRÈVES
GROS PLAN
PAYS 8
PAYS DE SAINT-BRIEUC
PAYS DU TRÉGOR-GOELO
PAYS DE DINAN
ID E
ECO ENTREPRISES
INFRASTRUCTURES
RÉPARATION NAVALE
À LA UNE
LE DOSSIER
CURSUS-EMPLOI
ALTERNANCE
EN ACTIONS
CDEC
INFOS PRATIQUES
SERVICES PRO
ACCOMPAGNEMENT
AGENDA
4. ENTREPRENDRE
4
3
2
4
5
5
1
Avec ce nouveau nom, l’Aggloméra-
tion souhaite développer une réelle
identité en affirmant une nouvelle
dynamique pour le territoire. Le logo,
plus moderne, permettra de faciliter la
reconnaissance de la collectivité et de
rendre plus identifiables les messages
de l’agglomération. Les ronds symbo-
lisent les communes et le trait, le lien
entre elles.
Pascal Monchoix succède à Michel
Ledieu à la tête de l’association dépar-
tementale.
Mise en place depuis le début de
l’année, la nouvelle stratégie de mar-
que du réseau national baptisée
« Itinéraire 2010 » a pour but de don-
ner une nouvelle dimension au Logis.
Quatre axes sont ainsi développés :
l’image, la grille qualité, la commer-
cialisation et la restauration. Cette
démarche s’accompagne d’une
refonte de l’identité visuelle.
Ils sont graphiste, commercial, conseiller
en communication, auditeur ressour-
ces humaines, photographe, … et ont
un point commun : ils ont tous intégré
la Coopérative d’Activités et d’Em-
ploi® Avant-PREMIERES. Ensemble,
ils ont créé le groupe Adéquation, un
collectif d’entrepreneurs des Côtes
d’Armor, qui offre aux professionnels
(entreprises, collectivités et associa-
tions) une expertise pointue sur des
problématiques précises, et leur per-
met de rester concentrés sur leur cœur
de métier.
Contact : 02 96 52 19 69
contact@source-de-talents.fr
www.source-de-talents.fr
Destiné aux professionnels français qui
souhaitent créer ou développer leurs
échanges avec la Russie, ce site Internet
propose de nombreuses informations sur
le pays, le marché, les transports, le tou-
risme…
Contact : 02 96 25 24 93
talan-co@mail.ru
www.catalogfrance.com
Depuis fin mars, le nouveau site Internet
de la CCI est en ligne. Entièrement
« relooké », il dispose aussi de nouvel-
les fonctionnalités : plus d’actualités,
une newsletter, … Les entrées par les
profils tels que « créateur », « plaisan-
cier », par les tags ou encore par les
différentes thématiques permettent
de retrouver rapidement les renseigne-
ments recherchés : adresses, contacts,
chiffres clés, … Les informations sur
les missions et les activités de la CCI
ont également été enrichies afin de ré-
pondre à tous types de demandes.
www.cotesdarmor.cci.fr
Le principe est simple : échanger
des objets entre particuliers à travers
un système de points. Trois associés
lancent le site Trocline.com : « l’idée
est de s’adapter au marché actuel
en proposant un moyen alternatif de
consommer sans entamer le pouvoir
d’achat. C’est aussi respecter l’idée
écologique de non gaspillage en re-
donnant vie à un produit condamné à
être stocké ou détruit ».
www.trocline.com
1 2 3
4
CCi22
5. 5
ENTREPRENDRE
7
8
6
6
Dans le cadre d’une recherche perma-
nente de la qualité et de la satisfaction
de sa clientèle, l’hôtel Ibis de Saint
Brieuc à Yffiniac améliore la qualité de
sa literie. Celui-ci a fait don de la to-
talité de ses couvertures, dessus de lit
ou encore alèzes aux antennes locales
de la Croix Rouge, du Secours Catho-
lique, de l’association Saint Vincent de
Paul, de Penthièvre Action et du Samu
social pour que ces différentes structures
puissent offrir aux personnes qu’elles
accueillent un certain confort.
Contact : Hervé LOUCE
Hôtel Ibis
36, rue Julien Quintin
22120 Yffiniac
02 96 72 64 10
www.ibishotel.com
Porté par les CCI de Bretagne, le
magazine Bretagne Economique se
dote d’un site Internet. Complétant le
support papier, il offre une actualité éco-
nomique quotidienne de la région.
www.bretagne-economique.com
Alors que la prise de conscience des
problèmes environnementaux se géné-
ralise, Laurent Gouézigoux, jeune skipper
costarmoricain et le syndicat de tri de
déchets SMETTRAL 22 inventent un par-
tenariat d’un genre nouveau. Pour pro-
téger ce territoire qui leur est si cher, ils
mènent une opération de sensibilisation
au tri et à la réduction des déchets, basée
sur le pouvoir médiatique de la mer.
Informations :
www.laurent-gouezigoux.com
T-shirts, chemises, accessoires... Les
deux marques textiles REBEL ARMOR
et CLASSIC ARMOR qui illustrent
l’esprit des Côtes d’ARMOR, ont
désormais leur REBEL BOUTIC à
Saint-Quay-Portrieux !
22, rue Jeanne d’Arc
22410 Saint-Quay-Portrieux
Les CCI de Bretagne ont réalisé un
document synthétique relayant leurs
positions et propositions communes
pour l’aménagement de la Bretagne
en infrastructures et services de transport
de marchandises, de personnes,
d’information et d’énergie.
Pointant les enjeux essentiels pour la
compétitivité des entreprises et des
territoires et proposant des données-
clés, il porte les attentes du monde
économique breton et formule une
série de préconisations pour faciliter
l’accès des entreprises à leurs marchés
nationaux et internationaux.
La brochure est disponible à la CCI
ou téléchargeable sur le site Inter-
net : www.cotesdarmor.cci.fr , rubrique
« aménagement du territoire »
Le Comité Départemental du Tourisme
des Côtes d’Armor devient Côtes
d’Armor Tourisme.
L’objectif ? Mieux « vendre » l’image
du département. Un logo, plus
dynamique et moins institutionnel,
accompagne ce changement de
nom.
9
7
8 9 10
10
CCi22
6. ENTREPRENDRE
-
et de modernité
« En 2002, quand nous avons acquis cet
établissement, c’était une ancienne pen-
sion de famille militaire. L’endroit était
idéal et quelques travaux de rafraîchisse-
ment ont suffi pour accueillir nos premiers
clients. » L’hôtel est complet mais, très vite,
Julien Daunat, Morgane et Gilles Le Meur,
les propriétaires, imaginent un concept
afin de mieux répondre aux attentes des
clients en proposant un produit en adé-
quation avec son emplacement. L’enjeu
est de conserver l’identité du bâtiment
datant des années 1930 tout en lui appor-
tant une touche de modernité et un grand
confort. « Pour mener notre réflexion,
nous sommes partis de ce que les clients
recherchent lors de leur séjour : une proxi-
mité avec l’eau et un service de qualité.»
