Suites à des attaques personnelles et mensongères contre lui Stanley Lucas répond au prêtre défroqué Gerard Bissainthe et un alias Letitiah Sept que nombreux croient que c'est un prête nom de Jean Bertrand Aristide sur l'internet.
Reponse de Stanley Lucas à Gerard Bissainthe et a son marassa défroqué Letitiah Sept
1. Réponse
de
Stanley
Lucas
à
Gérard
Bissainthe
et
a
son
marassa
défroque
Letitiah
Sept
Juillet
2014
Quelle
affaire
!
Quelle
histoire!
Subitement,
A
brule
pourpoint,
Bissainthe
le
moralisateur,
Bissainthe
le
petit
prêtre
défroqué,
l'ancien
diplomate
corrompu
de
la
mission
d'Haïti
a
Genève
(klike
la:
http://www.metropolehaiti.com/metropole/full_une_fr.php?id=9380
)
porte
des
accusations
graves
avec
des
suppositions.
Hm!
Ce
faisant,
il
tente,
mais
en
vain,
d’expurger
du
sang
de
la
pierre
avec
des
quiproquos
tirés
par
les
cheveux.
Pour
un
Bissainthe,
dont
tout
un
chacun
n’a
jamais
oublié
l’échec,
peu
glorieux,
de
son
passage
raté
au
timon
des
affaires
en
Haïti,
je
crois
franchement
son
raisonnement
enfantin
et
même
tout
à
fait
inquiétant.
Bissainthe,
détenteur
d'un
passeport
américain,
dans
ses
écrits
est
plus
soucieux
des
autres
intérêts
que
ceux
d'Haïti.
Le
Président
Obama
a
à
sa
disposition
des
institutions
pour
défendre
les
intérêts
des
Etats
Unis,
il
n'a
point
besoin
d'un
défroque
comme
Bissainthe.
Nous,
nous
continuerons
de
défendre
les
intérêts
du
peuple
Haïtien
trahi
par
des
défroques
comme
Bissainthe.
Pour
cet
homme
d'hier
avec
la
mentalité
archaïque
du
18e
siècle
un
haïtien
ne
peut
pas
travailler
pour
une
ONG
qui
opére
au
niveau
global.
Pour
lui
c'est
une
menace,
un
conflit
d'intérêt.
Ne
comprenant
qu'une
simple
lettre
de
démission
suffit.
Vraiment
arriéré
ce
Bissainthe!
Prière
de
vérifier
le
lien
suivant:
http://www.iri.org/news-‐events-‐press-‐center/frequently-‐asked-‐questions/haiti-‐
faqs
La
dépendance
d'aujourd'hui
dont
souffre
cruellement
notre
pays
exsangue
et
qu’il
traine,
tel
ce
lourd
boulet
attaché
aux
jambes
de
l’esclave
que
nous
étions
avant
1804,
fait
partie
de
ce
patrimoine
peu
reluisant
que
vous
avez
laissé
à
ma
génération.
C’est,
a
contrario,
celle-‐ci
qui
essaye
de
prendre
en
main
et
de
gérer
cette
catastrophe
que
la
génération
Bissainthe,
à
l’instar
de
celles
d'Aristide
et
de
Préval,
nous
ont
flanqués
en
héritage.
Bissainthe,
vous
faites
partie
de
cette
école
qui
nous
a
laissé
un
passif
que
nous,
citoyen
droit
et
fier
de
notre
pays,
essayons
d’épurer
aux
fins
de
le
relever
et
de
lui
donner
figure
humaine.
Vous,
lors
de
votre
temps
de
gestion
de
la
res
publica,
occupé
par
des
priorités
plus
personnelles
que
collectives
n'avez
point
su
édifier
et
construire
des
institutions
solides
et
pérennes,
voir:
http://metropolehaiti.com/metropole/archive.php?action=full&keyword=Gerard+
Bissainthe&sid=0&critere=0&id=9380&p=1
A
ce
carrefour
important
de
la
vie
nationale,
une
jeune
génération
ayant
dans
ses
rangs
des
hommes
d'Etat
n’a
plus
rien
à
faire
des
petits
plaisantins
et
autres
Pinocchio
du
genre
«
koupe
mwen
debo
»
qui
participent
au
blocage
du
pays
dans
l'espoir
d'obtenir
un
job
diplomatique.
