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CONSEIL MUNICIPAL
Compte-rendu analytique
de la séance du 26 mars 2015
2
CONSEIL MUNICIPAL DU 26 MARS 2015
Appel : 33 Ă©lus sont prĂ©sents. ClĂ©mence JOMIER a donnĂ© pouvoir Ă  Éric BERDOATI. Pierre CAZENEUVE est absent
excusé.
ADOPTION DU PROCÈS-VERBAL
Le procĂšs-verbal de la sĂ©ance du Conseil municipal du 29 janvier 2015 est adoptĂ© Ă  l’unanimitĂ©.
Damien RICHARD est Ă©lue Ă  l’unanimitĂ© SecrĂ©taire de sĂ©ance. (DĂ©libĂ©ration n°9)
COMPTE-RENDU DES DÉCISIONS PRISES PAR LE MAIRE
Le Maire rend compte des 24 décisions qu'il a prises dans le cadre de la délégation de pouvoirs accordée par le
Conseil municipal:
Marchés de travaux et missions consécutives (3 décisions):
- Restructuration partielle du Musée
- Entretien des voies communales et annexes
Marchés et Contrats : fournitures et prestations de services (2 décisions):
- Mission de relation presse valorisant la programmation 2015 du musée des Avelines
- Convention de prĂȘt de livres scolaires Ă  la mĂ©diathĂšque par le lycĂ©e Alexandre Dumas
Affaires juridiques et domaniales (14 décisions)
- Conventions d’occupation domaniale pour des logements : 3/5 rue RenĂ© Weill, 9bis rue RenĂ© Weill, 31 rue Royale,
20 rue de Garches, 8 place de Silly, 1 avenue de Fouilleuse, 2 rue Michel Salles, 17 rue HĂ©bert.
Affaires financiÚres (1 décision):
- Fixation d’un tarif spĂ©cial pour l’opĂ©ration « Le printemps des clowns » du 10 au 22 mars 2015 aux 3 Pierrots
Organisation de manifestations municipales (1 décision):
- Atelier de construction de robots le 24 janvier 2015 Ă  la MĂ©diathĂšque municipale
Régies municipales (3 décisions) :
- CrĂ©ation de rĂ©gies d’avances - SĂ©jours Ă  TamiĂ© du 14 au 21 fĂ©vrier et du 21 au 28 fĂ©vrier 2015 ; colonie Ă  Masella
du 14 au 21 février 2015.
COMMUNICATIONS
Éric BERDOATI


































..
 Maire
Dominique NOVELLA, qui fut Conseiller municipal de 2001 à 2008, assurant les responsabilités de délégué du
quartier Hippodrome, Val d’or, Fouilleuse, est dĂ©cĂ©dĂ© lundi. Il a mis beaucoup d’engagement personnel dans ses
missions. Ses obsÚques auront lieu au crématorium de Nanterre lundi 30 mars à 15h. Le Maire et le Conseil municipal
adressent leur plus vive sympathie Ă  son Ă©pouse Patrice NOVELLA.
Les syndicats de copropriétaires des immeubles des 7 et 9 rue Pozzo Di Borgo avaient fait deux recours devant le
tribunal administratif : le premier en 2009 contre la modification du POS relative Ă  la zone couvrant le Centre
hospitalier et le second en 2010 contre le permis de construire de réhabilitation de ce Centre. Ils avaient été déboutés
en 1Ăšre
instance. La Cour administrative d’appel de Versailles a confirmĂ© les jugements de premiĂšre instance le 5 mars
3
2015 et a confortĂ© la Ville dans ses dĂ©cisions. Le projet de rĂ©habilitation de l’HĂŽpital des Quatre Villes est un projet
d’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral, il est regrettable que tous ne l’aient pas compris.
Dominique LEBRUN










. Premier Maire - Adjoint, Espace public, voirie et transports
La réhabilitation de l'avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny sera achevée le 17 avril 2015.
Les travaux RTE boulevard de la RĂ©publique se poursuivent normalement pour ĂȘtre achevĂ©s au courant de l’étĂ©.
La gare principale et la gare du Val d’or seront fermĂ©es pour travaux importants effectuĂ©s sur les voies du vendredi 3
avril au soir au lundi 6 avril inclus (weekend de PĂąques)
Les travaux du mur anti bruit sur le viaduc de l’autoroute A13, qui ont repris, vont se terminer Ă  la fin de l’annĂ©e avec
la construction de panneaux de deux mÚtres de haut (le double de la hauteur prévue sur Boulogne) et un éclairage
refait Ă  neuf.
La troisiĂšme station AUTOLIB va ĂȘtre installĂ©e rue Pasteur au droit de l’école allemande.
Les travaux de rĂ©fection de l’éclairage public rue Pasteur effectuĂ©s sous la direction des services du dĂ©partement
sont en cours jusque fin mai.
Un site d’apport volontaire de dĂ©chets va ĂȘtre mis en place Ă  la sortie du CarrĂ© Saint-Jean. Ce site sera ouvert le 24
avril et fonctionnera le quatriĂšme vendredi de chaque mois, l’aprĂšs-midi. Ce service rĂ©pond Ă  une demande de la
population.
Les déchets verts seront ramassés à nouveau à compter du 1er
avril, pour une durĂ©e de dix mois. Il n’y a pas de
ramassage en février et en mars.
Un courrier a Ă©tĂ© remis aux habitants du Quartier du Val d’Or leur annonçant la tenue d’une rĂ©union publique relative
Ă  la mise en place de la nouvelle grille horaire pour les usagers des lignes L et U du Transilien. Elle aura lieu mercredi
1er
avril à 20h30, au Carré.
Éric SEYNAVE


.....Adjoint au Maire, Finances, affaires juridiques, achats et dĂ©veloppement Ă©conomique
Situation de l’Emploi Ă  Saint-Cloud en janvier 2015 : Le taux de chĂŽmage est Ă  8,25 % en fĂ©vrier (hommes : 7,89 %
et femmes : 8,63 %).
Brigitte PINAULDT





..







Adjoint au Maire, Petite enfance, Education, Jeunesse
Education
Rythmes scolaires : - La ville a reçu l’intĂ©gralitĂ© du fonds d’amorçage (aide financiĂšre de l’Etat) qui s’élĂšve Ă  132 000
euros pour cette année scolaire.
- Le comité de suivi réuni le 23 mars avait deux objectifs :
1. Effectuer un bilan d’étape sur la base d’une enquĂȘte menĂ©e par l’ensemble des fĂ©dĂ©rations de parents d’élĂšves
des Ă©coles publiques de la ville auprĂšs des parents. 60 % d’entre eux ont rĂ©pondu ; la synthĂšse complĂšte est en cours.
2. Statuer sur une organisation plus légÚre des temps périscolaires, mise en place dÚs la rentrée prochaine, plus en lien
avec celle des associations culturelles et sportives ; plus axĂ©e sur les besoins de l’enfant. Pour cela :
- Les Ă©quipes d’accueil pĂ©riscolaire travaillent sur la rĂ©organisation de l’accueil du soir, dans la perspective de la
rentrée, en tenant compte des orientations du comité de suivi.
- Les services de la Ville et de l’Education Nationale Ă©tudient ensemble un projet d’organisation de l’accueil de 16h15
à 17h en élémentaire.
- La police municipale prépare la réorganisation des points écoles à 15h45.
- Des pistes d’amĂ©lioration et de simplification du dossier pĂ©riscolaire sont en cours d’instruction.
Une rĂ©union des parents par Ă©cole Ă©lĂ©mentaire est prĂ©vue en mai pour prĂ©senter l’organisation et le projet de la rentrĂ©e.
Le directeur des temps pĂ©riscolaires sera associĂ© aux conseils d’école du 3Ăšme
trimestre. Le dossier périscolaire sera
téléchargeable début juin et une information sur la nouvelle organisation du périscolaire sera diffusée dans Saint-Cloud
Magazine du mois de juin.
Sécurisation des établissements scolaires : Un assouplissement du Plan VIGIPIRATE été annoncé par le Directeur
acadĂ©mique des services de l’éducation nationale. Les sorties scolaires sont Ă  nouveau autorisĂ©es Ă  Paris.
Les carnavals des écoles maternelles se sont déroulés cette année au sein des écoles pour des raisons de sécurité.
4
Florence GUIRAUD





















Adjoint au Maire, Services à la population
Des remerciements sont adressés aux différents assesseurs de toutes tendances politiques qui ont assumé leur
mission dimanche qui a permis un bon déroulement des élections départementales à Saint-Cloud. Les vice- présidents,
les scrutateurs et le personnel municipal sont associés à ces remerciements.
Delphine RENAUDIN












Adjoint au Maire, Patrimoine communal (gestion et travaux)
Le service BĂątiment prĂ©pare les travaux d’étĂ© dans les Ă©coles avec grande prudence en raison de l’incertitude Ă  ce
jour sur le montant du budget d’investissement 2015.
L’entretien des bñtiments communaux est quotidien. Les interventions des ateliers et des entreprises de
maintenance sont nombreuses. La volonté est de chercher à réduire les coûts dans la mesure du possible.
La commission communale de sĂ©curitĂ© et d’accessibilitĂ©, prĂ©parĂ©e et suivie par le service HygiĂšne et SĂ©curitĂ©, s’est
rĂ©unie Ă  plusieurs reprises. Elle a Ă©mis un avis favorable pour la poursuite d’activitĂ©s de la FĂ©dĂ©ration française de
Bridge et a rĂ©ceptionnĂ© favorablement les travaux de mise en sĂ©curitĂ© de l’HĂŽtel Magenta.
La commission départementale de sécurité a réceptionné les travaux du Centre hospitalier des Quatre
Villes permettant un regroupement des maternités sur le site de Saint-Cloud. Les pavillons Pasteur et Laval du Centre
hospitalier ont également été réceptionnés.
SĂ©golĂšne de LARMINAT



























.Adjoint au Maire, Culture
Programmation des Trois Pierrots : Jeudi 2 avril Ă  20h30 : BIG APPLE, jeudi 9 avril Ă  20h30 : LA CARTE DU TEMPS,
mardi 14 avril à 20h30 : Vincent DELERM. Les Rencontres de danse, la Ligue d'improvisation au Carré (260
spectateurs) ont affiché complet. Toutes les places ont aussi été vendues pour L'Ecole des Femmes de MoliÚre
(spectacle nommé aux MoliÚres pour la meilleure mise en scÚne), piÚce présentée ce soir. L'opération originale du
printemps des Clowns a réuni 760 spectateurs avec un accueil trÚs enthousiaste des spectateurs sur de belles
propositions artistiques qui renouvellent l'art du Clown.
MusĂ©e des Avelines : Record de frĂ©quentation avec prĂšs de 9 400 visiteurs pour l’exposition sur le peintre Gaston
La Touche, du 16 octobre 2014 au 1er mars 2015. - Le musée propose une exposition « 1915-1919, un Camp
canadien Ă  Saint-Cloud « du 16 avril au 12 juillet 1915 sur l’histoire de l’hĂŽpital militaire canadien-français installĂ© sur
l'hippodrome de Saint-Cloud pendant la Grande Guerre. Cette exposition, placée sous le haut patronage de
l'Ambassade du Canada en France, sera accompagnée d'une riche programmation : concerts, conférences, contes,
ateliers jeune public et animations pour les scolaires.
MédiathÚque: - samedi 11 avril 2015, à 17h « Des voix et des histoires » 7 femmes racontent des histoires
drolatiques, caustiques, poétiques ; textes lus par le groupe "Souffle et voix" de l'ECLA. - Début d'un partenariat avec
l'espace senior de la gare des Coteaux : trÚs grand succÚs de la dictée "Dis-moi dix mots" (opération nationale pilotée
par le MinistĂšre de la Culture et de la Communication).
ECLA :::: L’ECLA et la compagnie Point de Rupture recherchent 30 Clodoaldiens de tous ñges (adolescents et adultes
sans expérience théùtrale) pour participer à un projet dénommé Temps suspendus. Une restitution publique de cette
expérience théùtrale sera présentée aux 3 Pierrots dimanche 31 mai à 15h. Gratuit - Sur inscription dÚs le 1er
avril auprùs de l’ECLA au 01 46 02 34 12 ou sur mjc@ecla.net
Conservatoire :::: Concert de piano donné par Monique MARTINELLI - GLEMEIN dimanche 29 mars 2015 à 17h00
dans la salle de l’Auditorium.
Marc CLIMAUD
























..Adjoint au Maire, Sports et animation
Sports
Les volleyeuses, qui sont dans le groupe Ă©lite, sont 3Ăšmes
de leur championnat. Elles sont d’ores et dĂ©jĂ  qualifiĂ©es
pour la coupe d’Europe l’an prochain. Le dernier match a lieu au stade GĂ©o AndrĂ© (Porte de Saint-Cloud) contre Cannes
le 4 avril prochain. Les Clodoaldiens peuvent s’inscrire pour participer Ă  cette soirĂ©e exceptionnelle suivie d’un cocktail.
5
Manifestations
La 8Ăšme
Ă©dition de l’ECOTRAIL, organisĂ©e dimanche 22 mars 2015 a Ă©tĂ© un succĂšs avec 1200 participants pour le
trail Twin santé.
Dimanche 5 avril, une des plus grandes chasses aux Ɠufs d’Ile-de-France est proposĂ©e aux enfants par France
Galop, sur l’hippodrome de Saint-Cloud. 10 000 Ɠufs en chocolat attendront petits et grands. Ce sera l’occasion de
plonger dans l’univers des courses hippiques et de profiter des animations gratuites en plein air. L’entrĂ©e est libre
pour les jeunes de moins de 18 ans.
Un stand développement durable est mis en place, en partenariat avec la Ferme du Piqueur, sur la brocante
Toutocoto du 28 mars....
JournĂ©e Porte ouvertes sur l’hippodrome Saint-Cloud :« Galops en Seine » le 1er
mai avec le Prix du Muguet. Entrée
gratuite.
Le Grand Prix de Saint-Cloud, organisĂ© traditionnellement sur l’hippodrome, a lieu dimanche 28 juin.
Christine CHAZELLE



















.Adjoint au Maire, DĂ©veloppement durable
La ville, en partenariat avec la Ferme du Piqueur, propose au public à l’occasion de la brocante Toutocoto sur le
stand développement durable de se faire prendre en photo dans un décor bucolique avec l'inscription d'un
engagement concret pour la planĂšte, choisi et inscrit sur une ardoise. Cette animation est l'occasion d'Ă©changer sur
l'engagement citoyen et les Ă©co gestes du quotidien.
1 heure pour la planÚte : samedi 28 mars 2015 à 20h30, dans le cadre du mouvement "Earth Hour" organisé par
la WWF, des millions de personnes du monde entier éteindront la lumiÚre pendant une heure pour célébrer leur
engagement pour la planÚte. Les Clodoaldiens sont invités à se joindre à ce mouvement.
Depuis le dernier Conseil municipal, les élus des villes des Hauts-de-Seine en charge du développement durable se
sont rĂ©unis Ă  deux reprises: d’abord pour relancer le projet Eco-Ă©cole sur leur territoire et partager leurs expĂ©riences
sur le sujet pour en faire un premier projet phare pour les villes ; ensuite, avec l'intervention d'Eco Emballage sur le
tri des déchets afin de redynamiser les villes autour de la thématique.
Olivier BERTHET




Adjoint au Maire, Sécurité publique, anciens combattants et sécurité routiÚre
Manifestation patriotiques : la journée nationale de commémoration des victimes et héros de la Déportation a lieu
dimanche 26 avril. Le 70Ăšme
anniversaire de la Libération est célébré le 8 mai. Les Clodoaldiens sont invités à
participer nombreux Ă  ces manifestations.
SĂ©curitĂ© publique : Le Plan VIGIPIRATE est toujours au niveau maximum : alerte attentats, mĂȘme si des mesures
d’assouplissement sont prĂ©vues pour les sorties scolaires.
Nicolas PORTEIX





