Un pari réussi. Les travaux se terminent
et aujourd’hui, Castel Beau Site est tota-
lement orienté vers la mer « peu importe
où vous vous trouvez dans l’hôtel, vous
pouvez apercevoir la mer. Même dans les
salles de bain, ouvertes sur les chambres,
vousapercevezlasilhouetteduchâteaude
Costaéres dans le miroir ! » Au restaurant,
les fenêtres ont été remplacées par des
portes fenêtres pour permettre une plus
grande ouverture vers l’extérieur. Cette
demeure de caractère a conservé son
charme tout en proposant un produit ré-
pondant aux exigences d’un hôtel 4 étoi-
les. « Pour nos trois établissements : Castel
Beau Site à Ploumanac’h, le restaurant Les
Triagos à Trégastel et la brasserie L’Os à
Guingamp, nous avons créé une identité
commune : « Eau en couleur », 3 lieux, 3
ambiances, 3 accords. Elle symbolise ce
que nous voulons apporter à nos clients.
Sur chaque site, ils retrouvent cette proxi-
mité avec l’eau et une couleur dominante :
le rouge. »
CCi22
7. ENTREPRENDRE
7
La clientèle de l’hôtel est variée : tourisme
individuel et familial, tourisme d’affaire lors
de soirées étapes ou séminaires. Le lieu
favorise aussi l’organisation d’événements :
mariages, cérémonies, … « Depuis 2 ans,
nous voyons se développer une clientèle
plus « régionale ». Des touristes venant de
toute la Bretagne et parcourant 2 heures
detrajetaumaximum,apprécientletemps
d’unweek-endoud’uncourtséjourcedé-
paysement total, finalement pas très loin
de chez eux. » Un service commercial a
été mis en place pour mieux répondre aux
attentes des consommateurs et leur pro-
poser des formules de séjours adaptées à
la période de l’année, à la clientèle …
avec le cadre
« Le grand changement a consisté à
supprimer les chambres qui donnaient sur
l’arrière de l’hôtel et ne correspondaient
donc pas à l’idée que nous nous faisions
de la qualité de la prestation. »
Aujourd’hui, l’hôtel dispose de 33 chambres
allant de 20 à 45 m² suivant la formule
choisie : Premium, Deluxe ou la Suite de
Castel. Toutes ont une vue imprenable sur
la riviera bretonne et la plage de sable fin.
Vingt-cinq personnes travaillent au quoti-
dien pour faire de l’hôtel un endroit cosy.
« Côté restauration, nous proposons deux
types de carte : la brasserie du Castel, une
cuisine rapide, ouverte tous les midis, et
une carte semi-gastronomique tous les
soirs. » Deux salles de séminaire modula-
bles ouvriront en septembre.
Nouveauté, depuis la réouverture,
l’hôtel propose un service conciergerie
« clé d’or » qui a pour objectif d’aider le
client à préparer son séjour et lui permettre
de profiter pleinement de ses activités sans
se préoccuper de tous les détails d’orga-
nisation.
Contact :
Hôtel Castel Beau Site
Plage de Saint-Guirec
22700 Ploumanac’h
02 96 91 40 87
mail : infos@castelbeausite.com
www.castelbeausite.com
4Morgane Le Meur et Julien Daunat
CCi22
8. 4Les locataires créent leur association : « Carré d’As »
Le Carré Rosengart offre aux passionnés
de la mer, une large gamme de services :
un espace commercial à vocation mariti-
me, un pôle technique de plaisance pour
l’entretien et les réparations de bateaux.
A travers ses 10 000 m2
, il participe aussi
pleinement à la vie sociale et économi-
que du Légué en accueillant un centre
d’affaires constitué de bureaux, de
multiples services, un hall d’expositions
culturelles et un espace de restauration
avec vue sur le port. L’association veut
faire de cette diversité de services un
atout pour promouvoir ce lieu, qui s’ins-
crit comme une passerelle entre terre
et mer, favorisant le rassemblement, le
dynamisme et l’échange.
Premier succès pour l’association
«Carré d’As», le 16 mars dernier lors
des portes ouvertes : près de 1 000
visiteurs sont venus découvrir les dif-
férentes activités, et s’informer sur les
services proposés. Plaisanciers, profes-
sionnels du nautisme, mais aussi
touristes et promeneurs ont apprécié
les animations proposées : concert de
jazz, présentation d’accessoires «ma-
lins» pour simplifier la vie à bord,
simulation de l’examen du code cô-
tier, … Un succès qui en amènera
d’autres puisque l’association imagine
déjà d’autres événements à ne pas
manquer !
Carré Rosengart
16, Quai Armez
Port de Saint-Brieuc Le Légué
Jean-Luc Ricordel est addictologue ;
Jean-Yves Le Manche est gérant
d’un bateau école, ils représentent
la richesse des activités du Carré Ro-
sengart.
« Cette association est l’occasion de
mieux nous connaître et de nous unir
pour proposer des animations. Le
succès de ces portes ouvertes nous a
montré que le public a envie de venir
se promener au port du Légué. Saint-
Brieuc a longtemps tourné le dos à la
mer mais cela évolue et aujourd’hui,
le port a tout pour plaire. Le Carré Ro-
sengart peut devenir un lieu de pas-
sage, « une rue » à part entière. »
PAYS DE SAINT-BRIEUC
PAYSCORRESPONDANCE
8
CCi22
9. 4Réalisation : Atelier Michel Château
PAYS
CORRESPONDANCE
Après 7 mois de travaux qui ont per-
mis d’agrandir le bâtiment de 280 m²,
l’antenne de la CCI a été officiellement
inaugurée lors de la cérémonie des
voeux en janvier dernier. Ce projet n’est
pas seulement celui de la « Chambre de
Commerce et d’Industrie », ce nouveau
bâtiment a pour objectif de devenir
véritablement la maison des entreprises
du Trégor-Goëlo. Le groupement d’em-
ployeurs Adéliance est toujours présent
et de nouvelles salles de réunion et de
formation ont été créées.
La construction de l’antenne a commencé
en début d’année, en lieu et place de
l’ancienne, qui a été rasée. Une réflexion
a été menée pour proposer un bâtiment
basse consommation qui respecte les
principes du développement durable
grâce notamment au choix des matériaux.
L’antenne de 462 m2
abritera les bu-
reaux de la CCI mais aussi une salle de
réunion, un espace documentation,
plusieurs salles de formation à la dispo-
sition des chefs d’entreprises et de leurs
salariés. Le Club des Entreprises du Pays
de Rance et le Club des Créateurs et Re-
preneurs des Côtes d’Armor occuperont
aussi les locaux. Le Groupement d’em-
ployeurs Atout Pays de Rance construira
sa propre antenne sur le même terrain.
Déjà très actif sur le Pays du Trégor-
Goëlo, le programme d’échanges PLATO
compte un nouveau groupe. Animé par
Jean-Yves Keraudy, il est constitué d’une
vingtaine de chefs d’entreprises d’hori-
zons et d’activités différents : bâtiment,
conseil en communication, en transmis-
sion d’entreprise ou encore avocat.
Lancé à l’occasion de la plénière dépar-
tementale du 2 avril à Pleumeur-Bodou
rassemblant près d’une centaine de
chefs d’entreprises, les nouveaux mem-
bres ont pu mesurer la force de ce
réseau. Lors de cette première rencon-
tre, les dirigeants ont fait connaissance
avec les cadres animateurs et défini les
thématiques de leurs futures réunions.
Rappelons que l’objectif de ces groupes
est de permettre aux chefs d’entrepri-
ses d’échanger sur des problématiques
communes afin de progresser et déve-
lopper leurs activités.
