1. Les traumatismes Abdominaux
Introduction :
Le TA intéresse la région située entre le diaphragme et le plancher pelvien
On distingue les T ouvert : 30% des cas par agent vulnérant ou les armes blanches ou un
empalement.
Les T fermés :………de ……… : Les AVP, accidents de sports, chute d’un lieu élevé
Le diagnostic des lésions abdominales soit être fait rapidement malgré l’existence d’autres
lésions.
Ce TA peut être isolé, mais il est fréquemment associé a un polytraumatisme (crânien,
thoracique…)
Le mécanisme peut être direct par écrasement ou bien compression de l’abdomen ou par
décélération brutale avec lésion des lésions vasculaires, désinsertion ou dissection qui peut
être grave
Il peut exister des lésions abdominales lors d’une propagation d’une bombe (effet blast)
Examen local :
Le Dc clinique de l’atteinte viscérale est difficile à la phase précoce surtout chez un
polytraumatisme
Interrogatoire (s’il est conscient) :-les circonstances de l’accident
-le type, le siège et l’horaire de l’accident
L’existence de vomissement, syncope passagère
Inspection :
Des hématomes, ecchymoses
Palpation :
Douleur –défense ou contracture-hématome péri-rénal-
TR : permet d’explorer le point le plus déclive, peut être douloureux et /ou comblé
Examen des urines pratiqué a la recherche d’une hématurie témoin d’une contusion rénale
ou lésion vésicale.
2. Examen général :
Pouls, TA température, pâleur, agitation, sueur, tendance d’une syncopale
Examen clinique initial :
Est capital pour établir la gravité, il doit être complet
Conduite à tenir :
Prise en charge initiale importante : voie veineuse initiale, pouls , TA et l’évolution dans le
temps ====cette situation permet de distinguer 2 cas selon que l’état hémodynamique est
stable ou pas
Hémodynamique instable===hémorragie importante ===laparotomie permettre de
découvrir complètement les lésions abdominales.
Le plus souvent le blessé est en état hémodynamique stable sous réanimation et l’évolution
peut se faire vers la disparition des symptômes soit vers des complications : hémorragie
intense ou perforation viscérale.
Ceux sont des examens cliniques répétés joint aux données de l’imagerie qui décideront de
l’attitude thérapeutique.
Biologie :
F.N.S, groupage ; hémostase, urée
Imagerie :
Télé thorax : (pneumothorax, hémothorax)
Radio du bassin : fracture potentiellement hémorragique) et faisant suspecter un trauma
urétral qui contre indique le sondage vésical
ASP : (recherche des perforations) : peu d’intérêt à la recherche d’un pneumopéritoine
Echographie abdominale : facile, non invasif peut se faire au lit du malade, systémique a la
recherche d’un épanchement péritonéal
Intérêt majeur en cas d’instabilité hémodynamique.
Inconvénients : les lésions des organes creux sont rarement détecter, permet une
surveillance de l’hémopéritoine, examen radiologue dépendant
Scanner ; du corps entiers il permet de faire un bilan précis, rapide, objectif et complet.
3. Sa réalisation ne doit pas retarder un TrT urgent, il se fait chez un patient stable, avec
surveillance d’un Mdc
IL détecte avec précision un pneumopéritoine
Exploration des gros VX (aorte, veines caves, sus hépatique...)
Retro péritoine : rein, psoas, bassin
Artériographie : demandé en cas d’instabilité hémodynamique persistante
A la fois diagnostique et thérapeutique/
IRM : s’impose comme méthode de choix dans les lésions diaphragmatique traumatique,
permet de visualiser directement le diaphragme et don contenu.
Cœlioscopie : méthode de choix
Ponction lavage du péritoine : PLP : sous anesthésie locale : 1/3sup de la ligne joignant
l’ombilic au pubis, après sondage viscéral
On introduit un cathéter dirigé vers la cavité pelvienne, on introduit 1L de sérum physiol et
qu’on va le recueillir en suite par siphonage
Résultat :
Si le liquide qu’on recueille est clair : PLP (-) : pas d’hémorragie
Rouge : hémopéritoine
Rose====laboratoire==sup a 100000== hémorragie
Il me reste 2 lignes, désolé