Conseiller délégué du Quartier Centre/Village
L’association Saint-Cloud Sourires organise une brocante destinĂ©e aux enfants, dimanche 12 avril 2015.
Mireille GUEZENEC



























..Conseiller délégué aux seniors
Seniors : Depuis le dernier conseil municipal, les séniors ont été trÚs actifs. En février, un bal a été organisé au Foyer
Logement des Heures Claires, suivi d’une sortie au musĂ©e et aux temples de la Franc-Maçonnerie.
DĂ©but mars a eu lieu le KaraokĂ©, puis dans le cadre des activitĂ©s intergĂ©nĂ©rationnelles, les sĂ©niors ont fĂȘtĂ© le Carnaval
à la crÚche la Farandole. L'activité "sophrologie», commencée le 6 mars, se poursuit en avril. Les séniors participeront à
la confection des costumes pour le projet Balades Historiques organisĂ© dans le Parc de Saint-Cloud par l’association
Les Trois Clouds. Le 10 mars, en partenariat avec la MédiathÚque, quelques séniors ont participé à une création
littéraire. La sortie mensuelle de mars a eu lieu à l'Opéra Garnier le matin et au Musée Fragonard l'aprÚs-midi.
Le 20 mars une vingtaine de personnes ont fait la dictée de la francophonie, en partenariat avec la médiathÚque, dans
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le cadre de la semaine de la langue française. Hier un petit groupe s'est rendu au Musée du Louvre, dans le cadre des
Relais Culturels du Champ Social. La colonie des seniors aura lieu à Tamié du 7 au 13 septembre, les places sont
limitĂ©es et les prĂ©inscriptions se font en mairie jusqu’au 10 avril. Tous les programmes et les photos de toutes les
activités sont sur le site Internet de l'Espace Animation des Coteaux.
Vie du Quartier Hippodrome/ Fouilleuse : Beaucoup de Clodoaldiens des avenues Francis Chaveton et de Fouilleuse
sont prĂ©occupĂ©s par le projet de la construction de 6 000 logements sur le terrain de l’hippodrome. Ils sont prĂȘts Ă 
participer Ă  toutes les actions qui pourraient ĂȘtre menĂ©es par la Ville pour contrer ce projet.
Jean-Christophe PIERSON
















..Conseiller dĂ©lĂ©guĂ© au Commerce et Ă  l’artisanat
Nouveau commerce : Quartier Centre - Village : Finlange (vĂȘtements pour enfants), inauguration le 10 avril 2015. Le
Conseil municipal souhaite la bienvenue à ce nouveau commerçant.
Selon le « Bottin gourmand magazine », GrĂ©gory PAILLIETTE de la Maison PAILLIETTE est considĂ©rĂ© comme l’un des
100 meilleurs boulangers de France. Le Conseil municipal lui adresse ses sincÚres félicitations.
Anne COVO



























...Conseiller délégué à la Petite enfance
La Commission d’attribution des places en crĂšche se tient en mai prochain, prĂ©cĂ©dĂ©e d’une prĂ©-commission.
La journée pédagogique a été organisée vendredi 13 mars. Toutes les équipes du personnel de la Petite Enfance
Ă©taient prĂ©sentes ; elles ont apprĂ©ciĂ© les intervenants et l’ensemble de cette journĂ©e.
L’AssemblĂ©e GĂ©nĂ©rale de l’association E.E.F (Enfance et Familles de Saint-Cloud) a eu lieu lundi 23 mars. Le nombre
d’assistantes maternelles est en forte augmentation. L’association est toujours en recherche d’un PrĂ©sident.
Damien RICHARD


