Contact PLATO Trégor-Goëlo
Jean-Yves Keraudy – 02 96 48 22 33
jean-yves.keraudy@cotesdarmor.cci.fr
« Intégrer ce réseau va me permettre de
développer mon cercle de connaissances au
niveau local mais surtout de sortir de mon
environnement quotidien une fois par mois
pourvoircequisepasseailleursetéchanger
avec d’autres chefs d’entreprises. »
Morgane Le Meur
Propriétaire exploitante Castel Beau Site
Ploumanac’h – Perros Guirec
PAYS DE DINAN
PAYS DU TRÉGOR-GOËLO
CCi22
10. Développé par l’ADEME, le Bilan
Carbone® s’adresse à tous types d’en-
treprises, industrielles ou de services. Il
permet de comptabiliser les émissions
de gaz à effet de serre (GES). Il prend en
compte les émissions directes et indirectes
liées au fonctionnement de l’entre-
prise (transports des biens et des personnes,
« contenu carbone » des matières pre-
mières utilisées, …). En réalisant un Bilan
Carbone®, une entreprise va pouvoir
évaluer sa dépendance énergétique,
limiter son impact sur l’environnement
mais aussi réduire le coût de ses factures
énergétiques en anticipant les fluctua-
tions du prix de l’énergie.
En pratique, le Bilan Carbone® est
réalisé par un expert formé à la mé-
thode Bilan Carbone® et ayant une
approche pragmatique et opé-
rationnelle. Les données d’activité
de l’entreprise (factures d’énergie,
quantité de matériaux achetés,
nombre de kilomètres parcourus…)
sont collectées puis exploitées à
l’aide de tableaux de calculs.
Les émissions de gaz à effet de serre
sont ainsi évaluées poste par poste,
en « tonnes équivalent carbone ».
Il est alors possible d’identifier les
domaines où l’entreprise est la plus
dépendante aux énergies fossiles
et de proposer des pistes d’amé-
lioration. L’expert peut également
accompagner l’entreprise dans la
mise en œuvre d’actions de réduction
des émissions.
Un des premiers en Bretagne à avoir
effectué son Bilan Carbone®, Philippe
Robert, Responsable Environnement au
sein du groupe STALAVEN nous fait par-
tager son expérience.
®
« Dans le cadre de sa politique Dévelop-
pement Durable, le Groupe Stalaven est
depuis longtemps sensible au respect de
l’environnement. Le site d’Yffiniac est
certifié ISO 14001 depuis 2004 et nous
n’avions pas de connaissance quantifiée
de notre impact carbone. Cela nous
semblait donc important de faire cette
étude pour se positionner dans le cadre
de notre analyse des risques environne-
mentaux. »
« C’est l’occasion de bénéficier de conseils
d’un expert pour proposer des solutions
d’améliorations parfois simples et que
l’on peut ainsi intégrer dans les futurs in-
vestissements. Concernant le transport
et l’énergie, domaines que nous avons
depuis toujours cherché à optimiser,
cela s’est traduit lors des changements
de matériels, nous avons opté pour
des modèles permettant des économies
d’énergie : compresseurs d’air à vitesse
variable, variateurs de fréquence, ...»
❊
DÉVELOPPEMENT DURABLE
nement et
-
®
-
lables dans la consommation
® se disent
satisfaites de la méthode
ID EECOENTREPRISES
CCi22
11. « Aujourd’hui, 85% de l’énergie primaire
mondiale est d’origine fossile : pétrole,
charbon, gaz, ... La combustion de ces
énergies fossiles est la principale source
d’émissions de gaz à effet de serre à
l’origine du réchauffement climatique,
un phénomène néfaste pour notre dé-
veloppement et notre environnement.
Il est urgent de se préoccuper de l’aug-
mentation de ces GES dans l‘atmosphè-
re mais également de la dépendance
des entreprises aux énergies fossiles. En
effet, ces ressources sont épuisables, et
leur prix peuvent faire l’objet de varia-
tions importantes. Anticiper ces évolu-
tions permettra aux entreprises de mieux
les maîtriser. En mettant en place cette
opération, la CCI des Côtes d’Armor
souhaite sensibiliser les entreprises aux
enjeux énergétiques et climatiques, et à
l’intérêt du Bilan Carbone®.
Pour l’instant, le Bilan Carbone® n’est
pas obligatoire mais peut-être le devien-
dra-t-il suite aux discussions du Grenelle
de l’Environnement. Aujourd’hui, le Bilan
Carbone™ est plus une opportunité
qu’une obligation ! »
Comment va se mettre en
pla
« Les entreprises volontaires bénéficieront
d’un accompagnement collectif pour
mettre en oeuvre un plan d’actions de
réduction de leurs émissions, constitué
de solutions concrètes.
En collaboration avec l’ADEME, la CCI a
déjà réalisé une réunion de sensibilisation
au Bilan Carbone® et de présentation
de l’opération.
Suite à cette réunion, nous prévoyons
d’avoir une dizaine d’entreprises volon-
taires qui engageront simultanément la
réalisation de leur Bilan Carbone®. Nous
passerons ensuite à la phase d’accom-
pagnement collectif. En fonction des
besoins des entreprises, nous ferons in-
tervenir des experts et consultants pour
aider les entreprises à mettre en œuvre
le plan d’actions préconisées dans leur
Bilan Carbone®.
A la fin de l’opération, nous diffuserons
un guide de bonnes pratiques en format
électronique. »
« La réalisation du Bilan Carbone® est
généralement subventionnée par l’ADEME,
à hauteur de 50% du montant de la
prestation, dans la limite de 7 500 ¤.
L’accompagnement collectif prévu dans
l’opération est pris en charge financière-
ment par l’ADEME et la CCI des Côtes
d’Armor. »
Contacts :
Guillaume Birault - 02 96 94 52 22
guillaume.birault@cotesdarmor.cci.fr
ADEME:Patrick Danvert -02998587 05
ID E
ECOENTREPRISES
❊
4
®
CCi22
12. Côte
d'Émeraude
St-Cast
(2010)
Côte
de Penthièvre
Saint-Brieuc
Le Légué
St-Quay
Portrieux
Côte
du Goëlo
Côte
de Granit Rose
Paimpol
Perros-Guirec
Trébeurden
Finistère
Ille-et-Vilaine
La Manche
Côte
d'Émeraude
St-Cast
(2010)
Côte
de Penthièvre
Saint-Brieuc
Le Légué
St-Quay
Portrieux
Côte
du Goëlo
Côte
de Granit Rose
Paimpol
Perros-Guirec
Trébeurden
2 Sites
1 Sites
Finistère
Morbihan
Ille-et-Vilaine
La Manche
INFRASTRUCTURES
Arsenic,cadmium,chrome,cuivre,mercure,
nickel, plomb, … ce sont autant de
polluants qui sont déversés sur les surfaces
de stationnement lors des opérations
d’entretien et de carénage des navires.
Le lavage des bateaux constitue l’un des
principaux facteurs de pollution. Il
précède souvent le grattage de la coque
et l’application de peinture antifouling
(un revêtement spécial servant à com-
battre les salissures qui s’installent sur la
coque du bateau). Si aucun traitement
deseffluentsn’esteffectué,cenettoyage
peut charger les eaux ou les sols de pol-
luants hautement toxiques. Les travaux
d’entretien courant des moteurs et des
systèmes propulsifs peuvent aussi entraî-
ner des déversements d’hydrocarbures,
d’huiles et de solvants non biodégrada-
bles et nocifs pour l’environnement.
