Vous trouverez ci-joint la 3ème édition de la Social Media News Week de l’Omnicom Media Social Club* avec au programme cette semaine toutes les news du web social qui ont fait l’actualité :
Du Social Media avec :
- Twitter et la Big Data
- Le point sur ce qui fait twitter les fans
- Un nouvel algorithme pour prédire le big buzz
- LinkedIn et ses 300 millions de membres dans le monde
- Les pubs d’installation d’applications mises en place par Twitter
- Le point sur la publicité sur Facebook
- La nouvelle campagne Snapshat de la Fondation Médéric Alzheimer
- Les profils fantômes de Twitter
- Facebook et son milliard d’utilisateurs actifs mensuels sur mobile
- Le nombre de fans atteint et les célébrations qui en découlent
- Les dix mythes liés aux utilisateurs YouTube
De la Social TV avec :
- Les 7 startups françaises qui révolutionnent la télévision et les usages
- Un focus sur l’engagement des groupes TV anglais sur le social
- Le nouveau partenariat de Twitter avec Médiamétrie
- L’usage de LinkedIn par les marques médias
- Les interactions entre programmes TV et YouTube
- Un futur GRP vidéo Internet mis en place d’ici la fin de l’année
- Linkfluence et son nouvel outil de mesure de l’audience sociale
- L’influence de la Social TV sur le monde des médias
- Le point sur les concentrations et partenariats mis en place dans le domaine de la Social TV
- Le changement de paradigme annoncé par le MIPTV 2014
Et un peu de digital au global avec :
- Le point sur les meilleurs formats display
Bonne lecture à tous !
3. L’arrivée de Twitter en bourse, fin 2013 fut joli succès
suivi d’une belle déception dès le début 2014, mais la
société américaine est parvenue à faire ce qu’elle
désirait, dégager des fonds pour se positionner sur son
marché.
Le développement économique de Twitter dépendra de
sa capacité à analyser intelligemment et rapidement
tout ce qui est publié sur le média. Cette analyse vaudra
de l’or pour les traders, les politiciens, les grandes
entreprises commerciales, les marchés publicitaires, les
gouvernements? Mais dans un premier temps, c’est
clairement la télévision qui est la cible de Twitter, et
pour cause, les émissions et séries sont souvent relayées
sur Twitter et la télévision ne se cache pas pour inciter les
téléspectateurs à tweeter avec leurs hashtags…
Grâce au Big Data, Twitter pourrait devenir plus puissant qu’on
ne le pense.
http://techtrends.eu/grace-au-big-data-twitter-pourrait-devenir-plus-puissant-quon-ne-le-pense/?utm_content=buffer3d622&utm_medium=social&utm_source=twitter.com&utm_campaign=buffer
4. Ian McKellen et Patrick Stewart forment un duo sincère et très
sympathique. Les deux meilleurs amis se connaissent depuis longtemps
et partagent régulièrement les planches de théâtres et les plateaux de
cinéma. Dernièrement, ils ont effectué une double représentation au
Théâtre Cort à Broadway dans les pièces Waiting for Godot et No man’s
land, du 1 octobre au 31 mars.
Pendant les six mois de représentations, Patrick Stewart (1 160 000
followers) a tweeté 105 fois, provoquant 500 000 retweets et favoris.
En comparaison, sur la même période, la marque ultra-sociale Oreo a
été retweetée ou mise en favori 46 300 fois. Ne serait-ce que sur le
mois de mars, l’acteur a tweeté 27 fois provoquant 100 000 retweets et
favoris.
Parmi les autres statistiques amusantes à retenir au cours de ces six
mois : Ian McKellen, plus actif sur Facebook, a reçu près de 2,7 millions
de like, de partages et de commentaires. Le double de Coca-Cola qui,
sur la même période, a comptabilisé 1,2 million de ces mêmes actions.
Sur ces six mois, Ian McKellen aurait posté 500 fois du contenu, soit
quatre fois plus que Patrick Stewart, engageant ainsi près de 3 millions
d'utilisateurs sur les réseaux sociaux. Il a par exemple publié 52 photos
sur Instagram : chaque photo a engagé en moyenne 8000 internautes.