...Conseiller délégué à la Jeunesse
Une campagne d'information sur les Bourses Initiatives Jeunes est en cours. Ce dispositif permet Ă  la ville de
financer en partie un projet réalisé par un ou plusieurs jeunes de Saint-Cloud. La commission se réunit mercredi 1er
avril pour examiner deux nouveaux dossiers. Les personnes intéressées par ce dispositif peuvent se rendre sur le site
Internet jeunesse de la ville pour connaßtre les modalités d'attribution.
Conseil des jeunes - Une plaquette présentant les membres ainsi que leur nouveau logo a été éditée ; elle est mise
à disposition dans les établissements scolaires. - Le séjour solidarité au Maroc aura lieu du 19 au 26 avril 2015. Les
derniers préparatifs sont en cours. Une réunion a eu lieu hier en présence des parents concernés. Les jeunes
continuent leurs actions pour récolter des fonds (tombola). Ils co organiseront également la journée de la Solidarité
Thaïlandaise le 13 avril prochain au Carré et ils sont présents ce samedi sur la brocante Toutocoto. Il faut remercier
les personnes qui ont contribué à l'organisation de ces événements et celles qui ont donné des lots pour la tombola.
DELIBERATIONS
Lundi 23 mars, les projets de délibérations ont été étudiés par la Commission des Finances et, pour ce qui la
concerne, par la Commission des Travaux, Les Rapporteurs Généraux de ces deux commissions, Céline
MARTIN, pour les Finances, et Nicolas PORTEIX pour les travaux, donnent connaissance au Conseil des
observations formulées et des avis émis.
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FINANCES
Rapporteur : Éric SEYNAVE
En prĂ©ambule, le Maire prĂ©cise qu’il a Ă©crit au PrĂ©fet le 5 fĂ©vrier pour avoir communication des notifications de l’Etat
(dotations, pĂ©rĂ©quations
). Il lui a rĂ©Ă©crit il y a quelques jours pour lui signifier qu’en l’absence d’informations, la ville
Ă©mettrait des hypothĂšses en fonction des Ă©lĂ©ments du projet de Loi de Finances votĂ© le 19 dĂ©cembre. En l’absence de
rĂ©ponse Ă  ce jour, la sĂ©ance du Conseil municipal du 9 avril, essentiellement consacrĂ©e Ă  l’examen du Budget primitif
2015, est reportée au 15 avril.
N°10 : DĂ©bat d’Orientation BudgĂ©taire pour l’annĂ©e 2015: Le dĂ©bat d’orientation budgĂ©taire, premiĂšre phase
de la derniÚre session budgétaire de la mandature, doit permettre comme chaque année au Conseil municipal de
discuter des orientations ; elles préfigurent les priorités qui seront affichées dans le Budget Primitif 2015 (Fiscalité,
Investissement, Fonctionnement et Endettement).
Le contexte de la premiÚre année de la mandature
- Une Ă©conomie particuliĂšrement fragile avec des perspectives Ă©conomiques incertaines en France et en Europe.
- Le budget 2015 de la France construit avec une inflation prévisionnelle de 0.9% et une croissance estimée à 1 %. Il a
pour objectif Ă  moyen terme de stabiliser le dĂ©ficit et la dette publique en impliquant l’ensemble des acteurs publics.
Les conséquences locales
Les choix financiers dĂ©cidĂ©s par l’Etat ont une telle incidence sur les budgets communaux que le vote du budget a dĂ»
ĂȘtre repoussĂ© une premiĂšre fois au 9 avril, puis au 15 avril afin de prĂ©senter un budget sincĂšre. Depuis 2007, le
budget était voté en décembre pour une meilleure adéquation entre les actions décidées et leur réalisation,
particuliĂšrement en investissement.
L’effort demandĂ© aux collectivitĂ©s locales se traduit par une forte baisse des dotations de l’Etat, principalement la
Dotation Globale de Fonctionnement, et le renforcement de la pĂ©rĂ©quation : FSRIF et FPIC. Comme l’a prĂ©cisĂ© le Maire,
à ce jour, la commune n’a reçu aucune notification de l’Etat concernant ces trois sujets.
En conséquence, les hypothÚses sont basées sur celles retenues lors du vote de la loi de finances pour 2015, publiée
le 29 décembre dernier :
DGF : diminution de 10 % de la DGF = 4 170 K€
FSRIF : augmentation de l’enveloppe de 8 % = 1 220 K€
FPIC : augmentation de l’enveloppe de 36,8 % = 1 300 K€
L’équilibre gĂ©nĂ©ral du budget Ă  ce jour
Compte Administ.
2014
Budget Primitif
2015
Fonctionnement DĂ©penses 43 796 812 € 44 800 000 €
Recettes 45 045 741 € 43 650 000 €
Investissement DĂ©penses 8 797 757 € 8 000 000 €
Recettes 10 362 596 € 8 000 000 €
Éric SEYNAVE souligne que ce budget n’est pas Ă©quilibrĂ© Ă  ce jour, ce qui justifierait une augmentation de la fiscalitĂ©,
tout en réduisant les dépenses pour limiter le plus possible cette hausse.
8
Les Orientations 2015 en matiĂšre de recettes
-Les produits des services: 3 200 000 €. Les prĂ©visions devraient diminuer d’environ 200 000 € par rapport au CA
2014 ; cette diminution s’explique notamment par le transfert de la compĂ©tence « Etudes » dans le budget de la
Caisse des Ecoles.
-Les recettes fiscales: 32 650 000 €.
- La fiscalité des ménages :
L’augmentation des bases est fixĂ©e Ă  0.9 %. Les bases prĂ©visionnelles notifiĂ©es conduisent au rĂ©sultat suivant :
Bases notifiées Taux actuels Produit
TH 87 489 000 11.05 % 9 667 535
TF 93 710 000 10.61 % 9 942 631
TFNB 118 100 12.98 % 15 329
TOTAL 19 625 495
L’équilibre du budget pourrait ĂȘtre rĂ©alisĂ© par d’importantes mesures d’économie et si nĂ©cessaire par l’augmentation
des taux de taxe d’habitation et de taxe fonciùre.
- Les autres recettes fiscales :
Les droits de mutation : 3 000 000 €. Éric SEYNAVE prĂ©cise que les Ă©volutions, dĂ©pendantes du marchĂ© de
l’immobilier, peuvent ĂȘtre trĂšs fortes.
Taxe sur l’électricitĂ© et les droits de stationnement : 1 490 000 €.
- Les dotations et participations : 6 760 000 €. La dotation globale de fonctionnement est la principale dotation reçue.
L’effort demandĂ© en 2015 aux collectivitĂ©s locales s’élĂšve Ă  3.7 milliards d’euros. Le bloc communal perdra 2 milliards
réparti entre 1.6 milliards aux communes et 600 millions pour les intercommunalités. A ce jour, le montant de la DGF
n’est toujours pas notifiĂ©.
CA 2013 CA 2014 BP 2015
5 145 776 € 4 635 000 € 4 170 000 €
Les Orientations 2015 en matiÚre de dépenses
- Fonctionnement : Maitrise au maximum des dépenses de fonctionnement de maniÚre à conserver une capacité
d’autofinancement suffisante.
- Charges de personnel : 21 135 000 €. La masse salariale de 20 608 000€ progresserait de 2 % par rapport au
compte administratif prévisionnel. Elle comprend la refonte des grilles indiciaires des catégories B et C décidée par
l’Etat.
- Les charges Ă  caractĂšre gĂ©nĂ©ral : 12 300 000 € ; elles sont en diminution du fait de la rĂ©duction de certaines
activitĂ©s (ex : Saint-BrĂ©vin) et d’une maĂźtrise de ces dĂ©penses par l’ensemble des services. Éric SEYNAVE souligne les
efforts entrepris.
- les subventions allouĂ©es aux associations : A pĂ©rimĂštre identique, le budget est diminuĂ© de 80 K€ par rapport Ă 
l’annĂ©e 2014. Éric SEYNAVE souligne lĂ  aussi le travail des associations pour diminuer le recours Ă  la subvention.
- les péréquations :
- Le Fonds de Solidarité de la région Ile-de-France : Le montant du FSRIF 2015 dont le produit national passe de 250 à
270 M€ engendre pour notre commune une augmentation non notifiĂ©e. Au minimum le prĂ©lĂšvement opĂ©rĂ© par l’Etat sur
le budget communal serait de 1 220 K€. La prise en compte du critùre de la richesse par habitant, pour 20 % de ce
fonds ne favorise pas notre ville.
- Le Fonds de Péréquation intercommunal et Communal : Le montant du FPIC 2015 dont le produit national passe de
570 Ă  780 M€ engendre pour notre commune une augmentation non notifiĂ©e. Au minimum le prĂ©lĂšvement opĂ©rĂ© par
l’Etat sur le budget communal serait de 1 300 K€. La prise en compte du critùre de la richesse par habitant, pour 25 %
de ce fonds pénalise fortement notre ville.
Les notifications de l’Etat ne sont toujours pas parvenues.
9
- Investissement:
* Le budget a Ă©tĂ© fixĂ©, dans un premier temps, Ă  8 millions d’euros. Ce montant devra ĂȘtre revu, l’objectif retenu Ă©tant
de maintenir un endettement raisonnable au niveau actuel, soit 996 € par habitant.
La dette : L’inscription d’emprunt est Ă©valuĂ©e Ă  ce jour Ă  4 025 000 €. Au 1er janvier 2015, l’encours de la dette est
de 29 917 576,82 €, soit 996 € par habitant avec la mobilisation sur l’annĂ©e 2014 de deux emprunts pour un
montant total de 2 000 K€.
L’autofinancement diminue par rapport à 2014.
BP 2014 BP 2015
Amortissements 1 900 000 € 1 900 000 €
Virement à l’investissement 775 000 € 500 000 €
2 675 000 € 2 400 000 €
DEBAT : MarlĂšne LABATUT pour le groupe « Saint-Cloud, c’est vous » regrette que les estimations chiffrĂ©es de ce
budget 2015 soient succinctes. Elle constate en fonctionnement que les recettes sont inférieures aux dépenses. Elle
s’étonne que la seule solution Ă©voquĂ©e pour rĂ©tablir l’équilibre des comptes soit une augmentation de la fiscalitĂ©
locale, qui s’ajouterait Ă  la hausse des bases d’imposition. Cela ne permettrait mĂȘme pas de maintenir le dĂ©jĂ  faible
niveau de la capacitĂ© d’autofinancement de la ville. Selon elle, il n’y a pas de volontĂ© rĂ©elle pour compenser cette
situation, mĂȘme si elle est liĂ©e aux dĂ©cisions gouvernementales en matiĂšre de pĂ©rĂ©quations et de dotations. Elle
demande ce qui est prévu, par poste, pour diminuer les dépenses de fonctionnement afin de réduire au maximum la
charge supplĂ©mentaire pour les clodoaldiens. En Ă©tudiant les bilans des annĂ©es prĂ©cĂ©dentes, elle souligne qu’il n’y a
pas eu de réels efforts de gestion et de recherche de productivité pour le budget de fonctionnement. Elle regrette le
recours Ă  l’emprunt qui a Ă©tĂ© systĂ©matique, augmentant rĂ©guliĂšrement la dette de la ville. La recherche d’économies
en dĂ©penses doit s’accompagner d’une meilleure identification des recettes (la prĂ©vision de recettes pour les droits de
mutation n’est-elle pas sous-Ă©valuĂ©e ?).
Éric BERDOATI s’étonne des propos tenus qu’il ne peut accepter ; cette vision relĂšve soit d’un manque de
comprĂ©hension qui peut s’expliquer, soit de la dĂ©magogie, faute d’arguments tangibles. Le mĂ©lange dans vos propos
entre le budget d’investissement, la dette et le budget de fonctionnement est une grave erreur. Il n’y a aucune
communication entre les budgets. A Saint-Cloud, comme dans toutes les villes, contrairement à l’Etat, l’investissement
et la dette n’ont jamais servi Ă  financer le fonctionnement. La ville a engagĂ© depuis prĂšs de 10 ans une vĂ©ritable
politique d’investissement pour la rĂ©habilitation du patrimoine communal (environ 90 000 m2). Ce sont les Ă©coles, les
structures de Petite Enfance, les Ă©quipements culturels et sportifs qui profitent Ă  tous les Clodoaldiens. Il y avait du
retard sur l’entretien de ces bĂątiments que le Maire a voulu combler. Ainsi, nous sommes passĂ©s d’une moyenne
d’investissement annuel d’environ 3,5 millions d’€ par an avant 2005 à prùs de 10 millions d’€ par an depuis 2008.
Sur le mandat prĂ©cĂ©dent, le recours Ă  l’emprunt a pu ĂȘtre limitĂ©. Sur les 62 M€ investis, 74% ont Ă©tĂ© financĂ©s par
l’autofinancement. Seulement 26 %, a Ă©tĂ© financĂ© par de l’emprunt. Il y a donc eu, contrairement Ă  ce que prĂ©tend le
groupe Saint-Cloud, c’est vous, un recours Ă  l’emprunt effectuĂ© avec prĂ©caution et maĂźtrise. La dette par habitant est
infĂ©rieure Ă  1000 € et se situe trĂšs en dessous de la moyenne dĂ©partementale et de la moyenne rĂ©gionale qui est
supĂ©rieure Ă  1 500 € par habitant. Quant au fonctionnement, les collectivitĂ©s territoriales ne peuvent pas appliquer les
rĂšgles des entreprises. Mettre fin Ă  un service, comme la fermeture d’une crĂšche par exemple, nĂ©cessiterait de
procéder à un reclassement des agents municipaux chargés de son fonctionnement. Le statut de la fonction publique
territoriale interdit tout licenciement d’agent titulaire. Il n’y a pas de solution dans ce cas. Les mesures d’économies
sont menĂ©es depuis plusieurs annĂ©es ; elles seront dĂ©taillĂ©es avec prĂ©cision lors de l’examen du Budget 2015. Le
DĂ©bat d’Orientation BudgĂ©taire, comme son nom l’indique, se limite Ă  la stratĂ©gie, aux grands principes et aux
orientations. Il sera intĂ©ressant de voir si le groupe Saint Cloud c’est vous dĂ©noncera ou soutiendra les mesures
d’économies qui seront proposĂ©es dans le cadre du budget 2015 ! Il faut dire la vĂ©ritĂ© aux Clodoaldiens : la commune
a un budget de fonctionnement de l’ordre de 42 Ă  43 millions d’€ Ă  l’équilibre, bien gĂ©rĂ©, et qui dĂ©gage un
autofinancement plutĂŽt confortable, situĂ© entre 2,5 et 2,9 millions d’€ chaque annĂ©e. En 2015, la ville est frappĂ©e par
la baisse de la Dotation Globale de Fonctionnement et surtout par l’augmentation exponentielle de la pĂ©rĂ©quation qui
est un prĂ©lĂšvement opĂ©rĂ© directement sur le budget de la commune par l’Etat. La richesse moyenne par habitant,
nettement supérieure à Saint-Cloud par rapport aux autres villes du département, nous pénalise fortement. Ces deux
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facteurs - DGF et pĂ©rĂ©quation -ne constituent pas un choix de gestion municipale mais la consĂ©quence d’une politique
nationale, conformément à la Loi. Il faut donc rechercher des moyens pour financer non pas des services rendus aux
Clodoaldiens, mais la pĂ©rĂ©quation qui prend des proportions importantes sur le budget. Ce financement s’effectuera
par des mesures d’économies en fonctionnement et malheureusement, ce qui n’était pas le cas depuis plusieurs
annĂ©es, par une augmentation de la fiscalitĂ©. Il n’y a pas d’autre choix. Tant que l’Etat ne se rĂ©formera pas pour
disposer d’un budget de fonctionnement en Ă©quilibre, comme les communes sont obligĂ©es de l’avoir, il continuera Ă 
faire des Ă©conomies sur « le dos » des collectivitĂ©s, avec le risque qu’elles soient bientĂŽt dans la situation dans
laquelle l’Etat est aujourd’hui, c’est-Ă -dire dans l’incapacitĂ© de proposer un budget Ă  l’équilibre ! Le Maire attend du
groupe Saint-Cloud c’est vous de rencontrer Éric SEYNAVE, comme cela avait Ă©tĂ© proposĂ© aux groupes d’opposition,
afin que celui-ci reçoive leurs propositions qui seront Ă©tudiĂ©es et qu’il leur apporte des Ă©lĂ©ments de solution.
Éric SEYNAVE rappelle que la gestion publique ne peut se comparer à celle de l’entreprise. Contrairement aux propos
tenus par le groupe Saint-Cloud, c’est vous, la ville est tout Ă  fait capable de faire des Ă©conomies. L’augmentation des
péréquations et le manque à gagner lié à la diminution de la DGF représentent en 2015 un total supérieur à
1 550 000 € !
Le dĂ©ficit prĂ©sentĂ© dans le DĂ©bat d’Orientation BudgĂ©taire entre les dĂ©penses de fonctionnement et les recettes de
fonctionnement, est de 1 150 000 €. Cela signifie que la ville a gĂ©nĂ©rĂ© 400 000 € d’économies !
Agathe BONNIN se demande si les taux pourront ĂȘtre revus Ă  la baisse dans un contexte Ă©conomique plus favorable,
l’annĂ©e prochaine ou les annĂ©es suivantes.
Éric BERDOATI lui rappelle que les taux sont fixĂ©s chaque annĂ©e par le Conseil municipal. Ils peuvent ainsi ĂȘtre
augmentĂ©s, diminuĂ©s ou maintenus. Compte tenu du contexte oĂč les pĂ©rĂ©quations vont encore Ă©voluer, il est peu
probable de diminuer la fiscalité locale en 2016.
Xavier BRUNSCHVICG et son groupe « Saint-Cloud, rive Gauche, partagent un grand nombre de constats posés,
parfois les analyses et conclusions, voire les solutions préconisées. Le contexte est marqué par une crise économique
mondiale, une croissance qui reste trÚs mesurée ; parallÚlement par une volonté du gouvernement de lutter contre les
dĂ©ficits publics avec un effort consĂ©quent de rechercher 50 milliards d’économies auxquelles sont associĂ©es les
collectivitĂ©s locales. Selon l’INSEE, le dĂ©ficit public serait de 4 % cette annĂ©e au lieu des 4,4 % escomptĂ©s ; il Ă©tait de
5,8 % en 2011. En matiÚre de péréquation, il rappelle que le FPIC a été institué en 2011 par le gouvernement Fillon et
prĂ©voyait dĂšs l’origine une montĂ©e en charge exponentielle. Les hypothĂšses Ă©mises par la municipalitĂ© en termes de
baisse de DGF et de péréquations sont assez exactes, voire un peu trop optimistes. Le budget de fonctionnement de la
ville est bien gĂ©rĂ©, les dĂ©penses sont bien tenues. Quant Ă  l’investissement, qui diminuerait d’environ 2 millions en
2015, Il ne faut pas trop le baisser. Comment financer le déficit ? Il va falloir assumer des choix. Quelques pistes de
réflexion sont proposées par la liste Saint-Cloud, Rive Gauche : reporter la mise en place de la vidéo surveillance dont
le coĂ»t est estimĂ© Ă  500 000 € en investissement, mĂȘme si l’impact est de moitiĂ© seulement pour la ville, en raison
des subventions attendues ; réduire les indemnités versées aux élus ; réfléchir dans le cadre de la transition
Ă©nergĂ©tique aux Ă©conomies Ă  rĂ©aliser pour l’éclairage public et les fluides en gĂ©nĂ©ral ; mutualiser un certain nombre de
compĂ©tences au niveau de la CommunautĂ© d’agglomĂ©ration (ramassage des ordures mĂ©nagĂšres un jour sur deux sur
les trois villes) ; diminuer la masse salariale mĂȘme si elle n’est pas Ă©norme Ă  Saint-Cloud, avec un audit de
fonctionnement pour réaliser des économies.
Éric BERDOATI rappelle que la ville est soumise Ă  deux mĂ©canismes de pĂ©rĂ©quation. D’abord, le FSRIF mis en place
en 1991 par Michel ROCARD et dont le terme initial est le 31 dĂ©cembre 2015 ; mais il est probable qu’il soit
renouvelé, avec des conséquences négatives pour Saint-Cloud ; ensuite, le FPIC instauré effectivement en 2011. DÚs
juillet 2012, le gouvernement socialiste introduit un nouveau critùre : la richesse moyenne des habitants, qui n’existait
pas auparavant. C’est comme un deuxiĂšme impĂŽt sur le revenu. Ce changement opĂ©rĂ© a une consĂ©quence trĂšs
nĂ©gative pour notre ville puisqu’il alourdit les prĂ©lĂšvements et impacte donc trĂšs fortement notre budget ! Quant Ă  la
masse salariale du personnel, elle reprĂ©sente 47 % du budget de fonctionnement. C’est un ratio extrĂȘmement faible.
La suppression du jour de carence dans la fonction publique instituée sous Nicolas SARKOZY, mais abandonnée aprÚs
les Ă©lections prĂ©sidentielles de 2012, avait permis Ă  la ville d’économiser 70 000 €. La situation est assez tendue en
11
termes d’effectifs et il serait difficile de proposer les mĂȘmes services avec moins d’agents. Enfin, en matiĂšre
d’économies, un certain nombre de propositions seront faites au moment de l’examen du Budget primitif.
Thierry DIAI est opposĂ© Ă  toute hausse d’impĂŽts au niveau local car ce ne sont pas moins de 90 milliards d’impĂŽts
nouveaux qui ont Ă©tĂ© crĂ©Ă©s par l’Etat depuis 2012. Il a deux solutions : soit rĂ©duire Ă  parts Ă©gales les services
proposĂ©s Ă  la population et les dĂ©penses de personnel ; soit demander au PrĂ©fet, reprĂ©sentant lĂ©gal de l’Etat dans le
dĂ©partement, de prendre en charge le budget. Il ne veut pas ĂȘtre complice de la politique imposĂ©e par l’Etat.
Éric BERDOATI rappelle que baisser la masse salariale par une diminution des salaires est impossible dans le secteur
public, contrairement au secteur privĂ©. Le statut de la fonction publique, qui est l’émanation de la Loi, Ă©dicte des
rĂšgles que toutes les collectivitĂ©s territoriales doivent respecter. De plus le salaire moyen d’un employĂ© communal Ă 
Saint-Cloud n’est pas Ă©levĂ©, contrairement au coĂ»t de la vie dans la rĂ©gion parisienne ! La seule possibilitĂ© est le non
remplacement d’un agent qui souhaite une mutation dans une autre collectivitĂ© mais cela est trĂšs marginal. Quant Ă  la
fiscalitĂ© locale, qui n’a pas Ă©voluĂ© Ă  Saint-Cloud depuis plusieurs annĂ©es, son augmentation est la derniĂšre mesure
envisagée aprÚs avoir épuisé toutes les autres solutions.
Thierry DIAI comprend bien qu’on ne puisse pas baisser les salaires communaux mais insiste sur les opportunitĂ©s
ouvertes pour les suppressions de postes en cas de mutations d’agents.
Le Conseil municipal prend acte de la prĂ©sentation du DĂ©bat d’Orientation BudgĂ©taire pour l’annĂ©e 2015.
SOLIDARITE, LOGEMENT ET ACTION SOCIALE
Rapporteur : Thierry ARNAUD
N°11 : Versement d’une subvention pour surcharge fonciĂšre Ă  la sociĂ©tĂ© OGIF pour l’acquisition de 16
logements sociaux, 10 rue Alexandre Coutureau. La société OGIF a conclu avec la société Vinci Immobilier
l’acquisition en VEFA (vente en Ă©tat futur d’achĂšvement) de 16 logements dans le cadre d’un programme immobilier
comportant au total 64 logements, situĂ©s 10 rue Alexandre Coutureau. Le Conseil municipal, Ă  l’unanimitĂ©, attribue Ă 
la sociĂ©tĂ© OGIF une subvention au titre de la surcharge fonciĂšre pour un montant de 60 000 € ; autorisation est
donnée au Maire de signer la convention proposant un droit de réservation de trois logements pendant une durée de
30 ans.
N°12 : Garantie communale accordĂ©e Ă  la sociĂ©tĂ© Logement Francilien pour l’acquisition de 38
logements, 38-48 rue Gounod. La société Logement Francilien a conclu avec la société Franco-Suisse
l’acquisition en VEFA (vente en Ă©tat futur d’achĂšvement) de 38 logements sociaux situĂ©s 38-48 rue Gounod. Afin de
permettre l’acquisition de cet ensemble, le Conseil municipal, Ă  l’unanimitĂ©, accorde Ă  la sociĂ©tĂ© Logement
Francilien la garantie totale de la ville pour trois emprunts contractés auprÚs de la Caisse de DépÎts et
Consignations, prĂȘts qui financent 17 logements PLUS, 4 logements PLAI et 17 logements PLS d’un montant total
de 6 408 725,56 €. En contrepartie, la Ville disposera d’un droit de rĂ©servation sur huit logements pendant une
durée de 50 ans. Le maire est autorisé à signer la convention. (Thierry DIAI ne prend pas part au vote)
N°13 : Versement d’une subvention pour surcharge fonciĂšre Ă  la sociĂ©tĂ© Logement Francilien pour
l’acquisition de 38 logements, 38-48 rue Gounod. Le Conseil municipal, Ă  l’unanimitĂ©, attribue Ă  la sociĂ©tĂ©
Logement Francilien une subvention au titre de la surcharge fonciùre pour un montant de 82 500 €. ; autorisation est
donnée au Maire de signer la convention proposant un droit de réservation sur deux logements pendant une durée de
50 ans.
12
PETITE ENFANCE, EDUCATION ET JEUNESSE
Rapporteur : Brigitte PINAULDT
N°14 : Demande de subvention auprĂšs de la Direction rĂ©gionale et interdĂ©partementale de l’équipement
et de l’amĂ©nagement d’Ile-de-France pour le projet « Permis PiĂ©ton ». La ville souhaite continuer Ă  dĂ©velopper
ce projet pour continuer Ă  sensibiliser les enfants sur les problĂšmes de sĂ©curitĂ© routiĂšre. Ce permis est mis en Ɠuvre
pour les Ă©coliers du CE2 au CM1, avec l’appui d’enseignants volontaires et avec l’aide pĂ©dagogique des Polices
nationale et municipale. Le Conseil municipal, unanime, autorise le Maire, ou l’élu dĂ©lĂ©guĂ©, Ă  solliciter, auprĂšs de la
DRIEA d’Ile-de-France, une subvention pour ce projet et Ă  signer tous les actes et conventions prĂ©cisant les
conditions d’attribution de cette subvention.
JURIDIQUE
Rapporteur : Éric SEYNAVE
N°15 : Acquisition de la parcelle cadastrĂ©e AB 17 appartenant Ă  France Galop. Le Plan Local d’Urbanisme
(PLU), approuvé le 5 juillet 2012, a prévu un emplacement réservé sur la parcelle cadastrée AB n°10, pour la création
d’un mail piĂ©tonnier longeant l’hippodrome avenue Francis Chaveton. La ville a obtenu l’accord de France Galop,
sociĂ©tĂ© propriĂ©taire, organisatrice des courses de plat et d’obstacle, qui lui cĂšde ce terrain au prix de 407 000 €,
valeur vĂ©nale estimĂ©e par France Domaine en mars 2014. AprĂšs Ă©laboration d’un nouveau plan d’alignement et mise
en place d’une division parcellaire, la surface de cette nouvelle parcelle cadastrĂ©e AB n°17 est de 4003 mÂČ. Le Conseil
municipal, unanime, approuve cette acquisition afin de procĂ©der Ă  la rĂ©alisation d’une liaison douce Ă  l’emplacement
rĂ©servĂ© prĂ©vu au PLU. Le Maire, ou l’élu dĂ©lĂ©guĂ©, sont autorisĂ©s Ă  signer l’acte dĂ©finitif d’acquisition qui permettra le
classement automatique de la parcelle dans le domaine public routier communal. Le Maire précise que les travaux
d’amĂ©nagement de cette liaison douce seront financĂ©s par le Conseil gĂ©nĂ©ral.
PATRIMOINE COMMUNAL (GESTION ET TRAVAUX)
Rapporteur : Delphine RENAUDIN
N°16 : Convention d'habilitation tripartite dans le cadre du partenariat CEE SIGEIF-SIPPEREC. La ville
souhaite passer une convention avec le SIGEIF (syndicat intercommunal pour le gaz et l’électricitĂ© en Ile-de-France et le
SIPPEREC (syndicat intercommunal de la pĂ©riphĂ©rie de Paris pour l’ElectricitĂ© et les rĂ©seaux de communication) pour
promouvoir les actions de maßtrise de la demande d'énergies réalisées par la Commune et les valoriser par
l'obtention de certificats d'Ă©conomies d'Ă©nergie (CEE). Le Conseil municipal, unanime, autorise le Maire ou l'Ă©lu
délégué à signer et à exécuter la convention d'habilitation tripartite entre le SIGEIF, le SIPPEREC et la ville au
dispositif des certificats d'économie d'énergie, ainsi que leurs éventuels avenants. Son exécution permettra de
disposer des expertises de ces deux syndicats, d’atteindre ainsi par l’effet de regroupement, la quantitĂ© minimale de
CEE nécessaire au dépÎt de dossiers auprÚs des pouvoirs publics, et de réaliser la vente des CEE aux meilleures
conditions possibles.
N°17 : DĂ©pĂŽt d’une dĂ©claration prĂ©alable pour le remplacement d'une porte d’accĂšs Ă  l'annexe de la
mairie. Le remplacement de cette porte d'entrée, qui donne sur la cour du service de l'Etat civil, doit améliorer la
sécurité des accÚs. Le Conseil municipal, unanime, autorise le Maire, ou l'élu délégué, à déposer la déclaration
préalable correspondant à ce projet.
CULTURE
Rapporteur : SĂ©golĂšne de LARMINAT
N°18 : Fixation des prix de vente de produits dérivés au Musée des Avelines. Le Conseil municipal,
unanime, décide de fixer comme suit le prix des nouveaux produits dérivés comme suit :
13
ENVIRONNEMENT NUMERIQUE
Rapporteur : Le Maire
N°19 : Avenant n°2 Ă  la convention avec l’Etat pour la tĂ©lĂ©transmission des actes soumis au contrĂŽle de
légalité. La Ville a opté depuis 2007 pour la transmission par voie électronique de ses actes soumis au contrÎle de
lĂ©galitĂ©. Elle a signĂ© Ă  cet effet une convention avec le Sous-prĂ©fet, reprĂ©sentant de l’Etat. (DĂ©libĂ©rations, actes
rĂšglementaires, arrĂȘtĂ©s individuels). Un premier avenant a Ă©largi ce pĂ©rimĂštre. La ville souhaite dĂ©sormais Ă©tendre
cette tĂ©lĂ©transmission Ă  l’ensemble de ses actes soumis au contrĂŽle de lĂ©galitĂ©, afin de poursuivre sa dĂ©marche de
modernisation et accélérer ses procédures. Le Conseil municipal, unanime, approuve cet avenant n°2 à la
convention conclue entre la Préfecture des Hauts-de-Seine et la ville. Le Maire est autorisé à sa signature ainsi que
pour tout acte y afférent.
RESSOURCES HUMAINES
Rapporteur : Le Maire
N°20 : Modification du tableau des effectifs aux 1er
avril et 1er
juin 2015. Il est proposé au Conseil municipal
la mise Ă  jour du tableau des effectifs du personnel communal. 16 postes (dont un poste d’ingĂ©nieur principal) sont
créés au 1er
avril 2015 et 15 postes sont supprimés. Les effectifs budgétaires sont portés temporairement à 501,93
(466,62 ETP). Ce nombre thĂ©orique n’est pas le reflet du nombre rĂ©el d’agents travaillant pour la ville. Cette
disposition est approuvée unanimement....
QUESTIONS DIVERSES
Les Ă©lus d’opposition de « Saint-Cloud Rive Gauche « et de « Saint-Cloud c’est vous » ont adressĂ© au Maire plusieurs
questions Ă©crites:
Hippodrome de Saint-Cloud (question présentée par Xavier BRUNSCHVICG)
Monsieur le Maire, vous avez choisi pendant la campagne des Ă©lections dĂ©partementales d’instrumentaliser Ă  des fins
politiciennes le soi-disant projet du Gouvernement de construction de 6000 logements en lieu et place de l’hippodrome
de Saint-Cloud. Ce faisant, vous avez rĂ©pandu de fausses rumeurs et crĂ©Ă© un sentiment d’inquiĂ©tude au sein de la
population. Nous avons pris la parole en diffusant un tract pour ramener de la raison dans ce débat passionnel et pour
rappeler qu’il n’y avait en la matiĂšre aucun projet gouvernemental. Nous avons Ă©galement rappelĂ© que nous n’avions
adopté aucune position quant au fond du sujet. Sur le fond justement, que pouvez-vous nous dire concernant cette étude
prospective ? Et pourquoi avoir déclenché un débat une semaine avant les élections alors que cette étude avait été
rendue publique en octobre ? Par ailleurs, d’autres Ă©tudes, qui datent d’il y a plusieurs annĂ©es, Ă©voquaient dĂ©jĂ  cette
possibilité. Pouvez-vous nous en dire plus à leur sujet ?
RĂ©ponse d’Éric BERDOATI : Le premier projet immobilier remonte aux annĂ©es 1970. Le projet actuel est un projet
gouvernemental Ă©mis par l’Agence d’amĂ©nagement du Grand Paris (Service du MinistĂšre du Logement, de l’EgalitĂ© des
territoires et de la Ruralité). Il a été connu pour la premiÚre fois en octobre 2014 et le Maire a aussitÎt écrit au Préfet
de RĂ©gion qui a tenu Ă  le rassurer. Le PrĂ©fet des Hauts-de-Seine a eu la mĂȘme attitude. Fort de ces deux messages, le
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Maire n’a pas insistĂ©. Le 17 fĂ©vrier 2015, la fiche initiale est rĂ©actualisĂ©e, complĂ©tĂ©e avec des surfaces de plancher.
Elle est incluse dans un dossier qui est intitulĂ© « RĂ©sorption de la crise du logement – recherche de foncier disponible,
vingt OIN multi sites » (opĂ©rations d’intĂ©rĂȘt national qui permettent Ă  l’Etat d’exproprier) envoyĂ© Ă  la FĂ©dĂ©ration des
Ă©tablissements publics locaux (outils d’amĂ©nagement dont disposent certaines collectivitĂ©s). Le PrĂ©sident de France
Galop, propriétaire du site, qui a découvert ce projet a informé le Maire. Ils ont décidé de réagir immédiatement. Dans
une confĂ©rence de presse commune, Le PrĂ©sident de France Galop a rappelĂ© l’importance sportive et hippique de
l’hippodrome inaugurĂ© en mars 1901. Il a une activitĂ© prĂ©dominante dans l’organisation de la sĂ©lection de la race de
purs sangs du groupe 1. Éric BERDOATI est opposĂ© Ă  toute construction de logement sur l’hippodrome. Le site est
classĂ© depuis le 8 juillet 1998. Le document d’urbanisme de la ville (PLU) le protĂšge et ne permet en aucun cas la
rĂ©alisation d’un tel projet de construction. Si l’Etat veut produire des logements Ă  Saint-Cloud, il peut le faire lĂ  oĂč il
est propriĂ©taire, Ă  savoir la caserne Sully, vide depuis 2007, oĂč il peut amĂ©nager le site. 6000 logements, soit la
moitié du nombre de logements de la ville, ne sont pas nécessaires à Saint-Cloud. La ville est attachée à son
hippodrome, lieu Ă©conomique et hippique qui propose 100 emplois et lieu d’identitĂ© de la commune. Ce n’était pas
une opĂ©ration Ă  but Ă©lectoraliste. Il n’y a pas eu d’instrumentalisation Ă  des fins politiciennes.
Xavier BRUNSCHVICG insiste sur le fait que son groupe n’est pas favorable à la construction de 6000 logements sur
Saint-Cloud. Cependant, l’hippodrome ne sert pas à grand-chose
Il faut poser sereinement les enjeux.
Modification du PLU : une opportunité ? (question présentée par Sophie MICHAUD):
Le groupe Saint-Cloud c’est vous soutient totalement la position de la municipalitĂ© sur l’hippodrome. Face Ă  cette
menace, peut-on en profiter pour accentuer la préservation des sites et des paysages notamment le patrimoine vert,
comme l’hippodrome, en revenant au prĂ©cĂ©dent zonage N plus protecteur et organiser une enquĂȘte publique comme Ă 
Rueil ?
RĂ©ponse d’Éric BERDOATI : Il remercie le groupe Saint-Cloud c’est vous de son soutien sur cette affaire. L’hippodrome
est passé effectivement de la zone N en zone UL. Cette derniÚre ne permet pas de constructions. Si on veut réhabiliter
un jour les constructions existantes sur le site (tribunes
), il est indispensable que le site soit classé en zone UL. La
ville va procĂ©der Ă  la modification du PLU avec une consultation de la population. Il ne s’agit pas pour cette procĂ©dure
d’une rĂ©vision qui modifierait l’économie gĂ©nĂ©rale du dossier, mais cette modification consiste en la correction
d’erreurs matĂ©rielles, comme le prĂ©voit la rĂšglementation.
Stationnement payant (question présentée par Lionel PEZET):
Nous vous avions demandé lors du Conseil municipal du 20 novembre 2014 des exemples de villes qui avaient perdu
des procÚs pour avoir fait une zone unique de stationnement ; sans réponse, nous avions reposé cette question au
Conseil municipal du 29 janvier 2015. Nous sommes en mars 2015, soit bientÎt 5 mois aprÚs, pouvez-vous répondre à
cette question de maniÚre précise. ?
RĂ©ponse de Dominique LEBRUN : Depuis 1974, une jurisprudence du Conseil d’Etat justifie une discrimination entre
usagers lorsqu’il existe une diffĂ©rence de situation. Nous considĂ©rons en toute objectivitĂ© que les usagers ne doivent
pas avoir un statut unique de stationnement aussi bien en droit qu’en opportunitĂ©. Toutes les villes importantes qui
pensaient mettre en place une zone unique de stationnement ont abandonnĂ© ce projet, pour des motifs d’efficacitĂ©. Le
cabinet SARECO, sollicitĂ© en 2009 pour l’étude pour la mise en place de ce stationnement, confirme par Ă©crit cette
position.
Marché Montretout : projet et communication ?
Au Conseil municipal du 18 Décembre dernier, nous avions posé une question sur le projet de réhabilitation du Marché
de Montretout et de tout l’espace qui l’entoure. Il nous avait Ă©tĂ© rĂ©pondu que l’on en Ă©tait encore au stade des Ă©tudes et
de consultation des spĂ©cialistes ; que l’on aurait en janvier 2015 le rendu dĂ©finitif de l’étude commandĂ©e Ă  une sociĂ©tĂ©
spĂ©cialisĂ©e. Quand et comment prĂ©voyez-vous de partager avec l’équipe du Conseil municipal les rĂ©sultats de cette
étude, disponible depuis fin janvier, et en profiter sur ce projet consensuel, à engager un véritable dialogue avec les
riverains et au-delĂ  avec tous les clodoaldiens ?
RĂ©ponse d’Éric BERDOATI : Un peu de retard a Ă©tĂ© pris sur ce dossier permettant d’entrevoir de nouvelles solutions.
Le dossier est suivi de trĂšs prĂšs par Caroline CHAFFARD-LUCON. Dans quelques semaines, le Conseil municipal sera
réuni en session privée du Conseil municipal, comme cela fut le cas le 12 mars dernier pour présenter les grandes
lignes du budget.
15
4° Communication du ProcÚs-Verbal Intégral:
Le ProcĂšs-Verbal dit ‘analytique’ diffusĂ© aux clodoaldiens est trĂšs incomplet par rapport au ProcĂšs-Verbal ‘IntĂ©gral. Ne
pourrait-on, une fois qu’il validĂ©, et comme cela se fait dans d’autres villes, mettre ce P.V. IntĂ©gral au format numĂ©rique
sur le site de la ville et si cela n’est pas possible, pourquoi ?
RĂ©ponse d’Éric BERDOATI : Effectivement, l’OFFICIEL DE SAINT-CLOUD ne diffuse que l’analytique. Le ProcĂšs-verbal
intĂ©gral de chaque rĂ©union du Conseil municipal pourrait ĂȘtre mis en ligne sur le site Internet de la ville une fois qu’il
aura été adopté par cette assemblée.
La séance est levée à minuit.
Le Maire
Signé le 31 mars 2015
Éric BERDOATi