Autrefois effectué sans contrôle, le
carénage est désormais formellement
interdit et passible de poursuites s’il est
effectué en dehors des aires équipées et
agréées.
Les Côtes d’Armor proposent des espaces
d’entretien et de réparation équipés et
mis aux normes, respectueux des régle-
mentations et de l’environnement.
La CCI gère 3 sites pour tous types de
navires jusqu’à 350 tonnes :
- Sur le port de Saint-Brieuc Le Légué :
2 sites d’entretien et de réparation spéciali-
sés en gros navires pour l’un et navires
de plaisance pour l’autre.
- Sur le port de Paimpol : un site mixte
pêche et plaisance.
Ces aires de carénage sont équipées de
moyens de traitement permettant de
filtrer et récupérer les effluents liquides
provenant des antifoulings et autres
résidus de peinture ainsi que de déchet-
teries adaptées au traitement sélectif des
déchets des activités industrielles. On y
retrouve des bornes d’énergie (eau, élec-
tricité 220/380 V, air comprimé), hangar
de stockage et d’entretien de 2 400 m²
ainsi que des entreprises spécialisées
dans l’entretien et la rénovation
(mécanique, électricité, électroni-
que, chaudronnerie,…)
La cabine de peinture de grande dimension
permet tous types d’opérations sans
contraintes météorologiques.
D’autres sites sont également équipés :
Trébeurden, Perros Guirec, Saint Quay-
Portrieux et Saint-Cast.
Contacts :
www.cotesdarmor.cci.fr/reparation-navale
Saint-Brieuc Le Légué
- Elévateur 20 T
Jérôme Cade 06 75 91 67 63
legue.plaisance@cotesdarmor.cci.fr
- Elévateur 350 T
Laurent Kernivinen 06 75 91 88 06
reparationnavale@cotesdarmor.cci.fr
Paimpol
Daniel Pierre 06 77 96 99 74
daniel.pierre@cotesdarmor.cci.fr
4
CCi22
13. de plaisance de Saint-Cast
-
-
che, Saint-Cast Port d’Armor
-
-
s’affirmer rapidement comme
-
€
la Chambre de Commerce et
le concessionnaire choisi par
-
À LA UNE
LEDOSSIER
CCi22
14. À LA UNE
22 mois de travaux, 27,5 M€ de budget,
850 places créées sur pontons, 16.000
tirs de mines réalisés pour construire
un bassin en eau profonde ouvert
24 h/24... La transformation du port
de Saint-Cast restera dans les anna-
les de la plaisance comme le chantier
portuaire le plus important de l’année
2009.
« C’est un véritable exploit technique
qu’a réalisé la trentaine de salariés des
quatre entreprises prestataires, de vé-
ritables spécialistes des ouvrages mari-
times, souligne Jannig Le Pévédic, chef
du service Mer au Conseil général des
Côtes d’Armor. Ce respect des délais
et la maîtrise de l’enveloppe budgétaire
sont également le fruit d’une étroite
collaboration entre les trois acteurs du
syndicat mixte de réalisation du port :
Conseil général, Chambre de Com-
merce et d’Industrie et commune de
Saint-Cast-le Guildo. »
Au-delà des chiffres, Saint-Cast Port
d’Armor entend avant tout répondre à
la volonté du Conseil général, porteur
du projet, de poursuivre sa politique
d’amélioration des infrastructures por-
tuaires. « L’objectif est triple, confirme
Michel Brémont, vice-président du
CG 22, en charge des ports. À la fois,
il est de pallier le manque de places
– on estime à 4.000 le nombre de
demandes en attente dans le dépar-
tement – mais aussi de rééquilibrer le
déficit entre l’ouest et l’est de la baie
de Saint-Brieuc. Le tout en inscrivant
ce projet dans une démarche de dé-
veloppement économique durable. Le
Conseil général reste persuadé que
l’espace maritime, trop longtemps
oublié, est l’un des principaux vec-
teurs de croissance de notre territoire
dans les années à venir. »
Restait à trouver le concessionnaire
chargé d’exploiter ce port flambant
neuf. Des cinq dossiers présentés dans
le cadre de la Délégation de Service Public,
c’est celui de la Chambre de Commerce
et d’Industrie des Côtes d’Armor qui
est sorti du lot. « Leur offre était de
loin celle qui correspondait le mieux à
nos exigences, notamment au niveau
de l’exploitation du potentiel économi-
que du site, précise Michel Brémont.
L’apport financier mais aussi l’idée que
se faisait la chambre consulaire de l’évo-
lution du port pour les quarante années
à venir ont été deux critères détermi-
nants. »
Un avis partagé par Gérard Le Bourhis,
vice-président de la CCI 22 en charge
des établissements gérés. « C’est une
reconnaissance du travail mené par
nos services depuis plusieurs années
pour dynamiser la plaisance dans les
Côtes d’Armor, au même titre que
nous le faisons pour la pêche
ou le commerce. Cette troisième
concession, après Pontrieux et Le
Légué, permet à la Chambre d’affirmer
aujourd’hui pleinement son ambition
sur la filière nautique. »
« Pas question d’en faire un hangar à
bateau qui ne sortirait de sa léthargie
qu’au printemps et en été, confirme
Alain Le Roux, directeur des établisse-
ments gérés à la Chambre de Commerce
et d’Industrie. Le potentiel touristique
des lieux est sans commune mesure. »
Un véritable projet d’urbanisation des
4 ha de terre-pleins autour du bassin,
porté par la CCI 22 et la commune,
est dans les cartons. « Le cabinet
Univers a été sollicité pour imaginer
un concept architectural mêlant
habitat, commerce et activité
économique, confirme Jean Fernan-
dez, maire de Saint-Cast-le Guildo. Les
premiers scénarii ont été présentés au
conseil municipal début mai.
Là aussi, le développement durable
des lieux, qui passera par exemple par
la végétalisation des infrastructures et
des bâtiments, est fondamental. Et la
liaison piétonne déjà en service per-
mettra de faire le lien entre le centre-
ville et le nouveau port. »
Saint-
4Jean Fernandez
maire de St-Cast-le Guildo
LEDOSSIER
CCi22
15. À LA UNE
« Ce projet était inscrit dans le dos-
sier de DSP que nous avons présenté,
souligne Éric de Rancourt, directeur
général de la CCI. Pour des raisons de
confidentialité de l’instruction, nous
ne pouvions évoquer ce sujet avant
d’avoir été retenu. Aujourd’hui, nous
travaillons en bonne intelligence avec
les élus de Saint-Cast. La chambre a
décidé de déléguer la construction et
la gestion du futur établissement à un
opérateur privé. »
De son côté, le terre-plein des Canne-
vez (2,5 ha) situé à l’extrémité va, lui,
prendre une dimension technique au
service des usagers. « Nous disposerons
dès cette année d’un élévateur à bateau
d’une capacité de 25 tonnes, d’une
potence de levage et d’un ponton car-
burant, ajoute Alain Le Roux. Une aire
de carénage, dont la construction est
assurée par la commune, sera rapide-
ment installée. Et une zone dédiée aux
entreprises de la filière nautique com-
plétera l’offre. Plusieurs acteurs locaux
et exogènes au département se sont
déjà manifestés. »
En parallèle, la communauté de com-
munes de Matignon, dont fait partie
Saint-Cast-le Guildo, réfléchit à la créa-
tion, à l’entrée de la ville, d’une zone
d’activité imaginée comme une base
arrière du port. « Toutes les entre-
prises ne pourront pas s’installer sur
Cannevez, précise Jean Fernandez.