Qu'est-ce qui fait twitter les fans ?
http://www.ladn.eu/actualites/dans-monde,est-ce-qui-fait-twitter-fans,36,21330.html?utm_campaign=newsletter-s16-17_04_2014&utm_source=docnews-
newsletter&utm_medium=email&utm_content=est-ce-qui-fait-twitter-fans
5. Fantasme ou réalité ? Etre capable de prévoir la viralité d’un post avec précision
dans 80% des cas ! C'est ce que des scientifiques réalisent avec « Cascade », un
algorithme qui perce à jour cette mécanique qui était jusqu’à présent une énigme.
Gros enjeux en vue !
Jusqu’à présent le phénomène de buzz était jugé imprévisible voire incontrôlable.
Mais ce n'est plus tout à fait le cas: les scientifiques ont en effet mis au point un
ensemble de variables capables de prédire avec précision, dans 80% des cas en
moyenne, la viralité de n’importe quel événement. Comme dans toute démarche
scientifique et informatique, tout repose sur une hypothèse et une statistique. La
première est qu’à un moment donné, un visuel a autant de chance de doubler sa
popularité que de rester incognito, et la deuxième est le calcul de la vitesse à laquelle
un document est partagé. Baptisée « Cascade », la formule a été élaborée à partir de
l’étude de plus de 150 000 photos anonymes fournies par Facebook. Un travail de
longue haleine, car selon les données communiquées par ce dernier seule une photo
sur 20 est partagée au moins une fois et seulement une sur 4000, 500 fois. « Ce qui
n’est pas mal mais qui est loin de constituer un raz de marée planétaire », souligne
Jure Leskovec, professeur adjoint en sciences informatiques à Stanford « ce qui créait
un matériel quantitatif difficile à exploiter notamment pour vérifier notre théorie de la
« Cascade »». les chercheurs ont donc décidé de prendre toutes les photos partagées
au moins 5 fois, puis ont étudié celles qui avaient doublé leur score avant d’évaluer le
temps qu’elles ont mis pour arriver à ce résultat. Mais aussi leur structure de partage,
c'est-à-dire si, elles l’ont été sur plusieurs réseaux.
Peut-on prédire le big buzz ?
http://www.influencia.net/fr/rubrique/check-in/innovations,peut-on-predire-big-buzz,41,4352.html
6. Avec 23 millions de membres de plus acquis
depuis fin 2013, LinkedIn a annoncé avoir atteint le
cap des 300 millions de membres. Le réseau social
professionnel fondé en 2003 compte 67% de ses
membres en dehors des USA.
Le mobile reste l’enjeu de LinkedIn qui compte
50% de son traffic issu du mobile. De nouvelles
évolutions et partenariats seront annoncés en
cours d’année.
LinkedIn atteint les 300 millions de membres dans le monde
http://www.offremedia.com/voir-article/linkedin-atteint-les-300-millions-de-membres-dans-le-monde/newsletter_id=181975/
7. Twitter a annoncé le lancement d'une suite de promotions
d'applications mobiles, similaire à celle que Facebook a
inaugurée fin 2012. Cette nouvelle suite permettra aux
annonceurs de promouvoir leurs propres apps
directement dans les fils Twitter des utilisateurs, et via
l'ad exchange mobile Mo Pub. Ce dernier avait été acquis
par Twitter pour 350 millions de dollars l'an dernier. Les
annonceurs pourront gérer leurs campagnes publicitaires
directement sur le tableau de bord publicitaire de
Twitter.
Twitter va activer les pubs d'installation d'applications
http://www.viuz.com/2014/04/18/twitter-lance-ses-propres-publicites-deiees-aux-installation-dapplications-mobiles/
8. Les changements d’algorithmes de Facebook réduisent
toujours plus la visibilité des posts. Quels enjeux pour les
marques et comment peuvent-elles réagir? Une tribune de
Nael Hamameh – Directeur Associé – Mazarine You to You.
