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HABITER LE PROVISOIR
VENDREDI 11/10/13 à 12H00 / SALLE GUTENBERG 

Arpenter Nantes à la recherche de lieux d’expérimentations &  de travaux collectifs. 
Ceux qui aurons, photos, vidéos, sons, shamas d’architectures (…) d’espaces sont invités à

nous en faire un petit

topo en vu d’avoir du choix et d’y intervenir collectivement ensuite. 

Avoir à l’esprit : 
Quel potentiel
ou est l’endroit 
peut-on gêner (et inversement)
comment est il le jour, la nuit 
assez spacieux 
l’acoustique 

de la matière  (…)                        ?
 

Comment s’approprier un lieu ?
De l’audace, n’hésitez pas à y aller en duos, de nuit comme jours !

         « situations variables » &

Michaël

auto-gérée...que va-t-on faire de nous? 
STRABISME SUR NANTES       
                    

       REUNION VENDREDI 18/10/13 à 12H30 / AMPHI
Notes de la réunion du 11/10/2013

Rechercher des lieux, garder traces de ce protocole carte/trajet/notes  
& les explorer en sous groupe.
Travail sur la perception et la fluidité dans l’action, laisser le langage de
coté, rester dans le champ visuel/sonore des uns et des autres.
              Exemple trio

performatif (roulement dans les rôles):

                                          1 son/vidéo 
        
                            2 appréhension de l’espace 3
                             objets...à l’échelle du corps.
              Exemple duo: Un au son, l’autre à la vidéo. 
Commencer à penser
dessins, sons etc...). 

la trace des expérimentations (trace vidéo, montage,

IDEES lancées...

- intervenir dans un même lieux à différent moment, par exemple sous forme de relaie de
groupe en groupe.
- Batterie de voiture, pour lumière si on travail la nuit (je vais essayer de m’en charger
cette semaine!)
                                                            & Bon travail !
Michaël
STRABISME SUR NANTES
                      (bis)
       REUNION VENDREDI 25/10/13 à 12H30 / AMPHI’
notes du 18/10/13 :

Continuer le processus de rechercher de lieux (garder traces de ce
protocole carte/trajet/notes) & les explorer en sous groupe.
Travail sur la perception et la fluidité dans l’action, rester dans le
champ visuel/sonore des uns et des autres.
            

penser la trace : traces vidéos, montages, dessins, sons etc...
NOUVEAUTE : Espace d’affichage, accrochage de tout type, ramener tout ce qui gravite
autour de ce que nous faisons : mur à coté de l’amphi théâtre à partir du mardi 22/10/13.
Michaël
       CHANTIERSlieu en “déconstruction” PARADOXALES 
  
                - construire dans un
Notes de la réu du 25/10/13 :

Dans un espace définit à l’intérieur des abattoirs, sur une durée de 24h,
Sculpter en continu, uniquement avec les matériaux déjà présent dans les
abattoirs.

Différent groupes de trois personnes se succèdent, les uns aux autres en

maintenir en oeuvre le chantier.

vu de

L’acte sculpturale suit un processus (aujourd’hui en train d’être penser/expérimenté) que
chacun des groupes s’approprie dans l’instant. 
Une captation sonore
(atelier sculpture).

et vidéo est retranscrite en directe au seins des beaux arts

Chaque groupe est composé de deux sculpteurs/trices et d’une autre se chargeant de la
captation vidéo.
Ils peuvent inter-changer les rôles autant qu’ils le souhaitent: 
L’organisation interne du groupe est improvisée, se fait de manière non-verbale, mais elle
est structurée par ce protocole. 
          -->Un peu comme nous avions fait pour les performances improvisées, sauf qu’il
s’agit maintenant d’une «  performance sculpturale » :
cf mail des notes du 11/10/2013 ou celles affichées au mur à coté de l’amphithéâtre.
--> Désormais: http://piratepad.net/situationsVarriables

                 Mise en place du chantier :
Demain et lundi, en fonction des horaires de chacun, nous faisons deux voyages, pour
rechercher « le sous-lieu dans le lieu » et commencer à faire « les sous-groupes dans le
groupe ». 
Ce message peut paraître complexe mais tout sera redis, expérimenté, et réécrit peut être!
 A demain ou lundi ! (je vous envoi l’horaire de demain après-midi par texto, on se retrouve
devant les beaux arts, pour lundi on verra lundi) .
Michaël
01/11/2013 :
Yo !
    Tout d’abord, les groupes, on est 16, c’est donc parfait.

Marianne, Loona, Simon, François .
Michaël, Igor, Cloé, Carole .
Fleur, Matéo, Lila, Alexendre.
Sarah, Ruben, Violette, Marie.

marianne.le-duc@esba-nantes.fr 06 71 88 72 50
lilalou.sejourne@hotmail.fr 06 69 37 93 17
zozotteuh@gmail.com 06 18 10 16 00
carole.baron@live.fr 06 67 86 10 53
francoimoraine@gmail.com 06 04 14 84 11
& francois.moraine@esba-nantes.fr 
sarah.orumchi@gmail.com 06 28 66 36 69
igor.porte@esba-nantes.fr 06 77 47 39 17
& igor0porte@gmail.com
ruben.chitrit@hotmail.fr 06 79 61 30 14
fleur.dujat@gmail.com 06 65 73 58 87
alexgaud@yahoo.fr 06 07 50 95 58
& alexandre.gaud-chevreux@esba-nantes.fr
violette.bellet@esba-nantes.fr 06 19 37 93 79
demaria.mat@gmail.com 06 95 15 12 97
chloe-malaise@orange.fr 06 65 07 76 56
marie.grihon@esba-nantes.fr 06 79 20 81 18
simon.bureau@sfr.fr 06 84 53 59 65
michaebranchu@gmail.com 06 85 99 60 71
loona.houdebine@hotmail.fr 06 50 28 80 66

Individuellement :
- Tracer son déplacement dans l’espace, du lieu privé (maison) au lieu auquel nous nous rendons. Nous pouvons tracer également des trajets qui ne sont pas uniquement lié aux abattoirs mais à d’autres lieux. Déposer
les trajets dans la boite accrochée au mur. Fleur se charge de la suite.
- Continuer à afficher textes, photos, dessins, objets...
- Le langage sur le site pendant les 24h, pourquoi, pourquoi pas ? si oui comment ?
- Caméra, comment et pourquoi filmer comme ça ?
Technique:
Caméra, son, diffusion sur internet, et siège: Igor, Michaël, françois.
Mais il faut avoir en tête que tant que on ne sait pas comment on filme on ne peux pas vraiment savoir ce
dont nous avons besoin au niveau technique!
4 casques (lumière intégrée) et vestes de chantier, gants : Cloé et Lila
Trousse de secour : François
--> Dites comment vous avancez, problèmes si il y a.
--> On a un super chariot pour transporter des choses, et bientôt une batterie de voiture (plus chargeur de
batterie).
On fait un point la semaine pro, en attendant on peu retourné sur le lieu en sous groupe, réfléchir etc..  faut
juste bien s’organiser.
Michaël
Baci !
02/11/2013:
	
Salut c’est Ruben !
On avait dit qu’on pouvait écrire chacun sur ce qu’on pensait de l’usage ou non ou comment de la parole/ de
la voix, et sur l’utilisation de la caméra.
C’est juste pour relancer là dessus, moi il faut que j’écrive sur papier d’abord. Bisouches
04/11/2013:

	
Yo !
	
Pour ma pars, je n’ai pas réellement changé d’idée concernant la caméra, bien que j’y ai beaucoup
repensé. D’ailleurs je suis retourné sur le lieu.
        - Un siège pouvant tourner sur lui même, posé dans un endroit bien précis de l’espace. Non pas se déplaçant dans l’espace. Une caméra accrochée sur lui pouvant être maniée à 360° sur horizontale et la verticale.
Celui qui film doit pouvoir voir l’image et ce qu’il y a hors champ. Le son capté au même endroit que la vidéo.
        Mais maintenant, si ce point de vu est adopté par nous, il faut qu’il ai un sens dans la construction
sculpturale. A se sujet Marianne à lancée une idée intéressante à la dernière réunion: je crois que tu avais dit
«construire autour de la caméra». Je pense qu’on peut développer un peu plus ta proposition.
        Le protocole sculptural deviendrai relativement simple, construire une «habitation» autour de se point
de vu mobile:
-> L’espace de départ est cubique, vide, seulement les performeurs/sculpteurs sont autour.
Fur et à mesure que nous assemblerons les matériaux nous tendront par exemple à un espace circulaire ou
plutôt «sphérique».  Sphérique: en se sens que si nous sculptons en tenant compte de se point de vu en mouvement (360° horizontale et verticale), c’est aussi au-dessus, et pourquoi pas en-dessous que nous pouvons
intervenir avec les matériaux.
-> L’architecture de l’espace passe progressivement du «white cube» de base à une sphère, une boule:  une
boule dont le centre est la caméra, l’œil.
C’est à dire un espace primordiale, celui qui est nécessaire pour se mouvoir autour de sois même (c’est alors le
point de vu du filmeur qui est valorisé par la sculpture, qui lorsqu’il filme, tourne autour de lui même). 
-> Le protocole sculpturale est simple, et grâce à cette «tram» dans notre action on peut prendre notre temps
pour gérer l’hétérogénéité des matériaux, leur assemblages, les imprévus. Se sera plus facile de changer les
rôles entre filmeur et sculpteurs… 
Ce que je trouve aussi intéressant dans cette proposition c’est le faite que le protocole sculpturale est étroitement lié au protocole par lequel nous filmons. Que l’image n’est pas simplement pour montrer ce que nous
faisons dans se lieu, mais que l’œil par lequel l’action sculpturale est vu en direct joue un véritable rôle dans
l’espace qui se modifie.
	
Enfin, si notre méthode de fonctionnement est claire dans notre esprit à quoi cela servirait de parler
entre nous, alors que nous savons à peu près dans quel sens ira la sculpture ? 
Cela demande une attention particulière par rapport à ce que fond les un et les autres. Ne pas parler ne veux
pas dire ne pas communiquer. Je pense que le silence verbale n’a pas obligatoirement à voir avec «la pesanteur» comme disait Virginie Pringuet à la réunion, mais plus avec la contemplation, et prendre pleinement le
temps que nous nous donnons. Cela dit, je n’ai pas réellement d’avis sur la question du langage, peut être que
chaque groupe peut l’utiliser ou non selon comment nous nous sentons ? Après on peut aussi «expérimenter
le langage» mais cela est plus lié à la poésie des mots, à leurs sonorité dans l’espace, à des phrases qui ne sont
pas de l’ordre de la planification de la sculpture, mais en interaction... 
	
L’action dans sa totalités reste une performance ou peuvent être testés les objets de manière sonore,
dans leur rapport au corps. D’autre part le point de vu à beau être au centre et mouvant: avec les objets ramener il y a l’apparition d’un derrière et d’un devant qui donne un réel rôle aux performeurs/sculpteur qui
bougent, se déplacent... Ce que nous ne voyons plus à l’image est sous entendu par la présence des corps en
mouvement qui expérimente continuellement l’espace et les matériaux.
	
Qu’est ce que vous en pensez ?
				
«http://www.youtube.com/watch?v=35Z5J1Sz61c» Il y a un peu de cela...
Michaël, Baci !
Salut c’est Fleur, moi je pense que l’idée d’un protocole aussi fixe peut être non productif. On risque de
se bloquer. Il faut poser une base, certes mais il ne faut pas tout décider avant que l’action est lieu.
 Si on a envie de créer autour de la caméra, qu’on le fasse mais de là a créer une sphère autour d’un œil... Le
protocole me semble quelque peu fermé. Je pense qu’il faut plus que l’on se concentre sur la visibilité de la
performance sculpturale. 
	
Or, toujours le même problème, si on pose une caméra fixe, on ne pourra pas tout montrer. Mais
sachant que l’on va travailler pendant 24h en ces lieux. Je pense qu’il sera possible de changer le siège de place,
non ? Histoire de montrer la sculpture sous plusieurs angles, sous plusieurs visions. Le choix d’un seul emplacement, bien que la caméra puisse tourner est peut-être un peu radical. 
 Quand à la parole, je pense que chaque groupe peut inventer son propre langage silencieux, sonore, poétique,
absurde ou «conventionnel» selon l’énergie du groupe. 
 Voilà des bisous doux

05/11/2013

	
Salut, c’est Alexandre, je passe rapidement pour dire que, comme Fleur, je pense que ce genre de
protocole est trop bien délimité. Il faut des contraintes, de toute façon il y en aura forcément, que ce soit par
la caméra ou autres, mais là c’est laisser trop peu de marge aux choix qu’on peut faire. Voilà, bisous et bonne
nuit.
	
Yo !
Je suis d’accord avec Fleur pour la question du langage. Par contre, je pense que nous avons une immense
marge de manœuvre, avec se protocole. Faut s’imaginer en temps réel sur les 24h (la boule ou la sphère n’est
qu’un possible).
    D’une part, ce qui est important c’est que de groupe en groupe on puisse «lire la sculpture» en se sens qu’elle
pourrait alors s’analyse en rapport avec le point de vue, de faite on peu la continuer selon se que chacun en
comprend. Cela demande un certain temps de découverte pour chaque personne. 
    D’autre part, il s’agit de continuer la sculpture avec de nouveaux matériaux, il faut alors compter le temps
d’aller les chercher dans les abattoirs, les ramener, les tester dans l’espace, sonorité, déformations, disposition
par rapport aux autres matériaux.
   Ensuite, il n’y a absolument pas de réel uniformisation de groupe en groupe car on aura beau avoir le même
protocole, une grande partie des 24h se passera, par exemple, pendant la nuit, la lumière sera fluctuante, ce
qui donne obligatoirement des manières d’agir différentes. 
   Je pense que ce boulot commence par un gros travail sur la perception, le but n’est pas d’être productif
comme pense fleurette mais justement de s’adapter relativement à l’espace, aux matériaux et à un point de vu. 
   La sculpture n’est vraiment qu’une parti du travail, c’est plus une performance, en se sens que vous pouvez
mettre une heure pour placer un objet, on s’en fiche. Ce qui est intéressant c’est comment on s’approprie le
lieu, les objets un à un, quel stratégie on se donne pour savoir ce qu’il faut faire avec tel ou tel objet. 
   Cette stratégie peu se développer autour de ce protocole sculpturale, qui est la pour que l’on puisse lire comment on avance, l’évolution de l’espace, qu’on puisse comprendre. 
	
Ce protocole donne aussi un sens de lecture pour le regardeur qui n’est pas aux abattoirs, peut être
qu’il ne verra que deux moments, par exemple le matin quand il marche à pied et va au travail, et le soir
quand il rentre, n’empêche que c’est suffisant, il aura compris que la sculpture s’effectuait par rapport aux point
de vu.
	
Enfin, celui qui filme à un point de vu actif, il possède «le» point de vue, lorsqu’il s’arrête il sait déjà
plus ou moins ce qu’il faut modifier par rapport à l’image qu’il a regarder à travers la caméra.
	