À nous de nous donner les moyens de
les accueillir. C’est une chance à saisir
pour le développement économique
de notre territoire. »
Mars 2000
Juillet 2006
Septembre 2007
-
Mars 2009
Mise en place des pontons et des
Juillet 2009
À LA UNE
LEDOSSIER
CCi22
17. -
« Avec sérénité et enthousiasme. Nous
allons désormais nous appuyer sur un
outil de travail moderne et performant
tourné vers les usagers, qu’ils soient
plaisanciers ou pêcheurs. Grâce au
prolongement du môle de protection,
Saint-Cast Port d’Armor va être beau-
coup mieux protégé des vents et des
courants qu’auparavant. »
Les conditions de travail vont
« Fondamentalement, la gestion des pla-
ces ne va pas être plus compliquée. Elle
va surtout se professionnaliser à travers
l’utilisation du logiciel de pilotage Amer,
développé par la société Port Systems de
Lannion. Nous allons perdre moins de
temps dans le suivi des emplacements
libres, l’édition des contrats et la factura-
tion des prestations. Cerise sur le gâteau,
le premier équipement construit sur les
quais sera la capitainerie, opérationnelle
dans le courant de l’année 2010. »
« C’est nécessaire pour parvenir à gérer
ce port en eau profonde ouvert 24h/24,
7 jours sur 7, et offrir un niveau de ser-
vice élevé et constant aux usagers. Pour
démarrer, nous allons tourner avec 6 à
7 personnes mais rapidement l’équipe
devrait s’étoffer. »
« C’est un équipement moderne avec
une volonté de s’ancrer dans une lo-
gique de développement durable. Au
niveau technique, nous allons disposer
d’un élévateur à bateau d’une
capacité de 25 tonnes, d’une po-
tence de levage. Une aire de ca-
rénage va permettre de travailler dans
des conditions respectueuses de l’envi-
ronnement. Notre objectif est de propo-
ser des contrats à l’année permettant de
mettre des bateaux à terre pour libérer
des places et d’optimiser globalement
le port. Le tri des déchets va également
être mieux coordonné. Le Wifi devrait
rapidement faire son apparition. Du côté
de la pêche, les 20 bateaux disposeront
d’un quai et d’une zone technique
dédiée à leur activité. »
Contact :
02 96 78 62 15
stcast.plaisance@cotesdarmor.cci.fr
www.cotesdarmor.cci.fr
Delamotte
attend avec impatience la mise en
À LA UNE
LEDOSSIER
CCi22
18. Un partenariat
(Interview croisée)
in
« La qualité c’est l’affaire de tous !
L’entreprise Raux Gicquel emploie 45
personnes et accueille des stagiaires
dans le domaine de la qualité depuis 3
ans. Cela nous permet de développer
une dynamique qualité. Nous sommes
certifié ISO 9001 depuis 1 an et demi.
L’objectif est de mettre en place une
démarche qui permette de faire bien du
premier coup : produire en faisant de la
qualité, c’est possible ! Il faut adapter
la démarche à l’entreprise. Floris a tout
d’abord intégré l’entreprise en stage
dans le cadre de la Licence profession-
nelle d’animateur qualité, puis, cette
année, en apprentissage pour la for-
mation de Responsable Qualité sécurité
Environnement. Comme il connaissait
déjà l’entreprise, cela lui a permis d’être
rapidement opérationnel.
Floris est plus un assistant qu’un sta-
giaire, il travaille en parfaite autonomie.
L’alternance nous fait bénéficier d’une
veille réglementaire permanente. Le fait
de ne pas être à 100% dans l’entreprise
lui permet d’avoir une vision extérieure,
un œil critique sur des points cruciaux
tel que le recyclage et nous permet ainsi
de nous améliorer continuellement. »
Environnement
« L’alternance, c’est de l’expérience !
J’ai toujours souhaité travailler dans le
bois. J’ai intégré la licence qualité en
2007 et l’approche sécurité environ-
nement m’a beaucoup plu. J’ai donc
choisi d’approfondir mes connaissan-
ces en poursuivant par un bac +4 dans
le même domaine. L’alternance est
une bonne formule car je mets direc-
tement en application la théorie.
Raux Gicquel est une petite structure
ce qui me permet d’aborder une mul-
titude de sujets comme par exemple
le recyclage du déchet bois, les écono-
mies d’énergie, la sécurité machine,…
L’approche est différente de celle à
adopter dans une grande entreprise, il
est possible d’expérimenter, de tester,
l’entreprise est plus réactive. »
CURSUS-EMPLOIALTERNANCE
de
4 Floris Gouiffes et Julien Raux
La licence professionnelle -
ma » en partenariat
avec l’Université de Rennes I et l’IUT
de Saint-Brieuc. L’objectif est de
former des techniciens supérieurs
opérationnels, aptes à prendre en
charge la fonction qualité dans
une entreprise
Le II
Environnement
en partenariat avec le CFAI de
Bretagne. Cette formation, en
apprentissage, va permettre de
répondre aux besoins des entreprises
qui souhaitent associer la fonction
qualité à la fonction « manage-
ment du risque industriel pour
l’environnement, l’hygiène et la
sécurité ».
Informations :
Sylvie Le Brun - 02 96 94 57 14
sylvie.lebrun@cotesdarmor.cci.fr
www.ieqt.org
CCi22
19. 4Agence Be New
Imaginée en 2002 par votre Chambre de
Commerce et d’Industrie, la « Mallette
des Unions Commerciales et Artisanales »,
véritable outil d’aide à la décision,
regroupe toutes les informations néces-
saires au fonctionnement d’une association.
Elle a pour but d’accompagner les
associations de commerçants et d’arti-
sans dans leurs démarches grâce à de
nombreuses fiches pratiques réparties
par chapitre. On y trouve notamment
des informations juridiques et compta-
bles, des conseils sur la mise en place de
projets, la communication, mais surtout,
des exemples de documents et lettres
types à adapter ainsi que des tableaux
d’aide à la gestion pour faciliter la prise
dedécisions.Sonatout?Desdocuments
mis à jour régulièrement en fonction de
l’évolution de la réglementation.
Un procédé innovant et en
Après plusieurs éditions de la mallette, la
CCI a confié à l’agence de communica-
tion Be New, la création d’une nouvelle
forme de distribution du document,
via un site Internet proposant une télé-
impression et un téléchargement des
modèles de documents. Cette nouvelle
méthode de diffusion permet d’accéder
à la mallette directement via Internet.
L’ensemble des fiches peut être directe-
ment imprimé, dans les volumes dé-
sirés. Les modèles de documents sont à
télécharger. Cette méthode permet de
télé-imprimer uniquement le nombre
de mallettes utiles et ainsi de toujours
obtenir la dernière version du document
en bénéficiant au plus tôt des modifica-
tions et des mises à jour de fiches.