Payer sur Facebook, ce n'est pas nouveau
Contrairement à ce qu’on peut lire parfois, Facebook n’est
pas devenu payant. Pour les annonceurs, Facebook n’a
jamais été ni totalement gratuit, ni totalement payant. Il
y a toujours eu un mix entre : payant (paid media) et
gratuit (owned media et earned media). La nouveauté,
c’est la proportion de gratuit qui commence à tendre vers
0…
Facebook : doit-on continuer à payer ?
http://www.ladn.eu/actualites/tribune,facebook-doit-on-continuer-payer,35,21357.html?utm_campaign=newsletter-s17-21_04_2014&utm_source=docnews-
newsletter&utm_medium=email&utm_content=facebook-doit-on-continuer-payer
9. Après AlloResto.fr, en France, la Fondation Médéric Alzheimer teste
Snapchat avec la campagne Snapzheimer imaginée par Proximity
BBDO.
La Fondation Médéric Alzheimer a utilisé Snapchat pour sensibiliser
les adolescents sur le fléau de cette maladie. Proximity BBDO a donc
imaginé pour la Fondation, l'opération Snapzheimer. Selon le
communiqué de presse, 900.000 utilisateurs de Snapchat auraient
été sélectionnés grâce à la base de données du groupe Beaumanoir
(partenaire de l’opération) et ont reçu le message suivant: des
photos de la campagne s’affichaient puis s’effaçaient au bout de 10
secondes pour laisser place à un message de sensibilisation avec un
lien renvoyant vers le site snapzheimer.org.
Le réseau préféré des ados compterait selon Forbes près de 50
millions d'utilisateurs, sur la France il n'existe pas de chiffres officiels
d'où cette association très vertueuse avec le Groupe Beaumanoir.
Depuis quelques semaines les ONG ont préemptées le réseau social
social pour passer leur message de sensibilisation. C'était le cas pour
WWF avec l'opération #theLastSelfie mais aussi avec l'ONG
brésilienne Ondazul, avec l'opération SnapFacts, qui a innové la
première.
L'effet Snapzheimer
http://www.ladn.eu/actualites/marque,effet-snapzheimer,30,21352.html?utm_campaign=newsletter-s17-21_04_2014&utm_source=docnews-newsletter&utm_medium=email&utm_content=effet-
snapzheimer
10. Twitter a une tonne d’utilisateurs, non ? Autour de 974
millions, pour être un peu plus précis. Cependant, ce n’est
pas parce que une personne a pris le temps de se créer un
compte Twitter, que cela signifie nécessairement qu’elle l’a
utilisé. Et selon les dernières statistiques de Two Charts, un
site tiers qui surveille l’activité de Twitter, environ 44% des
947 millions de comptes Twitter ou plus n’ont jamais
envoyé un seul tweet. Sur le nombre restant – environ 550
millions – un peu moins de la moitié de ces comptes
auraient envoyé leur dernier tweet il y a plus d’un an, soit
43%. Seulement 126 millions ont envoyé tout type de tweet
à tout moment dans les 30 derniers jours.
Twitter n’a pas souhaité commenter les chiffres de
Twopcharts, disant seulement que la société ne parle pas de
données tiers liées à son service. Les représentants Twitter
sont assez célèbres pour ne pas discuter de ce décompte –
le nombre de comptes inactifs qui existent sur le service, qui
inclut ceux qui n’ont jamais fait quoi que ce soit, ainsi que
ceux qui sont venus, essayés Twitter, et mis de côté le
service.
Twitter, repaire de fantômes
http://www.blog-nouvelles-technologies.fr/archives/47161/44-de-tous-les-comptes-twitter-ont-jamais-envoye-un-seul-tweet/
11. C’est une tradition récurrente pour les entreprises cotées en bourse, elles
dévoilent leurs résultats trimestriels. Facebook ne déroge pas à la règle et vient de
rendre publics ces chiffres d’utilisation, mais aussi toutes les informations sur la
rentabilité et les revenus du réseau. Et on peut dire qu’il se porte plutôt bien, et
que la fin perpétuellement annoncée du réseau de Palo Alto ne soit pas pour tout
de suite. Une santé insolente expliquée par le virage mobile parfaitement abordé
par Facebook.
En octobre 2012, Facebook revendiquait 1 milliard d’utilisateurs actifs mensuels.
Aujourd’hui, le mobile suffit pour atteindre ce milliard d’utilisateurs. Un chiffre
impressionnant et en constante hausse qui montre que le mobile est aujourd’hui
devenu le device phare pour le développement de Facebook.
Au niveau des utilisateurs mensuels actifs (MAUs) tous les indicateurs sont eux
aussi au vert. Les chiffres sont là aussi en augmentation avec 1,28 milliard
d’utilisateurs, une augmentation de 15% par rapport à l’année dernière.