Une dernière chose, et la il s’agit du coté pratique: on peu pas se permettre de prendre un risque
concernant le direct. Si on se déplace dans l’espace, les files peuvent s’emmêler etc...
Michaël,
Baci
LES ABATTOIRS RÉUNION LE

8/11/2013 12H30

SALUT LES AMIS! VENDREDI 12H30 Salle Varès !
On est en plein dans les préparatifs pour LA PERFORMANCE/INSTALLATION/SCULPTURE/VIDÉO/
SON.
Pour faire un bref rappel. Certaine personne devait s’occuper de petits éléments indispensable à l’existence de
notre projet.
Et le «kit» importantes que l’on doit faire judicieusement sont :
 - Les tenues de chantier/gants
 - Les casques avec lampes frontale
 - Caméra avec micro
 - Go-pro relié en direct avec l’ordinateur
 - Penser aux câblages
 - Clef 3G ou 4G
 - Disque dur
 - Les deux batteries arrivent vendredi!
 - Achetez vous des lampes torches aussi ça sert toujours
 - Si vous pensez à d’autres choses
En dehors de ça, si je n’ai rien oublié, nous avions eu donc une forte discussion sur :
- Le langage
- La manière de filmer
Dans un premier temps, ce serai pratique pour tous de s’ouvrir sur le point de vue et la réflexion des autres en
lisant les textes que vous avez écrit sur ces aspects. Le choix que nous ferons sera déterminant pour le rendu
de notre projet. Il est préférable que nous prenions notre temps, pour bien mettre au point les bases.
Dans les questions qui avaient finalement posé problèmes :
-  De quelle manière communiquons nous? Est-ce indispensable de d’utiliser la voix? Où est la contrainte, la
difficulté dans le dialogue/le non-dialogue durant la perf?
Certains types de langage, bloquerait-il la compréhension/le repère, le but de notre démarche? Globalement
je crois que c’était le centre des réflexions. Ramenez vos questions, vos idées surtout.
HYPER IMPORTANT:
La fameuse, caméra. Vraiment on ne doit rien oublier.
- Si la caméra est mobile, qu’elles sont là encore les contraintes? Physique (nous et l’espace), matériel, visuel
que ça nous impose (cameraman/sculpteurs et aux spectateurs)
- Si la caméra est fixe? Même question
Nous devons observer, imaginer sur le lieux également le jour et la nuit. Même essayer de filmer pour voir
un rendu. Et donc trouver un équilibre, tout en sachant que nous ne pourrons pas faire à moitié l’un et l’autre
(question de cohérence). Nous avons besoin aussi d’un point de points de repères. Il est essentiel de penser au
spectateur, car ce que nous faisons on cherche à le montrer en direct sur 24h. On est présent à tour de rôle,
et chacun agis comme il le désire dans l’espace. De toute manière ça reste de l’impro. On cherche, à montrer,
pourquoi pas caché, faire entendre, construire/démolir, faire revivre....
Pour finir, on parlera d’un créneau, lorsque nous aurons récupéré le «kit», pour rassembler tout le matériel
qui nous intéresse. Apportez vos idées pour que l’on avance comme il faut. C’est un putain de projet, et on est
une putain d’équipe.
Igor,
bise
10/11/2013:

	
Yo ! 
Notes de la réunion du vendredi 8/11/13:
-> Dispositif caméra: Caméra fixée sur un siège, vision à 360° horizontale et verticale, image toujours en
mouvement, à vous de gérer la question de la vitesse.
-> Lieux de diffusions: Espace urbain. Nous nous autorisons à «modifier» l’espace choisi, sans réellement le
changer. Chaque espace choisi aura son propre dispositif d’installation. 
Bilan:
-> Je me charge de réaliser le siege et fixé la caméra.
-> En revanche : nous devons rechercher des lieux de diffusions, documentons les avec photos et sur une
carte (un lieu par personne, pour avoir du choix, est déjà bien). Sa serai bien que tout le monde garde une
trace de ses trajets et les mettent dans la «boite à trajets» pour notre Fleurette !
Pour prolonger la réunion, j’ai une idée, j’espère qu’elle ne vous ferra pas peur :
    Alexandre et moi nous avons discuté d’un aspect essentiel au projet: l’immersion du spectateur de la rue
face à l’image, nous en avons rediscuté en réunion. J’ai mis du temps à bien comprendre ce qu’Alexandre me
disait, mais je pense qu’il a raison de poser la question. Une véritable immersion ne peut pas exister uniquement par l’image. Le spectateur resterai passif même si le point de vu qu’il regarde est un point de vu qui
englobe tout son corps.
                Je rappel que la manière de filmer est un dispositif qui englobe toute la circonférence du filmeur.
Celui qui regarde l’image ainsi créée «prend la place» du filmeur, adopte ce point de vu relativement à son
propre corps. 
    Je propose de métamorphoser le projet que nous avons construit en «projet interactif» par un dispositif très
simple: Les visiteurs des différents espaces de projection aurait donc la possibilité de prolonger l’image par
leurs déplacements, en vu de venir continuer le chantier. 
    Nous gardons tout ce que nous avons construit jusqu’à présent mais seulement une chose se rajoute, la
possibilité pour un spectateur urbain de venir nous remplacer. Nous gardons toujours 4 personnes qui participent simultanément mais ces personnes peuvent changés à n’importe quel moment avec les gens qui veulent
«entrer» dans le projet.
    Ainsi l’action qui se produit reste à «l’infinitif», réactualisée par chaque personne. (A l’infinitif j’entends, ce
qui est dit comme ceci : «faire une sculpture collectivement, avec tel ou tel protocole» 
--> Le protocole sculptural et le protocole lié à la manière de filmé gagne en souplesse car le public devenant
acteur agit de manière plus spontanée. Trois statues : être filmeur, spéctateur, acteur (sculpteur et performeurs simultanément). Je pense que le travail devient particulièrement intéressant quand «l’interactivité»
devient possible.
     Il s’agirait qu’à chaque lieu de diffusion dans la ville, des chemins possibles soit indiqué vers le lieu ou nous
sommes, pour qu’ils puissent venir nous retrouver. on peu distribuer des papier avec des tracés déjà effectué
que la personne emporte. Pour le participant, se serai le passage d’un coté à l’autre de l’image.
	
-> Loona m’avait aussi parler de faire participer des gens.
Tenu complète de chantier, trouver les espaces de projections, trajets pour fleurette... N’ayez pas peur d’écrire
ici aussi ! Je commence le siège, la semaine pro, je commence le 3D pour les abattoirs avec un étudiant d’archi,
je suis en train de monter un dossier pour une clé 4g (chez sfr/orange).
J’aimerai bien que d’autres gens se charge d’organiser les réunions, contrendu etc.. maintenant que le groupe
est bien lancé il faudrait... Que nous soyons «une sphère infinie (au sens de non fini) dont le centre est partout, la circonférence nulle part...» (dream?).
	
-> Les abattoirs on déjà été visité par des étudiants des beaux arts http://elybessis.tumblr.com/
post/34825887997 (je leurs ai envoyé un mail d’ailleurs)
Michaël,
Baci ! 
10/11/2013:

	
Ici François, je rebondis sur l’idée de fleur pour lancer une question : Et si on prennait des PDV fixes,
c’est à dire caméra immobile, mais on change de plan/zoom quand il nous sied ?
On sculpte selon un point fixe quand on se rend compte qu’une face précise de la sculpture s’échappe en hors
champs, on juge intéréssant de déplacer la caméra pour offrir un nouvelle vision du volume en création.
Pour les détails techniques, j’ai tout vu, et ce sera possible, le seul soucis restera la QUALITE DE VIDEO, là, il
faudra faire un test au préalable pour tout voir et valider ou non le protocole.
Donc il faut :
	
Une camera (pas de go pro et de wifi , ça existe pas en fait) 
* 3 batteries de 4/5 heures qu’on rechargera en relais pour la camera
* 1 carte de 64 giga qui devrait faire les 24 h
	Ordinateur
* Il en faut 3 qui marchent en relais.
	
Clé ou portable 4 G
* Un portable 4 G emet un signal et peut devenir une borne wifi pour l’ordi, ça évite de payer une clé.
Le seul soucis résiderai donc dans la qualité vidéo. Tout est à vérifier.
Il nous faut un lieu non loin des abatoirs, avec une prise pour recharger ce qui tourne en relais.
	
Hey hey, cette fois ci c’est Marianne :) 
Juste pour préciser l’idée de caméra au centre de la sculpture dont je parlais, et filer quelques autres petites
adresses de sites, qui peuvent peut-être vous intéresser, ou du moins donner des idées où que sais-je. (En tout
cas je trouvais qu’elles avaient un rapport avec le projet) 
Alors pour ce qui est de la manière de filmer (dans ce que je propose), on ne serait pas obligé de faire quelque
chose de proche de la caméra, au contraire ! :) Ça peut d’ailleurs permettre de jouer avec des effets de profondeur, d’avoir plusieurs chantiers, etc. 
Finalement, que ce soit la caméra qui tourne autour de la sculpture ou la sculpture qui «tourne» autour de la
caméra revient un peu au même, je trouve... 
Après, j’ai l’impression que dans la première proposition, on donne beaucoup d’importance à la manière de
filmer et la sculpture en elle-même, et dans la seconde, plus au lieu et à la manière de sculpter, non ? Or je ne
sais pas ce que l’on veut mettre en valeur. 
Pour ce qui est des liens : 
http://vimeo.com/38975768 (une vidéo que le collectif urbex a fait à propos des abattoirs : on y apprend
quelques petits trucs, et on y voit un autre point de vue artistique du lieu) 
http://www.youtube.com/watch?v=-pXqnjBlb44 (juste parce que ça me faisait penser à la salle aux échafaudages & toit qui s’effondre.)
Voilà voilà, et à demain ! 

11/11/2013 :

	
Salut, c’est Alexandre
A propos du sujet de l’immersion, je voudrais juste (re)dire – et c’est ce que je pense depuis qu’on a abordé la
manière de filmer – que je ne pense pas qu’il faille voir ça comme un but en soi. Je crois que c’était, à la première réunion sur le sujet, l’un des principaux arguments en ce qui concerne l’idée de pouvoir faire tourner la
caméra à 360°, et si je n’ai rien contre le fait de filmer de cette manière, il ne faut pas choisir ça dans l’idée que
plus d’immersion sera forcément mieux pour le spectateur. Un plan large et fixe tout au long des 24h ne serait
pas moins potentiellement intéressant. On m’avait dit que ce serait dommage, car il y aurait du hors-champ,
mais ça n’empêche pas qu’il pourrait y avoir des rencontres aussi bien pour une manière de filmer que pour
l’autre. Ca dépend de savoir ce que l’on veut que le spectateur perçoive de notre activité.
Et là encore d’ailleurs, je pense que l’immersion du spectateur ne sera de toute façon pas plus grande ou
moins grande selon qu’on filme avec le fauteuil ou en plan fixe, parce que comme je t’avais déjà dit justement
Michaël, et comme tu le dis, le spectateur reste en dehors de l’écran, et surtout, il regarde une situation réelle.
On le met dans une situation où il voit une scène qu’il sait comme réelle, non fictive. Et parce que l’image ne
raconte, à priori, rien d’autre que des rapports de formes et de sons en un lieu donné, à défaut de « subir » une
histoire comme ça serait le cas au cinéma, il « subit » une image d’une réalité qu’il connait. Du coup, que la
caméra bouge ou reste fixe, il « subit » l’image et les mouvements de celle-ci, indépendamment de sa volonté,
alors que dans cette réalité qu’il ressent et qu’il vit (le lieu dans lequel il est, par exemple, et le lieu – les abattoirs - qu’il voit dans l’image), il se sait capable de décider où il regarde, où il se dirige. Bon, c’est peut-être un
peu confus tout ça mais en gros, qu’il puisse se représenter totalement l’espace qu’on lui montre ne veut pas
dire qu’il se sentira plus immergé dans ledit espace (ce qui, en soi, n’est pas forcément une mauvaise chose à
mon avis).
De toute façon, c’est pas la première fois qu’on le dit : il faut essayer
En ce qui concerne l’idée de faire participer le spectateur, je suis contre. Je ne pense pas que ça puisse apporter quoi que ce soit au projet, voir même ça peut rendre la chose confuse. Je pense que c’est mieux de s’en tenir
simplement à nous/spectateurs sur ce plan. Et là encore, je ne pense pas que ce soit une bonne idée de rechercher l’immersion à tout prix ; même si ce n’est plus vraiment la question si le spectateur devient acteur, ça part
de l’idée que le spectateur reste passif vis-à-vis de ce qu’il voit dans l’image.
Voilà, zoubi
	Yo!
    L’immersion n’est pas l’argument principal concernant la manière de filmé. Relire plus haut On en reparle
mardi tout les deux.
    Mais tu devrais développer un peu plus concernant le refus de la proposition «d’interactivitée». Si ça
n’ajoute rien au projet ? Je trouve que ça change énormément de chose... Il faut faire une petite gymnastique
de l’esprit pour se figurer un peu les enjeux:
-> La base: «la performance» : qu’est ce qu’un performatif dans le langage ? «le concept d’énoncé performatif
(est) forgé par le linguiste Austin, à partir du fameux exemple du maire déclarant qu’il unit deux personnes
par les liens du mariage. Ici, l’énoncé ne consiste plus à constater un état de fait, mais à produire une transformation substantielle dans la réalité. Cet énoncé est performatif.» Gérad mayen. 
-> L’énoncé performatif en se sens qu’il modifie la réalité en même temps qu’il est dit. La vidéo à la possibilité
de modifier le statue du passant/promeneur/travailleurs en créateur, perfromeur.
-> L’art comme expérience: la vidéo est donc une invitation à faire l’expérience de l’acte. Exploité la retransmission en direct à un plus grand potentiel que simplement dire «voila ce qu’il se passe au même instant dans
un autre endroit». Si l’interaction devient possible, on sort de l’utilisation classique du direct. Cela reste de
«l’interactivité», avec le choix. L’image n’est plus simplement une image, mais une invitation au voyage en se
sens que la personne peut, si elle le souhaite, prolonger ce qu’elle voit de ses propres mains, en se rendant à
destination par ses propres jambes.
Ce qui est confus c’est ce que cette proposition «d’interactivité» provoque dans ta tête (c’est normal car cela
change des choses concernant le projet en lui même et sa signification immédiate), mais il suffit juste de
re-penser un peu le protocole et le rendre plus claire avec cette nouvelle proposition. Il faut savoir que seulement quelques personnes viendrons sur les personnes qui verrons la vidéo. 
Michaël,
Baci !
14/11/2013 :

	
IGOR : 
C’est ça les gars! On se rapproche de l’essentiel. Je ne sais pas si c’est ça pour tout le monde depuis le début
mais ce que l’on veut en tout cas pour ma part ; c’est mettre à nu un ensemble de choses. 
- Déjà le lieu des abattoirs, dévoiler l’ensemble de l’espace dans une pièce que l’on balaye du regard durant 24h.
Pour cela notre manière de filmé que l’on a établi aujourd’hui convient très bien je pense. Que chacun garde la
liberté de déplacer le regard de la caméra(fixée sur le siège) comme il le souhaite. Moi je pense extrêmement
lent, comme très rapide(mais pas trop non plus), avec ou sans zoom. Pour garder le repère, tout en créant une
pluralité et une hétérogénéité dans le point de vue du spectateur
-On fait tout cela avec un groupe hétéroclite, qui crée une entité stable mais en constante évolution, et on agis
les uns avec les autres. On construit un nouveau souvenir avec des anciens, que l’on remet au goût du jour. et
on le montre au public en faisant dialoguer l’espace de la rue et les abattoirs.
- Si on a commencé dès le départ à parler le trajet, de déplacement, c’est pour le faire partager. Faire ressentir
les choses réellement. Comme si l’on voulait briser des barrière, des murs entre les différents espaces. Donc
c’est légitime d’ouvrir complètement le projet au public pour voir, agir, venir voir.
-N’importe quel chose que vous regarderez sur un écran ne vous verra vivre les choses réellement. Le montrer dans les conditions que l’on cherche à établir est un minimum. Alors il faut laisser l’accès. sur internet en
direct ou dans une vision de l’espace en 3d, dans la rue sur les écrans avec des tracer jusqu’au lieu. 
On a quasiment tout le matos donc moi je propose grosse réunion vendredi à 12h30 avec tout le monde. Histoire de bien cocher la liste. Voir les lieux de diffusion. J’ai rencontrer une personne qui peut nous aider pour
notre projet. Donc je vais voir avec elle ce que l’on peut faire. En tout cas ne pas perdre de vu que l’on a besoin
de tout le monde pour que le projet avance. Tout installer prends du temps donc que tout le monde y mette
du sien. 
 Bonne nuit les amis

 		
	

VENDREDI 15/11/2013 Réunion >12H30 salle Varès!