Contact CCI :
Jean-Marc Nourri - 02 96 75 11 46
jean-marc.nourri@cotesdarmor.cci.fr
Agence Be New - 02 96 44 45 22
2, rue Saint-Sébastien - 22200 Guingamp
www.agbenew.com
agbenew@wanadoo.fr
COMMERCE
La nouvelle édition de la mallette
prenant en compte les dernières
modifications sera disponible dès
juillet à l’adresse :
http://lamallette.agbenew.com
4 étapes simples et rapides pour
imprimer la mallette :
exem-
plaires. Vous disposez d’un nombre
de tirages à utiliser selon les be-
soins.
La version papier est bien sûr toujours
disponible et plus adaptée si le
nombre d’exemplaires commandés
est important. Pour obtenir un devis, il
suffit de contacter l’agence Be New.
Interview de ,
-
« Le support papier n’était plus adapté
car la réglementation évolue sans cesse
et les documents devenaient trop vite
obsolètes ce qui supposait des coûts
de gestion et de diffusion importants.
La solution multimédia permet de
proposer un concept de télé-impres-
sion et donne la possibilité d’obtenir
un nombre de tirages valable pendant
un an, ce qui n’est pas possible avec
d’autres supports. II est aussi possible
d’offrir des droits de tirages. Cette
méthode va nous permettre d’être
beaucoup plus réactifs suite aux
nouvelles lois. Internet nous ouvre de
multiples possibilités. On peut tout
imaginer : vidéo… »
lette des Unions Commerciales
CCi22
20. Les Commissions Départementales
d’Equipement Commercial (CDEC)
n’existent plus, seules les créations ou
les extensions de plus de 1 000 m² ou
de zones commerciales existantes sont
soumises à la Commission Départe-
mentale d’Aménagement Commercial
(CDAC). En dessous de cette surface,
l’implantation des commerces est libre
si elle respecte les règles d’urbanisme.
Une CDAC juge un projet d’implanta-
tion en fonction du Plan Local d’Urba-
nisme (PLU), du Schéma de Cohérence
Territoriale (SCOT) et du développe-
ment durable. Si la CDAC donne un
avis favorable, le maire pourra alors
délivrer le permis de construire.
la CCI des Côtes d’Armor
Outil qui analyse l’offre commerciale
et les comportements d’achats sur un
territoire donné, il permet de disposer
de l’ensemble des données nécessaires à
l’élaboration des Schémas de Dévelop-
pement Commercial (SDC), d’étayer
les positions en CDAC, mesurer l’im-
pact d’un projet,…
Droit de préemption, fonds et
Une loi récente permet aux collec-
tivités de préempter fonds et baux
commerciaux si elles estiment qu’ils
peuvent changer de destination au
moment de leur vente et réduire ainsi
l’offre et l’attrait commercial d’une
rue ou d’une commune.
FISAC
Le Fonds d’Intervention pour les
Services, l’Artisanat et le Commerce
est un outil d’accompagnement finan-
cier destiné à favoriser le maintien, la
modernisation, l’adaptation afin de
préserver ou développer un tissu d’en-
treprises de proximité.
Organisé en mars dernier par la
Chambre de Commerce et d’Industrie
des Côtes d’Armor en partenariat avec
l’Association des Maires de France 22,
le forum sur l’urbanisme commercial
a permis d’informer les élus politiques
locaux sur les conséquences de ce
nouveau dispositif réglementaire et
leur présenter les outils à leur dispo-
sition pour les aider à optimiser l’offre
commerciale de leurs communes.
Pour plus d’informations :
Jean-Marc Nourri - 02 96 75 11 46
Responsable duPôle Commerce àlaCCI 22
jean-marc.nourri@cotesdarmor.cci.fr
CDEC EN ACTIONS
La CDAC est composée de 8 mem-
-
tation,
-
-
celle d’implantation,
son représentant,
-
-
la consommation, le développement
-
4La CCI accompagne les élus politiques locaux
CCi22
21. Ce nouveau classement va actualiser,
en partenariat avec les syndicats profes-
sionnels, un référentiel datant de 1986,
créer une catégorie 5 étoiles pour une
meilleure lisibilité de l’offre française à
l’international mais aussi permettre une
montée en gamme du parc hôtelier avec
une modernisation des équipements,
l’intégration de nouveaux critères (pro-
preté, qualité de service, développement
durable) et l’introduction de critères « à
la carte » afin de préserver la diversité
de l’offre.
Tous les hôtels étoilés sont concernés
ainsi que ceux qui souhaitent se faire
classer. Ce classement reste volontaire.
Le référentiel sera applicable au 1er
juillet
2009. Jusqu’à cette date, l’ancien systè-
me fonctionnera avec un élargissement
à la 5ème
étoile. Ce dispositif sera précisé
par la loi Tourisme en juillet 2009. Après
la promulgation de cette loi, les hôtels
déjà classés auront 3 ans pour se met-
tre aux normes. Durant cette période,
l’ancien et le nouveau classement co-
habiteront.
tés de
Ce dispositif, géré par l’Agence Nationa-
le de Développement Touristique (issue
de la prochaine fusion de ODIT France
et Maison de la France), va permettre
de classer les hôtels disposant d’au
moins 6 chambres en catégorie, de
1 à 5 étoiles, le 0 étoile tourisme dis-
paraît. L’audit de classement devient
payant, il est à la charge de l’hôtelier
et sera réalisé par un cabinet accrédité
COFRAC et référencé par l’Agence Na-
tionale de Développement Touristique.
Pour les hôtels de 1 à 3 étoiles, il s’agit
d’un audit « à découvert » mais il sera
« mystère » pour les 4 et 5 étoiles.
Le classement est attribué par le Préfet
pour une durée de 5 ans
Trois grands domaines sont évalués : les
équipements, le service au client, l’acces-
sibilité et le développement durable. Il
existe deux types de critères : les critères
obligatoires et les critères « à la carte ».
Parmi eux, on retrouve :
(communs, chambres, sanitaires),
-
bre minimum d’heures par jour,
étrangère,
des réclamations,
l’accueil des personnes handicapées,
la gestion de l’énergie, de l’eau et des
déchets.
A chaque critère correspond un nombre
de points. Le classement est obtenu
par l’addition de points obligatoires et
de points « à la carte ». Une tolérance
de 5% est admise pour les premiers et
devra être compensée par 3 fois plus de
critères « à la carte ».
Le réseau des Chambres de Commerce
et d’Industrie accompagne les profes-
sionnels dans cette démarche de clas-
sement par l’organisation de réunions
d’informations, la mise en place d’un
outil de pré-diagnostic et en proposant
des conseils individuels.
HÔTELLERIE
er
ré-
EN ACTIONS
OSEO
Le Prêt Participatif pour la Rénovation
Hôtelière a été mis en place dans le
cadre du « Plan de Modernisation du
Parc Hôtelier Français » pour accom-
pagner et soutenir les hôteliers dans
leurs efforts de modernisation sous
certaines conditions.
Conseil régional de Bretagne,
Conseil général des Côtes d’Armor
Dans le cadre d’une modernisation
ou d’une mise aux normes (sécurité
incendie, accessibilité aux person-
nes handicapées) et sous certaines
conditions, le Conseil régional et/ou
le Conseil général peuvent attribuer
des aides financières.