Les chiffres d’utilisation quotidienne sont eux-aussi en hausse par rapport à
l’année dernière (21%). En 2014, 802 millions d’utilisateurs se connectent
quotidiennement à Facebook.
Chaque jour, 609 millions d’utilisateurs se connectent via leur terminal mobile.
Le chiffre d’affaires de Facebook est en très légère baisse face au Q4 2013 mais
reste en très forte hausse sur un an. Un CA solide qui s’élève à 2,5 milliards de
dollars pour ce premier trimestre, avec une part du chiffre d’affaires venant du
mobile s’élevant à 59%.
CHIFFRES FACEBOOK : PLUS D’1 MILLIARD D’UTILISATEURS ACTIFS
MENSUELS SUR MOBILE
http://www.blogdumoderateur.com/chiffres-facebook-q1-2014/
12. Depuis plusieurs mois, voire plusieurs années, nous assistons à l’avènement des
mini opérations de communication de la part des marques afin de célébrer, et
ainsi remercier (entendre également « fidéliser »). Il y a toujours ces marques,
précurseurs de tendances, qui lancent des opérations et sont suivies par les autres.
En 2011, Oasis est une des premières marques à mettre en place ce type
d’opération. Depuis quelques mois, l’essor des remerciements du nombre de
fans ou de followers a cru de manière exponentielle. Il ne se passe plus une
journée sans qu’une marque diffuse un message de remerciements auprès de ses
communautés : que cela soit sous forme de photo, de posts, de vidéo ; les
créations ne manquent pas.
La question se pose donc : doit-on remercier ses fans ? Réponse somme toute
logique, nous aurions tendance à y répondre un grand oui, face à l’engagement
qu’ils apportent à la marque.
En revanche, la question se pose lorsque la plus part des fans ont recours à un
like forcé afin de participer à jeu concours, à commenter ou interagir avec la
marque. Le remerciement est-il donc sincère ? Cette fois-ci, c’est un non. Comme
tout objectif de base en stratégie de communication, remercier les fans seraient
de renforcer la proximité et d’augmenter la notoriété de l’enseigne. Nous
assistons donc aujourd’hui à toute une typologie d’organisation qui en vient à
remercier.
CÉLÉBRER LE NOMBRE DE FANS : NOUVELLE OBLIGATION DES
SOCIAL MEDIA MANAGERS ?
http://www.blogdumoderateur.com/celebrer-nombre-fans/
13. Google s’est basé sur son récent rapport
concernant l’audience britannique de YouTube
pour créer une infographie remettant en question
la plupart des idées reçues concernant YouTube.
Par exemple, la plateforme est souvent considérée
comme étant principalement utilisée par les
jeunes, alors que le rapport démontre que 90%
des utilisateurs britanniques ont plus de 18 ans et
50% plus de 35 ans.
Le rapport révèle également des insights
pertinents pour les marques utilisant YouTube en
tant que support publicitaire. Il insiste notamment
sur le fait que 41% des utilisateurs britanniques de
YouTube ont effectué une action liée à une
publicité visionnée sur le média social…
LES 10 MYTHES LIÉS AUX UTILISATEURS YOUTUBE
http://wearesocial.net/blog/2014/04/10-myths-youtube-users/
15. La télévision est un objet qui fascine toujours les
entrepreneurs. De nombreuses startups se lancent en
effet sur un secteur en pleine mutation pour tenter de
révolutionner les usages des téléspectateurs et tenter
d’apporter une nouvelle dimension à l’expérience
audiovisuelle. Un enjeu notamment compris par les
écoles comme Telecom ParisTech dont 3 des startups
font partie. Mais qui sont ces entreprises de la télévision
2.0? Focus sur 7 d’entre elles :
ClickOn
Leankr
Mesagraph
Tevolution
Current Productions
Evergig
TiVine Technologies
Les 7 startups françaises qui révolutionnent la télévision et ses
usages
http://www.maddyness.com/prospective/2014/04/14/startups-television/
16. La Factory NPA et NPA Conseil ont publié en avril 2014, un dossier sur le
rayonnement numérique des groupes audiovisuels au Royaume-Uni.