Salut les amis! Il est hyper important que tout le monde soit présent vendredi.

Nous allons aborder les sujets suivant :
- Lister l’ensemble du matériel que l on a rassemblé jusque maintenant.
- Un topo sur les besoins technique.
- De la projection/diffusion dans les rues.
C’est à dire, trouver les espaces adéquat(et les critères de sélection) / comment les installer au niveaux de l’atmosphère et au niveaux technique
- Le lien entre des espaces de projection et les abattoirs, par rapport au tracé des itinéraires.
- Clôturer, terminer de se mettre d’accord avec tout le monde sur la question du langage. et du point de vue
spectateur/sculpteur avec la caméra.
On va discuter d’une date pour la perf et s’organiser en fonction de ça pour avancer.
J’ai peut être oublié des éléments important. Donc ramener vos questions!
Igor,
Je vous fait un gros bisous bonne soirée. A VENDREDI 12H30
17/11/2013

	Yo!
Notes de la réunion du vendredi 15/11/13:
Les questions réglées: caméra sur siège / interactivité possible / shémat du fonctionnement durant les 24h
(accroché au mur) / langage chuchotement concernant l’agencement de la sculpture, sinon «langage performatif»
- Site 1, espace de la sculpture, 4 personnes (un filmeur/trois sculpteurs).
- Maintenant technique, quatres personnes (éléctricité, guide si des gens veulent venir sur le site...).
- Quatre espaces de diffusion en direct dans l’espace public/urbain, 1 personnes par espace de diffusion.
- Quatre personnes qui se reposent :)
        Etant donné que l’interactivité est possible : des gens peuvent prendre la place d’une personnes à l’œuvre
sur le chantier, prendre la place du filmeur, ou d’un des sculpteurs.
Relai qui tourne en boucle : 
1 / ceux qui se reposent -> espaces de diffusions
2 / espaces de diffusions -> maintenance technique.
3 / maintenance technique -> chantier
4 / chantier -> repos
--> CHOSES :
   Nous devons donc trouver des espaces de diffusion urbain. Un passant pourrait voir différents lieux de diffusion au cours de la journée, et donc différent moment du chantier. Penser à la luminosité ou à l’ambiance
sonore du lieu etc...
Si chaque personnes trouve au moins un lieu, on aura du choix: une ou deux photos par lieu et affichage des
photos sur le mur, avec indication sur la carte de nantes pour savoir ou il se situe à la fois par rapport au site
1 (dans les abattoirs), et par rapport aux autres lieu de diffusion 
    De manière individuel: tracer ses propres trajets lorsque vous allez aux abattoirs, ou que vous recherchez
des espaces de diffusions, vos textes sur des expériences, photos, dessins...
Enfin et surtout :
	
A quel moment préférez vous aller aux abattoirs pour suclpter ? levé du soleil ? La nuit, le jour ?...
Et la, il faut expérimenter. En réunion on s’est dit que ça ne servait a rien d’y aller tous en même temps, en
revanche, faut se coordonner avec ses partenaires. L’idée est vraiment de penser son arrivé dans ce lieu de
manière performative et improvisé, une caméra à la main par groupe, un rendu de 4mn peu être vraiment
intéressant, et par la même occasion commencer à crée ensemble (sculpture ou n’importe quoi d’autre). A
se sujet vous pouvez vous rappeler de «Notes de la réunion du 11/10/2013 : strabisme sur Nantes» affiché au
mur et envoyé par mail.). 
	
Je vous rappel que nous travaillons à la reconstitution des abbatoirs en 3d, dans lequel peuvent être
publié nos différente vidéo, en fonction du temps réel (en gros si il fait jour, seulement les vidéos faite en
journée se diffusent, si il fait nuit, seulement les vidéos faite la nuit etc...)
Simultanément nous préparons aussi un dossier pour une clé 4g et trouver des assos qui peuvent nous aider
dans les démarches à faire, je pense pas que se soit intéressant que je fasse une édition tout seul, mais que je
récupère ce que vous me donnez pour en faire quelque chose de cohérent et présentable quoi.
	
Nous avons rencontré Elise Martineau qui, il me semble, travail pour Nantes, ancienne élève des
beaux arts de Nantes. En quelques mots, elle connait plutôt bien ce qui tourne auour du collectif, des assos’
et des démarches administratives d’autant plus qu’elle crée des projets de son coté. Bref, elle nous a conseiller
d’aller voir le collectif Fertile, 1000 feuilles, la galerie SHorT ou encore Apo33.... De voir aussi Claire-Jeanne
JEZEQUEL & Patricia SOLINI aux beaux arts de Nantes.
    Ce qui est ressorti dans la conversation, c’est surtout un questionnement sur notre fonctionnement interne, si on doit effectivement mettre Nantes et ses services publics à notre disposition, il en va de soit que
l’organisation du groupe change, notre groupe «ne s’institutionnalise pas», mais se «structure». On devient
littéralement un collectif d’artistes (à vous d’assumer votre positionnement dans le groupe par vos pratiques
plastiques et vivantes) avec un commissaire d’exposition (qui fait parti du projet) et un encadrant externe.
-> Si on suit se type d’organisation, effectivement, vous êtes au statue «jeunes artistes», vous continuer à être
dans votre propre rôle, mais on vous ajoute à cela les différentes tache auxquelles vous êtes référents, comme
nous l’avons déjà plus ou moins fait, sur la question des choses à effectuer, s’occuper de la question du materiel, des tenues de chantier, de l’électricité sur le lieu, des rendez vous avec d’autres collectifs, pourquoi pas
sollicité un intervenant...? etc.. enfin nous verrons tout cela à la prochaine réunion, qui aura pas lieu immédiatement, cela nous laisse un peu de temps a chacun pour réfléchir vraiment sur son propre investissement,
mais aussi de travailler aux abattoirs...
Je pense que d’ici deux semaines on peut se réunir pour mettre un peu tout cela à plat, on fera une bouffe
chez quelqu’un, et non plus au beaux arts, avec diffusions de vidéos, d’images, lectures de textes etc... (on a un
vidéo proj, et tout ce qu’il faut).
Je pense qu’on va pouvoir se cristalliser d’ici peu dans une forme d’organisation qui va durer pendant le projet
lui même, en revanche, sur un autre projet, l’organisation interne peu prendre une autre formes. 
	
-> On se presse pas, mais on perd pas de temps non plus, suffit d’être bien organisé, commencer
vraiment à faire des choses ensembles, ainsi on apprend à se connaitre et savoir avec qui nous sommes à
l’aise pour bosser. On se précipite pas non plus pour prendre contact avec les assos de Nantes, faut qu’on ai
des choses à montrer, en revanche commencer à savoir qui ils sont, de quoi nous avons besoin en termes de
soutiens etc...
	
C’est une expérience en soi de monter un projet collectif, c’est une expérience en soi de le réaliser.
Tout va bien les cocos!
Michaël,
Baci!
JEUDI 5 DÉCEMBRE, RÉUNION

	
Yo ! 
	
J’ai laissé décanter un peu notre projet aux abattoirs. Ça m’a permit commencer à réfléchir sur ce que
nous sommes et commencer à structurer notre démarche en vu de travailler avec la ville de Nantes & Rezé. 
	
Je vous invite chez moi jeudi de la semaine prochaine (5 décembre) : 21 rue de Châteaulin (arrêt tram
2 motte rouge). On se rejoint à 21h15, il faut savoir que chez moi c’est pas grand, donc ça va être dure de faire
une bouffe, si vous pensez pouvoir mettre 16 personnes dans votre appart’, faite nous signe ! 
Il faut absolument que vous lisiez et relisiez le dernier texte sur la discussion collective
	
On aura un vidéo proj et de bonnes baffles si vous voulez nous montré des vidéos/photos etc… Relisez bien et essayer de nous présenter un boulot que vous avez vous même développé sur l’ensemble du site (en
groupe ou seul). Bises à vous !
Michaël,
Baci !
-> Réponse de Carole : Si besoin j’ai la place chez moi, même si il y aura du monde par terre!
	
Yo !
Notes de la réunion du Jeudi 5/12/13
Tout ce qui est écrit n’est pas vraiment définitif: Premier jet, première modification.                   
    Dans les anciens abattoirs de Nantes, site isolé, nous allons sculpter pendant 24h, sous forme de relais, dans
un de ces espaces. Tout au long du processus sculptural nous filmerons (selon un protocole bien précis), et
retransmettrons en direct l’évolution du travail durant une journée dans différents espaces urbains. Ce travail
est une création en «situations extrêmes».... < Qu’est-ce que tu entends par «situations extrêmes»? / le lieu
est «interdit», question de sécurité. Même ceux que nous avons rencontré Igor, François et moi, qui faisaient
les plans de l’édifice pour la démolition (assez paradoxale pour le coup) n’avaient pas le droit de rentré dans
certains espaces. Création en situation extrême c’est aussi ce qui définit certains type de création. Question
du risque présente. Ici, du simple fait que le lieu n’est plus adapté au corps. Après, pas forcément besoin de
le mentionner oui... > En effet, chaque sous-groupe (au minimum de 4 personnes) se voit entreprendre un
travail sculptural de 6h à chaque fois qu’il entre en scène pour relayer le groupe précédent. Nous travaillerons
en groupe de 4 personnes minimum. Un groupe sculptera pendant 6 heures, à la fin de cette étape, un second
groupe viendra continuer la sculpture et ainsi de suite. 
	
Mise en chantier: Méthode vernaculaire.
Nous avons donc choisi selon plusieurs critères, un lieu pour notre projet, parmi l’ensemble du complexe.
Tout d’abord, il nous fallait un espace exploitable, sans risque d’accident. L’espace choisi est simple, l’architecture est cubique. Il y a différentes entrées et sorties, nous permettant l’acheminement de matériaux de l’extérieur vers l’intérieur de la structure. De plus ces ouvertures laissent entrer une lumière fluctuante le long des
24h. D’autre part, nous pouvons utiliser un point central et stable que la caméra occupera. Le point de vu est
mobile, filmant autour de lui même, d’un endroit fixe (vision à 360°, horizontale et verticale).
A l’échelle du site en question, deux temporalités se chevaucheront, celle de l’édifice marqué par l’usure et celle
de la sculpture dans sa réalisation présente. Deux espaces se rencontrerons, l’architecture du lieu en question
et l’espace recréé par la sculpture naissante. De plus le site choisi à l’intérieur des anciens abattoirs n’est qu’un
échantillon des différents espaces potentiellement utilisables. Cependant, comme nous l’avons dit, la sculpture se réalise avec les matériaux présents sur l’ensemble du complexe, c’est ainsi que le site est en relation avec
les autres espaces des abattoirs.
Chantier et image :
La caméra est située au milieu de l’espace dans lequel l’action va se dérouler durant les 24h. Il s’agit donc
d’un point de vu interne. La caméra en mouvement donne une idée globale du lieu et de l’action (par différents point de vu possible sur l’espace ainsi que sur la sculpture en cour de réalisation). C’est par rapport
à ce point de vu que les performeurs/sculpteurs vont travailler et expérimenter... < avec les matériaux dans
l’espace. La caméra devient un référentiel à partir duquel la sculpture prend forme et devient lisible dans son
évolution.>...La gestuelle du vidéaste (et le mouvement de la caméra) est donc un travail en soit qui joue un
rôle primordial dans la réalisation de la sculpture. Le chantier en évolution est simultanément diffusé par
retransmission en direct dans différents espaces urbains de Nantes. Il ne s’agit pas de pas de créer un événement autour de ce projet en informant un public au préalable, mais de montrer directement ce qu’il se passe,
à partir de là où nous sommes, <le jour en question>. Les diffusions vidéos font dialoguer un espace urbain
qui se développe, avec un site en périphérie, en «décomposition» et surtout isolé. D’ailleurs lors de ce projet
les rapports son inversés, la périphérie devient centre. <Relier deux espaces, crée des tunnels entre l’action et
les lieux de diffusions>. Nous ne voulons pas que les espaces de diffusions soit centralisés mais plutôt éparpillés. Ainsi, une même personne peut percevoir différents instants du chantier en évolution au cour d’un
déplacement dans la ville, mais aussi plusieurs personnes à différents endroit peuvent avoir connaissance du
chantier.
	
De l’image à «l’interactivité» :
La vidéo informe donc les passants et les transforme en spectateur. Notre idée est d’exploiter le direct dans
son potentiel propre, de dévoiler une chose se produisant en temps réel, mais également de prolonger la
vue de ce chantier par une interaction possible avec le public. En effet, le public étant informé (du lieu,
de l’action, et de la temporalité dans laquelle les choses évoluent) a la possibilité de se rendre sur les lieux
<afin de s’immerger à son tour sur ce qu’il se produit aux anciens abattoirs. Le public peut être simplement
spectateur et rester dans ce statut ou bien passer de l’autre coté de l’image, se rendre sur les lieux et participer à l’œuvre collective>. Des personnes seront chargées d’accompagner les intéressés depuis le centre ville
jusqu’au chantier. Ce projet est donc une performance sculpturale interactive. C’est une action engagée, en
se sens que les anciens abattoirs ont conservé les marques de leur anciens usages et sont aujourd’hui un
lieu polémique. Mais, bien au delà de l’histoire et de l’actualité, il s’agit içi, de créer une œuvre collective
et éphèmère. Une œuvre plastique par la réalisation d’une sculpture et vivante par la présence de corps en
action. 
	

