2. • Comprendre l’importance du participatif et des
modalités pédagogiques de chacun des
réseaux sociaux.
• Comprendre les enjeux liant la médiation au
sein du Grand Palais et les réseaux sociaux.
3. • Un site internet qui casse l’image du musée
idéal et figé.
• Favorise la préparation de visite et propose un
complément de visite.
• Bonne identification des activités et des outils
de médiation proposés au public
5. • Twitter rend la parole à l’utilisateur qu’il soit
fasciné d’art ou juste curieux et avide de
découverte. Il peut commenter en temps réel ce
qu’il voit pendant sa visite et le partager avec
d’autres utilisateurs.
• Conquérir de nouveaux publics qui ne
fréquentent pas les musées.
6. Tweet de Noémie Roussel sur sa visite de
l’exposition Depardon.
7. • Découvrir les collections et expositions du
Grand Palais grâce à des supports de
médiation attractifs et interactifs.
• Support pluri sensoriel qui favorise le
ressenti et les émotions.
8. • Sur TripAdovisor, c’est l’internaute qui fait
vivre la page du Grand Palais (Notation sur la
réputation de l’institution, publication de
photographies, de vidéos).
• Outil participatif qui permet au visiteur de
laisser une note ou un avis sur son expérience
de visite.
9. • Le Grand Palais sur Facebook, c’est fidéliser
par le like, participer en partageant et en
jouant, se cultiver grâce à la présentation d’une
œuvre par semaine.
• Lier le ludique et le marketing : Un jeu par
semaine, qui propose aux utilisateurs de gagner
des entrées gratuites au Grand Palais.
(Exemple : La Fabrique Cubiste)
12. • Sur Tumblr, l’utilisateur peut publier librement
du texte, des images, des vidéos, des liens et
des sons sur son tumblelog (billet courts).
• Importance du visuel.
• Multiplicité de visions et points de vues.