L’étude analyse la présence et l’activité de la BBC, SKY et ITV sur le web,
les réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Youtube, Google+, Pinterest &
Instagram) et sur le mobile (Site mobile et applications iOS/Android). En
voici un aperçu:
Les téléspectateurs anglais sont réceptifs au discours des chaînes TV
sur Facebook. En effet, sur 23 pages (hors pages programme et
animateur), elles parviennent à réunir 14 millions de personnes – sans
dédoublonnage – dont presque 500000 ont interagi avec un contenu
d’une chaîne au cours des 15 jours précèdent l’enquête.
Les chaînes ont un intérêt plus prononcé pour Twitter que pour
Facebook. On dénombre 46 comptes actifs pour les trois groupes contre
23 sur Facebook (hors animateurs et programmes). De même, elles
publient en moyenne environ 29 tweets par jour par compte contre 5
sur Facebook. Les chaînes n’hésitent pas à multiplier les comptes par
thématique, services, etc. tandis que sur Facebook, elles ont tendance à
concentrer les sujets ou bien ne pas les y aborder (SAV par exemple).
Facebook, Youtube, Twitter : comment les groupes TV anglais
s’engagent sur le social
http://www.lafactory-npa.fr/strategie-digitale-contenus/2014/04/14/les-strategies-digitales-des-chaines-uk-passees-au-crible-bbc-sky-itv/
17. Médiamétrie et Twitter s’associent pour lancer l’année prochaine un
outil de mesure d’audience des tweets émis en lien avec un
programme de télévision, ont annoncé mardi les deux sociétés.
Baptisé "Médiamétrie Twitter TV Ratings", cet outil destiné aux
chaînes de télévision, aux agences médias ou aux acteurs de
l’audiovisuel permettra d’obtenir "le nombre de tweets par émission",
mais aussi "le nombre de personnes (comptes) qui ont vu les tweets à
propos d’une émission TV", selon le communiqué.
"Avec Twitter, nous allons aider les médias à mieux mesurer et
comprendre les nouvelles formes d’interaction des téléspectateurs
internautes avec les émissions TV", a commenté Julien Rosanvallon, le
directeur du département télévision de Médiamétrie.
Pour Justine Ryst, directrice du développement de Twitter France,
"cet outil de mesure indépendant permettra ainsi aux diffuseurs et
aux annonceurs de quantifier et d’évaluer le niveau d’engagement des
émissions télévisées".
Twitter a déjà mis en place un partenariat similaire aux Etats-Unis avec
le cabinet Nielsen pour mesurer l’engagement social autour des
émissions de télévision américaines.
Médiamétrie et Twitter vont mesurer les tweets liés aux
émissions TV
http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/tech-medias/actu/0203457697934-un-outil-pour-mesurer-l-audience-des-tweets-sur-la-tele-666152.php#Xtor=AD-6001
18. Si de nombreux articles parlent des marques médias sur les réseaux ou
médias sociaux, il en existe très peu qui soient consacrés aux réseaux
sociaux professionnels et notamment LinkedIn.
Ici on ne parle pas d’audience sociale ou du nombre de like sous un
post, on vise généralement le côté marque employeur , et les
informations liées aux thématiques des marques médias.
Comment les marques médias utilisent-elles et animent-elles leur
page Entreprise ? Y a-t-il une réelle animation comme on peut le voir
sur des réseaux sociaux communautaires ? Quel contenu pour quelle
fréquence ?
Cet article propose un focus sur l’utilisation des pages LinkedIn et leurs
fonctionnalités par les marques médias.
Comment les marques médias utilisent LinkedIn ?
http://veille-digitale.com/comment-les-marques-medias-utilisent-linkedin/
19. Selon une étude publiée par Google, le temps de consommation sur YouTube de
vidéos en lien avec les programmes TV a augmenté de +65% entre mai-décembre 2012
et mai-décembre 2013, aux Etats-Unis. Parallèlement, les nombres d’interactions
(partages, like, commentaires…), de recherches et de vues, en rapport avec la
télévision, ont progressé de respectivement +56%, +54% et +35%, sur la plateforme de
vidéos. Sur le moteur de recherche Google, les requêtes liées à la TV se sont accrues de
+16%.