Ce que nous mettons actuellement en chantier s’insère dans une recherche artistique spécifique:

	
Initialement, nous avons travaillé en relation étroite avec les anciens abattoirs à travers de nombreuses expérimentations, que ce soit par des performances improvisées, sculptures ou installations. Ce n’est
effectivement qu’après avoir travaillé sur ce qu’il est possible de mettre en œuvre à partir du site lui même
que nous avons développé notre recherche sur différents axes, notamment notre rapport physique avec l’édifice et avec sa fréquentation.
Premièrement, les relations corporelles que nous pouvons tisser avec le complexe sont extrêmement variables. D’une part elles dépendent de l’architecture de l’espace dans lesquels nous sommes, mais également
de l’instant où il est investi (la perception au sein d’un même espace n’est pas la même de jour ou de nuit).
D’autre part chaque endroit recèle d’une hétérogénéité de matériaux qui ne peuvent pas être soustrait du
champ de l’expérience direct. Enfin l’ensemble du complexe des anciens abattoirs est intimement lié aux
aléas extérieurs, laissant passer à travers ses murs ou ses plafonds le vent et la pluie, ainsi que le bruit des
activités de ses alentours. Notre démarche est moins de rendre compte objectivement de la situation historique ou actuelle des anciens abattoirs, que de travailler par «prélèvement» en se sens que les traces de nos
expérimentations vivantes avec le complexe deviennent des «documents-archives».
Il s’agit donc, d’une première manière, de travailler le rapport de la création à son environnement. Chaque
action est réalisée dans les conditions définies et fluctuantes du site. La documentation de ces actions proposent une lectures du site en ses états variables : lecture par strabisme, dans les limites de l’expérience
corporelle.
Le second axe est la fréquentation du site par «X». En effet les anciens abattoirs est un lieu de passage. Ce que nous faisons est exposé à la vu de tous et peu importe la raison de la présence d’un individus
sur les lieux. Le visiteur est amené à devenir spectateur, que se soit par la rencontre d’une sculpture, ou avec
une performance se déroulant sous ses yeux. De plus ce public est rarement passif puisque rien n’interdit de
modifier le travail qui se présente à lui. Par exemple, dans le cas d’une sculpture réalisée avec les matériaux
même du lieu, bien souvent, les choses évoluent indépendamment du créateur. La participation du spectateur
et possible et peut se faire dans une volonté de continuer ce qui existe déjà (ou aller jusqu’à la destruction de
la forme). L’interactivité n’est donc pas un dérangement. Cela permet un renouvellement continu de ce qui à
été précédemment mis en place. Rien ne lui interdit de modifier ce qui se présente à lui et si il choisi d’investir
une forme préexistante, rien ne lui dicte un comportement vis à vis de cette dernière. Sur ce second point,
nous questionnons les espaces dans lequel les œuvres est montrée et plus précisément en quoi ce dernier
ouvrent de nouveaux rapport entre l’oeuvre et l’individus. A travers ces deux axes de recherche, Il s’agit de
déconstruire l’espace traditionnelle de la représentation artistique -le musé, la galerie d’exposition- qui prédétermine le regard sur les œuvres simplement par le contexte dans lequel elles sont montrées. Nos projets
proposent des travaux In situ, le lieu de création est également le lieu d’exposition. Simultanément le site
devient un atelier-exposition, il n’est pas à la propriété de l’artiste, en se sens il invite et confronte l’individus
à son propre potentiel créatif, comme nous l’avons dit, chaque travaux est ouvert à l’interactivité : le statue de
l’individu passe de visiteur à spectateur puis éventuellement de spectateur à créateur.
Les expérimentations et observations que nous avons mené on structuré le projet «espace transitoir ?/ arrangement provisoire? «: Performance sculpturale interactive.
	
«plastikposture» en construction…
ARS (artist run space) : espaces gérés par les artistes. --> Créer ses propres lieux expérimentaux.
- Voir introduction de David Batchelor + ARS, Hans Ulrich Obrist «…dontstop…» «si l’art existe encore c’est
là où on l’attend le moins» Robert Musil. Qu’est ce qu’un musée qui est en deçà de l’expérience physique ?
-> Travaillé dans des lieux indépendant voir transgressif: une critique des codes existant ? pas seulement, c’est
un prolongement, centre et périphérie sont intimement lié. Ce n’ est pas une pratique anti-muséale, dogmatique du «ou-ou». --> «au milieu des choses mais au centre de rien» Deleuze. Marcel Broodthaers dans le
cadre de son musée d’Art Moderne, département des Aigles, parlait : (a) d’une parodie artistique des évènements politiques et (b) d’une parodie politique simultanée des évènements artistiques - impliquant que le
musée non officiel, fictif, avait l’avantage de pouvoir incarner à la fois (a) et (b).
- Do it, en 1919 Marcel Duchamp envoyait d’Argentine à ses soeurs parisiennes les instructions pour la réalisation du «ready-made malheureux». exemple : «faire un tableau ou une sculpture comme on enroule une
bobine de film-cinéma» écrit à l’infinitif, l’oeuvre peut être constamment réactivé par celui qui li l’instruction.
--> Prolongement qui commence en 1994, Kunstahalle de Klagenfurt en Autriche: 12 texte traduit en huit
langues, il s’agissait d’instruction a partir desquels les visiteurs étaient convié à les réaliser. Le spéculateur
active l’oeuvre.
- AnnLee: «comment donner à une communauté une structure sociale ?» Idée amorcé par Philippe Parreno
& Pierre Huyghe. En 1998, à l’ ARC, AnnLee commence par une question : Comment un personnage - un
signe, comme ils l’appellent - peut-ils contribuer à créer une communauté entre artistes? Plutôt que d’avoir
plusieurs artistes qui signes un même objets, un seul objets est signé par plusieurs artistes, dans le temps.
AnnLee devient une succession d’oeuvre, un instantané de sa consistance, canalise et finalement ouvre sur la
prochaine production (voir Le cours des choses). AnnLee est une oeuvre-exposition: Bakhtine (imaginons
qu’il fasse référence à AnnLee) : «Il n’y a pas dans ses œuvres, pluralité de caractères et de destins se développant au sein d’un monde unique, monde objectif éclairé par l’unique conscience de l’auteur, mais véritablement MULTIPLICITÉ DE CONSCIENCE PLEINEMENT QUALITFIEEZ, POSSÉDANT CHACUNE LEUR
MONDE et se combinant ici dans l’unité d’un événement, tout en restant non confondues. Effectivement, les
héros principaux de Dostoïevski, tels que les conçoit l’écrivain lui-même, NE SONT PAS SEULEMENT PRODUIT DE LA PAROLE DE L’AUTEUR MAIS AUSSI SUJETS DE LEUR PROPRE PAROLE DIRECTEMENT
SIGNIFIANTE.»
--> Les expositions les plus originales depuis la fin du XIXème on été conçues par les Artistes eux même, a
commencer par l’exposition en 1885 par Courbet.
- Vision City / Clip City : Rendre publique l’exposition comme exhortation au dialogue dans la ville. Vingtcinq praticiens travaillant à des oeuvre expérimentales furent invité à participer au projet, a produire de petit
clips - de vingt et cinquante secondes - pour les panneaux électroniques de Séoul. Conversion de l’espace
publicitaire en tableaux publics. Aucun passant n’a donc la vision totale, ou ne voit tout les clips diffusé dans
la ville: la partie pour le tout. Ce projet déborde finalement la ville, le cadre du musée, de la télévision etc…
- Batterie et laboratoire : Alexandre Dorner, directeur du musée d’Hanovre au nord de l’Allemagne dans les
année 1920, définissait le musée comme une centrale électrique (Kraftwerk) il invitait des artistes à développer des installations nouvelles et dynamiques pour ce qu’il appelait le «musée en mouvement».
Musée en un état de transformation permanente / Musée oscillant entre objet et processus / Musée a identité
multiples / Musée comme pionnier ; en activité, et sans retenue / Musée comme vérité relative / Musée basé
sur un concept dynamique de l’histoire de l’art / Le «musée élastique», avec des expositions flexibles dans un
bâtiment adaptable.
La complexité interne de l’exposition peut se nourrir, non pas tant des objets présents, que des événements.
Tout comme l’architecture fantastique des Carceri (prisons) du Piranèse, les éléments structurels accidentés
de l’exposition se font complexes, avec des connexion pointant dans toutes les directions, un édifice parsemé
de chemins non linéaires permettant à chaque visiteur d’inventer le sien son propre. L’exposition traditionnelle, encore essentiellement calquée sur les cabinets de curiosité de la Renaissance, entraîne, souvent du fait
de la surcharge sensorielle, une carence sensorielle. En revanche, l’exposition véritablement contemporaine,
singulièrement caractérisée par la «non-finitude» et l’incomplétude, doit suscité une forme de participation
synecdotique. L’installation non linéaire doit permettre au visiteur de créer en permanence - de remettre en
question - sa propre histoire, de trouver ses propres paroles.
	
Il faut rassembler un peu nos différents travaux jusqu’à présent, c’est pour cela que je suis en train
de faire un blog dont vous seul aurez accès (dès qu’il est opérationnelle je met l’adresse ici). Se sera facile de
publier vos vidéos/photos/textes/dessin etc... 
Il s’agit d’avoir la «matière» à disposition de chacun. Il va falloir qu’on s’investisse dès la semaine prochaine à
rencontrer des Assos, des bars, caffé, galerie etc... donc faut pouvoir présenter le truck rapidement. Faire une
petite édition ou tout rassembler sur une clé. On pourra «piocher» dans les travaux des uns et des autres en
fonction de ce qu’on veux montrer, mais aussi dans le texte en train d’être écrit.
Michaël,
Baci !
12/12/2013
Yo les BigBoy ! c’est Chloé ,on a donc deux liste a remplire pour  sediviser qui s’occupe activement des asso et
qui s’occupe des lieu de diffusion ! :
ASSO:
- Michael
-Loona
-carole 
-igor
LIEU DE DIFFUSION:
-Fleur fleur.dujat@gmail.com
-Chloé chloe-malaise@orange.fr
- françois
-loona
	Yo!
Plus en détails : 
          --> Rencontrer des assos : Appo33, 1000Feuilles, Fertile, Galerie SHort. En vu de de savoir si ils peuvent
nous soutenir au niveau du materiel, par exemple groupe éléctrogène, mais aussi en term de diffusion sur
internet ou micro-budget.
          --> Avoir un budget et soutient des beaux arts (commission le 22janvier, par conséquent les dossier
doivent être fait pour le 13 janvier)
Michaël: je peux monter un dossier seul, mais besoin de vos boulots
          --> Rechercher des lieux de diffusions vidéos dans l’espace urbain (café, bar, différentes galeries, il y
aura internet aussi)
          --> Tennu de chantier complète (casques, lumières frontale, chaussure et veste et peut être pantalon).
          Chloé : petite parenthese est-ce que veste et pantalon sont vraiment nécessaire? Dans «en Chantier»
c’est intéressant qu’il soient tous habillés pareil qu’il investissent un rôle, qu’ils intègrent un groupe, mais nous
proposons une interaction un truc communicatif aussi, qui dit «viens « et la tenu créerai un peu une barrière
non?
          
        Casque OK (X5) 
          
        Fhaussures OK(lila ? et gants Ok aussi)
        
        Masque de protection OK( pour pas respirer trop de mierda)
        
        Frontales PAS ok ( moi j’en ai une perso on peu peut etre en collecté chacun...?) Oui, on fait ça !  j’en ai
deux ou trois chez mes parents (du coup je ne peux pas les avoir avant le 5 janvier) OKK ! c’est déjà très bien
pour le 5janvier !
         -->  avoir une Clé 4G (Orange ou je ne sais qui)
François 
ENFIN :
Le plus important: 
--> Chacun se charge d’un projet 
L’idée est d’être «chef de chantier» et «ouvrier» sur les chantiers des autres. N’hésitez surtout pas à demander
la participation des uns et des autres.
Je vous conseil de vous faire tourné le dvd «en chantier» sur Mark Tompkins (pour l’instant c’est Igor qui l’a).
C’est vraiment étonnant.
Se faire confiance, si on donne de l’énergie dans nos travaux on peu aller quelque pars, ça sert à rien de le faire
à moitié. It’s your work ! Individuellement dans une mouvance collective.
Michaël,
Baci !

12/12/2013
	

Fleur : Boom ! 

J’ai commencé à corriger les fautes du texte puis j’ai fini par refaire le dernier paragraphe :
 Premièrement, les relations corporelles que nous pouvons tisser avec le complexe sont extrêmement variables. Elles dépendent de l’architecture de l’espace dans lesquels nous sommes, de l’instant où il est investi :
la perception au sein d’un même espace n’est pas la même de jour ou de nuit. Nos actions dépendent aussi du
temps : ce lieu abandonné, laisse passer à travers sa structure  vent et pluie. De plus ce site est un passage: taggeurs, photographes ou  simples visiteurs curieux fréquentent le lieu. Ce que nous faisons est exposé à la vu
de tous. Le visiteur est amené à devenir spectateur, que ce soit par la vue d’une sculpture passée ou par celle
d’une performance présente. Il peut même en devenir l’acteur.  Notre travail doit donc prendre en considération les hasards du lieu et jouer avec.
 D’autre part, ce site recèle d’une multitude de matériaux hétérogène. Chacun ayant une histoire, on ne peut
donc pas les prélever. Il faut agir sur le lieu, notre action ne peut être qu’ immédiate. Les expérimentations
produites lors de la découverte du lieu sont visibles uniquement sous la forme de «document archive» vidéos,
photos, dessins, écrits.  
En un second point, nous questionnons les espaces dans lequel l’oeuvre est créée et montrée et plus précisément en quoi ce dernier ouvrent de nouveaux rapports entre oeuvre et regardeur.
A travers ces deux axes de recherche, Il s’agit de déconstruire l’espace traditionnelle de la représentation
artistique -le musée, la galerie d’exposition-. Nos projets proposent des travaux In situ, le lieu de création est
également le lieu d’exposition. Le site n’est pas la propriété de l’artiste, il invite donc et confronte l’individu à
son propre potentiel créatif. Chaque travaux est ouvert à l’interactivité .
Les expérimentations et observations menés ont donné naissance au projet «espace transitoir ?/ arrangement
provisoir? «: Performance sculpturale interactive.
Bon maintenant faut que je dorme ! A que bonsoir
YO !
      La démolition des anciens abattoirs de Nantes commence en Janvier ! Par conséquent, nous ne travaillerons pas en coopération avec la ville de Nantes, nous n’aurons jamais le temps de mettre en place le projet
avec l’administration. Le temps que le projet soit accepté les anciens abattoirs n’existerons plus.
      Il va falloir être très réactif par rapport à ce que nous devons mettre en place pour le projet: c’est à dire les
questions autour du matériel de chantier (tenues complètes et impec’). Question autour des espace de diffusions, pas de diffusion dans les rues, pour la simple raison que sinon nous devons prévenir la ville. Donc les
espaces de diffusions seront dans des cafés, bars, galerie, et sur internet. 
Et enfin sur notre propre fonctionnement l’or de l’acte, quel groupe sculpt et dans quel ordre ?
      Je met en place se soir (vers 00h00) un blog ou peuvent être publié vos vidéo/photo, c’est un  site
wordpress qui sera privé, il n’y a que vous qui peuvent voir le contenu. Nous avons besoin de vos photos,
vidéos...) pour monter de petits « portfolio » et dès la semaine prochaine allé voir des assos pour présenté les
taff, savoir si eux peuvent nous soutenir en nous prêtant du matériel par exemple (groupe électrogène...)
Nous allons demander un budget aux beaux arts le 22 janvier, je suppose que nous aurons déjà fait notre
projet sculpturale. 
Bref ! ce week-end et la semaine prochaine, il va falloir être plutôt au taquet. 
Michaël,
Baci !

