1. Le curcuma, l’épice qui empêche le fluorure de détruire votre cerveau et le reste
Le fluorure se trouve partout aujourd’hui, des antibiotiques à l’eau potable, dans la pâte dentifrice, de sorte que l’exposition est inévitable. Raison de plus pour que les dernières découvertes à propos de la curcumine du curcuma, vous informe comment cette épice pourrait éviter au fluorure d’endommager votre cerveau !
La neurotoxicité du fluorure a été l’objet d’un débat académique depuis des décennies, et maintenant une question de plus en plus passionnée soulevée par le grand public, en demande d’information. Pour rappel, les « théories du complot », lors de sa première utilisation dans l’eau potable en Russie et dans les camps de concentrations nazis, infligeant une sorte de lobotomie chimique subit en captivité, avec pour effet de réduire la capacité cognitive abaissant ainsi la résistance et le raisonnement des gens, puis augmente la calcification de la glande pinéale, et enfin l'augmentation de la sénilité précoce et Alzheimer. Les USA ne sont pas à l’abri car de plus en plus de régions se trouvent fortement fluorées, l’État verserait cette substance toxique partout dans les eaux potables municipales.
2. Maintenant, une nouvelle étude publiée dans le Journal de pharmacognosie, intitulé « La curcumine atténue la neurotoxicité induite par le fluorure, une évidence révélée in vivo », l’expérimentation en labo prouve que le fluorure est en fait une substance qui endommage gravement le cerveau, et que par ailleurs, la curcumine du curcuma (3 curcuminoïdes) révèle que l’agent de protection naturel agît contre les différents effets sur la santé du fluorure.
L’étude a été menée par des chercheurs du département de Zoologie, Faculté des Sciences de l’Université ML Sukhadia à Udaipur, en Inde, ils ont passés la dernière décennie à étudier les mécanismes par lesquels le fluorure induit des changements neurodégénératifs graves dans le cerveau des mammifères, en particulier dans les cellules de l’hippocampe et le cortex cérébral.
Bhatnagar M, P Rao, Saxena A, Bhatnagar R, P Meena, des changements biochimiques Barbar S. dans le cerveau et d’autres tissus de jeunes femelles adultes de fluorure dans l’eau potable. Fluorure . 2006 ; 39:280-4.
Bhatnagar M, P Sukhwal, Suhalka P, Jain A, C Joshi, Sharma D. Effets de fluorure dans l’eau potable dans les neurones NADPH – diaphorase dans le cerveau antérieur de souris : Un mécanisme possible de la neurotoxicité du fluorure. Fluorure . 2011; 44:195-9.
L’étude commence par une description du contexte historique de toxicité significative et généralisée liée au fluorure :
« Le fluor (F) est probablement le premier ion inorganique qui ait attiré l’attention du monde scientifique pour ses effets toxiques, et la toxicité F maintenant détectée dans l’eau potable est bien reconnu comme un problème mondial.
Les Rapports des effets sur la santé de l’exposition au fluorure comprend également divers types de cancer, effets néfastes sur la reproduction et sur l'engendrement de la stérilisation, augmentation des maladies cardiovasculaires et neurologiques ».
3. L’étude a porté sur la neuro-toxicité induite par le fluorure, l’identification excitotoxicité (stimulation du neurone à l’article de la mort) et le stress oxydatif comme les deux principaux moteurs de la neuro-dégénérescence. Il a été observé que les sujets atteints d’asfluorosis, marbrure de l’émail des dents provoquée par l’exposition excessive au fluorure au cours du développement de la dent, sont également des changements neuro-dégénératifs associés à une forme de stress oxydant connu comme la peroxydation des lipides (rancissement). L’excès de peroxydation lipidique dans le cerveau peut conduire à une diminution de la teneur totale en phospholipides dans le cerveau.
En raison de ces mécanismes bien connus de la neuro-toxicité et la neuro- dégénérescence associée au fluorure, les chercheurs ont identifié le polyphénol primaire dans l’épice curcuma – le principal des trois curcuminoĂŻdes, la curcumine connu comme agent idéal au pouvoir anti-oxydant et neuro-protecteur le plus puissant connu à ce jour. Des recherches antérieures sur la curcumine indiquent qu’elle agit comme antioxydant de 3 façons différentes en les protégeant contre :
1 ) Oxygène (oxydant).