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Cr 20150326

  • 1. CONSEIL MUNICIPAL Compte-rendu analytique de la sĂ©ance du 26 mars 2015
  • 2. 2 CONSEIL MUNICIPAL DU 26 MARS 2015 Appel : 33 Ă©lus sont prĂ©sents. ClĂ©mence JOMIER a donnĂ© pouvoir Ă  Éric BERDOATI. Pierre CAZENEUVE est absent excusĂ©. ADOPTION DU PROCÈS-VERBAL Le procĂšs-verbal de la sĂ©ance du Conseil municipal du 29 janvier 2015 est adoptĂ© Ă  l’unanimitĂ©. Damien RICHARD est Ă©lue Ă  l’unanimitĂ© SecrĂ©taire de sĂ©ance. (DĂ©libĂ©ration n°9) COMPTE-RENDU DES DÉCISIONS PRISES PAR LE MAIRE Le Maire rend compte des 24 dĂ©cisions qu'il a prises dans le cadre de la dĂ©lĂ©gation de pouvoirs accordĂ©e par le Conseil municipal: MarchĂ©s de travaux et missions consĂ©cutives (3 dĂ©cisions): - Restructuration partielle du MusĂ©e - Entretien des voies communales et annexes MarchĂ©s et Contrats : fournitures et prestations de services (2 dĂ©cisions): - Mission de relation presse valorisant la programmation 2015 du musĂ©e des Avelines - Convention de prĂȘt de livres scolaires Ă  la mĂ©diathĂšque par le lycĂ©e Alexandre Dumas Affaires juridiques et domaniales (14 dĂ©cisions) - Conventions d’occupation domaniale pour des logements : 3/5 rue RenĂ© Weill, 9bis rue RenĂ© Weill, 31 rue Royale, 20 rue de Garches, 8 place de Silly, 1 avenue de Fouilleuse, 2 rue Michel Salles, 17 rue HĂ©bert. Affaires financiĂšres (1 dĂ©cision): - Fixation d’un tarif spĂ©cial pour l’opĂ©ration « Le printemps des clowns » du 10 au 22 mars 2015 aux 3 Pierrots Organisation de manifestations municipales (1 dĂ©cision): - Atelier de construction de robots le 24 janvier 2015 Ă  la MĂ©diathĂšque municipale RĂ©gies municipales (3 dĂ©cisions) : - CrĂ©ation de rĂ©gies d’avances - SĂ©jours Ă  TamiĂ© du 14 au 21 fĂ©vrier et du 21 au 28 fĂ©vrier 2015 ; colonie Ă  Masella du 14 au 21 fĂ©vrier 2015. COMMUNICATIONS Éric BERDOATI


