16/12/2013:
	

Bonjour a tous,

Je fais suite au message pressant de Michael, qui montre bien que ça presse désormais !
Du coups, on a tout les deux décidé de faire une réunion Lundi 16 pour être au clair, définitivement. 
Car il va désormais falloir donner les bouchés double et que tous mettent les mains à la pattes !
Pour cela, je vous renvoie tous vers le PiratePad pour inscrire votre nom sur les différents rôles clef qui nécessitent de l’aide, à voir là ou vous voulez aider. (...) Donc voilà, vous savez ce qui attend les retardataires, cenir
c’est primordial, et venir à l’heure ! Lundi 16 à 13h salle varèse !
Tchou les loulous et bon week end.
François
YO !
Note de la réunion du lundi 16/12/13
Par rapport aux espaces de diffusions : 
- Galeries: si on veux que la vidéo soit diffusée pendant 24h, chercher les galeries qui ont des vitrines en
priorité. Pas forcément pour projeter sur la vitre mais qu’on vois de l’extérieur la vidéo. Si cela est projeté sur
la vitre, en plein jour on risque de ne pas voir grand choses, la nuit cela devient intéressant : peut être que
lorsque le jour baisse on peux faire en sorte que, dans les galeries ils changent le support de projection: qu’il
passe du mur à la vitre par exemple.
- Dans la rue : le seul problème est le son : soit on se débrouille pour mettre des baffles sous des grilles protectrices (sorte de cage), soit toutes les vidéos qui sont diffusées dans la rue n’aurons pas le son qui les accompagnes. 
- créer des cartels avec le lien vers internet (on rencontre Apo33 cette semaine pour savoir comment on fait
un hébergement internet) et un numéro de portable pour prendre des rendez vous, et amener les gens sur le
site. 
Faut bien avoir en tête le projet et ce que nous sommes pour pouvoir se présenté clairement, et bien expliquer en quoi on a besoin de leurs participations, en fichier joint: nos intentions (si il demande un mail, ou un
document écrit). --> Chloé est la référante mais après, Marriane, Fleurette, Violette, franco aussi sont dans le
coup (est ce que j’oublie quelqu’un ?)
Par rapport aux associations : 
- Apo33 à rencontré cette semaine (ils nous connaissent), on va mettre en rendez vous.
- Pris contact avec Fertile, Galerie SHort, vous pouvez déjà aller les rencontrer sur le terrain, de la simple
visite de courtoisie, question matos, micro budget...
- Si on veux une aide de l’association 1000 Feuille, il va falloir faire un bon petit dossier, les rencontrer en
chaire et en os. Ca pourrais être bien. 
- voir peut être d’autre si vous avez des idées.
Assos et espace de diffusion sont très lié. Par exemple une assos peut nous aider à trouver espace de diffusion,
avoir du matos, etc.. c’est a dire qu’il faut faire de petits contrendu, qui a été rencontré, ce qui a été dis etc…
-> je m’en occupe avec loona, carole
Clé 4G, pour l’instant en suspend, Mardi 17 (aujourd’hui) on envoi un mail, j’ai rencontré la Nana qui fait le
lien entre l’administration et les «clients» j’ai discuté avec elle. Francois envoi un mail de collaboration. En fin
de semaine nous aurons une réponse. 
Par rapport aux tenus de chantier, trouver de petites lampes frontale.
Ya les vacances qui arrivent, faite un maxes de repérage avant pour que dès la rentré on les boost, que se soit
espace de projection ou assis’ On attend que Marianne nous donne la date exacte du début de la démolition
des abattoirs. Vous avez les numéros de téléphone de tout le monde sur piratepad, faut juste se booster les uns
les autres. 
Michaël,
LOVE
25/12/2013

	
Yo !
Clé 4G : Francois avance les sous, nous l’aurons au plus tard le 5 janvier.
ASSOS, GALERIES ET ESPACES DE DIFFUSIONS
APPO33: Le 7 décembre, nous avons un nouveaux rendez vous avec eux, Romain nous fait une formation
accéléré pour savoir faire du direct.  --> Ils nous ont aussi proposé des espaces de diffusions.
COLLECTIFS FERTILE et PAS AVANT 15H : Suite à une conversation avec Vianney Cottineau : Ils sont
d’accord pour nous soutenir au niveau du matos de chantier (je leurs ai envoyé une liste). Ils sont partant
pour faire un «stand» restauration, à coté de l’espace dans lequel nous interviendrons durant les 24h. Ils sont
prêt à mettre un espace de diffusion dans leur friche aménagée «Le caillou» pour plus d’info je vous invite à
consulter le site internet de Fertile.
Pour les assos a rencontré ont est bon, TOUT LE MONDE SE FOCALISE SUR LES ESPACES DE DIFFUSIONS, et la question du matériel de projection (il faut une connexion internet, vidéo projecteur ou écran
d’ordi, papier que les gens peuvent emporter avec eux. on verra le 8 décembre pour le lien internet et nous
pourrons voir pour le numéro de téléphone inscrit sur les cartels de pendant les vacances, qui sera notre
«Groom» ?
La plus part des galeries que nous avons rencontré dépendent du Voyage à Nantes. Ce qui veux dire, qu’il faut
discuter avec la ville de Nantes si on veux exposer dans certaines galeries. Cela peu être chaud MAIS :
Je pense vous envoyer un mail qui reformule le projet dans de nouveaux termes. Il n’est plus question des
anciens abattoirs de Rezé nul pars dans les textes. L’endroit ou nous nous trouverons devient un espace «fantôme», il n’existe qu’une indication temporelle, le direct. Ce que nous proposons aux galeries est donc une
vidéo sans définition spatial. Si elle accepte de diffuser cette vidéo, elle accepte de ne pas savoir ou est le lieu
dans lequel nous intervenons. Les espaces en friche existe dans toute les villes, à Nantes comme ailleurs en
France, et dans le monde d’ailleurs. L’espace devient indéfini, dans le temps !
Nous laisserons le lien à disposition des gens qui regarde la vidéo depuis l’espace de diffusion, plus un numéro de téléphone. Si ils appèlent il pourrons converser avec une personne qui leur indiquera un lieu de rendez
vous et une heure. Je pense que le lieu de rendez vous peu se faire chez quelqu’un ou la vidéo est diffusée dans
l’intimité. Après le dialogue, possibilité pour les intéressés de nous rejoindre.
Cela signifie que le regardeur «actif» en saura plus que la galerie dans laquelle la vidéo est exposée, et que
nous partons de l’espace quotidien, ce qui rejoint le travail de Fleurette pour les trajets (mais au faite.. vous
avez fais vos trajets?…) je trouve sa drôle. Cela rejoint aussi la question de l’habitat: un des premiers mail que
je vous avez envoyé se nommais «habiter le provisoire»...
EST CE QUE VOUS ETES MOTIVEE ? 
J’ai besoin de le savoir parce que je tiens a vous dire ceci : 
Matéos, Loona, Simon m’ont expliqué pour diverses raisons qu’ils ne pouvaient plus participer au projets.
Quand j’ai lancé le collectif, je m’attendais pas à cela. Mais en même temps je ne m’attendais pas aussi que
certains s’implique autant et que d’autres se rendent simplement disponible pour de bonnes expérimentations
en petits groupes ou encore ceux qui ont été simplement présent aux réunions en Amphi, en salle Varès, en
salle Gutemberg ou chez Carole est suffisant. Tout le monde connais le projet dans ses lignes. Nous savons
de quoi nous parlons quand nous disons projets «anciens abattoirs de Rezé» : espace commun et pratiques
diverse. C’est suffisant. Mais en revanche, ce qui me troublerai (et c’est gentiment dit) c’est que le projet perde
de sa dynamique alors que nous avons fait le plus gros : Tout le monde ai vu l’évolution du projet, que tout le
monde soit d’accord, et au jus de ce qui se passe.
--> Pour ma pars je ne considère pas que je mène «SItuations Varriables», j’y participe comme j’y peux.
Au début un enseignant et des étudiants m’ont dit : tu sais, ceux à qui tu t’adresse sont des beauxaristes, le
collectif ils connaissent pas.
Nous n’avons rien à prouver. Mais ce que nous donnons à voir est simplement une idée de la création alternative de celle qui est pratiquée actuellement aux beaux arts de Nantes, autant le faire pleinement. Une expérience (ou recherche) protéiforme, signée ou non, par ensemble d’identités. 
Cela peu paraître comme des «gros mots», oui, nous n’avons pas encore réaliser «A titre provisoire». Nous
n’avons finalement qu’une grossière idée globale et verbale de ce qui va se produire concrètement. Un objet
qui naîtra de la pratique.
Galerie PARADISE, PLO’N, ESPACE LVL, DULCIE, SHort, ESPACE LVL.
--> Je vous envoi bientôt les intentions réécrite pour rencontrer les galeires.
--> Il n’existera pas que des diffusions dans des galeries mais aussi dans la rue: Je pense surtout à des espaces
de diffusion depuis l’espace quotidien. Il faut prendre contact avec des gens, étudiants des beaux arts ou ailleurs. exemple : envoyer un appel à projet (définissant subtilement le projet etc…). Des gens qui ne sont pas
des beaux arts… Il faudra qu’a chaque endroit de diffusion il y ai les cartels mis a disposition du public (sur
lesquels apparaissent numéro de téléphone et lien vers internet). Chaque espace de diffusion doit fonctionner
de manière autonome, pas besoin de quelqu’un dans un espace de diffusion ! 
ECOLE D’ARCHI : A rencontré car ils ont des vitrines, on peut facilement avoir accès à la vidéo de l’exterieur. 
-On compte sur vous pour envoyer votre pseudo wordpress à michaël (pour les derniers qui ne l’on pas fait),
de publier vos photos/textes/vidéo/dessins… 
-On compte sur vous pour faire vos trajets, et contacter Fleurette !
-On écris une demande d’aide financière aux beaux arts, il faut qu’on puisse documenter ce qui est avancé sur
papier. 
Nous fixerons au plus vite une date pour notre projet.
Michaël,
LOVE

26/12/2013

	
Yo !
	
Suite à vos remarques, et a celles de Virginie Pringuet et Claire Maugeais, je vous transmet donc les
documents qui à la fois exprime se que nous sommes, notre projet collectif, notre cheminement jusqu’à se
dernier. J’ai également rédigé ce qui sera joint à ces documents lorsque nous rencontrerons les galeries, leur
expliquant en quoi leur participation est importante.
--> je ferrai une petite mise en page «in disgn» pour que se soit clean, sous forme d’un petit livret.
	
Les fichiers joint sont à lire consciencieusement les coco ! parce que j’ai pas hésité à aussi exprimé
notre position plastique à travers les questionnement que nous posons. De plus j’ai fait de nouvelles recherches concernant d’autres «événements» artistiques, j’en fait mention dans les textes, je vous laisse les
consultés aussi.
	
Il va falloir que nous réfléchissions à notre fonctionnement sur le site: suite à une conversation avec
Mateo, je ne pense pas qu’il se joindra à nous le jour J. De même pour Simon qui part en Erasmsus. Nous
sommes 15, par conséquent cela change la question des groupes. Nous pouvons travailler par groupe de 3 sur
5 étapes, ou travaillé par groupe de 5 sur trois étapes ou encore trouver un autre fonctionnement alternatif.
	