2. Est-‐ce
bien
vous,
Bissainthe,
le
même
quidam
qui
a
bénéficié
d'un
poste
diplomatique
à
Genève,
qui
nous
livrez
ce
genre
de
réflexions
primaires
sur
moi
et
l'administration
d'Obama?
Quelle
déception
et
quel
crétinisme!
Le
petit
crétin,
qui
devrait
apprendre
les
a,b,c
de
la
politique
étrangère
des
Etats
Unis,
ne
sait
pas
que
les
américains
démocrates
et
républicains
ne
font
pas
de
différence
quand
il
s'agit
de
défendre
leurs
intérêts
a
l'étranger?
Le
fruit
de
votre
réflexion
sur
moi
et
l'administration
Obama
est
le
produit
d'un
cerveau
en
dégradation
et
d'une
imagination
superficielle
et
primaire.
En
plus
vous
n'avez
aucune
compréhension
des
mécanismes
institutionnels
de
la
démocratie
sinon
vous
n'auriez
pas
pondu
autant
de
bêtises.
Lorsque
vous
étiez
au
timon
des
affaires
vous
étiez
tellement
préoccupe
par
vos
woulman
personnels
et
des
affaires
de
chèques
que
la
construction
d'institutions
pour
Haïti
n'était
pas
dans
votre
agenda
Chercheriez-‐vous
à
vous
refaire
une
virginité
perdue
ou
le
faites-‐vous
exprès?
Voudriez-‐vous
nuire
ou
serait-‐ce
de
la
jalousie?
Est-‐ce
l'assurance
que
vous
n'obtiendrez
pas
à
votre
âge
malgré
vos
demandes
répétées
un
nouveau
poste
dans
la
diplomatie
a
cause
de
votre
corruption
passée?
Ou
alors,
peut-‐être
de
la
pure
démagogie
?
Au
fait,
le
faites-‐vous,
selon
ce
qui
se
raconte,
pour
un
homme
d'affaires
haïtien
connu,
énervé
contre
mes
positions
sur
la
reconquête
de
la
souveraineté
nationale
que
vous
avez
vendu,
sur
la
tentative
de
coup
d'état
inconstitutionnel
et
électoral
écartés
et
sur
le
coup
d'état
économique?
Pourquoi
venez-‐vous
me
visiter
à
Washington
pour
arguant
que
vous
voulez
être
mon
collaborateur
et
aujourd’hui
fabriquez-‐vous
des
accusations
bidon?
Décidément,
Bissainthe,
vous
êtes
un
drôle
de
zigoto
!
A
votre
âge
vous
devez
faire
attention
à
ce
que
vous
dites.
Une
recherche
rapide
permet
de
constater
que
l'IRI
est
une
organisation
non
gouvernementale
qui
n'est
affiliée
a
aucun
parti
politique
voir:
http://www.iri.org/frequently-‐asked-‐questions
.
Pour
plus
de
détails
sur
l'ancien
programme
d'Haïti
voir:
http://www.iri.org/news-‐events-‐press-‐center/frequently-‐asked-‐questions/haiti-‐
faqs
Habitue
a
vendre
les
autres
vous
ne
pouvez
pas
comprendre
que
beaucoup
d'Haïtiens
comme
Toussaint
Louverture
peuvent
faire
des
expériences
internationales
garder
leur
nationalité,
l'amour
de
la
mère
patrie
et
défendre
ses
intérêts.
Je
ne
suis
pas
américain
comme
vous.
Je
suis
un
citoyen
Haïtien.
Vous
pouvez
être
un
membre
d'un
parti
aux
Etats
Unis
moi
je
ne
peux
pas.
Etes-‐vous
jaloux
du
fait
qu'en
vingt
ans
j'ai
pu
faire
la
connaissance
et
développer
des
relations
avec
des
leaders
du
monde
comme
l'ont
fait
les
pères
de
notre
indépendance?
Sauf
un
salaud
et
un
vendu
prouve
comme
vous
peut
porter
des
accusations
aussi
vils
sur
un
citoyen
qui
n'a
jamais
cessé
de
défendre
les
intérêts
nationaux.
De
plus,
s'agissant
de
notre
souveraineté
nationale,
on
sait
qui
a
fait
les
choix
officiels
de
l'hypothéquer.
