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Titanic sos partie 2 vf cadres et dirigeants 2015 08-25
1. L’entreprise SOS Titanic et la
Technologie « Ice Berg » (suite)
Par AlexanderKopriwa (ContributeurExpert) le 25 août 2015
Passagers de la Première Classe, le capitaine vous invite à
abandonner le vaisseau ! Pour la deuxième et troisième classe, tout
est sous « contrôle ». Pourtant le Titanic va couler et se fracasser
contre un iceberg qui ne devait pas être là. L’analyse des causes de
cette catastrophe des plus meurtrières dans l'histoire moderne - plus
de 1500 victimes – doit servir de leçon aux entreprises et aux
gouvernements qui naviguent souvent dans «les eaux glacées des
icebergs», toujours plus vite. Décryptage par un expert.
Pourappréciercetarticle,mieux vautlire d’abordla1ère partie L’entrepriseSOSTitanicetde la
Technologie « Iceberg».
Sans vision systémique,
les « compartiments étanches» sont privilégiés
L’esprit humain préfère diviser les problèmes en petits morceaux plus faciles à gérer, le milieu
universitaire favorise la pensée linéaire, enfermant ses enseignants dans une camisole de
convictions. Cependant, la vitesse, la complexité et le nombre des interactions ne cessent de
2. croître et rendent difficile leur suivi et toute anticipation vraiment perspicace. Le fameux « Titanic
Iceberg SOS » d’autrefois est facilement remplacé par les réseaux informatiques, les systèmes
de contrôle des flux aériens ou terrestres, tous les procédés de haute technologie complexes
(réacteurs nucléaires, réseauxd’énergie, de l’eau et gestion des déchets).
En réduisant la complexité,
on réduit l’exposition aux risques
Lorsque la gouvernance est hors de contrôle, les systèmes peuvent soudainement s’effondrer de
manière irrationnelle, sans logique apparente et générer des conséquences imprévisibles.
Quelques exemples : Tchernobyl, Fukushima, grandes banques, et réseauxtélécom, le contrôle
de la circulation et même la stratégie économique du gouvernement et même les systèmes
sociétaux.
Les individus doivent mieux contrôler leurs émotions, les entreprises et les gouvernements leur
propre complexité, en tenant compte de leur exposition systémique aux risques. Chaque pièce du
puzzle interagit, et en réduisant la complexité, on réduit l’exposition aux risques. Mais les
entreprises sont aussi dépendantes des marchés, de la concurrence, des fournisseurs et des
clients. La croissance de la complexité affecte l’efficacité et la rentabilité, et plus la quantité de
technologie utilisée croît, plus cela augmente la fragilité et aggrave le problème.
OCAP – Hors du Plan d’action de contrôle
Lorsqu’un processus est « out-of-control », son responsable compile les données et les causes
qui lui sont assignés en suivant le plan d’urgence « out-of-contrôle », l’action (OCAP) associée à
la carte de contrôle. Le contexte OCAP doit réfuter l’hypothèse que « les données de contrôle »
viennent de la même source que les données utilisées pour le concevoir et le modéliser.
Pour approfondir le sujet http://www.ontonix.com/Crisis-Anticipation.htm
La complexité réside partout, même dans les systèmes d’information de gestion (MIS). Les
dirigeants des systèmes informatiques luttent pour orienter leur «navire» en tenant compte de
toutes les contraintes, parfois en les ignorant, ce qui correspond à jouer à la «roulette russe».
Comment quantifier les mouvements
de la technologie «Iceberg»
Garder des critères «quantitatifs» sur l’écosystème de l’entreprise numérique est obligatoire pour
maîtriser et identifier la mauvaise complexité. Cela exige à la fois une vision et une forte volonté
d’empêcher le «navire» de partir avec toute sa puissance dans les eaux glacées inconnues. La
complexité peut être mesurée, quantifiée, et gérée de trois façons :
1 – «de haut en bas de l’extérieur» : cette solution simple et économique permet de diagnostiquer
rapidement les grands «icebergs» cachés en exploitant les données des indicateurs de
processus (KPI) existants.
Pour approfondir le sujethttp://www.ontonix.com/CloudSolutions.htm
3. 2 – Quantifier sur site la complexité (asynchrone ou en temps réel), c’est l’idéal
pour les systèmes critiques ou des données hautement confidentielles. Cela peut être intégré à
toute plate-forme de gestion (système ERP, base de données, Data Warehouse, système de
Business Intelligence, ou d’un système de gestion de workflow).
QCM Enterprise offre:http://www.ontonix.com/EnterpriseSolutions.htm
3 – Explorer les données de la complexité d’un maximum d’1million de paramètres, avec l’aide de
super ordinateurs, on explore ainsi les très grands écosystèmes afin d’en améliorer la
gouvernance et la compréhension du risque du point de vue stratégique.
Pour approfondir sur la vision
stratégiquehttp://www.ontonix.com/file/ontonix_extreme_2014_public.pdf
Solutions Expert verticales
et indicateurs de gestion 360° KPI
Les solutions experts et les offres verticales d’Ontonix fournissent des applications spécialisées
pour des problématiques de pointe, tels les portefeuilles d’investissement AssetDynex ou RAS
(alerte au risque systémiques). Ces solutions fournies par Ontonix et nos partenaires offrent une
valeur ajoutée OEM. Aujourd’hui les consultants KPI agrègent des données avec la Business
Intelligence (BI) et divers outils de bases de données (DW/DM). La direction obtient une vision
360 ° pour mieux gouverner, l’information étant extraite des systèmes ERP tels que SAP, Oracle
ou Microsoft Dynamics. Ces sources de données «classiques» prétendent détenir la «vérité»
nécessaire pour une meilleure prise de décisions dans les affaires. SAP compte actuellement
plus de 46 000 entreprises à travers le monde, c’est la « meilleure» solution acclamée par les
MNC, hautement fonctionnelle pour l’entreprise mais complexe et coûteuse à mettre en œuvre et
à utiliser.
Comment mesurer
le bon fonctionnement de SAP
Pour répondre à ce «paradoxe» il y a un système expert de notre partenaire allemand West Trax
(WT) qui permet de mesurer tous les rouages (KPI) de SAP pour en vérifier le fonctionnement et
le potentiel d’optimisation. Les sociétés qui gagnent une bonne mise en oeuvre de SAP
obtiendront un certificat d’excellence SAP. WT fournit aussi une analyse comparative des usages
les meilleurs et les pires, par rapport aux sites de taille et de secteurs d’activité similaire. Seul un
faible nombre d’installations de SAP sont bien mises en œuvre; cela représente un risque de
complexité et une charge financière importante qui risquent d’entamer les précieuses ressources
budgétaires des services informatiques.
Nous traiterons ce sujet en détail dans le prochain article, la 3ème partie de l’Entreprise Titanic
SOS et la Technologie «Iceberg», dans lequel nous étudions comment aider les organisations à
se démarquer de leur propre SAP « Iceberg», comment réduire les coûts d’utilisation du système
SAP, et diminuer la complexité et l’exposition aux risques. L’objectif est d’améliorer le retour sur
4. investissement SAP via des tableaux de bord et des analyses de type Benchmark pour obtenir
une feuille de route plus fiable.