Je vous rappel que pour monter le dossier pour les beaux arts nous avons besoin de vos textes/vidéo/
photos/sculpture… Pseudo wordpress à m’envoyer pour les derniers et ensuite vous aurais accès en administrateur du blog. Il y a déjà un certains nombres de performances publiés, à vous de faire le reste.
--> Checker Piratpad (quand à ce que nous avons à faire à la rentrée)
--> passez de bonnes fêtes, à bientôt,
Michaël,
LOVE
12/01/14 :
YO !
Pour la diffusion en direct, le siège, le groupe électrogène, on est bon.
Reste a s’assuré d’avoir assez de tenu de chantier et des lumière frontales !
ASSOS / Référents :
Fertile, Pas avant 15h, Appo33, Mire, Compagnon Bâtisseurs
--> Michael, Igor, François
DIFFUSIONS / Référents:
Galerie Short, espace LVL, Pol’n, Dulcie
-> Michaël
Ecole d’archi (voir pour les vitrine)
--> Mattéo
diffusion depuis chez l’habitant/restaurant/bar…
--> Igor & Sarah (voir Hôtel Pommeray, Danny steve avait projeté une vidéo depuis l’hôtel et également à
l’intérieur).
Diffusion dans d’autre école d’art :
Rouen-> Lonna
Lorient-> Michael
Je vous envois les fichiers concernant « A titre provisoire «. En fonction des demandes qu’on doit faire, il faut
un peu modifier les textes.
1) Présentation de nous… ça change pas.
2) L’explication de notre projet et de notre cheminement… ça change pas.
3) La troisième parti, la demande de participation change en revanche, si on veux par exemple qu’une vidéo
soit projeté dans un bar, c’est pas la même chose que dans une galerie… Faut bricolé un peu avec le texte, sur
la demande de participation. etc...
Voila: Francois, Sarah, Loona, Igor, Mattéo et moi sommes «référent» de différentes choses (plus la subvention des beaux arts aussi!). On se tient au jus ! Mais faut pas perdre de temps, notre projet à lieu début février!
La dernière fois, nous nous étions dis ceci comme sous-groupe:
Marianne, Lonna, Simon, François (Simon remplacé par Marie qui vient d’arrivé!)
Michaël, Igor, Chloé, Carole
Fleur, Mattéo, Lila, Alexandre
Sarah, Violette, Ruben, Marie.
ZOE?
Alors, maintenant, il faut savoir à quel moment de la journée vous désirez être présent sur le site, en fonction
de ça on peut refaire les groupes jusqu’à ce que l’on soit bien calé !
--> J’ai posté le message sur Piratepad, vous pouvez écrire l’horaire qui vous convient.
…En attendant on peut continuer à intervenir tranquillement sur le site.
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  • 1. HABITER LE PROVISOIR VENDREDI 11/10/13 à 12H00 / SALLE GUTENBERG  Arpenter Nantes à la recherche de lieux d’expérimentations &  de travaux collectifs.  Ceux qui aurons, photos, vidéos, sons, shamas d’architectures (…) d’espaces sont invités à nous en faire un petit topo en vu d’avoir du choix et d’y intervenir collectivement ensuite.  Avoir à l’esprit :  Quel potentiel ou est l’endroit  peut-on gêner (et inversement) comment est il le jour, la nuit  assez spacieux  l’acoustique  de la matière  (…)                        ?   Comment s’approprier un lieu ? De l’audace, n’hésitez pas à y aller en duos, de nuit comme jours !          « situations variables » & Michaël auto-gérée...que va-t-on faire de nous? 
  • 2. STRABISME SUR NANTES                                    REUNION VENDREDI 18/10/13 à 12H30 / AMPHI Notes de la réunion du 11/10/2013 Rechercher des lieux, garder traces de ce protocole carte/trajet/notes   & les explorer en sous groupe. Travail sur la perception et la fluidité dans l’action, laisser le langage de coté, rester dans le champ visuel/sonore des uns et des autres.               Exemple trio performatif (roulement dans les rôles):                                           1 son/vidéo                                       2 appréhension de l’espace 3                              objets...à l’échelle du corps.               Exemple duo: Un au son, l’autre à la vidéo.  Commencer à penser dessins, sons etc...).  la trace des expérimentations (trace vidéo, montage, IDEES lancées... - intervenir dans un même lieux à différent moment, par exemple sous forme de relaie de groupe en groupe. - Batterie de voiture, pour lumière si on travail la nuit (je vais essayer de m’en charger cette semaine!)                                                             & Bon travail ! Michaël
  • 3. STRABISME SUR NANTES                       (bis)        REUNION VENDREDI 25/10/13 à 12H30 / AMPHI’ notes du 18/10/13 : Continuer le processus de rechercher de lieux (garder traces de ce protocole carte/trajet/notes) & les explorer en sous groupe. Travail sur la perception et la fluidité dans l’action, rester dans le champ visuel/sonore des uns et des autres.              penser la trace : traces vidéos, montages, dessins, sons etc... NOUVEAUTE : Espace d’affichage, accrochage de tout type, ramener tout ce qui gravite autour de ce que nous faisons : mur à coté de l’amphi théâtre à partir du mardi 22/10/13. Michaël
  • 4.        CHANTIERSlieu en “déconstruction” PARADOXALES                     - construire dans un Notes de la réu du 25/10/13 : Dans un espace définit à l’intérieur des abattoirs, sur une durée de 24h, Sculpter en continu, uniquement avec les matériaux déjà présent dans les abattoirs. Différent groupes de trois personnes se succèdent, les uns aux autres en maintenir en oeuvre le chantier. vu de L’acte sculpturale suit un processus (aujourd’hui en train d’être penser/expérimenté) que chacun des groupes s’approprie dans l’instant.  Une captation sonore (atelier sculpture). et vidéo est retranscrite en directe au seins des beaux arts Chaque groupe est composé de deux sculpteurs/trices et d’une autre se chargeant de la captation vidéo. Ils peuvent inter-changer les rôles autant qu’ils le souhaitent:  L’organisation interne du groupe est improvisée, se fait de manière non-verbale, mais elle est structurée par ce protocole.            -->Un peu comme nous avions fait pour les performances improvisées, sauf qu’il s’agit maintenant d’une «  performance sculpturale » : cf mail des notes du 11/10/2013 ou celles affichées au mur à coté de l’amphithéâtre. --> Désormais: http://piratepad.net/situationsVarriables                  Mise en place du chantier : Demain et lundi, en fonction des horaires de chacun, nous faisons deux voyages, pour rechercher « le sous-lieu dans le lieu » et commencer à faire « les sous-groupes dans le groupe ».  Ce message peut paraître complexe mais tout sera redis, expérimenté, et réécrit peut être!  A demain ou lundi ! (je vous envoi l’horaire de demain après-midi par texto, on se retrouve devant les beaux arts, pour lundi on verra lundi) . Michaël
  • 5. 01/11/2013 : Yo !     Tout d’abord, les groupes, on est 16, c’est donc parfait. Marianne, Loona, Simon, François . Michaël, Igor, Cloé, Carole . Fleur, Matéo, Lila, Alexendre. Sarah, Ruben, Violette, Marie. marianne.le-duc@esba-nantes.fr 06 71 88 72 50 lilalou.sejourne@hotmail.fr 06 69 37 93 17 zozotteuh@gmail.com 06 18 10 16 00 carole.baron@live.fr 06 67 86 10 53 francoimoraine@gmail.com 06 04 14 84 11 & francois.moraine@esba-nantes.fr  sarah.orumchi@gmail.com 06 28 66 36 69 igor.porte@esba-nantes.fr 06 77 47 39 17 & igor0porte@gmail.com ruben.chitrit@hotmail.fr 06 79 61 30 14 fleur.dujat@gmail.com 06 65 73 58 87 alexgaud@yahoo.fr 06 07 50 95 58 & alexandre.gaud-chevreux@esba-nantes.fr violette.bellet@esba-nantes.fr 06 19 37 93 79 demaria.mat@gmail.com 06 95 15 12 97 chloe-malaise@orange.fr 06 65 07 76 56 marie.grihon@esba-nantes.fr 06 79 20 81 18 simon.bureau@sfr.fr 06 84 53 59 65 michaebranchu@gmail.com 06 85 99 60 71 loona.houdebine@hotmail.fr 06 50 28 80 66 Individuellement : - Tracer son déplacement dans l’espace, du lieu privé (maison) au lieu auquel nous nous rendons. Nous pouvons tracer également des trajets qui ne sont pas uniquement lié aux abattoirs mais à d’autres lieux. Déposer les trajets dans la boite accrochée au mur. Fleur se charge de la suite. - Continuer à afficher textes, photos, dessins, objets... - Le langage sur le site pendant les 24h, pourquoi, pourquoi pas ? si oui comment ? - Caméra, comment et pourquoi filmer comme ça ? Technique: Caméra, son, diffusion sur internet, et siège: Igor, Michaël, françois. Mais il faut avoir en tête que tant que on ne sait pas comment on filme on ne peux pas vraiment savoir ce dont nous avons besoin au niveau technique! 4 casques (lumière intégrée) et vestes de chantier, gants : Cloé et Lila Trousse de secour : François --> Dites comment vous avancez, problèmes si il y a. --> On a un super chariot pour transporter des choses, et bientôt une batterie de voiture (plus chargeur de batterie). On fait un point la semaine pro, en attendant on peu retourné sur le lieu en sous groupe, réfléchir etc..  faut juste bien s’organiser. Michaël Baci ! 02/11/2013: Salut c’est Ruben ! On avait dit qu’on pouvait écrire chacun sur ce qu’on pensait de l’usage ou non ou comment de la parole/ de la voix, et sur l’utilisation de la caméra. C’est juste pour relancer là dessus, moi il faut que j’écrive sur papier d’abord. Bisouches
  • 6. 04/11/2013: Yo ! Pour ma pars, je n’ai pas réellement changé d’idée concernant la caméra, bien que j’y ai beaucoup repensé. D’ailleurs je suis retourné sur le lieu.         - Un siège pouvant tourner sur lui même, posé dans un endroit bien précis de l’espace. Non pas se déplaçant dans l’espace. Une caméra accrochée sur lui pouvant être maniée à 360° sur horizontale et la verticale. Celui qui film doit pouvoir voir l’image et ce qu’il y a hors champ. Le son capté au même endroit que la vidéo.         Mais maintenant, si ce point de vu est adopté par nous, il faut qu’il ai un sens dans la construction sculpturale. A se sujet Marianne à lancée une idée intéressante à la dernière réunion: je crois que tu avais dit «construire autour de la caméra». Je pense qu’on peut développer un peu plus ta proposition.         Le protocole sculptural deviendrai relativement simple, construire une «habitation» autour de se point de vu mobile: -> L’espace de départ est cubique, vide, seulement les performeurs/sculpteurs sont autour. Fur et à mesure que nous assemblerons les matériaux nous tendront par exemple à un espace circulaire ou plutôt «sphérique».  Sphérique: en se sens que si nous sculptons en tenant compte de se point de vu en mouvement (360° horizontale et verticale), c’est aussi au-dessus, et pourquoi pas en-dessous que nous pouvons intervenir avec les matériaux. -> L’architecture de l’espace passe progressivement du «white cube» de base à une sphère, une boule:  une boule dont le centre est la caméra, l’œil. C’est à dire un espace primordiale, celui qui est nécessaire pour se mouvoir autour de sois même (c’est alors le point de vu du filmeur qui est valorisé par la sculpture, qui lorsqu’il filme, tourne autour de lui même).  -> Le protocole sculpturale est simple, et grâce à cette «tram» dans notre action on peut prendre notre temps pour gérer l’hétérogénéité des matériaux, leur assemblages, les imprévus. Se sera plus facile de changer les rôles entre filmeur et sculpteurs…  Ce que je trouve aussi intéressant dans cette proposition c’est le faite que le protocole sculpturale est étroitement lié au protocole par lequel nous filmons. Que l’image n’est pas simplement pour montrer ce que nous faisons dans se lieu, mais que l’œil par lequel l’action sculpturale est vu en direct joue un véritable rôle dans l’espace qui se modifie. Enfin, si notre méthode de fonctionnement est claire dans notre esprit à quoi cela servirait de parler entre nous, alors que nous savons à peu près dans quel sens ira la sculpture ?  Cela demande une attention particulière par rapport à ce que fond les un et les autres. Ne pas parler ne veux pas dire ne pas communiquer. Je pense que le silence verbale n’a pas obligatoirement à voir avec «la pesanteur» comme disait Virginie Pringuet à la réunion, mais plus avec la contemplation, et prendre pleinement le temps que nous nous donnons. Cela dit, je n’ai pas réellement d’avis sur la question du langage, peut être que chaque groupe peut l’utiliser ou non selon comment nous nous sentons ? Après on peut aussi «expérimenter le langage» mais cela est plus lié à la poésie des mots, à leurs sonorité dans l’espace, à des phrases qui ne sont pas de l’ordre de la planification de la sculpture, mais en interaction...  L’action dans sa totalités reste une performance ou peuvent être testés les objets de manière sonore, dans leur rapport au corps. D’autre part le point de vu à beau être au centre et mouvant: avec les objets ramener il y a l’apparition d’un derrière et d’un devant qui donne un réel rôle aux performeurs/sculpteur qui bougent, se déplacent... Ce que nous ne voyons plus à l’image est sous entendu par la présence des corps en mouvement qui expérimente continuellement l’espace et les matériaux. Qu’est ce que vous en pensez ? «http://www.youtube.com/watch?v=35Z5J1Sz61c» Il y a un peu de cela... Michaël, Baci !
  • 7. Salut c’est Fleur, moi je pense que l’idée d’un protocole aussi fixe peut être non productif. On risque de se bloquer. Il faut poser une base, certes mais il ne faut pas tout décider avant que l’action est lieu.  Si on a envie de créer autour de la caméra, qu’on le fasse mais de là a créer une sphère autour d’un œil... Le protocole me semble quelque peu fermé. Je pense qu’il faut plus que l’on se concentre sur la visibilité de la performance sculpturale.  Or, toujours le même problème, si on pose une caméra fixe, on ne pourra pas tout montrer. Mais sachant que l’on va travailler pendant 24h en ces lieux. Je pense qu’il sera possible de changer le siège de place, non ? Histoire de montrer la sculpture sous plusieurs angles, sous plusieurs visions. Le choix d’un seul emplacement, bien que la caméra puisse tourner est peut-être un peu radical.   Quand à la parole, je pense que chaque groupe peut inventer son propre langage silencieux, sonore, poétique, absurde ou «conventionnel» selon l’énergie du groupe.   Voilà des bisous doux 05/11/2013 Salut, c’est Alexandre, je passe rapidement pour dire que, comme Fleur, je pense que ce genre de protocole est trop bien délimité. Il faut des contraintes, de toute façon il y en aura forcément, que ce soit par la caméra ou autres, mais là c’est laisser trop peu de marge aux choix qu’on peut faire. Voilà, bisous et bonne nuit. Yo ! Je suis d’accord avec Fleur pour la question du langage. Par contre, je pense que nous avons une immense marge de manœuvre, avec se protocole. Faut s’imaginer en temps réel sur les 24h (la boule ou la sphère n’est qu’un possible).     D’une part, ce qui est important c’est que de groupe en groupe on puisse «lire la sculpture» en se sens qu’elle pourrait alors s’analyse en rapport avec le point de vue, de faite on peu la continuer selon se que chacun en comprend. Cela demande un certain temps de découverte pour chaque personne.      D’autre part, il s’agit de continuer la sculpture avec de nouveaux matériaux, il faut alors compter le temps d’aller les chercher dans les abattoirs, les ramener, les tester dans l’espace, sonorité, déformations, disposition par rapport aux autres matériaux.    Ensuite, il n’y a absolument pas de réel uniformisation de groupe en groupe car on aura beau avoir le même protocole, une grande partie des 24h se passera, par exemple, pendant la nuit, la lumière sera fluctuante, ce qui donne obligatoirement des manières d’agir différentes.     Je pense que ce boulot commence par un gros travail sur la perception, le but n’est pas d’être productif comme pense fleurette mais justement de s’adapter relativement à l’espace, aux matériaux et à un point de vu.     La sculpture n’est vraiment qu’une parti du travail, c’est plus une performance, en se sens que vous pouvez mettre une heure pour placer un objet, on s’en fiche. Ce qui est intéressant c’est comment on s’approprie le lieu, les objets un à un, quel stratégie on se donne pour savoir ce qu’il faut faire avec tel ou tel objet.     Cette stratégie peu se développer autour de ce protocole sculpturale, qui est la pour que l’on puisse lire comment on avance, l’évolution de l’espace, qu’on puisse comprendre.  Ce protocole donne aussi un sens de lecture pour le regardeur qui n’est pas aux abattoirs, peut être qu’il ne verra que deux moments, par exemple le matin quand il marche à pied et va au travail, et le soir quand il rentre, n’empêche que c’est suffisant, il aura compris que la sculpture s’effectuait par rapport aux point de vu. Enfin, celui qui filme à un point de vu actif, il possède «le» point de vue, lorsqu’il s’arrête il sait déjà plus ou moins ce qu’il faut modifier par rapport à l’image qu’il a regarder à travers la caméra. Une dernière chose, et la il s’agit du coté pratique: on peu pas se permettre de prendre un risque concernant le direct. Si on se déplace dans l’espace, les files peuvent s’emmêler etc... Michaël, Baci
