Ce rapport (copie plus bas) présente le travail de la MINUSTAH en Haiti et analyse l'environnement politique, économique et social. La MINUSTAH, une mission des Nations Unies est présente en Haiti depuis 2004. En comparant les fonds dépenses par cette mission au travail réalisé depuis onze ans on se rend compte que sa performance est inacceptable dans ses efforts de contribution au renforcement des institutions haïtiennes, a la stabilité politique et a la démocratie La MINUSTAH dépense a peu pres 600 millions par an et 940 millions par an durant les 4 années qui ont suivi le tremblement de terre. Dans ses rapports cette mission refuse d'identifier les responsables de la violence politique et protègent les criminels en Haiti. La mission est muette sur les developpements recents au niveau des crimes politiques. Quelques references: 1. https://soundcloud.com/studio21fm/interview-oriel-jean-kap-eskplike-kijan-aristide-fe-touye-jounalis-jean-dominique 2. https://www.youtube.com/watch?v=S44XFv7syEA 3. https://soundcloud.com/studio21fm/invite-du-jour-26-mai-2014 4. https://soundcloud.com/studio21fm/revelations-euvonie-georges-auguste-responsable-national-de-fanmi-lavalas-execute-20-militants 5. https://www.youtube.com/v/kASfVSb9ozU?fs=1&hl=en_US La mission projette une image d'entrave au travail de la justice haïtienne dans sa tolérance politique envers les criminels. La mission elle même a perdu beaucoup de crédibilité en Haiti parce qu'elle refuse systématiquement de reconnaitre sa responsabilité dans la propagation de l'épidémie du choléra dans ce pays, refuse de dédommager les victimes et de présenter ses excuses au peuple haïtien. L'appui de cette mission au processus électoral pour la période allant de 2012-14 est différente de celui de 2004 ou la MINUSTAH ne tolérait pas la violence politique qui entravait le processus électoral. Dans ce rapport préparé par les responsables de la mission a Port-au-Prince les acteurs responsables de la violences qui ont entrave le processus électoral et démocratiques sont protégés. Haiti et sa démocratie méritent mieux. Pas un mot n'est dit sur les scandales de corruption impliquant des membres de cette mission a New York, particulierement ceux qui vendaient des postes a raison decinq mille dollars pour un poste de police de la mission et les trafiques d'unfluences politiques pour obtenir des contrats juteux du gouvernement Haïtien.