Cela
a
commencé
en
1994
avec
votre
«
marassa
»
défroqué,
dans
la
prêtrise,
Aristide,
qui
a
demandé
officiellement
l'intervention
3. militaire
des
Etats-‐Unis
et
remplacé
les
militaires
américains
par
ceux
des
Nations
Unies
en
1995.
En
février
2004,
c’est
toujours
lui
qui
sollicite
encore
l'intervention
pour
se
cramponner
à
ce
pouvoir
dont
vous
êtes
chagrin.
Aristide,
avait
déclaré
que
trois
mille
soldats
suffiraient.
Pour
les
affairistes
(dont
vous
faites
partie)
qui
ont
la
mémoire
courte,
cliquez
ici:
http://solutionshaiti.blogspot.com/2010/10/haiti-‐15-‐octobre-‐2009-‐
quinzieme.html
N'est-‐ce
pas
votre
frère
défroque
qui
demandait
aux
soldats
de
l'Afrique
du
Sud
de
réprimer
nos
frères
lors
de
la
célébration
de
nos
200
ans
d'indépendance?
Voir:
http://metropolehaiti.com/metropole/archive.php?action=full&keyword=mbeki+a
ux+gonaives&sid=0&critere=0&id=7742&p=1
Vous
les
défroques
vous
avez
tellement
fait
de
mal
a
notre
pays
que
Dieu
dans
son
jugement
dernier
vous
enverra
en
enfer.
C'est
le
droit
de
Bissainthe
de
percevoir
ainsi
les
choses.
Il
est
américain,
je
ne
le
suis
pas.
La
reconquête
de
notre
souveraineté
nationale
ne
se
fera
pas
avec
des
démagogues
ou
des
ultranationalistes
bidon,
mais
plutôt
par
la
compétence,
l'expérience,
un
plan
pour
la
reconstruction
des
institutions
démocratiques
et
le
développement
économique.
A
l'analyse
du
comportement
passé
de
ces
démagogues
et
des
ultranationalistes,
on
constate
qu'ils
ne
cherchaient
qu'un
job,
«
yon
ti
zo
pou
yo
souse
».
Bissainthe,
je
vous
sais
octogénaire,
donc
immanquablement
diminué
dans
vos
capacités
intellectuelles.
Vous
avez
cet
âge
où
vous
voyez
en
l'autre
ce
que
vous
espériez.
C’est
pourquoi
vous
jetez,
à
qui
va,
votre
venin.
Je
comprends
vos
attaques
injustifiées
et
non
factuelles
!
Vous
avez
vécu
les
relations
internationales
d'un
autre
moment.
Nous
ne
sommes
plus
au
19e
ou
au
20e
siècle,
monsieur
le
professeur
et
vous
maitrisez
fort
mal
les
nouvelles
théories
qui
régissent
les
relations
internationales.
Si
vous
l’ignoriez,
le
monde
ne
vit
plus
en
vase
clos.
Nous
sommes
dans
une
globalisation,
un
monde
interdépendant.
Les
citoyens
de
l’ancien
continent
l'ont
bien
appréhendé.
Ce
sont
ces
nouvelles
notions
de
coopération
qui
ont
donné
naissance
à
l'Union
Européenne
où
vous
auriez
du
profiter
de
votre
passage
pour
vous
abreuver
de
ce
savoir
immémorial.
Si
vous
l’ignoriez,
cette
nouvelle
forme
de
coopération
a
permis
à
deux
anciens
présidents
des
Etats-‐Unis,
Clinton
et
Bush,
d'aider
les
victimes
du
tsunami
en
Asie.
Voyons,
Bissainthe,
il
n'existe
pas
de
«
loup
garou
»
au
21esiècle,
ce
concept
moyenâgeux
est
le
produit
d'une
mentalité
archaïque,
d’un
passé
révolu
!
Ne
dites
plus
n’importe
quoi
!
Ne
laissez
pas
les
gens
gausser
sur
votre
carence
d’informations!
Je
trouve
aussi
étonnant
que
vous
etes
contre
toute
démarche
permettant
à
nos
compatriotes
aux
Etats
Unis
de
régulariser
leur
situation
précaire
alors
que
vous
détenez
un
passeport
américain.
4. Mes
choix
sont
clairs.
Je
connais
parfaitement
mes
racines.
L'intelligence
politique
de
l'homme
d'état
se
traduit
par
sa
capacité
de
les
transposer
dans
les
nouvelles
réalités
du
21e
siècle.