..
 Maire Dominique NOVELLA, qui fut Conseiller municipal de 2001 Ă  2008, assurant les responsabilitĂ©s de dĂ©lĂ©guĂ© du quartier Hippodrome, Val d’or, Fouilleuse, est dĂ©cĂ©dĂ© lundi. Il a mis beaucoup d’engagement personnel dans ses missions. Ses obsĂšques auront lieu au crĂ©matorium de Nanterre lundi 30 mars Ă  15h. Le Maire et le Conseil municipal adressent leur plus vive sympathie Ă  son Ă©pouse Patrice NOVELLA. Les syndicats de copropriĂ©taires des immeubles des 7 et 9 rue Pozzo Di Borgo avaient fait deux recours devant le tribunal administratif : le premier en 2009 contre la modification du POS relative Ă  la zone couvrant le Centre hospitalier et le second en 2010 contre le permis de construire de rĂ©habilitation de ce Centre. Ils avaient Ă©tĂ© dĂ©boutĂ©s en 1Ăšre instance. La Cour administrative d’appel de Versailles a confirmĂ© les jugements de premiĂšre instance le 5 mars
  • 3. 3 2015 et a confortĂ© la Ville dans ses dĂ©cisions. Le projet de rĂ©habilitation de l’HĂŽpital des Quatre Villes est un projet d’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral, il est regrettable que tous ne l’aient pas compris. Dominique LEBRUN










. Premier Maire - Adjoint, Espace public, voirie et transports La rĂ©habilitation de l'avenue du MarĂ©chal de Lattre de Tassigny sera achevĂ©e le 17 avril 2015. Les travaux RTE boulevard de la RĂ©publique se poursuivent normalement pour ĂȘtre achevĂ©s au courant de l’étĂ©. La gare principale et la gare du Val d’or seront fermĂ©es pour travaux importants effectuĂ©s sur les voies du vendredi 3 avril au soir au lundi 6 avril inclus (weekend de PĂąques) Les travaux du mur anti bruit sur le viaduc de l’autoroute A13, qui ont repris, vont se terminer Ă  la fin de l’annĂ©e avec la construction de panneaux de deux mĂštres de haut (le double de la hauteur prĂ©vue sur Boulogne) et un Ă©clairage refait Ă  neuf. La troisiĂšme station AUTOLIB va ĂȘtre installĂ©e rue Pasteur au droit de l’école allemande. Les travaux de rĂ©fection de l’éclairage public rue Pasteur effectuĂ©s sous la direction des services du dĂ©partement sont en cours jusque fin mai. Un site d’apport volontaire de dĂ©chets va ĂȘtre mis en place Ă  la sortie du CarrĂ© Saint-Jean. Ce site sera ouvert le 24 avril et fonctionnera le quatriĂšme vendredi de chaque mois, l’aprĂšs-midi. Ce service rĂ©pond Ă  une demande de la population. Les dĂ©chets verts seront ramassĂ©s Ă  nouveau Ă  compter du 1er avril, pour une durĂ©e de dix mois. Il n’y a pas de ramassage en fĂ©vrier et en mars. Un courrier a Ă©tĂ© remis aux habitants du Quartier du Val d’Or leur annonçant la tenue d’une rĂ©union publique relative Ă  la mise en place de la nouvelle grille horaire pour les usagers des lignes L et U du Transilien. Elle aura lieu mercredi 1er avril Ă  20h30, au CarrĂ©. Éric SEYNAVE


.....Adjoint au Maire, Finances, affaires juridiques, achats et dĂ©veloppement Ă©conomique Situation de l’Emploi Ă  Saint-Cloud en janvier 2015 : Le taux de chĂŽmage est Ă  8,25 % en fĂ©vrier (hommes : 7,89 % et femmes : 8,63 %). Brigitte PINAULDT





..







Adjoint au Maire, Petite enfance, Education, Jeunesse Education Rythmes scolaires : - La ville a reçu l’intĂ©gralitĂ© du fonds d’amorçage (aide financiĂšre de l’Etat) qui s’élĂšve Ă  132 000 euros pour cette annĂ©e scolaire. - Le comitĂ© de suivi rĂ©uni le 23 mars avait deux objectifs : 1. Effectuer un bilan d’étape sur la base d’une enquĂȘte menĂ©e par l’ensemble des fĂ©dĂ©rations de parents d’élĂšves des Ă©coles publiques de la ville auprĂšs des parents. 60 % d’entre eux ont rĂ©pondu ; la synthĂšse complĂšte est en cours. 2. Statuer sur une organisation plus lĂ©gĂšre des temps pĂ©riscolaires, mise en place dĂšs la rentrĂ©e prochaine, plus en lien avec celle des associations culturelles et sportives ; plus axĂ©e sur les besoins de l’enfant. Pour cela : - Les Ă©quipes d’accueil pĂ©riscolaire travaillent sur la rĂ©organisation de l’accueil du soir, dans la perspective de la rentrĂ©e, en tenant compte des orientations du comitĂ© de suivi. - Les services de la Ville et de l’Education Nationale Ă©tudient ensemble un projet d’organisation de l’accueil de 16h15 Ă  17h en Ă©lĂ©mentaire. - La police municipale prĂ©pare la rĂ©organisation des points Ă©coles Ă  15h45. - Des pistes d’amĂ©lioration et de simplification du dossier pĂ©riscolaire sont en cours d’instruction. Une rĂ©union des parents par Ă©cole Ă©lĂ©mentaire est prĂ©vue en mai pour prĂ©senter l’organisation et le projet de la rentrĂ©e. Le directeur des temps pĂ©riscolaires sera associĂ© aux conseils d’école du 3Ăšme trimestre. Le dossier pĂ©riscolaire sera tĂ©lĂ©chargeable dĂ©but juin et une information sur la nouvelle organisation du pĂ©riscolaire sera diffusĂ©e dans Saint-Cloud Magazine du mois de juin. SĂ©curisation des Ă©tablissements scolaires : Un assouplissement du Plan VIGIPIRATE Ă©tĂ© annoncĂ© par le Directeur acadĂ©mique des services de l’éducation nationale. Les sorties scolaires sont Ă  nouveau autorisĂ©es Ă  Paris. Les carnavals des Ă©coles maternelles se sont dĂ©roulĂ©s cette annĂ©e au sein des Ă©coles pour des raisons de sĂ©curitĂ©.
  • 4. 4 Florence GUIRAUD





















Adjoint au Maire, Services Ă  la population Des remerciements sont adressĂ©s aux diffĂ©rents assesseurs de toutes tendances politiques qui ont assumĂ© leur mission dimanche qui a permis un bon dĂ©roulement des Ă©lections dĂ©partementales Ă  Saint-Cloud. Les vice- prĂ©sidents, les scrutateurs et le personnel municipal sont associĂ©s Ă  ces remerciements. Delphine RENAUDIN












Adjoint au Maire, Patrimoine communal (gestion et travaux) Le service BĂątiment prĂ©pare les travaux d’étĂ© dans les Ă©coles avec grande prudence en raison de l’incertitude Ă  ce jour sur le montant du budget d’investissement 2015. L’entretien des bĂątiments communaux est quotidien. Les interventions des ateliers et des entreprises de maintenance sont nombreuses. La volontĂ© est de chercher Ă  rĂ©duire les coĂ»ts dans la mesure du possible. La commission communale de sĂ©curitĂ© et d’accessibilitĂ©, prĂ©parĂ©e et suivie par le service HygiĂšne et SĂ©curitĂ©, s’est rĂ©unie Ă  plusieurs reprises. Elle a Ă©mis un avis favorable pour la poursuite d’activitĂ©s de la FĂ©dĂ©ration française de Bridge et a rĂ©ceptionnĂ© favorablement les travaux de mise en sĂ©curitĂ© de l’HĂŽtel Magenta. La commission dĂ©partementale de sĂ©curitĂ© a rĂ©ceptionnĂ© les travaux du Centre hospitalier des Quatre Villes permettant un regroupement des maternitĂ©s sur le site de Saint-Cloud. Les pavillons Pasteur et Laval du Centre hospitalier ont Ă©galement Ă©tĂ© rĂ©ceptionnĂ©s. SĂ©golĂšne de LARMINAT



























.Adjoint au Maire, Culture Programmation des Trois Pierrots : Jeudi 2 avril Ă  20h30 : BIG APPLE, jeudi 9 avril Ă  20h30 : LA CARTE DU TEMPS, mardi 14 avril Ă  20h30 : Vincent DELERM. Les Rencontres de danse, la Ligue d'improvisation au CarrĂ© (260 spectateurs) ont affichĂ© complet. Toutes les places ont aussi Ă©tĂ© vendues pour L'Ecole des Femmes de MoliĂšre (spectacle nommĂ© aux MoliĂšres pour la meilleure mise en scĂšne), piĂšce prĂ©sentĂ©e ce soir. L'opĂ©ration originale du printemps des Clowns a rĂ©uni 760 spectateurs avec un accueil trĂšs enthousiaste des spectateurs sur de belles propositions artistiques qui renouvellent l'art du Clown. MusĂ©e des Avelines : Record de frĂ©quentation avec prĂšs de 9 400 visiteurs pour l’exposition sur le peintre Gaston La Touche, du 16 octobre 2014 au 1er mars 2015. - Le musĂ©e propose une exposition « 1915-1919, un Camp canadien Ă  Saint-Cloud « du 16 avril au 12 juillet 1915 sur l’histoire de l’hĂŽpital militaire canadien-français installĂ© sur l'hippodrome de Saint-Cloud pendant la Grande Guerre. Cette exposition, placĂ©e sous le haut patronage de l'Ambassade du Canada en France, sera accompagnĂ©e d'une riche programmation : concerts, confĂ©rences, contes, ateliers jeune public et animations pour les scolaires. MĂ©diathĂšque: - samedi 11 avril 2015, Ă  17h « Des voix et des histoires » 7 femmes racontent des histoires drolatiques, caustiques, poĂ©tiques ; textes lus par le groupe "Souffle et voix" de l'ECLA. - DĂ©but d'un partenariat avec l'espace senior de la gare des Coteaux : trĂšs grand succĂšs de la dictĂ©e "Dis-moi dix mots" (opĂ©ration nationale pilotĂ©e par le MinistĂšre de la Culture et de la Communication). ECLA :::: L’ECLA et la compagnie Point de Rupture recherchent 30 Clodoaldiens de tous Ăąges (adolescents et adultes sans expĂ©rience thĂ©Ăątrale) pour participer Ă  un projet dĂ©nommĂ© Temps suspendus. Une restitution publique de cette expĂ©rience thĂ©Ăątrale sera prĂ©sentĂ©e aux 3 Pierrots dimanche 31 mai Ă  15h. Gratuit - Sur inscription dĂšs le 1er avril auprĂšs de l’ECLA au 01 46 02 34 12 ou sur mjc@ecla.net Conservatoire :::: Concert de piano donnĂ© par Monique MARTINELLI - GLEMEIN dimanche 29 mars 2015 Ă  17h00 dans la salle de l’Auditorium. Marc CLIMAUD
























..Adjoint au Maire, Sports et animation Sports Les volleyeuses, qui sont dans le groupe Ă©lite, sont 3Ăšmes de leur championnat. Elles sont d’ores et dĂ©jĂ  qualifiĂ©es pour la coupe d’Europe l’an prochain. Le dernier match a lieu au stade GĂ©o AndrĂ© (Porte de Saint-Cloud) contre Cannes le 4 avril prochain. Les Clodoaldiens peuvent s’inscrire pour participer Ă  cette soirĂ©e exceptionnelle suivie d’un cocktail.
  • 5. 5 Manifestations La 8Ăšme Ă©dition de l’ECOTRAIL, organisĂ©e dimanche 22 mars 2015 a Ă©tĂ© un succĂšs avec 1200 participants pour le trail Twin santĂ©. Dimanche 5 avril, une des plus grandes chasses aux Ɠufs d’Ile-de-France est proposĂ©e aux enfants par France Galop, sur l’hippodrome de Saint-Cloud. 10 000 Ɠufs en chocolat attendront petits et grands. Ce sera l’occasion de plonger dans l’univers des courses hippiques et de profiter des animations gratuites en plein air. L’entrĂ©e est libre pour les jeunes de moins de 18 ans. Un stand dĂ©veloppement durable est mis en place, en partenariat avec la Ferme du Piqueur, sur la brocante Toutocoto du 28 mars.... JournĂ©e Porte ouvertes sur l’hippodrome Saint-Cloud :« Galops en Seine » le 1er mai avec le Prix du Muguet. EntrĂ©e gratuite. Le Grand Prix de Saint-Cloud, organisĂ© traditionnellement sur l’hippodrome, a lieu dimanche 28 juin. Christine CHAZELLE



















.Adjoint au Maire, DĂ©veloppement durable La ville, en partenariat avec la Ferme du Piqueur, propose au public Ă  l’occasion de la brocante Toutocoto sur le stand dĂ©veloppement durable de se faire prendre en photo dans un dĂ©cor bucolique avec l'inscription d'un engagement concret pour la planĂšte, choisi et inscrit sur une ardoise. Cette animation est l'occasion d'Ă©changer sur l'engagement citoyen et les Ă©co gestes du quotidien. 1 heure pour la planĂšte : samedi 28 mars 2015 Ă  20h30, dans le cadre du mouvement "Earth Hour" organisĂ© par la WWF, des millions de personnes du monde entier Ă©teindront la lumiĂšre pendant une heure pour cĂ©lĂ©brer leur engagement pour la planĂšte. Les Clodoaldiens sont invitĂ©s Ă  se joindre Ă  ce mouvement. Depuis le dernier Conseil municipal, les Ă©lus des villes des Hauts-de-Seine en charge du dĂ©veloppement durable se sont rĂ©unis Ă  deux reprises: d’abord pour relancer le projet Eco-Ă©cole sur leur territoire et partager leurs expĂ©riences sur le sujet pour en faire un premier projet phare pour les villes ; ensuite, avec l'intervention d'Eco Emballage sur le tri des dĂ©chets afin de redynamiser les villes autour de la thĂ©matique. Olivier BERTHET




Adjoint au Maire, SĂ©curitĂ© publique, anciens combattants et sĂ©curitĂ© routiĂšre Manifestation patriotiques : la journĂ©e nationale de commĂ©moration des victimes et hĂ©ros de la DĂ©portation a lieu dimanche 26 avril. Le 70Ăšme anniversaire de la LibĂ©ration est cĂ©lĂ©brĂ© le 8 mai. Les Clodoaldiens sont invitĂ©s Ă  participer nombreux Ă  ces manifestations. SĂ©curitĂ© publique : Le Plan VIGIPIRATE est toujours au niveau maximum : alerte attentats, mĂȘme si des mesures d’assouplissement sont prĂ©vues pour les sorties scolaires. Nicolas PORTEIX





















Conseiller dĂ©lĂ©guĂ© du Quartier Centre/Village L’association Saint-Cloud Sourires organise une brocante destinĂ©e aux enfants, dimanche 12 avril 2015. Mireille GUEZENEC



