  • 8. LES ABATTOIRS RÉUNION LE 8/11/2013 12H30 SALUT LES AMIS! VENDREDI 12H30 Salle Varès ! On est en plein dans les préparatifs pour LA PERFORMANCE/INSTALLATION/SCULPTURE/VIDÉO/ SON. Pour faire un bref rappel. Certaine personne devait s’occuper de petits éléments indispensable à l’existence de notre projet. Et le «kit» importantes que l’on doit faire judicieusement sont :  - Les tenues de chantier/gants  - Les casques avec lampes frontale  - Caméra avec micro  - Go-pro relié en direct avec l’ordinateur  - Penser aux câblages  - Clef 3G ou 4G  - Disque dur  - Les deux batteries arrivent vendredi!  - Achetez vous des lampes torches aussi ça sert toujours  - Si vous pensez à d’autres choses En dehors de ça, si je n’ai rien oublié, nous avions eu donc une forte discussion sur : - Le langage - La manière de filmer Dans un premier temps, ce serai pratique pour tous de s’ouvrir sur le point de vue et la réflexion des autres en lisant les textes que vous avez écrit sur ces aspects. Le choix que nous ferons sera déterminant pour le rendu de notre projet. Il est préférable que nous prenions notre temps, pour bien mettre au point les bases. Dans les questions qui avaient finalement posé problèmes : -  De quelle manière communiquons nous? Est-ce indispensable de d’utiliser la voix? Où est la contrainte, la difficulté dans le dialogue/le non-dialogue durant la perf? Certains types de langage, bloquerait-il la compréhension/le repère, le but de notre démarche? Globalement je crois que c’était le centre des réflexions. Ramenez vos questions, vos idées surtout. HYPER IMPORTANT: La fameuse, caméra. Vraiment on ne doit rien oublier. - Si la caméra est mobile, qu’elles sont là encore les contraintes? Physique (nous et l’espace), matériel, visuel que ça nous impose (cameraman/sculpteurs et aux spectateurs) - Si la caméra est fixe? Même question Nous devons observer, imaginer sur le lieux également le jour et la nuit. Même essayer de filmer pour voir un rendu. Et donc trouver un équilibre, tout en sachant que nous ne pourrons pas faire à moitié l’un et l’autre (question de cohérence). Nous avons besoin aussi d’un point de points de repères. Il est essentiel de penser au spectateur, car ce que nous faisons on cherche à le montrer en direct sur 24h. On est présent à tour de rôle, et chacun agis comme il le désire dans l’espace. De toute manière ça reste de l’impro. On cherche, à montrer, pourquoi pas caché, faire entendre, construire/démolir, faire revivre.... Pour finir, on parlera d’un créneau, lorsque nous aurons récupéré le «kit», pour rassembler tout le matériel qui nous intéresse. Apportez vos idées pour que l’on avance comme il faut. C’est un putain de projet, et on est une putain d’équipe. Igor, bise
  • 9. 10/11/2013: Yo !  Notes de la réunion du vendredi 8/11/13: -> Dispositif caméra: Caméra fixée sur un siège, vision à 360° horizontale et verticale, image toujours en mouvement, à vous de gérer la question de la vitesse. -> Lieux de diffusions: Espace urbain. Nous nous autorisons à «modifier» l’espace choisi, sans réellement le changer. Chaque espace choisi aura son propre dispositif d’installation.  Bilan: -> Je me charge de réaliser le siege et fixé la caméra. -> En revanche : nous devons rechercher des lieux de diffusions, documentons les avec photos et sur une carte (un lieu par personne, pour avoir du choix, est déjà bien). Sa serai bien que tout le monde garde une trace de ses trajets et les mettent dans la «boite à trajets» pour notre Fleurette ! Pour prolonger la réunion, j’ai une idée, j’espère qu’elle ne vous ferra pas peur :     Alexandre et moi nous avons discuté d’un aspect essentiel au projet: l’immersion du spectateur de la rue face à l’image, nous en avons rediscuté en réunion. J’ai mis du temps à bien comprendre ce qu’Alexandre me disait, mais je pense qu’il a raison de poser la question. Une véritable immersion ne peut pas exister uniquement par l’image. Le spectateur resterai passif même si le point de vu qu’il regarde est un point de vu qui englobe tout son corps.                 Je rappel que la manière de filmer est un dispositif qui englobe toute la circonférence du filmeur. Celui qui regarde l’image ainsi créée «prend la place» du filmeur, adopte ce point de vu relativement à son propre corps.      Je propose de métamorphoser le projet que nous avons construit en «projet interactif» par un dispositif très simple: Les visiteurs des différents espaces de projection aurait donc la possibilité de prolonger l’image par leurs déplacements, en vu de venir continuer le chantier.      Nous gardons tout ce que nous avons construit jusqu’à présent mais seulement une chose se rajoute, la possibilité pour un spectateur urbain de venir nous remplacer. Nous gardons toujours 4 personnes qui participent simultanément mais ces personnes peuvent changés à n’importe quel moment avec les gens qui veulent «entrer» dans le projet.     Ainsi l’action qui se produit reste à «l’infinitif», réactualisée par chaque personne. (A l’infinitif j’entends, ce qui est dit comme ceci : «faire une sculpture collectivement, avec tel ou tel protocole»  --> Le protocole sculptural et le protocole lié à la manière de filmé gagne en souplesse car le public devenant acteur agit de manière plus spontanée. Trois statues : être filmeur, spéctateur, acteur (sculpteur et performeurs simultanément). Je pense que le travail devient particulièrement intéressant quand «l’interactivité» devient possible.      Il s’agirait qu’à chaque lieu de diffusion dans la ville, des chemins possibles soit indiqué vers le lieu ou nous sommes, pour qu’ils puissent venir nous retrouver. on peu distribuer des papier avec des tracés déjà effectué que la personne emporte. Pour le participant, se serai le passage d’un coté à l’autre de l’image. -> Loona m’avait aussi parler de faire participer des gens. Tenu complète de chantier, trouver les espaces de projections, trajets pour fleurette... N’ayez pas peur d’écrire ici aussi ! Je commence le siège, la semaine pro, je commence le 3D pour les abattoirs avec un étudiant d’archi, je suis en train de monter un dossier pour une clé 4g (chez sfr/orange). J’aimerai bien que d’autres gens se charge d’organiser les réunions, contrendu etc.. maintenant que le groupe est bien lancé il faudrait... Que nous soyons «une sphère infinie (au sens de non fini) dont le centre est partout, la circonférence nulle part...» (dream?). -> Les abattoirs on déjà été visité par des étudiants des beaux arts http://elybessis.tumblr.com/ post/34825887997 (je leurs ai envoyé un mail d’ailleurs) Michaël, Baci ! 
  • 10. 10/11/2013: Ici François, je rebondis sur l’idée de fleur pour lancer une question : Et si on prennait des PDV fixes, c’est à dire caméra immobile, mais on change de plan/zoom quand il nous sied ? On sculpte selon un point fixe quand on se rend compte qu’une face précise de la sculpture s’échappe en hors champs, on juge intéréssant de déplacer la caméra pour offrir un nouvelle vision du volume en création. Pour les détails techniques, j’ai tout vu, et ce sera possible, le seul soucis restera la QUALITE DE VIDEO, là, il faudra faire un test au préalable pour tout voir et valider ou non le protocole. Donc il faut : Une camera (pas de go pro et de wifi , ça existe pas en fait)  * 3 batteries de 4/5 heures qu’on rechargera en relais pour la camera * 1 carte de 64 giga qui devrait faire les 24 h Ordinateur * Il en faut 3 qui marchent en relais. Clé ou portable 4 G * Un portable 4 G emet un signal et peut devenir une borne wifi pour l’ordi, ça évite de payer une clé. Le seul soucis résiderai donc dans la qualité vidéo. Tout est à vérifier. Il nous faut un lieu non loin des abatoirs, avec une prise pour recharger ce qui tourne en relais. Hey hey, cette fois ci c’est Marianne :)  Juste pour préciser l’idée de caméra au centre de la sculpture dont je parlais, et filer quelques autres petites adresses de sites, qui peuvent peut-être vous intéresser, ou du moins donner des idées où que sais-je. (En tout cas je trouvais qu’elles avaient un rapport avec le projet)  Alors pour ce qui est de la manière de filmer (dans ce que je propose), on ne serait pas obligé de faire quelque chose de proche de la caméra, au contraire ! :) Ça peut d’ailleurs permettre de jouer avec des effets de profondeur, d’avoir plusieurs chantiers, etc.  Finalement, que ce soit la caméra qui tourne autour de la sculpture ou la sculpture qui «tourne» autour de la caméra revient un peu au même, je trouve...  Après, j’ai l’impression que dans la première proposition, on donne beaucoup d’importance à la manière de filmer et la sculpture en elle-même, et dans la seconde, plus au lieu et à la manière de sculpter, non ? Or je ne sais pas ce que l’on veut mettre en valeur.  Pour ce qui est des liens :  http://vimeo.com/38975768 (une vidéo que le collectif urbex a fait à propos des abattoirs : on y apprend quelques petits trucs, et on y voit un autre point de vue artistique du lieu)  http://www.youtube.com/watch?v=-pXqnjBlb44 (juste parce que ça me faisait penser à la salle aux échafaudages & toit qui s’effondre.) Voilà voilà, et à demain !  11/11/2013 : Salut, c’est Alexandre A propos du sujet de l’immersion, je voudrais juste (re)dire – et c’est ce que je pense depuis qu’on a abordé la manière de filmer – que je ne pense pas qu’il faille voir ça comme un but en soi. Je crois que c’était, à la première réunion sur le sujet, l’un des principaux arguments en ce qui concerne l’idée de pouvoir faire tourner la caméra à 360°, et si je n’ai rien contre le fait de filmer de cette manière, il ne faut pas choisir ça dans l’idée que plus d’immersion sera forcément mieux pour le spectateur. Un plan large et fixe tout au long des 24h ne serait pas moins potentiellement intéressant. On m’avait dit que ce serait dommage, car il y aurait du hors-champ, mais ça n’empêche pas qu’il pourrait y avoir des rencontres aussi bien pour une manière de filmer que pour l’autre. Ca dépend de savoir ce que l’on veut que le spectateur perçoive de notre activité.
  • 11. Et là encore d’ailleurs, je pense que l’immersion du spectateur ne sera de toute façon pas plus grande ou moins grande selon qu’on filme avec le fauteuil ou en plan fixe, parce que comme je t’avais déjà dit justement Michaël, et comme tu le dis, le spectateur reste en dehors de l’écran, et surtout, il regarde une situation réelle. On le met dans une situation où il voit une scène qu’il sait comme réelle, non fictive. Et parce que l’image ne raconte, à priori, rien d’autre que des rapports de formes et de sons en un lieu donné, à défaut de « subir » une histoire comme ça serait le cas au cinéma, il « subit » une image d’une réalité qu’il connait. Du coup, que la caméra bouge ou reste fixe, il « subit » l’image et les mouvements de celle-ci, indépendamment de sa volonté, alors que dans cette réalité qu’il ressent et qu’il vit (le lieu dans lequel il est, par exemple, et le lieu – les abattoirs - qu’il voit dans l’image), il se sait capable de décider où il regarde, où il se dirige. Bon, c’est peut-être un peu confus tout ça mais en gros, qu’il puisse se représenter totalement l’espace qu’on lui montre ne veut pas dire qu’il se sentira plus immergé dans ledit espace (ce qui, en soi, n’est pas forcément une mauvaise chose à mon avis). De toute façon, c’est pas la première fois qu’on le dit : il faut essayer En ce qui concerne l’idée de faire participer le spectateur, je suis contre. Je ne pense pas que ça puisse apporter quoi que ce soit au projet, voir même ça peut rendre la chose confuse. Je pense que c’est mieux de s’en tenir simplement à nous/spectateurs sur ce plan. Et là encore, je ne pense pas que ce soit une bonne idée de rechercher l’immersion à tout prix ; même si ce n’est plus vraiment la question si le spectateur devient acteur, ça part de l’idée que le spectateur reste passif vis-à-vis de ce qu’il voit dans l’image. Voilà, zoubi Yo!     L’immersion n’est pas l’argument principal concernant la manière de filmé. Relire plus haut On en reparle mardi tout les deux.     Mais tu devrais développer un peu plus concernant le refus de la proposition «d’interactivitée». Si ça n’ajoute rien au projet ? Je trouve que ça change énormément de chose... Il faut faire une petite gymnastique de l’esprit pour se figurer un peu les enjeux: -> La base: «la performance» : qu’est ce qu’un performatif dans le langage ? «le concept d’énoncé performatif (est) forgé par le linguiste Austin, à partir du fameux exemple du maire déclarant qu’il unit deux personnes par les liens du mariage. Ici, l’énoncé ne consiste plus à constater un état de fait, mais à produire une transformation substantielle dans la réalité. Cet énoncé est performatif.» Gérad mayen.  -> L’énoncé performatif en se sens qu’il modifie la réalité en même temps qu’il est dit. La vidéo à la possibilité de modifier le statue du passant/promeneur/travailleurs en créateur, perfromeur. -> L’art comme expérience: la vidéo est donc une invitation à faire l’expérience de l’acte. Exploité la retransmission en direct à un plus grand potentiel que simplement dire «voila ce qu’il se passe au même instant dans un autre endroit». Si l’interaction devient possible, on sort de l’utilisation classique du direct. Cela reste de «l’interactivité», avec le choix. L’image n’est plus simplement une image, mais une invitation au voyage en se sens que la personne peut, si elle le souhaite, prolonger ce qu’elle voit de ses propres mains, en se rendant à destination par ses propres jambes. Ce qui est confus c’est ce que cette proposition «d’interactivité» provoque dans ta tête (c’est normal car cela change des choses concernant le projet en lui même et sa signification immédiate), mais il suffit juste de re-penser un peu le protocole et le rendre plus claire avec cette nouvelle proposition. Il faut savoir que seulement quelques personnes viendrons sur les personnes qui verrons la vidéo.  Michaël, Baci !
  • 12. 14/11/2013 : IGOR :  C’est ça les gars! On se rapproche de l’essentiel. Je ne sais pas si c’est ça pour tout le monde depuis le début mais ce que l’on veut en tout cas pour ma part ; c’est mettre à nu un ensemble de choses.  - Déjà le lieu des abattoirs, dévoiler l’ensemble de l’espace dans une pièce que l’on balaye du regard durant 24h. Pour cela notre manière de filmé que l’on a établi aujourd’hui convient très bien je pense. Que chacun garde la liberté de déplacer le regard de la caméra(fixée sur le siège) comme il le souhaite. Moi je pense extrêmement lent, comme très rapide(mais pas trop non plus), avec ou sans zoom. Pour garder le repère, tout en créant une pluralité et une hétérogénéité dans le point de vue du spectateur -On fait tout cela avec un groupe hétéroclite, qui crée une entité stable mais en constante évolution, et on agis les uns avec les autres. On construit un nouveau souvenir avec des anciens, que l’on remet au goût du jour. et on le montre au public en faisant dialoguer l’espace de la rue et les abattoirs. - Si on a commencé dès le départ à parler le trajet, de déplacement, c’est pour le faire partager. Faire ressentir les choses réellement. Comme si l’on voulait briser des barrière, des murs entre les différents espaces. Donc c’est légitime d’ouvrir complètement le projet au public pour voir, agir, venir voir. -N’importe quel chose que vous regarderez sur un écran ne vous verra vivre les choses réellement. Le montrer dans les conditions que l’on cherche à établir est un minimum. Alors il faut laisser l’accès. sur internet en direct ou dans une vision de l’espace en 3d, dans la rue sur les écrans avec des tracer jusqu’au lieu.  On a quasiment tout le matos donc moi je propose grosse réunion vendredi à 12h30 avec tout le monde. Histoire de bien cocher la liste. Voir les lieux de diffusion. J’ai rencontrer une personne qui peut nous aider pour notre projet. Donc je vais voir avec elle ce que l’on peut faire. En tout cas ne pas perdre de vu que l’on a besoin de tout le monde pour que le projet avance. Tout installer prends du temps donc que tout le monde y mette du sien.   Bonne nuit les amis   VENDREDI 15/11/2013 Réunion >12H30 salle Varès! Salut les amis! Il est hyper important que tout le monde soit présent vendredi. Nous allons aborder les sujets suivant : - Lister l’ensemble du matériel que l on a rassemblé jusque maintenant. - Un topo sur les besoins technique. - De la projection/diffusion dans les rues. C’est à dire, trouver les espaces adéquat(et les critères de sélection) / comment les installer au niveaux de l’atmosphère et au niveaux technique - Le lien entre des espaces de projection et les abattoirs, par rapport au tracé des itinéraires. - Clôturer, terminer de se mettre d’accord avec tout le monde sur la question du langage. et du point de vue spectateur/sculpteur avec la caméra. On va discuter d’une date pour la perf et s’organiser en fonction de ça pour avancer. J’ai peut être oublié des éléments important. Donc ramener vos questions! Igor, Je vous fait un gros bisous bonne soirée. A VENDREDI 12H30