Aux USA, les requêtes liées aux nouveaux programmes de la rentrée d’automne
commencent dès la période des «Upfront», au mois de mai, quand ils sont présentés à
la presse et au marché publicitaire, et elles durent tout l’été. Les téléspectateurs
recherchent le titre du programme, les noms des acteurs, le pilote et les bandes-
annonces. Elles atteignent un pic la semaine de la première diffusion puis se
stabilisent un mois après, à un niveau supérieur à celui des «Upfront».
Dans les 2 heures qui suivent la mise en ligne d’une vidéo liée à un programme TV, la
majorité des vues est générée via la home page de YouTube ou par les chaînes
YouTube des programmes. Dans les heures suivantes, ce sont les activités «user-
centric» (partages, recherches, embedding) qui génèrent le plus de vues.
Aux USA, le dimanche est le jour le plus propice à ce type de consommation de
contenus TV.
Google mesure les interactions entre programmes TV et
YouTube
http://www.offremedia.com/voir-article/google-mesure-les-interactions-entre-programmes-tv-et-youtube/newsletter_id=182029/#.U1dvXnjU5fw.twitter
20. Dans un communiqué commun, le CRTM (Club de
recherche tous médias), l’UDA (Unions des annonceurs)
et l’UDECAM (Union des entreprises de conseil et achat
média) appellent à la mise en œuvre « rapide » d'un GRP
vidéo internet « de référence ». Prenant aujourd'hui acte
de la convergence « annoncée » des mesures d’audience
de la télévision et de l’internet, les trois partenaires
demandent ainsi à ce que l'ensemble de la profession
puisse installer « d'ici la fin de l'année » un indicateur
publicitaire faisant référence et « fondé, à l’image du
GRP Télévision, sur la visibilité du message publicitaire
et la durée d’exposition du public ».
Un GRP vidéo internet d'ici la fin de l'année
http://www.cbnews.fr/digital/un-grp-video-internet-dici-la-fin-de-lannee-a1012274
21. Linkfluence a annoncé à Stratégies le lancement d'un outil de mesure de
l'audience sociale. La société, spécialisée dans la mesure de l'e-réputation pour
des marques depuis 2007, propose une offre de mesure quantitative et
qualitative des commentaires et réactions à tous les programmes télévisés,
postés sur Twitter, Facebook, les blogs et les forums. Linkfluence est déjà en
phase de test depuis un an et en discussions très avancées avec Canal+,
Eurosport, Be In Sports et France Télévisions, clients des autres activités de
Linkfluence depuis plusieurs années. Linkfluence a aussi approché TF1, Lagardère,
M6, le groupe NRJ et des sociétés de production. L'objectif est de compter d'ici à
la fin de l'année vingt clients français pour cette offre social TV. Si le succès est
au rendez-vous, l'offre sera lancée en Allemagne et au Royaume-Uni en
septembre.
Linkfluence lance un nouvel outil de mesure de l'audience
sociale
http://www.strategies.fr/actualites/medias/234822W/linkfluence-lance-un-nouvel-outil-de-mesure-de-l-audience-sociale.html
23. La Social TV est sur le point de devenir l’une des plus grandes forces de la
publicité pour les 10 années à venir grâce à sa capacité à remettre en cause
notre notion fondamentale de la méta information.
Nous pouvons distinguer trois raisons démontrant que la Social TV change
les règles du jeu:
- C’est un phénomène créé par les consommateurs. D’après le
“Council for Research Excellence”, la Social TV s’est rapidement
développée et a maintenant atteint 49% des personnes de moins de
55 ans.
- Les médias sociaux sont devenus les meilleurs amis de la télévision.
5 ou 6 ans plus tôt, de nombreux experts du digital pensaient
qu’Internet tuerait la télévision. Mais en réalité c’est l’opposé qui
s’est produit. Encore mieux: nous savons aujourd’hui que la publicité
vidéo TV et digitale fonctionnent parfaitement ensemble.
- Nous entrons dans l'âge d’or des écrans. Les années 70 et 80 du
siècle dernier représentaient l'âge d’or de la télévision, mais la force
disruptive d’Internet était en route. Aujourd’hui, deux décennies plus
tard, les consommateurs se sont progressivement tournés vers leurs
smartphones, tablettes et TV. Nous sommes clairement à l'âge d’or
d’une économie médias basée sur les écrans.