..Conseiller dĂ©lĂ©guĂ© aux seniors Seniors : Depuis le dernier conseil municipal, les sĂ©niors ont Ă©tĂ© trĂšs actifs. En fĂ©vrier, un bal a Ă©tĂ© organisĂ© au Foyer Logement des Heures Claires, suivi d’une sortie au musĂ©e et aux temples de la Franc-Maçonnerie. DĂ©but mars a eu lieu le KaraokĂ©, puis dans le cadre des activitĂ©s intergĂ©nĂ©rationnelles, les sĂ©niors ont fĂȘtĂ© le Carnaval Ă  la crĂšche la Farandole. L'activitĂ© "sophrologie», commencĂ©e le 6 mars, se poursuit en avril. Les sĂ©niors participeront Ă  la confection des costumes pour le projet Balades Historiques organisĂ© dans le Parc de Saint-Cloud par l’association Les Trois Clouds. Le 10 mars, en partenariat avec la MĂ©diathĂšque, quelques sĂ©niors ont participĂ© Ă  une crĂ©ation littĂ©raire. La sortie mensuelle de mars a eu lieu Ă  l'OpĂ©ra Garnier le matin et au MusĂ©e Fragonard l'aprĂšs-midi. Le 20 mars une vingtaine de personnes ont fait la dictĂ©e de la francophonie, en partenariat avec la mĂ©diathĂšque, dans
  • 6. 6 le cadre de la semaine de la langue française. Hier un petit groupe s'est rendu au MusĂ©e du Louvre, dans le cadre des Relais Culturels du Champ Social. La colonie des seniors aura lieu Ă  TamiĂ© du 7 au 13 septembre, les places sont limitĂ©es et les prĂ©inscriptions se font en mairie jusqu’au 10 avril. Tous les programmes et les photos de toutes les activitĂ©s sont sur le site Internet de l'Espace Animation des Coteaux. Vie du Quartier Hippodrome/ Fouilleuse : Beaucoup de Clodoaldiens des avenues Francis Chaveton et de Fouilleuse sont prĂ©occupĂ©s par le projet de la construction de 6 000 logements sur le terrain de l’hippodrome. Ils sont prĂȘts Ă  participer Ă  toutes les actions qui pourraient ĂȘtre menĂ©es par la Ville pour contrer ce projet. Jean-Christophe PIERSON
















..Conseiller dĂ©lĂ©guĂ© au Commerce et Ă  l’artisanat Nouveau commerce : Quartier Centre - Village : Finlange (vĂȘtements pour enfants), inauguration le 10 avril 2015. Le Conseil municipal souhaite la bienvenue Ă  ce nouveau commerçant. Selon le « Bottin gourmand magazine », GrĂ©gory PAILLIETTE de la Maison PAILLIETTE est considĂ©rĂ© comme l’un des 100 meilleurs boulangers de France. Le Conseil municipal lui adresse ses sincĂšres fĂ©licitations. Anne COVO



























...Conseiller dĂ©lĂ©guĂ© Ă  la Petite enfance La Commission d’attribution des places en crĂšche se tient en mai prochain, prĂ©cĂ©dĂ©e d’une prĂ©-commission. La journĂ©e pĂ©dagogique a Ă©tĂ© organisĂ©e vendredi 13 mars. Toutes les Ă©quipes du personnel de la Petite Enfance Ă©taient prĂ©sentes ; elles ont apprĂ©ciĂ© les intervenants et l’ensemble de cette journĂ©e. L’AssemblĂ©e GĂ©nĂ©rale de l’association E.E.F (Enfance et Familles de Saint-Cloud) a eu lieu lundi 23 mars. Le nombre d’assistantes maternelles est en forte augmentation. L’association est toujours en recherche d’un PrĂ©sident. Damien RICHARD


