Je
maitrise
les
expériences
culturelles,
politiques,
sociales
et
économiques
passées
de
mon
pays.
Toussaint
Louverture
avait
su
dialoguer,
travailler
avec
Sonthonnax
et
les
espagnols
pour
obtenir
la
libération
générale
des
esclaves.
Dessalines
a
achevé
la
victoire
militaire.
Toussaint
n'était
pas
un
«
loup
garou
»,
et
nous
étions
en
1803
!
Ces
leçons
de
notre
patrimoine
ont
forgé
ma
vision
des
relations
internationales.
La
diplomatie
et
le
dialogue
font
partie
de
l’art
de
la
guerre.
Mon
choix
a
été
toujours
clair
et
combien
différent
de
celui
des
ultranationalistes.
Dans
mon
combat
patriotique
pour
la
reconquête
de
la
souveraineté
nationale,
j'ai
choisi
la
voie
de
la
construction
d'un
leadership
politique
compétent
et
responsable
muni
d'un
plan,
la
construction
d'institutions
démocratiques
capables
de
répondre
aux
aspirations
politiques,
économiques
et
sociales
des
citoyens
Haïtien.
Comme
Toussaint
l'avait
fait
avec
Sonthonnax,
pourquoi
ne
pas
tirer
le
maximum
de
l'envoyé
spécial
Bill
Clinton,
pour
améliorer
le
sort
des
illégaux
haïtiens
aux
Etats
Unis
qui
veulent
le
TPS
et
ceux
qui
sont
dans
le
grangou
klowox
en
Haïti?
Les
pays
de
l’Asie
du
Sud-‐Est,
aidés
récemment
par
Clinton
et
le
père
Bush,
ont
bien
gardé
leur
souveraineté
tout
en
bénéficiant
de
leurs
efforts?
Where
is
the
problem?
Si
nous
en
avons
un,
il
porte
le
nom
des
trois
anciens
présidents
qui
ont
laissé
avec
vous
in
héritage
catastrophique.
Ces
présidents
étaient
sans
plan
pour
Haïti,
incapables
d’œuvrer
et
de
mettre
sur
pied
les
institutions
dont
le
pays
a
besoin
pour
se
développer
économiquement
et
faire
fleurir
la
démocratie.
Pis,
Ils
ont
exécutes
un
agenda
antidémocratique.
Bissainthe,
en
tant
que
citoyen
américain,
vous
avez
le
droit
d'entrer
dans
des
discussions
internes
de
la
politique
américaine
et
d’analyser
les
différences
qui
existent
entre
Obama
et
les
républicains.
Moi,
a
contrario,
je
n'ai
pas
le
droit
de
m’exprimer
sur
les
affaires
internes
des
Etats
Unis
:
je
ne
suis
pas
américain,
je
suis
Haïtien.
Malgré
ce
genre
de
distraction
a
la
Bissainthe,
mwen
konnen
ki
kote
mwen
ye
e
ki
kote
mwen
prale.
Distraksyon
sa
yo.
ti
kout
kouto
pa
amba
sa
yo,
pa
kapab
detounen
mwen
de
goumen
ke
map
mennen
kont
otut
avakbob
ki
entere
peyi
Dayiti.
Mwen
rele
Stanley
Lucas,
mwen
se
yon
patryot
de
dwat
kap
goumen
pou
dwa
granmoun
peyi
a.
Stanley
Lucas,
se
yon
sitwayen
Ayisyen
ki
kwè
nan
demokrasi,
devlopman
ekonomik
ki
chita
sou
kompetisyon.
Stanley
Lucas
kwè
tou
nan
bonjan
dyalog
ak
diplomasi
pou
pèmèt
peyi
Dayiti
jwenn
nich
pal
nan
posibilite
ekonomik
mondyal
yo.
Stanley
Lucas
radikalman
opoze
a
neg
ki
genyen
mantalite
diktatè,
kap
volè
lajan
ak
byen
leta,
ki
nan
kokayine,
kap
boule
moun,
ki
nan
kidnapping,
kap
volè
eleksyon
et
ki
kom
dirijan
ofisyèl
fè
tout
Ayisyen
wont
nan
mande
okipasyon.
Mwen
kwè
nan
patwon
ki
respekte
règ
kompetisyon
ekonomik,
mwen
pa
kwè
nan
patwon
feodal
gwoup
boudon
kap
sèvi
ak
leta
tankou
chwal
papa
kap
bay
monopol
5. pandan
ke
yo
pa
peye
taks.