Pourquoi la Social TV a le pouvoir de changer le monde des
médias
http://www.sys-con.com/node/3063994#.U1WG2YIPtgE.twitter
24. Cela fait déjà un moment que les publicitaires ont annexé les réseaux sociaux à
leur terrain de jeu. Mais c'est à présent l'ensemble du marché qui se structure
autour d'eux.
En association avec Twitter, Médiamétrie a ainsi annoncé mercredi le lancement
d'un outil de mesure des tweets émis lors des émissions de télévision.
De son côté, Havas Media a créé un indicateur de la puissance de la social TV, le
«Social Rating Point» (SRP), qui mesure la capacité d'une émission à générer des
interactions sur Twitter ou Facebook.
«Le média qui a le plus d'impact social, c'est la télévision, or son potentiel
interactif est en plein boom», explique Yves Del Frate, DG adjoint d'Havas Media
France, qui s'est associé à la société de mesure d'audience sociale Seevibes pour
créer le SRP. Cet outil serait destiné à être le pendant du fameux GRP utilisé
pour valoriser les écrans publicitaires en télévision. La banalisation du second
écran (smartphone ou tablette en complément de la télé), que pratiquent
désormais deux Français sur trois, et l'explosion des interactions dans les réseaux
sociaux (le nombre de tweets a été multiplié par trois en un an) conduisent à
appréhender ces nouveaux espaces en complément des plans télé traditionnels.
La social TV fait saliver le marché publicitaire
http://www.lefigaro.fr/medias/2014/04/24/20004-20140424ARTFIG00052-la-social-tv-fait-saliver-le-marche-publicitaire.php
25. Le monde des contenus, des programmes et des divertissements
est en plein bouleversement. Quelles conséquences pour les
audiences ? Comment les marques doivent-elles travailler avec les
nouveaux acteurs et utiliser dans leur communication les
nouvelles tendances? Chaque mois, la rubrique Screen Show fera
un voyage au pays des contenus et de la narration.
Premier stop: le MIPTV 2014. En ce début avril , l’audiovisuel
international s’est donné rendez-vous pour se présenter, se vendre
et s’acheter ses plus belles créations. Dans le brouhaha d’une telle
rencontre une première observation s’impose : l’univers du contenu
est en bouleversement. C’est un MIPTV de transition : un monde
passe le relais à un autre. Le monde des programmes TV, linéaire et
qui se consomme passivement se retrouve confronté à celui des
contenus digitaux, de l’interaction, de l’engagement et plus
largement de la nécessité de créer une vraie expérience.
Finalement deux façons opposées d’aborder le contenu.
Le MIPTV 2014: un changement de paradigme
http://www.influencia.net/fr/actualites1/screen-show-telfrance,miptv-2014-changement-paradigme,140,4361.html
27. Kantar Media Ad Intelligence, en partenariat avec Adledge, présente son premier
baromètre de l’AdVerification. Cette étude basée sur l’analyse de la visibilité de
plusieurs milliards d’impressions de bannières standards sur le premier trimestre
2014 et révèle que près d’un tiers (29 %) des impressions servies sont réellement
visibles selon la norme de visibilité IAB. Près de 32% des impressions n’ont jamais
été vues par l’internaute. Cela peut s’expliquer par la multiplication des
emplacements à faible visibilité notamment les emplacements en bas de de page
ou alternativement « below the fold », nécessitant le défilement de la page de la
part de l’internaute. Parmi les formats display les plus populaires, c’est le format
vertical skycraper dont 51 % des impressions sont considérées comme visibles
qui arrive en tête. Le format megabanner ne génère que 26% d’impressions
visibles. Au niveau de la durée d’affichage moyenne des différents formats, c’est le
pavé le mieux placé avec une moyenne de 9,8 secondes suivi par la megabanner
avec 9,6 s. Enfin, l’analyse du contexte de diffusion révèle un environnement de
diffusion majoritairement sécurisé avec seulement 1,15 % du total des impressions
du premier trimestre 2014 qui ont été affichées dans un contexte potentiellement
dommageable pour l’annonceur.
Display : quels sont les meilleurs formats?
http://www.cbnews.fr/etudes/display-quels-sont-les-meilleurs-formats-a1012281