...Conseiller dĂ©lĂ©guĂ© Ă  la Jeunesse Une campagne d'information sur les Bourses Initiatives Jeunes est en cours. Ce dispositif permet Ă  la ville de financer en partie un projet rĂ©alisĂ© par un ou plusieurs jeunes de Saint-Cloud. La commission se rĂ©unit mercredi 1er avril pour examiner deux nouveaux dossiers. Les personnes intĂ©ressĂ©es par ce dispositif peuvent se rendre sur le site Internet jeunesse de la ville pour connaĂźtre les modalitĂ©s d'attribution. Conseil des jeunes - Une plaquette prĂ©sentant les membres ainsi que leur nouveau logo a Ă©tĂ© Ă©ditĂ©e ; elle est mise Ă  disposition dans les Ă©tablissements scolaires. - Le sĂ©jour solidaritĂ© au Maroc aura lieu du 19 au 26 avril 2015. Les derniers prĂ©paratifs sont en cours. Une rĂ©union a eu lieu hier en prĂ©sence des parents concernĂ©s. Les jeunes continuent leurs actions pour rĂ©colter des fonds (tombola). Ils co organiseront Ă©galement la journĂ©e de la SolidaritĂ© ThaĂŻlandaise le 13 avril prochain au CarrĂ© et ils sont prĂ©sents ce samedi sur la brocante Toutocoto. Il faut remercier les personnes qui ont contribuĂ© Ă  l'organisation de ces Ă©vĂ©nements et celles qui ont donnĂ© des lots pour la tombola. DELIBERATIONS Lundi 23 mars, les projets de dĂ©libĂ©rations ont Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©s par la Commission des Finances et, pour ce qui la concerne, par la Commission des Travaux, Les Rapporteurs GĂ©nĂ©raux de ces deux commissions, CĂ©line MARTIN, pour les Finances, et Nicolas PORTEIX pour les travaux, donnent connaissance au Conseil des observations formulĂ©es et des avis Ă©mis.
  • 7. 7 FINANCES Rapporteur : Éric SEYNAVE En prĂ©ambule, le Maire prĂ©cise qu’il a Ă©crit au PrĂ©fet le 5 fĂ©vrier pour avoir communication des notifications de l’Etat (dotations, pĂ©rĂ©quations
). Il lui a rĂ©Ă©crit il y a quelques jours pour lui signifier qu’en l’absence d’informations, la ville Ă©mettrait des hypothĂšses en fonction des Ă©lĂ©ments du projet de Loi de Finances votĂ© le 19 dĂ©cembre. En l’absence de rĂ©ponse Ă  ce jour, la sĂ©ance du Conseil municipal du 9 avril, essentiellement consacrĂ©e Ă  l’examen du Budget primitif 2015, est reportĂ©e au 15 avril. N°10 : DĂ©bat d’Orientation BudgĂ©taire pour l’annĂ©e 2015: Le dĂ©bat d’orientation budgĂ©taire, premiĂšre phase de la derniĂšre session budgĂ©taire de la mandature, doit permettre comme chaque annĂ©e au Conseil municipal de discuter des orientations ; elles prĂ©figurent les prioritĂ©s qui seront affichĂ©es dans le Budget Primitif 2015 (FiscalitĂ©, Investissement, Fonctionnement et Endettement). Le contexte de la premiĂšre annĂ©e de la mandature - Une Ă©conomie particuliĂšrement fragile avec des perspectives Ă©conomiques incertaines en France et en Europe. - Le budget 2015 de la France construit avec une inflation prĂ©visionnelle de 0.9% et une croissance estimĂ©e Ă  1 %. Il a pour objectif Ă  moyen terme de stabiliser le dĂ©ficit et la dette publique en impliquant l’ensemble des acteurs publics. Les consĂ©quences locales Les choix financiers dĂ©cidĂ©s par l’Etat ont une telle incidence sur les budgets communaux que le vote du budget a dĂ» ĂȘtre repoussĂ© une premiĂšre fois au 9 avril, puis au 15 avril afin de prĂ©senter un budget sincĂšre. Depuis 2007, le budget Ă©tait votĂ© en dĂ©cembre pour une meilleure adĂ©quation entre les actions dĂ©cidĂ©es et leur rĂ©alisation, particuliĂšrement en investissement. L’effort demandĂ© aux collectivitĂ©s locales se traduit par une forte baisse des dotations de l’Etat, principalement la Dotation Globale de Fonctionnement, et le renforcement de la pĂ©rĂ©quation : FSRIF et FPIC. Comme l’a prĂ©cisĂ© le Maire, Ă  ce jour, la commune n’a reçu aucune notification de l’Etat concernant ces trois sujets. En consĂ©quence, les hypothĂšses sont basĂ©es sur celles retenues lors du vote de la loi de finances pour 2015, publiĂ©e le 29 dĂ©cembre dernier : DGF : diminution de 10 % de la DGF = 4 170 K€ FSRIF : augmentation de l’enveloppe de 8 % = 1 220 K€ FPIC : augmentation de l’enveloppe de 36,8 % = 1 300 K€ L’équilibre gĂ©nĂ©ral du budget Ă  ce jour Compte Administ. 2014 Budget Primitif 2015 Fonctionnement DĂ©penses 43 796 812 € 44 800 000 € Recettes 45 045 741 € 43 650 000 € Investissement DĂ©penses 8 797 757 € 8 000 000 € Recettes 10 362 596 € 8 000 000 € Éric SEYNAVE souligne que ce budget n’est pas Ă©quilibrĂ© Ă  ce jour, ce qui justifierait une augmentation de la fiscalitĂ©, tout en rĂ©duisant les dĂ©penses pour limiter le plus possible cette hausse.
  • 8. 8 Les Orientations 2015 en matiĂšre de recettes -Les produits des services: 3 200 000 €. Les prĂ©visions devraient diminuer d’environ 200 000 € par rapport au CA 2014 ; cette diminution s’explique notamment par le transfert de la compĂ©tence « Etudes » dans le budget de la Caisse des Ecoles. -Les recettes fiscales: 32 650 000 €. - La fiscalitĂ© des mĂ©nages : L’augmentation des bases est fixĂ©e Ă  0.9 %. Les bases prĂ©visionnelles notifiĂ©es conduisent au rĂ©sultat suivant : Bases notifiĂ©es Taux actuels Produit TH 87 489 000 11.05 % 9 667 535 TF 93 710 000 10.61 % 9 942 631 TFNB 118 100 12.98 % 15 329 TOTAL 19 625 495 L’équilibre du budget pourrait ĂȘtre rĂ©alisĂ© par d’importantes mesures d’économie et si nĂ©cessaire par l’augmentation des taux de taxe d’habitation et de taxe fonciĂšre. - Les autres recettes fiscales : Les droits de mutation : 3 000 000 €. Éric SEYNAVE prĂ©cise que les Ă©volutions, dĂ©pendantes du marchĂ© de l’immobilier, peuvent ĂȘtre trĂšs fortes. Taxe sur l’électricitĂ© et les droits de stationnement : 1 490 000 €. - Les dotations et participations : 6 760 000 €. La dotation globale de fonctionnement est la principale dotation reçue. L’effort demandĂ© en 2015 aux collectivitĂ©s locales s’élĂšve Ă  3.7 milliards d’euros. Le bloc communal perdra 2 milliards rĂ©parti entre 1.6 milliards aux communes et 600 millions pour les intercommunalitĂ©s. A ce jour, le montant de la DGF n’est toujours pas notifiĂ©. CA 2013 CA 2014 BP 2015 5 145 776 € 4 635 000 € 4 170 000 € Les Orientations 2015 en matiĂšre de dĂ©penses - Fonctionnement : Maitrise au maximum des dĂ©penses de fonctionnement de maniĂšre Ă  conserver une capacitĂ© d’autofinancement suffisante. - Charges de personnel : 21 135 000 €. La masse salariale de 20 608 000€ progresserait de 2 % par rapport au compte administratif prĂ©visionnel. Elle comprend la refonte des grilles indiciaires des catĂ©gories B et C dĂ©cidĂ©e par l’Etat. - Les charges Ă  caractĂšre gĂ©nĂ©ral : 12 300 000 € ; elles sont en diminution du fait de la rĂ©duction de certaines activitĂ©s (ex : Saint-BrĂ©vin) et d’une maĂźtrise de ces dĂ©penses par l’ensemble des services. Éric SEYNAVE souligne les efforts entrepris. - les subventions allouĂ©es aux associations : A pĂ©rimĂštre identique, le budget est diminuĂ© de 80 K€ par rapport Ă  l’annĂ©e 2014. Éric SEYNAVE souligne lĂ  aussi le travail des associations pour diminuer le recours Ă  la subvention. - les pĂ©rĂ©quations : - Le Fonds de SolidaritĂ© de la rĂ©gion Ile-de-France : Le montant du FSRIF 2015 dont le produit national passe de 250 Ă  270 M€ engendre pour notre commune une augmentation non notifiĂ©e. Au minimum le prĂ©lĂšvement opĂ©rĂ© par l’Etat sur le budget communal serait de 1 220 K€. La prise en compte du critĂšre de la richesse par habitant, pour 20 % de ce fonds ne favorise pas notre ville. - Le Fonds de PĂ©rĂ©quation intercommunal et Communal : Le montant du FPIC 2015 dont le produit national passe de 570 Ă  780 M€ engendre pour notre commune une augmentation non notifiĂ©e. Au minimum le prĂ©lĂšvement opĂ©rĂ© par l’Etat sur le budget communal serait de 1 300 K€. La prise en compte du critĂšre de la richesse par habitant, pour 25 % de ce fonds pĂ©nalise fortement notre ville. Les notifications de l’Etat ne sont toujours pas parvenues.
  • 9. 9 - Investissement: * Le budget a Ă©tĂ© fixĂ©, dans un premier temps, Ă  8 millions d’euros. Ce montant devra ĂȘtre revu, l’objectif retenu Ă©tant de maintenir un endettement raisonnable au niveau actuel, soit 996 € par habitant. La dette : L’inscription d’emprunt est Ă©valuĂ©e Ă  ce jour Ă  4 025 000 €. Au 1er janvier 2015, l’encours de la dette est de 29 917 576,82 €, soit 996 € par habitant avec la mobilisation sur l’annĂ©e 2014 de deux emprunts pour un montant total de 2 000 K€. L’autofinancement diminue par rapport Ă  2014. BP 2014 BP 2015 Amortissements 1 900 000 € 1 900 000 € Virement Ă  l’investissement 775 000 € 500 000 € 2 675 000 € 2 400 000 € DEBAT : MarlĂšne LABATUT pour le groupe « Saint-Cloud, c’est vous » regrette que les estimations chiffrĂ©es de ce budget 2015 soient succinctes. Elle constate en fonctionnement que les recettes sont infĂ©rieures aux dĂ©penses. Elle s’étonne que la seule solution Ă©voquĂ©e pour rĂ©tablir l’équilibre des comptes soit une augmentation de la fiscalitĂ© locale, qui s’ajouterait Ă  la hausse des bases d’imposition. Cela ne permettrait mĂȘme pas de maintenir le dĂ©jĂ  faible niveau de la capacitĂ© d’autofinancement de la ville. Selon elle, il n’y a pas de volontĂ© rĂ©elle pour compenser cette situation, mĂȘme si elle est liĂ©e aux dĂ©cisions gouvernementales en matiĂšre de pĂ©rĂ©quations et de dotations. Elle demande ce qui est prĂ©vu, par poste, pour diminuer les dĂ©penses de fonctionnement afin de rĂ©duire au maximum la charge supplĂ©mentaire pour les clodoaldiens. En Ă©tudiant les bilans des annĂ©es prĂ©cĂ©dentes, elle souligne qu’il n’y a pas eu de rĂ©els efforts de gestion et de recherche de productivitĂ© pour le budget de fonctionnement. Elle regrette le recours Ă  l’emprunt qui a Ă©tĂ© systĂ©matique, augmentant rĂ©guliĂšrement la dette de la ville. La recherche d’économies en dĂ©penses doit s’accompagner d’une meilleure identification des recettes (la prĂ©vision de recettes pour les droits de mutation n’est-elle pas sous-Ă©valuĂ©e ?). Éric BERDOATI s’étonne des propos tenus qu’il ne peut accepter ; cette vision relĂšve soit d’un manque de comprĂ©hension qui peut s’expliquer, soit de la dĂ©magogie, faute d’arguments tangibles. Le mĂ©lange dans vos propos entre le budget d’investissement, la dette et le budget de fonctionnement est une grave erreur. Il n’y a aucune communication entre les budgets. A Saint-Cloud, comme dans toutes les villes, contrairement Ă  l’Etat, l’investissement et la dette n’ont jamais servi Ă  financer le fonctionnement. La ville a engagĂ© depuis prĂšs de 10 ans une vĂ©ritable politique d’investissement pour la rĂ©habilitation du patrimoine communal (environ 90 000 m2). Ce sont les Ă©coles, les structures de Petite Enfance, les Ă©quipements culturels et sportifs qui profitent Ă  tous les Clodoaldiens. Il y avait du retard sur l’entretien de ces bĂątiments que le Maire a voulu combler. Ainsi, nous sommes passĂ©s d’une moyenne d’investissement annuel d’environ 3,5 millions d’€ par an avant 2005 Ă  prĂšs de 10 millions d’€ par an depuis 2008. Sur le mandat prĂ©cĂ©dent, le recours Ă  l’emprunt a pu ĂȘtre limitĂ©. Sur les 62 M€ investis, 74% ont Ă©tĂ© financĂ©s par l’autofinancement. Seulement 26 %, a Ă©tĂ© financĂ© par de l’emprunt. Il y a donc eu, contrairement Ă  ce que prĂ©tend le groupe Saint-Cloud, c’est vous, un recours Ă  l’emprunt effectuĂ© avec prĂ©caution et maĂźtrise. La dette par habitant est infĂ©rieure Ă  1000 € et se situe trĂšs en dessous de la moyenne dĂ©partementale et de la moyenne rĂ©gionale qui est supĂ©rieure Ă  1 500 € par habitant. Quant au fonctionnement, les collectivitĂ©s territoriales ne peuvent pas appliquer les rĂšgles des entreprises. Mettre fin Ă  un service, comme la fermeture d’une crĂšche par exemple, nĂ©cessiterait de procĂ©der Ă  un reclassement des agents municipaux chargĂ©s de son fonctionnement. Le statut de la fonction publique territoriale interdit tout licenciement d’agent titulaire. Il n’y a pas de solution dans ce cas. Les mesures d’économies sont menĂ©es depuis plusieurs annĂ©es ; elles seront dĂ©taillĂ©es avec prĂ©cision lors de l’examen du Budget 2015. Le DĂ©bat d’Orientation BudgĂ©taire, comme son nom l’indique, se limite Ă  la stratĂ©gie, aux grands principes et aux orientations. Il sera intĂ©ressant de voir si le groupe Saint Cloud c’est vous dĂ©noncera ou soutiendra les mesures d’économies qui seront proposĂ©es dans le cadre du budget 2015 ! Il faut dire la vĂ©ritĂ© aux Clodoaldiens : la commune a un budget de fonctionnement de l’ordre de 42 Ă  43 millions d’€ Ă  l’équilibre, bien gĂ©rĂ©, et qui dĂ©gage un autofinancement plutĂŽt confortable, situĂ© entre 2,5 et 2,9 millions d’€ chaque annĂ©e. En 2015, la ville est frappĂ©e par la baisse de la Dotation Globale de Fonctionnement et surtout par l’augmentation exponentielle de la pĂ©rĂ©quation qui est un prĂ©lĂšvement opĂ©rĂ© directement sur le budget de la commune par l’Etat. La richesse moyenne par habitant, nettement supĂ©rieure Ă  Saint-Cloud par rapport aux autres villes du dĂ©partement, nous pĂ©nalise fortement. Ces deux
  • 10. 10 facteurs - DGF et pĂ©rĂ©quation -ne constituent pas un choix de gestion municipale mais la consĂ©quence d’une politique nationale, conformĂ©ment Ă  la Loi. Il faut donc rechercher des moyens pour financer non pas des services rendus aux Clodoaldiens, mais la pĂ©rĂ©quation qui prend des proportions importantes sur le budget. Ce financement s’effectuera par des mesures d’économies en fonctionnement et malheureusement, ce qui n’était pas le cas depuis plusieurs annĂ©es, par une augmentation de la fiscalitĂ©. Il n’y a pas d’autre choix. Tant que l’Etat ne se rĂ©formera pas pour disposer d’un budget de fonctionnement en Ă©quilibre, comme les communes sont obligĂ©es de l’avoir, il continuera Ă  faire des Ă©conomies sur « le dos » des collectivitĂ©s, avec le risque qu’elles soient bientĂŽt dans la situation dans laquelle l’Etat est aujourd’hui, c’est-Ă -dire dans l’incapacitĂ© de proposer un budget Ă  l’équilibre ! Le Maire attend du groupe Saint-Cloud c’est vous de rencontrer Éric SEYNAVE, comme cela avait Ă©tĂ© proposĂ© aux groupes d’opposition, afin que celui-ci reçoive leurs propositions qui seront Ă©tudiĂ©es et qu’il leur apporte des Ă©lĂ©ments de solution. Éric SEYNAVE rappelle que la gestion publique ne peut se comparer Ă  celle de l’entreprise. Contrairement aux propos tenus par le groupe Saint-Cloud, c’est vous, la ville est tout Ă  fait capable de faire des Ă©conomies. L’augmentation des pĂ©rĂ©quations et le manque Ă  gagner liĂ© Ă  la diminution de la DGF reprĂ©sentent en 2015 un total supĂ©rieur Ă  1 550 000 € ! Le dĂ©ficit prĂ©sentĂ© dans le DĂ©bat d’Orientation BudgĂ©taire entre les dĂ©penses de fonctionnement et les recettes de fonctionnement, est de 1 150 000 €. Cela signifie que la ville a gĂ©nĂ©rĂ© 400 000 € d’économies ! Agathe BONNIN se demande si les taux pourront ĂȘtre revus Ă  la baisse dans un contexte Ă©conomique plus favorable, l’annĂ©e prochaine ou les annĂ©es suivantes. Éric BERDOATI lui rappelle que les taux sont fixĂ©s chaque annĂ©e par le Conseil municipal. Ils peuvent ainsi ĂȘtre augmentĂ©s, diminuĂ©s ou maintenus. Compte tenu du contexte oĂč les pĂ©rĂ©quations vont encore Ă©voluer, il est peu probable de diminuer la fiscalitĂ© locale en 2016. Xavier BRUNSCHVICG et son groupe « Saint-Cloud, rive Gauche, partagent un grand nombre de constats posĂ©s, parfois les analyses et conclusions, voire les solutions prĂ©conisĂ©es. Le contexte est marquĂ© par une crise Ă©conomique mondiale, une croissance qui reste trĂšs mesurĂ©e ; parallĂšlement par une volontĂ© du gouvernement de lutter contre les dĂ©ficits publics avec un effort consĂ©quent de rechercher 50 milliards d’économies auxquelles sont associĂ©es les collectivitĂ©s locales. Selon l’INSEE, le dĂ©ficit public serait de 4 % cette annĂ©e au lieu des 4,4 % escomptĂ©s ; il Ă©tait de 5,8 % en 2011. En matiĂšre de pĂ©rĂ©quation, il rappelle que le FPIC a Ă©tĂ© instituĂ© en 2011 par le gouvernement Fillon et prĂ©voyait dĂšs l’origine une montĂ©e en charge exponentielle. Les hypothĂšses Ă©mises par la municipalitĂ© en termes de baisse de DGF et de pĂ©rĂ©quations sont assez exactes, voire un peu trop optimistes. Le budget de fonctionnement de la ville est bien gĂ©rĂ©, les dĂ©penses sont bien tenues. Quant Ă  l’investissement, qui diminuerait d’environ 2 millions en 2015, Il ne faut pas trop le baisser. Comment financer le dĂ©ficit ? Il va falloir assumer des choix. Quelques pistes de rĂ©flexion sont proposĂ©es par la liste Saint-Cloud, Rive Gauche : reporter la mise en place de la vidĂ©o surveillance dont le coĂ»t est estimĂ© Ă  500 000 € en investissement, mĂȘme si l’impact est de moitiĂ© seulement pour la ville, en raison des subventions attendues ; rĂ©duire les indemnitĂ©s versĂ©es aux Ă©lus ; rĂ©flĂ©chir dans le cadre de la transition Ă©nergĂ©tique aux Ă©conomies Ă  rĂ©aliser pour l’éclairage public et les fluides en gĂ©nĂ©ral ; mutualiser un certain nombre de compĂ©tences au niveau de la CommunautĂ© d’agglomĂ©ration (ramassage des ordures mĂ©nagĂšres un jour sur deux sur les trois villes) ; diminuer la masse salariale mĂȘme si elle n’est pas Ă©norme Ă  Saint-Cloud, avec un audit de fonctionnement pour rĂ©aliser des Ă©conomies. Éric BERDOATI rappelle que la ville est soumise Ă  deux mĂ©canismes de pĂ©rĂ©quation. D’abord, le FSRIF mis en place en 1991 par Michel ROCARD et dont le terme initial est le 31 dĂ©cembre 2015 ; mais il est probable qu’il soit renouvelĂ©, avec des consĂ©quences nĂ©gatives pour Saint-Cloud ; ensuite, le FPIC instaurĂ© effectivement en 2011. DĂšs juillet 2012, le gouvernement socialiste introduit un nouveau critĂšre : la richesse moyenne des habitants, qui n’existait pas auparavant. C’est comme un deuxiĂšme impĂŽt sur le revenu. Ce changement opĂ©rĂ© a une consĂ©quence trĂšs nĂ©gative pour notre ville puisqu’il alourdit les prĂ©lĂšvements et impacte donc trĂšs fortement notre budget ! Quant Ă  la masse salariale du personnel, elle reprĂ©sente 47 % du budget de fonctionnement. C’est un ratio extrĂȘmement faible. La suppression du jour de carence dans la fonction publique instituĂ©e sous Nicolas SARKOZY, mais abandonnĂ©e aprĂšs les Ă©lections prĂ©sidentielles de 2012, avait permis Ă  la ville d’économiser 70 000 €. La situation est assez tendue en