Mwen
kwè
nan
jènn
ki
vle
etidye,
travay
di
pou
yo
rive,
mwen
pa
kwè
nan
chimè.
Mwen
kwè
nan
yon
polis
pwofesyonèl
kap
pwoteje
tout
moun
san
fos
kote,
mwen
pa
kwè
nan
komisyon
sekirite
prezidansyèl
ak
CNDDR
Preval
kap
simaye
ensekirite.
Mwen
kwè
nan
aplikasyon
konstitisyon
1987,
mwen
pa
kwè
nan
koudeta
ke
Gayo
Dosinvil
ak
INITE-‐GPR
bay
pou
bloke
peyi
a.
Mwen
kwè
nan
yon
salè
minimom
200
goud
pou
travayè
yo
ak
mezi
akompagnatris
tankou
mete
bis
leta
a
la
dispozysyon
travayè
yo
gratis
ti
cherie.
Mwen
kwè
nan
modènize
teleko
pou
leta
ak
envestiè
etranje,
peyi
a
fè
lajan,
mwen
pa
kwè
nan
fè
kado
teleko
pou
degouden
amba
tab.
Mwen
kwè
nan
yon
ajanda
nasyonal
kote
nou
kapab
di
Bill
Clinton
men
sa
nou
atann
de
li
tankou
nou
di
tout
rès
kominote
entènasyonal
la
sa
nou
atann
de
yo.
Si
li
genyen
yon
lot
ajanda
li
mèt
ambake.
Mwen
kwè
ke
Klinton
kapab
ede
Ayisyen
illegal
Ozetazini
jwenn
TPS
ak
residans.
Mwen
kwè
nan
kapasite
peyi
Dayiti
ak
tout
Ayisyen
mwen
pa
kwè
nan
dependans
ni
nan
okipasyon
ke
Aristide
lage
sou
do
peyia.
Mwen
kwè
nan
souverenete
peyi
ak
kooperasyon
entènasyonal,
mwen
pa
kwè
nan
okipasyon.
Stanley
Lucas
2009/7/14
Gerard
Bissainthe
gerarbis@orange.fr
Le
BEBE
HAITI
de
Stanley
a
encore
besoin
d'une
maman
pour
lui
donner
le
sein
et
changer
ses
langes.
Finalement
Stanley
Lucas
attend
de
Bill
Clinton
qu'il
se
conduise
comme
un
vrai
Gouverneur
d'Haïti,
alors
que
ce
gentil
monsieur
n'a
jamais
ete
elu
a
ce
poste
et
qu'il
est
en
train
de
tenter
dans
le
pays
toutes
les
aventures
et
mesaventures
qui
lui
passent
par
la
tete,
sous
l'ombrelle
protectrice
de
son
épouse,
sais
jamais
avoir
à
en
repondre
devant
des
citoyens
haitiens
qui
ne
lui
ont
jamais
donné
aucun
mandat.
La
démocratie
responsable
n'est
pas
celle
de
la
tutelle
recemment
condamnée
par
Obama
à
la
dernière
réunion
des
pays
d'Amérique
Latine.
Bill
Clinton,
champion
et
implementeur
apparement
incorrigible
de
l'obsolete
tutelle-‐protectorat,
devrait
accorder
son
violon
avec
celui
du
"Commander-‐In-‐Chief"
qui
a
déclare
ouverte
la
nouvelle
ere
du
"Partenariat"
qui
demande
aux
tuteurs
de
disparaitre
pour
faire
place
aux
partenaires
négociant
sur
pied
d'égalité
des
contrats
definissant
et
defendant
leurs
interets
respectifs.
Avec
ses
suggestions
d'un
autre
age,
du
temps
de
la
féodalite,
Stanley
ressemble
a
un
"lougarou
que
jou
bare".
Stanley,
si
tu
ne
peux
pas
ou
ne
veux
pas
ecouter
Toussaint
et
Dessalines,
ecoute
au
moins
Obama
qui
te
dit
qu'un
autre
jour
se
lève
avec
les
couleurs
d'une
nouvelle
aurore.
L'objectif
c'est
l'indépendance
et
le
respect
intégral
de
la
souverainete
nationale.
C'est
ca
qu'il
faut
viser
Gérard
Bissainthe
14
juillet
2009