Pour plus d’informations :
Michelle Guyomarc’h
Conseillère Tourisme à la CCI 22
02 96 75 11 49
michelle.guyomarch@cotesdarmor.cci.fr
4Hôtel Le Dugesclin à Saint-Brieuc
INFOSPRATIQUES
CCi22
22. EN ACTIONS
-
Le contrat d’apprentissage s’adresse
aux jeunes de 16 à 25 ans sauf cas
particuliers et dérogations. Le maître
d’apprentissage a un rôle déterminant
dans le parcours de qualification de
l’apprenti. En relation avec le CFA, il
contribue et veille à ce que l’apprenti
acquiert dans l’entreprise des compé-
tences correspondant à la qualifica-
tion recherchée et au titre ou diplôme
préparé.
La formation
L’apprentissage associe un enseignement
général et théorique dispensé dans un
Centre de Formation d’Apprenti (CFA)
et un enseignement pratique en
entreprise.
Le contrat est un Contrat à Durée
Déterminé de type particulier assorti
d’une période d’essai de deux mois.
Sa durée est de 1 à 3 ans selon le cycle
de formation.
Les entreprises de moins de 11 salariés
ouinscritesaurépertoiredesmétiers sont
exonérées des cotisations patrona-
les d’origine légale ou conventionnelle
imposées par la loi. Les entreprises
de 11 salariés et plus sont exonérées
des cotisations patronales de sécurité
sociale.
Aides financières
Une prime de 1 000 ¤ minimum peut
être accordée. Le montant et les
conditions d’attribution sont détermi-
nés par le Conseil régional.
Les entreprises qui accueillent des ap-
prentis peuvent bénéficier d’un crédit
d’impôt de 1 600 ¤ ou 2 200 ¤ par
apprenti dont la durée du contrat est
d’au moins 1 an.
Point Conseil
Le point conseil apprentissage de
la CCI des Côtes d’Armor oriente
et informe les employeurs dans
leurs démarches d’enregistrement des
contrats d’apprentissage.
Son rôle est également de contrôler la
conformité des contrats passés : adé-
quation entre l’activité de l’entreprise
et le référentiel du diplôme préparé
par l’apprenti, compétence exigée aux
fonctions de maître d’apprentissage,
respect des niveaux de rémunération.
Elle met en œuvre les dérogations
éventuelles et vérifie l’inscription de
l’apprenti dans un CFA.
ère
année
ème
année
3ème
année
25% 37% 53%
41% 49% 65%
53%* 61%* 78%*
* ou du salaire conventionnel de l’emploi occupé
s’il est plus favorable
Pour plus d’informations :
Pays de Saint-Brieuc, Pays du
Trégor-Goëlo, Pays de Guingamp, Pays
du COB et du Centre Bretagne
Chantal Briens
02 96 78 62 19
chantal.briens@cotesdarmor.cci.fr
Pays de Dinan et Lamballe
Catherine Le Boulanger
02 96 39 59 70
catherine.leboulanger@cotesdarmor.cci.fr
www.bretagne.fr, rubrique formation
L’apprenti perçoit une rémunération
qui varie en fonction de son âge et
de l’ancienneté dans le contrat. Elle
est calculée en pourcentage du SMIC
(sauf dispositions plus favorables de la
convention collective).
4BTS MUC en apprentissage à la CCI
CCi22
23.
24. Six mois après sa mise en service, la CCI
fait un premier bilan du Numéro Vert. Le
secteurquiconnaîtleplusdedifficultésest
celui du commerce, suivi des cafés, hôtels,
restaurants et du BTP. Il n’y a toutefois pas
de zone géographique particulièrement
touchée. En effet, les appels sont répartis
proportionnellement à l’activité économi-
que des différents pays. La majorité des
problèmes rencontrés concerne la tréso-
rerie, les cotisations sociales mais aussi les
relations avec les banques. Les demandes
aboutissent la plupart du temps à un
rendez-vous avec un conseiller de la CCI
afin de faire une analyse de la situation
et mettre en place un plan d’actions ou
à une redirection vers le Tribunal de Com-
merce, l’URSSAF, ou tout autre organisme
compétent afin d’aider au mieux le chef
d’entreprise.
important dans la vie des entre-
Commerce de Saint-
« Le Greffe du Tribunal est une charge
libérale dirigée par Maître Thepho et
comprend 15 salariés. Son rôle est de
transcrire les actes juridiques de la vie
des sociétés, les prises de garanties
(privilèges) se rattachant aux entre-
prises ainsi que l’authentification des
décisions prises par le Tribunal.
Le Tribunal de Commerce est composé
de 22 juges. Son rôle est double : juger
les litiges et différends entre commer-
çants mais aussi, traiter les difficultés
des entreprises en appliquant la « loi
de sauvegarde » . Suivant l’impact des
difficultés de l’entreprise, une concilia-
tion, une sauvegarde ou une cessation
de paiement avec redressement ou li-
quidation judiciaire sont possibles. »
« Les problèmes économiques actuels
sont de nature à augmenter le nom-
bre de dépôts de bilan. Les entreprises
qui ont le plus de chance de se re-
dresser sont celles qui font part le plus
rapidement possible de leurs difficul-
tés financières au Tribunal. »
EN ACTIONS
« Il est compétent depuis le 1er
janvier pour les affaires commer-
ciales précédemment jugées par
le Tribunal de Grande Instance
de Guingamp. Ce rattachement
est le premier effet visible de la
réforme de la carte judiciaire ini-
tiée par la Ministre de la Justice,
Rachida Dati. »
« Aux élections d’octobre 2009,
plusieurs juges, la plupart en fin
de mandat ne se représenteront
pas. Il nous semble souhaitable
que les territoires de Guingamp
et de Lannion soient représentés
dans la juridiction briochine.
Nous sollicitons des hommes ou
des femmes, chefs d’entreprises
ou mandataires sociaux, ayant
des connaissances juridiques
et voulant bien consacrer une
partie de leur temps à la justice
commerciale, à présenter leur
candidature en écrivant au Greffe
du Tribunal de Commerce :
2, Bd Sévigné à St Brieuc ou en
appelant le 02 96 33 68 92. »
er
Pour toute nouvelle demande ou infor-
mation relative à un dossier en cours :
Tribunal de Commerce de Saint-Malo,
centre des affaires Cap sud
1 Croix Desilles - 35400 Saint-Malo
tél. 02 99 20 00 90 / 0891 01 11 11
CCi22
25. Si une entreprise dispose encore de
liquidités mais rencontre des diffi-
cultés de nature à la conduire à une
cessation de paiements, le dirigeant a
la possibilité de se manifester auprès
du Tribunal. Deux types de procédure
sont possibles afin de lui permettre de
continuer à gérer son entreprise tout
en étant accompagné.
La conciliation
La procédure de conciliation remplace,
depuis janvier 2006, l’ancien règlement
amiable avec les créanciers. Elle s’applique
uniquement à la demande du dirigeant
et si l’entreprise n’est pas en cessation de
paiements depuis plus de 45 jours. Un
conciliateur recherche un accord avec les
créanciers, assurant à la fois un équilibre
entre les intérêts des parties et la pérennité
de l’entreprise. Le chef d’entreprise conti-
nue son activité mais les poursuites indivi-
duelles des créanciers ne sont, en principe,
pas suspendues.