  • 11. 11 termes d’effectifs et il serait difficile de proposer les mĂȘmes services avec moins d’agents. Enfin, en matiĂšre d’économies, un certain nombre de propositions seront faites au moment de l’examen du Budget primitif. Thierry DIAI est opposĂ© Ă  toute hausse d’impĂŽts au niveau local car ce ne sont pas moins de 90 milliards d’impĂŽts nouveaux qui ont Ă©tĂ© crĂ©Ă©s par l’Etat depuis 2012. Il a deux solutions : soit rĂ©duire Ă  parts Ă©gales les services proposĂ©s Ă  la population et les dĂ©penses de personnel ; soit demander au PrĂ©fet, reprĂ©sentant lĂ©gal de l’Etat dans le dĂ©partement, de prendre en charge le budget. Il ne veut pas ĂȘtre complice de la politique imposĂ©e par l’Etat. Éric BERDOATI rappelle que baisser la masse salariale par une diminution des salaires est impossible dans le secteur public, contrairement au secteur privĂ©. Le statut de la fonction publique, qui est l’émanation de la Loi, Ă©dicte des rĂšgles que toutes les collectivitĂ©s territoriales doivent respecter. De plus le salaire moyen d’un employĂ© communal Ă  Saint-Cloud n’est pas Ă©levĂ©, contrairement au coĂ»t de la vie dans la rĂ©gion parisienne ! La seule possibilitĂ© est le non remplacement d’un agent qui souhaite une mutation dans une autre collectivitĂ© mais cela est trĂšs marginal. Quant Ă  la fiscalitĂ© locale, qui n’a pas Ă©voluĂ© Ă  Saint-Cloud depuis plusieurs annĂ©es, son augmentation est la derniĂšre mesure envisagĂ©e aprĂšs avoir Ă©puisĂ© toutes les autres solutions. Thierry DIAI comprend bien qu’on ne puisse pas baisser les salaires communaux mais insiste sur les opportunitĂ©s ouvertes pour les suppressions de postes en cas de mutations d’agents. Le Conseil municipal prend acte de la prĂ©sentation du DĂ©bat d’Orientation BudgĂ©taire pour l’annĂ©e 2015. SOLIDARITE, LOGEMENT ET ACTION SOCIALE Rapporteur : Thierry ARNAUD N°11 : Versement d’une subvention pour surcharge fonciĂšre Ă  la sociĂ©tĂ© OGIF pour l’acquisition de 16 logements sociaux, 10 rue Alexandre Coutureau. La sociĂ©tĂ© OGIF a conclu avec la sociĂ©tĂ© Vinci Immobilier l’acquisition en VEFA (vente en Ă©tat futur d’achĂšvement) de 16 logements dans le cadre d’un programme immobilier comportant au total 64 logements, situĂ©s 10 rue Alexandre Coutureau. Le Conseil municipal, Ă  l’unanimitĂ©, attribue Ă  la sociĂ©tĂ© OGIF une subvention au titre de la surcharge fonciĂšre pour un montant de 60 000 € ; autorisation est donnĂ©e au Maire de signer la convention proposant un droit de rĂ©servation de trois logements pendant une durĂ©e de 30 ans. N°12 : Garantie communale accordĂ©e Ă  la sociĂ©tĂ© Logement Francilien pour l’acquisition de 38 logements, 38-48 rue Gounod. La sociĂ©tĂ© Logement Francilien a conclu avec la sociĂ©tĂ© Franco-Suisse l’acquisition en VEFA (vente en Ă©tat futur d’achĂšvement) de 38 logements sociaux situĂ©s 38-48 rue Gounod. Afin de permettre l’acquisition de cet ensemble, le Conseil municipal, Ă  l’unanimitĂ©, accorde Ă  la sociĂ©tĂ© Logement Francilien la garantie totale de la ville pour trois emprunts contractĂ©s auprĂšs de la Caisse de DĂ©pĂŽts et Consignations, prĂȘts qui financent 17 logements PLUS, 4 logements PLAI et 17 logements PLS d’un montant total de 6 408 725,56 €. En contrepartie, la Ville disposera d’un droit de rĂ©servation sur huit logements pendant une durĂ©e de 50 ans. Le maire est autorisĂ© Ă  signer la convention. (Thierry DIAI ne prend pas part au vote) N°13 : Versement d’une subvention pour surcharge fonciĂšre Ă  la sociĂ©tĂ© Logement Francilien pour l’acquisition de 38 logements, 38-48 rue Gounod. Le Conseil municipal, Ă  l’unanimitĂ©, attribue Ă  la sociĂ©tĂ© Logement Francilien une subvention au titre de la surcharge fonciĂšre pour un montant de 82 500 €. ; autorisation est donnĂ©e au Maire de signer la convention proposant un droit de rĂ©servation sur deux logements pendant une durĂ©e de 50 ans.
  • 12. 12 PETITE ENFANCE, EDUCATION ET JEUNESSE Rapporteur : Brigitte PINAULDT N°14 : Demande de subvention auprĂšs de la Direction rĂ©gionale et interdĂ©partementale de l’équipement et de l’amĂ©nagement d’Ile-de-France pour le projet « Permis PiĂ©ton ». La ville souhaite continuer Ă  dĂ©velopper ce projet pour continuer Ă  sensibiliser les enfants sur les problĂšmes de sĂ©curitĂ© routiĂšre. Ce permis est mis en Ɠuvre pour les Ă©coliers du CE2 au CM1, avec l’appui d’enseignants volontaires et avec l’aide pĂ©dagogique des Polices nationale et municipale. Le Conseil municipal, unanime, autorise le Maire, ou l’élu dĂ©lĂ©guĂ©, Ă  solliciter, auprĂšs de la DRIEA d’Ile-de-France, une subvention pour ce projet et Ă  signer tous les actes et conventions prĂ©cisant les conditions d’attribution de cette subvention. JURIDIQUE Rapporteur : Éric SEYNAVE N°15 : Acquisition de la parcelle cadastrĂ©e AB 17 appartenant Ă  France Galop. Le Plan Local d’Urbanisme (PLU), approuvĂ© le 5 juillet 2012, a prĂ©vu un emplacement rĂ©servĂ© sur la parcelle cadastrĂ©e AB n°10, pour la crĂ©ation d’un mail piĂ©tonnier longeant l’hippodrome avenue Francis Chaveton. La ville a obtenu l’accord de France Galop, sociĂ©tĂ© propriĂ©taire, organisatrice des courses de plat et d’obstacle, qui lui cĂšde ce terrain au prix de 407 000 €, valeur vĂ©nale estimĂ©e par France Domaine en mars 2014. AprĂšs Ă©laboration d’un nouveau plan d’alignement et mise en place d’une division parcellaire, la surface de cette nouvelle parcelle cadastrĂ©e AB n°17 est de 4003 mÂČ. Le Conseil municipal, unanime, approuve cette acquisition afin de procĂ©der Ă  la rĂ©alisation d’une liaison douce Ă  l’emplacement rĂ©servĂ© prĂ©vu au PLU. Le Maire, ou l’élu dĂ©lĂ©guĂ©, sont autorisĂ©s Ă  signer l’acte dĂ©finitif d’acquisition qui permettra le classement automatique de la parcelle dans le domaine public routier communal. Le Maire prĂ©cise que les travaux d’amĂ©nagement de cette liaison douce seront financĂ©s par le Conseil gĂ©nĂ©ral. PATRIMOINE COMMUNAL (GESTION ET TRAVAUX) Rapporteur : Delphine RENAUDIN N°16 : Convention d'habilitation tripartite dans le cadre du partenariat CEE SIGEIF-SIPPEREC. La ville souhaite passer une convention avec le SIGEIF (syndicat intercommunal pour le gaz et l’électricitĂ© en Ile-de-France et le SIPPEREC (syndicat intercommunal de la pĂ©riphĂ©rie de Paris pour l’ElectricitĂ© et les rĂ©seaux de communication) pour promouvoir les actions de maĂźtrise de la demande d'Ă©nergies rĂ©alisĂ©es par la Commune et les valoriser par l'obtention de certificats d'Ă©conomies d'Ă©nergie (CEE). Le Conseil municipal, unanime, autorise le Maire ou l'Ă©lu dĂ©lĂ©guĂ© Ă  signer et Ă  exĂ©cuter la convention d'habilitation tripartite entre le SIGEIF, le SIPPEREC et la ville au dispositif des certificats d'Ă©conomie d'Ă©nergie, ainsi que leurs Ă©ventuels avenants. Son exĂ©cution permettra de disposer des expertises de ces deux syndicats, d’atteindre ainsi par l’effet de regroupement, la quantitĂ© minimale de CEE nĂ©cessaire au dĂ©pĂŽt de dossiers auprĂšs des pouvoirs publics, et de rĂ©aliser la vente des CEE aux meilleures conditions possibles. N°17 : DĂ©pĂŽt d’une dĂ©claration prĂ©alable pour le remplacement d'une porte d’accĂšs Ă  l'annexe de la mairie. Le remplacement de cette porte d'entrĂ©e, qui donne sur la cour du service de l'Etat civil, doit amĂ©liorer la sĂ©curitĂ© des accĂšs. Le Conseil municipal, unanime, autorise le Maire, ou l'Ă©lu dĂ©lĂ©guĂ©, Ă  dĂ©poser la dĂ©claration prĂ©alable correspondant Ă  ce projet. CULTURE Rapporteur : SĂ©golĂšne de LARMINAT N°18 : Fixation des prix de vente de produits dĂ©rivĂ©s au MusĂ©e des Avelines. Le Conseil municipal, unanime, dĂ©cide de fixer comme suit le prix des nouveaux produits dĂ©rivĂ©s comme suit :
  • 13. 13 ENVIRONNEMENT NUMERIQUE Rapporteur : Le Maire N°19 : Avenant n°2 Ă  la convention avec l’Etat pour la tĂ©lĂ©transmission des actes soumis au contrĂŽle de lĂ©galitĂ©. La Ville a optĂ© depuis 2007 pour la transmission par voie Ă©lectronique de ses actes soumis au contrĂŽle de lĂ©galitĂ©. Elle a signĂ© Ă  cet effet une convention avec le Sous-prĂ©fet, reprĂ©sentant de l’Etat. (DĂ©libĂ©rations, actes rĂšglementaires, arrĂȘtĂ©s individuels). Un premier avenant a Ă©largi ce pĂ©rimĂštre. La ville souhaite dĂ©sormais Ă©tendre cette tĂ©lĂ©transmission Ă  l’ensemble de ses actes soumis au contrĂŽle de lĂ©galitĂ©, afin de poursuivre sa dĂ©marche de modernisation et accĂ©lĂ©rer ses procĂ©dures. Le Conseil municipal, unanime, approuve cet avenant n°2 Ă  la convention conclue entre la PrĂ©fecture des Hauts-de-Seine et la ville. Le Maire est autorisĂ© Ă  sa signature ainsi que pour tout acte y affĂ©rent. RESSOURCES HUMAINES Rapporteur : Le Maire N°20 : Modification du tableau des effectifs aux 1er avril et 1er juin 2015. Il est proposĂ© au Conseil municipal la mise Ă  jour du tableau des effectifs du personnel communal. 16 postes (dont un poste d’ingĂ©nieur principal) sont crĂ©Ă©s au 1er avril 2015 et 15 postes sont supprimĂ©s. Les effectifs budgĂ©taires sont portĂ©s temporairement Ă  501,93 (466,62 ETP). Ce nombre thĂ©orique n’est pas le reflet du nombre rĂ©el d’agents travaillant pour la ville. Cette disposition est approuvĂ©e unanimement.... QUESTIONS DIVERSES Les Ă©lus d’opposition de « Saint-Cloud Rive Gauche « et de « Saint-Cloud c’est vous » ont adressĂ© au Maire plusieurs questions Ă©crites: Hippodrome de Saint-Cloud (question prĂ©sentĂ©e par Xavier BRUNSCHVICG) Monsieur le Maire, vous avez choisi pendant la campagne des Ă©lections dĂ©partementales d’instrumentaliser Ă  des fins politiciennes le soi-disant projet du Gouvernement de construction de 6000 logements en lieu et place de l’hippodrome de Saint-Cloud. Ce faisant, vous avez rĂ©pandu de fausses rumeurs et crĂ©Ă© un sentiment d’inquiĂ©tude au sein de la population. Nous avons pris la parole en diffusant un tract pour ramener de la raison dans ce dĂ©bat passionnel et pour rappeler qu’il n’y avait en la matiĂšre aucun projet gouvernemental. Nous avons Ă©galement rappelĂ© que nous n’avions adoptĂ© aucune position quant au fond du sujet. Sur le fond justement, que pouvez-vous nous dire concernant cette Ă©tude prospective ? Et pourquoi avoir dĂ©clenchĂ© un dĂ©bat une semaine avant les Ă©lections alors que cette Ă©tude avait Ă©tĂ© rendue publique en octobre ? Par ailleurs, d’autres Ă©tudes, qui datent d’il y a plusieurs annĂ©es, Ă©voquaient dĂ©jĂ  cette possibilitĂ©. Pouvez-vous nous en dire plus Ă  leur sujet ? RĂ©ponse d’Éric BERDOATI : Le premier projet immobilier remonte aux annĂ©es 1970. Le projet actuel est un projet gouvernemental Ă©mis par l’Agence d’amĂ©nagement du Grand Paris (Service du MinistĂšre du Logement, de l’EgalitĂ© des territoires et de la RuralitĂ©). Il a Ă©tĂ© connu pour la premiĂšre fois en octobre 2014 et le Maire a aussitĂŽt Ă©crit au PrĂ©fet de RĂ©gion qui a tenu Ă  le rassurer. Le PrĂ©fet des Hauts-de-Seine a eu la mĂȘme attitude. Fort de ces deux messages, le Produits dĂ©rivĂ©s Prix de vente Ă  l’unitĂ© CARNET DE 4 TIMBRES 8 € LIVRET- ATELIER POUR ENFANTS 4 €
  • 14. 14 Maire n’a pas insistĂ©. Le 17 fĂ©vrier 2015, la fiche initiale est rĂ©actualisĂ©e, complĂ©tĂ©e avec des surfaces de plancher. Elle est incluse dans un dossier qui est intitulĂ© « RĂ©sorption de la crise du logement – recherche de foncier disponible, vingt OIN multi sites » (opĂ©rations d’intĂ©rĂȘt national qui permettent Ă  l’Etat d’exproprier) envoyĂ© Ă  la FĂ©dĂ©ration des Ă©tablissements publics locaux (outils d’amĂ©nagement dont disposent certaines collectivitĂ©s). Le PrĂ©sident de France Galop, propriĂ©taire du site, qui a dĂ©couvert ce projet a informĂ© le Maire. Ils ont dĂ©cidĂ© de rĂ©agir immĂ©diatement. Dans une confĂ©rence de presse commune, Le PrĂ©sident de France Galop a rappelĂ© l’importance sportive et hippique de l’hippodrome inaugurĂ© en mars 1901. Il a une activitĂ© prĂ©dominante dans l’organisation de la sĂ©lection de la race de purs sangs du groupe 1. Éric BERDOATI est opposĂ© Ă  toute construction de logement sur l’hippodrome. Le site est classĂ© depuis le 8 juillet 1998. Le document d’urbanisme de la ville (PLU) le protĂšge et ne permet en aucun cas la rĂ©alisation d’un tel projet de construction. Si l’Etat veut produire des logements Ă  Saint-Cloud, il peut le faire lĂ  oĂč il est propriĂ©taire, Ă  savoir la caserne Sully, vide depuis 2007, oĂč il peut amĂ©nager le site. 6000 logements, soit la moitiĂ© du nombre de logements de la ville, ne sont pas nĂ©cessaires Ă  Saint-Cloud. La ville est attachĂ©e Ă  son hippodrome, lieu Ă©conomique et hippique qui propose 100 emplois et lieu d’identitĂ© de la commune. Ce n’était pas une opĂ©ration Ă  but Ă©lectoraliste. Il n’y a pas eu d’instrumentalisation Ă  des fins politiciennes. Xavier BRUNSCHVICG insiste sur le fait que son groupe n’est pas favorable Ă  la construction de 6000 logements sur Saint-Cloud. Cependant, l’hippodrome ne sert pas Ă  grand-chose
Il faut poser sereinement les enjeux. Modification du PLU : une opportunitĂ© ? (question prĂ©sentĂ©e par Sophie MICHAUD): Le groupe Saint-Cloud c’est vous soutient totalement la position de la municipalitĂ© sur l’hippodrome. Face Ă  cette menace, peut-on en profiter pour accentuer la prĂ©servation des sites et des paysages notamment le patrimoine vert, comme l’hippodrome, en revenant au prĂ©cĂ©dent zonage N plus protecteur et organiser une enquĂȘte publique comme Ă  Rueil ? RĂ©ponse d’Éric BERDOATI : Il remercie le groupe Saint-Cloud c’est vous de son soutien sur cette affaire. L’hippodrome est passĂ© effectivement de la zone N en zone UL. Cette derniĂšre ne permet pas de constructions. Si on veut rĂ©habiliter un jour les constructions existantes sur le site (tribunes
), il est indispensable que le site soit classĂ© en zone UL. La ville va procĂ©der Ă  la modification du PLU avec une consultation de la population. Il ne s’agit pas pour cette procĂ©dure d’une rĂ©vision qui modifierait l’économie gĂ©nĂ©rale du dossier, mais cette modification consiste en la correction d’erreurs matĂ©rielles, comme le prĂ©voit la rĂšglementation. Stationnement payant (question prĂ©sentĂ©e par Lionel PEZET): Nous vous avions demandĂ© lors du Conseil municipal du 20 novembre 2014 des exemples de villes qui avaient perdu des procĂšs pour avoir fait une zone unique de stationnement ; sans rĂ©ponse, nous avions reposĂ© cette question au Conseil municipal du 29 janvier 2015. Nous sommes en mars 2015, soit bientĂŽt 5 mois aprĂšs, pouvez-vous rĂ©pondre Ă  cette question de maniĂšre prĂ©cise. ? RĂ©ponse de Dominique LEBRUN : Depuis 1974, une jurisprudence du Conseil d’Etat justifie une discrimination entre usagers lorsqu’il existe une diffĂ©rence de situation. Nous considĂ©rons en toute objectivitĂ© que les usagers ne doivent pas avoir un statut unique de stationnement aussi bien en droit qu’en opportunitĂ©. Toutes les villes importantes qui pensaient mettre en place une zone unique de stationnement ont abandonnĂ© ce projet, pour des motifs d’efficacitĂ©. Le cabinet SARECO, sollicitĂ© en 2009 pour l’étude pour la mise en place de ce stationnement, confirme par Ă©crit cette position. MarchĂ© Montretout : projet et communication ? Au Conseil municipal du 18 DĂ©cembre dernier, nous avions posĂ© une question sur le projet de rĂ©habilitation du MarchĂ© de Montretout et de tout l’espace qui l’entoure. Il nous avait Ă©tĂ© rĂ©pondu que l’on en Ă©tait encore au stade des Ă©tudes et de consultation des spĂ©cialistes ; que l’on aurait en janvier 2015 le rendu dĂ©finitif de l’étude commandĂ©e Ă  une sociĂ©tĂ© spĂ©cialisĂ©e. Quand et comment prĂ©voyez-vous de partager avec l’équipe du Conseil municipal les rĂ©sultats de cette Ă©tude, disponible depuis fin janvier, et en profiter sur ce projet consensuel, Ă  engager un vĂ©ritable dialogue avec les riverains et au-delĂ  avec tous les clodoaldiens ? RĂ©ponse d’Éric BERDOATI : Un peu de retard a Ă©tĂ© pris sur ce dossier permettant d’entrevoir de nouvelles solutions. Le dossier est suivi de trĂšs prĂšs par Caroline CHAFFARD-LUCON. Dans quelques semaines, le Conseil municipal sera rĂ©uni en session privĂ©e du Conseil municipal, comme cela fut le cas le 12 mars dernier pour prĂ©senter les grandes lignes du budget.
  • 15. 15 4° Communication du ProcĂšs-Verbal IntĂ©gral: Le ProcĂšs-Verbal dit ‘analytique’ diffusĂ© aux clodoaldiens est trĂšs incomplet par rapport au ProcĂšs-Verbal ‘IntĂ©gral. Ne pourrait-on, une fois qu’il validĂ©, et comme cela se fait dans d’autres villes, mettre ce P.V. IntĂ©gral au format numĂ©rique sur le site de la ville et si cela n’est pas possible, pourquoi ? RĂ©ponse d’Éric BERDOATI : Effectivement, l’OFFICIEL DE SAINT-CLOUD ne diffuse que l’analytique. Le ProcĂšs-verbal intĂ©gral de chaque rĂ©union du Conseil municipal pourrait ĂȘtre mis en ligne sur le site Internet de la ville une fois qu’il aura Ă©tĂ© adoptĂ© par cette assemblĂ©e. La sĂ©ance est levĂ©e Ă  minuit. Le Maire SignĂ© le 31 mars 2015 Éric BERDOATi