2 ) Radicaux hyrodxyl (qui se rencontre en particulier dans les alcools et les phénols).
3 ) Dommages des radicaux libres superoxydes (se forment naturellement par réaction directe du dioxygène avec certains métaux).
En outre, la curcumine semble augmenter la production de glutathion (1*) endogène dans le cerveau, un important système de défense antioxydant.
1*- Le glutathion, qui existe sous forme oxydée et réduite, intervient dans le maintien du potentiel redox (une grandeur empirique exprimée en volt) du cytoplasme (désigne le contenu de la totalité du matériel cellulaire d'une cellule vivante) de la cellule. Il intervient aussi dans un certain nombre de réaction de détoxication et d'élimination d'espèces réactives de l'oxygène.
4. Afin d’évaluer les effets neurotoxiques du fluorure et de démontrer le rôle protecteur de la curcumine, les chercheurs ont réparti au hasard des souris en quatre groupes sur 30 jours :
1* Contrôle (sans fluor).
2* Fluorure (120 ppm) dosé en fluorure dans de l’eau potable et de l’eau distillée sans restriction.
3* Fluorure (120 ppm/30 mg/kg de poids corporel) + curcumine : Dose orale de curcumine dissous dans de l’huile d’olive avec le fluor originellement dilué dans l’eau potable.
4* La curcumine (30 mg/kg de poids corporel).
Afin de déterminer l’effet du traitement, les chercheurs ont mesuré la teneur en malondialdéhyde (MDA) dans le cerveau des souris traitées. MDA est un marqueur bien connu du stress oxydatif = dommages cellulaires.
Comme prévu, pour le groupe 2 ayant pris le fluorure (F) seul, le traitement a montré des niveaux significativement plus élevés de MDA traités.
Au contraire, Le groupe (F) + curcumine a montré un taux très bas en MDA, démontrant l’activité neuro-protectrice de la curcumine contre la neuro-toxicité du fluorure associé.
En conclusion de l'étude :
« Notre étude démontre donc que la dose quotidienne unique de 120 ppm de fluorure présente une augmentation très significative de la LPO (peroxydation lipidique, c'est à dire le rancissement cerveau par dégradation des lipides), ainsi que des changements neuro-dégénératifs dans les corps cellulaires des neurones des régions de l’hippocampe.
Par contre, la curcumine prise en supplémentation réduit de manière significative l’effet toxique du Fluorure l’amenant proche de la normale en augmentant les défenses anti-oxydantes par la propriété des curcuminoïdes du curcuma, ceci fournit la preuve du rôle thérapeutique contre le stress oxydatif engendré par la neuro-dégénérescence ».
C’est loin d’être la première étude à démontrer les importantes propriétés de la curcumine pour l’amélioration cognitive du cerveau. Du point de vue de la recherche primaire, il y a plus de deux cents études publiées et revues par les pairs dans ce domaine de recherche, indiquant que la curcumine est un agent neuro-protecteur.
Dans notre propre base de données informative sur la curcumine, plus de 115 articles prouvent cette affirmation : La curcumine du curcuma protège le cerveau.
5. Considérant les nombreuses « insultes chimiques », à savoir les médicaments chimiques auxquels nous sommes confrontés tous les jours dans notre monde post-industriel, le curcuma peut très bien être le plus grand remède du monde, avec plus de 600 applications de santé fondées sur des preuves scientifiques.
À propos de l’auteur
Sayer Ji est le fondateur de GreenMedInfo.com, auteur, éducateur, membre du Comité de pilotage de la Coalition mondiale sans OGM ( GGFC ), et membre du conseil consultatif de la Fédération nationale de la santé. Greenmedinfo.com fondée en 2008.
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10. Lien source :
http://mr-ginseng.com/
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Une étude montre que la curcumine protège contre l'exposition au mercure