Le mandat ad hoc
Ouverte à la demande du chef d’en-
treprise, cette procédure a pour but de
résoudre, le plus en amont possible et
en toute discrétion, les difficultés de
l’entreprise.
Le Tribunal de Commerce va nommer
un mandataire ad hoc qui sera chargé
de négocier avec les créanciers (ban-
ques, fournisseurs…) et trouver des
accords afin d’échelonner les dettes.
Cette procédure, grande innovation de
la loi du 26 juillet 2005, permet d’éla-
borer avec les créanciers un plan de
sauvegarde favorisant la réorganisation
de l’entreprise et la poursuite de son ac-
tivité. Elle ne peut être mise en oeuvre
qu’à l’initiative du dirigeant. Les créan-
ces nées antérieurement à l’ouverture
du jugement sont gelées afin de
permettre au chef d’entreprise de se
réorganiser. Elle fait l’objet d’une pu-
blicité mais il s’agit d’une procédure
préventive, axée autour du dialogue entre
le chef d’entreprise et les créanciers.
Une entreprise est en cessation de
paiements si elle est dans l’impossibi-
lité de faire face à son passif avec son
actif disponible.
Lorsque le Tribunal constate l’état de
cessation de paiements, il doit pro-
noncer l’ouverture de la procédure de
redressement ou de liquidation. Durant
une période d’observation, les chances
de survie de l’entreprise sont étudiées.
Pendant la période d’observation, les
pouvoirs du dirigeant sont limités, un
administrateur provisoire peut être
désigné. Si la situation est irrémédia-
blement compromise, la liquidation
judiciaire sera prononcée.
EN ACTIONS
en contact avec des entrepri-
« Se mettre sous la
protection de la justice
Dès les premières difficultés sé-
rieuses, il ne faut pas hésiter à
se manifester auprès du Tribunal
de Commerce. Cela ne signifie
pas forcément le dépôt de bilan,
bien au contraire, dans certains
cas, se mettre sous la protection
de la justice permet de bénéfi-
cier de conseils, et de prouver sa
détermination à vouloir s’en sor-
tir. Les chefs d’entreprises n’ont
pas forcément conscience de
l’importance d’anticiper leurs
difficultés. Les solutions propo-
sées par le Tribunal de Commerce
peuvent, dans certains cas, éviter
la liquidation judiciaire.»
er
CCi22
26. CDEC
ENTREPRENDRE
EN FRANCE
de votre entreprise
Gratuit, de 14h à 18h
Les mercredis 24 juin, 8 juillet, 26
août, 9 et 23 septembre
Contact : Sophie ROUAULT
02 96 78 62 21
sophie.rouault@cotesdarmor.cci.fr
Les mardis 7 juillet et 8 septembre
Contact : Catherine LE BOULANGER
02 96 39 59 70
catherine.leboulanger@cotesdarmor.cci.fr
Les mardis 7juillet et1er
septembre
Contact : Sylviane MESSEANT
02 96 48 08 19
sylviane.messeant@cotesdarmor.cci.fr
Le mercredi 2 septembre
Contact : Yvonne ANDRIEUX
02 96 28 37 50
yvonne.andrieux@cotesdarmor.cci.fr
entreprendre
De 9h à 12h et de 14h à 18h - 100
Du 29 juin au 3 juillet et du 28 septembre
au 2 octobre
Contact : Sophie ROUAULT
02 96 78 62 21
sophie.rouault@cotesdarmor.cci.fr
Du 22 au 26 juin
Contact : Catherine LE BOULANGER
02 96 39 59 70
catherine.leboulanger@cotesdarmor.cci.fr
Matinées sociales
Le jeudi, de 9h à 12h30 - gratuit
2 juillet et 3 septembre
Contact : Sophie ROUAULT
02 96 78 62 21
sophie.rouault@cotesdarmor.cci.fr
ATELIER
AUTO-ENTREPRENEUR
De 9h30 à 11h30 - gratuit
Le mardi 30 juin
Contact : Sophie ROUAULT
02 96 78 62 21
sophie.rouault@cotesdarmor.cci.fr
Le mercredi 2 juillet
Contact : Catherine LE BOULANGER
02 96 39 59 70
catherine.leboulanger@cotesdarmor.cci.fr
Le vendredi 10 juillet
Contact : Sylviane MESSEANT
02 96 48 08 19
sylviane.messeant@cotesdarmor.cci.fr
EVENEMENTS
Inauguration du port de Saint-Cast :
jeudi 2 juillet à 17h
FORMATIONS
7 et 14 septembre
Word initiation : 28 septembre
pour
faire parler ses chiffres : 23 septembre
23 septembre
Cadres : réussir dans ses fonctions
de manager : 25 juin et 8 septembre
travail : 24 et 25 septembre
Prospecter et fidéliser vos clients
par téléphone : 24 et 25 septembre
Contact : Anne-Marie TALIBART
02 96 78 62 20
anne-marie.talibart@cotesdarmor.cci.fr
-
Préparation et passage du test
23, 24, 25 et 26 juin - 20h
pour managers
2 juillet
- Présenter son entreprise et ses
3 juillet
Et toute l’année anglais, italien,
portugais, polonais, arabe, espa-
gnol, allemand, russe, chinois,
français langue étrangère, en mini-
groupe, cours particuliers ou cours
par téléphone.
Contact : Monique LE PAGE
02 96 75 11 42
monique.lepage@cotesdarmor.cci.fr
Echanger sur le net mais pas
seulement ! Ecobiz, c’est aussi
des rencontres entre adhérents
des différentes communautés
pour progresser et développer
ses compétences.
Pour plus d’informations et
participer à ces ateliers, n’hési-
tez pas à contacter l’animateur
de la communauté.
Communauté International
L’interculturel dans les négociations
à l’international : lundi 29 juin
République Tchèque : Spécial salon
SALIMA et secteur IAA : jeudi 2 juillet
Douane : point sur les récentes évolu-
tions : lundi 7 septembre
Contact : Frédéric BARBIER
02 96 75 11 53
frederic.barbier@cotesdarmor.cci.fr
Communauté Commerçants
Notions d’anglais pour accueillir un
client étranger : vendredi 26 juin
Atelier : les nouvelles attentes des
consommateurs : jeudi 24 septembre
Contact : Edith PAVOINE
02 96 75 11 64
edith.pavoine@cotesdarmor.cci.fr
D’autres réunions ont déjà eu lieu sur
des thématiques variées : les disposi-
tifs financiers d’aides à l’export,
l’actualité juridique, une plénière ré-
gionale PLATO, …
Retrouvez toute l’actualité
economique locale sur
www.cotesdarmor-ecobiz.fr
EN ACTIONS
CCi22
27. UNE RELATION DURABLE, ÇA CHANGE LA VIE.
Comment optimiser
la gestion de
vos comptes?
Comment optimiser
la gestion de
vos comptes?
28. Pour bien transmettre votre entreprise
il faut que vous pensiez à l’avenir
de votre entreprise en pensant
que vous n’y serez plus à l’avenir.
Bilan Entrepreneurial CIC
On analyse à la fois les conditions de transmission de votre
entreprise et les incidences sur votre patrimoine personnel.
29 agences Entreprises CIC du Grand Ouest accompagnent vos projets.
Pour connaître l’agence la plus proche : cic.fr
cic.fr