  • 13. 17/11/2013 Yo! Notes de la réunion du vendredi 15/11/13: Les questions réglées: caméra sur siège / interactivité possible / shémat du fonctionnement durant les 24h (accroché au mur) / langage chuchotement concernant l’agencement de la sculpture, sinon «langage performatif» - Site 1, espace de la sculpture, 4 personnes (un filmeur/trois sculpteurs). - Maintenant technique, quatres personnes (éléctricité, guide si des gens veulent venir sur le site...). - Quatre espaces de diffusion en direct dans l’espace public/urbain, 1 personnes par espace de diffusion. - Quatre personnes qui se reposent :)         Etant donné que l’interactivité est possible : des gens peuvent prendre la place d’une personnes à l’œuvre sur le chantier, prendre la place du filmeur, ou d’un des sculpteurs. Relai qui tourne en boucle :  1 / ceux qui se reposent -> espaces de diffusions 2 / espaces de diffusions -> maintenance technique. 3 / maintenance technique -> chantier 4 / chantier -> repos --> CHOSES :    Nous devons donc trouver des espaces de diffusion urbain. Un passant pourrait voir différents lieux de diffusion au cours de la journée, et donc différent moment du chantier. Penser à la luminosité ou à l’ambiance sonore du lieu etc... Si chaque personnes trouve au moins un lieu, on aura du choix: une ou deux photos par lieu et affichage des photos sur le mur, avec indication sur la carte de nantes pour savoir ou il se situe à la fois par rapport au site 1 (dans les abattoirs), et par rapport aux autres lieu de diffusion      De manière individuel: tracer ses propres trajets lorsque vous allez aux abattoirs, ou que vous recherchez des espaces de diffusions, vos textes sur des expériences, photos, dessins... Enfin et surtout : A quel moment préférez vous aller aux abattoirs pour suclpter ? levé du soleil ? La nuit, le jour ?... Et la, il faut expérimenter. En réunion on s’est dit que ça ne servait a rien d’y aller tous en même temps, en revanche, faut se coordonner avec ses partenaires. L’idée est vraiment de penser son arrivé dans ce lieu de manière performative et improvisé, une caméra à la main par groupe, un rendu de 4mn peu être vraiment intéressant, et par la même occasion commencer à crée ensemble (sculpture ou n’importe quoi d’autre). A se sujet vous pouvez vous rappeler de «Notes de la réunion du 11/10/2013 : strabisme sur Nantes» affiché au mur et envoyé par mail.).  Je vous rappel que nous travaillons à la reconstitution des abbatoirs en 3d, dans lequel peuvent être publié nos différente vidéo, en fonction du temps réel (en gros si il fait jour, seulement les vidéos faite en journée se diffusent, si il fait nuit, seulement les vidéos faite la nuit etc...) Simultanément nous préparons aussi un dossier pour une clé 4g et trouver des assos qui peuvent nous aider dans les démarches à faire, je pense pas que se soit intéressant que je fasse une édition tout seul, mais que je récupère ce que vous me donnez pour en faire quelque chose de cohérent et présentable quoi. Nous avons rencontré Elise Martineau qui, il me semble, travail pour Nantes, ancienne élève des beaux arts de Nantes. En quelques mots, elle connait plutôt bien ce qui tourne auour du collectif, des assos’ et des démarches administratives d’autant plus qu’elle crée des projets de son coté. Bref, elle nous a conseiller d’aller voir le collectif Fertile, 1000 feuilles, la galerie SHorT ou encore Apo33.... De voir aussi Claire-Jeanne JEZEQUEL & Patricia SOLINI aux beaux arts de Nantes.
  • 14.     Ce qui est ressorti dans la conversation, c’est surtout un questionnement sur notre fonctionnement interne, si on doit effectivement mettre Nantes et ses services publics à notre disposition, il en va de soit que l’organisation du groupe change, notre groupe «ne s’institutionnalise pas», mais se «structure». On devient littéralement un collectif d’artistes (à vous d’assumer votre positionnement dans le groupe par vos pratiques plastiques et vivantes) avec un commissaire d’exposition (qui fait parti du projet) et un encadrant externe. -> Si on suit se type d’organisation, effectivement, vous êtes au statue «jeunes artistes», vous continuer à être dans votre propre rôle, mais on vous ajoute à cela les différentes tache auxquelles vous êtes référents, comme nous l’avons déjà plus ou moins fait, sur la question des choses à effectuer, s’occuper de la question du materiel, des tenues de chantier, de l’électricité sur le lieu, des rendez vous avec d’autres collectifs, pourquoi pas sollicité un intervenant...? etc.. enfin nous verrons tout cela à la prochaine réunion, qui aura pas lieu immédiatement, cela nous laisse un peu de temps a chacun pour réfléchir vraiment sur son propre investissement, mais aussi de travailler aux abattoirs... Je pense que d’ici deux semaines on peut se réunir pour mettre un peu tout cela à plat, on fera une bouffe chez quelqu’un, et non plus au beaux arts, avec diffusions de vidéos, d’images, lectures de textes etc... (on a un vidéo proj, et tout ce qu’il faut). Je pense qu’on va pouvoir se cristalliser d’ici peu dans une forme d’organisation qui va durer pendant le projet lui même, en revanche, sur un autre projet, l’organisation interne peu prendre une autre formes.  -> On se presse pas, mais on perd pas de temps non plus, suffit d’être bien organisé, commencer vraiment à faire des choses ensembles, ainsi on apprend à se connaitre et savoir avec qui nous sommes à l’aise pour bosser. On se précipite pas non plus pour prendre contact avec les assos de Nantes, faut qu’on ai des choses à montrer, en revanche commencer à savoir qui ils sont, de quoi nous avons besoin en termes de soutiens etc... C’est une expérience en soi de monter un projet collectif, c’est une expérience en soi de le réaliser. Tout va bien les cocos! Michaël, Baci!
  • 15.
  • 16. JEUDI 5 DÉCEMBRE, RÉUNION Yo !  J’ai laissé décanter un peu notre projet aux abattoirs. Ça m’a permit commencer à réfléchir sur ce que nous sommes et commencer à structurer notre démarche en vu de travailler avec la ville de Nantes & Rezé.  Je vous invite chez moi jeudi de la semaine prochaine (5 décembre) : 21 rue de Châteaulin (arrêt tram 2 motte rouge). On se rejoint à 21h15, il faut savoir que chez moi c’est pas grand, donc ça va être dure de faire une bouffe, si vous pensez pouvoir mettre 16 personnes dans votre appart’, faite nous signe !  Il faut absolument que vous lisiez et relisiez le dernier texte sur la discussion collective On aura un vidéo proj et de bonnes baffles si vous voulez nous montré des vidéos/photos etc… Relisez bien et essayer de nous présenter un boulot que vous avez vous même développé sur l’ensemble du site (en groupe ou seul). Bises à vous ! Michaël, Baci ! -> Réponse de Carole : Si besoin j’ai la place chez moi, même si il y aura du monde par terre! Yo ! Notes de la réunion du Jeudi 5/12/13 Tout ce qui est écrit n’est pas vraiment définitif: Premier jet, première modification.                        Dans les anciens abattoirs de Nantes, site isolé, nous allons sculpter pendant 24h, sous forme de relais, dans un de ces espaces. Tout au long du processus sculptural nous filmerons (selon un protocole bien précis), et retransmettrons en direct l’évolution du travail durant une journée dans différents espaces urbains. Ce travail est une création en «situations extrêmes».... < Qu’est-ce que tu entends par «situations extrêmes»? / le lieu est «interdit», question de sécurité. Même ceux que nous avons rencontré Igor, François et moi, qui faisaient les plans de l’édifice pour la démolition (assez paradoxale pour le coup) n’avaient pas le droit de rentré dans certains espaces. Création en situation extrême c’est aussi ce qui définit certains type de création. Question du risque présente. Ici, du simple fait que le lieu n’est plus adapté au corps. Après, pas forcément besoin de le mentionner oui... > En effet, chaque sous-groupe (au minimum de 4 personnes) se voit entreprendre un travail sculptural de 6h à chaque fois qu’il entre en scène pour relayer le groupe précédent. Nous travaillerons en groupe de 4 personnes minimum. Un groupe sculptera pendant 6 heures, à la fin de cette étape, un second groupe viendra continuer la sculpture et ainsi de suite.  Mise en chantier: Méthode vernaculaire. Nous avons donc choisi selon plusieurs critères, un lieu pour notre projet, parmi l’ensemble du complexe. Tout d’abord, il nous fallait un espace exploitable, sans risque d’accident. L’espace choisi est simple, l’architecture est cubique. Il y a différentes entrées et sorties, nous permettant l’acheminement de matériaux de l’extérieur vers l’intérieur de la structure. De plus ces ouvertures laissent entrer une lumière fluctuante le long des 24h. D’autre part, nous pouvons utiliser un point central et stable que la caméra occupera. Le point de vu est mobile, filmant autour de lui même, d’un endroit fixe (vision à 360°, horizontale et verticale). A l’échelle du site en question, deux temporalités se chevaucheront, celle de l’édifice marqué par l’usure et celle de la sculpture dans sa réalisation présente. Deux espaces se rencontrerons, l’architecture du lieu en question et l’espace recréé par la sculpture naissante. De plus le site choisi à l’intérieur des anciens abattoirs n’est qu’un échantillon des différents espaces potentiellement utilisables. Cependant, comme nous l’avons dit, la sculpture se réalise avec les matériaux présents sur l’ensemble du complexe, c’est ainsi que le site est en relation avec les autres espaces des abattoirs.
  • 17. Chantier et image : La caméra est située au milieu de l’espace dans lequel l’action va se dérouler durant les 24h. Il s’agit donc d’un point de vu interne. La caméra en mouvement donne une idée globale du lieu et de l’action (par différents point de vu possible sur l’espace ainsi que sur la sculpture en cour de réalisation). C’est par rapport à ce point de vu que les performeurs/sculpteurs vont travailler et expérimenter... < avec les matériaux dans l’espace. La caméra devient un référentiel à partir duquel la sculpture prend forme et devient lisible dans son évolution.>...La gestuelle du vidéaste (et le mouvement de la caméra) est donc un travail en soit qui joue un rôle primordial dans la réalisation de la sculpture. Le chantier en évolution est simultanément diffusé par retransmission en direct dans différents espaces urbains de Nantes. Il ne s’agit pas de pas de créer un événement autour de ce projet en informant un public au préalable, mais de montrer directement ce qu’il se passe, à partir de là où nous sommes, <le jour en question>. Les diffusions vidéos font dialoguer un espace urbain qui se développe, avec un site en périphérie, en «décomposition» et surtout isolé. D’ailleurs lors de ce projet les rapports son inversés, la périphérie devient centre. <Relier deux espaces, crée des tunnels entre l’action et les lieux de diffusions>. Nous ne voulons pas que les espaces de diffusions soit centralisés mais plutôt éparpillés. Ainsi, une même personne peut percevoir différents instants du chantier en évolution au cour d’un déplacement dans la ville, mais aussi plusieurs personnes à différents endroit peuvent avoir connaissance du chantier. De l’image à «l’interactivité» : La vidéo informe donc les passants et les transforme en spectateur. Notre idée est d’exploiter le direct dans son potentiel propre, de dévoiler une chose se produisant en temps réel, mais également de prolonger la vue de ce chantier par une interaction possible avec le public. En effet, le public étant informé (du lieu, de l’action, et de la temporalité dans laquelle les choses évoluent) a la possibilité de se rendre sur les lieux <afin de s’immerger à son tour sur ce qu’il se produit aux anciens abattoirs. Le public peut être simplement spectateur et rester dans ce statut ou bien passer de l’autre coté de l’image, se rendre sur les lieux et participer à l’œuvre collective>. Des personnes seront chargées d’accompagner les intéressés depuis le centre ville jusqu’au chantier. Ce projet est donc une performance sculpturale interactive. C’est une action engagée, en se sens que les anciens abattoirs ont conservé les marques de leur anciens usages et sont aujourd’hui un lieu polémique. Mais, bien au delà de l’histoire et de l’actualité, il s’agit içi, de créer une œuvre collective et éphèmère. Une œuvre plastique par la réalisation d’une sculpture et vivante par la présence de corps en action.  Ce que nous mettons actuellement en chantier s’insère dans une recherche artistique spécifique: Initialement, nous avons travaillé en relation étroite avec les anciens abattoirs à travers de nombreuses expérimentations, que ce soit par des performances improvisées, sculptures ou installations. Ce n’est effectivement qu’après avoir travaillé sur ce qu’il est possible de mettre en œuvre à partir du site lui même que nous avons développé notre recherche sur différents axes, notamment notre rapport physique avec l’édifice et avec sa fréquentation. Premièrement, les relations corporelles que nous pouvons tisser avec le complexe sont extrêmement variables. D’une part elles dépendent de l’architecture de l’espace dans lesquels nous sommes, mais également de l’instant où il est investi (la perception au sein d’un même espace n’est pas la même de jour ou de nuit). D’autre part chaque endroit recèle d’une hétérogénéité de matériaux qui ne peuvent pas être soustrait du champ de l’expérience direct. Enfin l’ensemble du complexe des anciens abattoirs est intimement lié aux aléas extérieurs, laissant passer à travers ses murs ou ses plafonds le vent et la pluie, ainsi que le bruit des activités de ses alentours. Notre démarche est moins de rendre compte objectivement de la situation historique ou actuelle des anciens abattoirs, que de travailler par «prélèvement» en se sens que les traces de nos expérimentations vivantes avec le complexe deviennent des «documents-archives». Il s’agit donc, d’une première manière, de travailler le rapport de la création à son environnement. Chaque action est réalisée dans les conditions définies et fluctuantes du site. La documentation de ces actions proposent une lectures du site en ses états variables : lecture par strabisme, dans les limites de l’expérience corporelle.
  • 18. Le second axe est la fréquentation du site par «X». En effet les anciens abattoirs est un lieu de passage. Ce que nous faisons est exposé à la vu de tous et peu importe la raison de la présence d’un individus sur les lieux. Le visiteur est amené à devenir spectateur, que se soit par la rencontre d’une sculpture, ou avec une performance se déroulant sous ses yeux. De plus ce public est rarement passif puisque rien n’interdit de modifier le travail qui se présente à lui. Par exemple, dans le cas d’une sculpture réalisée avec les matériaux même du lieu, bien souvent, les choses évoluent indépendamment du créateur. La participation du spectateur et possible et peut se faire dans une volonté de continuer ce qui existe déjà (ou aller jusqu’à la destruction de la forme). L’interactivité n’est donc pas un dérangement. Cela permet un renouvellement continu de ce qui à été précédemment mis en place. Rien ne lui interdit de modifier ce qui se présente à lui et si il choisi d’investir une forme préexistante, rien ne lui dicte un comportement vis à vis de cette dernière. Sur ce second point, nous questionnons les espaces dans lequel les œuvres est montrée et plus précisément en quoi ce dernier ouvrent de nouveaux rapport entre l’oeuvre et l’individus. A travers ces deux axes de recherche, Il s’agit de déconstruire l’espace traditionnelle de la représentation artistique -le musé, la galerie d’exposition- qui prédétermine le regard sur les œuvres simplement par le contexte dans lequel elles sont montrées. Nos projets proposent des travaux In situ, le lieu de création est également le lieu d’exposition. Simultanément le site devient un atelier-exposition, il n’est pas à la propriété de l’artiste, en se sens il invite et confronte l’individus à son propre potentiel créatif, comme nous l’avons dit, chaque travaux est ouvert à l’interactivité : le statue de l’individu passe de visiteur à spectateur puis éventuellement de spectateur à créateur. Les expérimentations et observations que nous avons mené on structuré le projet «espace transitoir ?/ arrangement provisoire? «: Performance sculpturale interactive. «plastikposture» en construction… ARS (artist run space) : espaces gérés par les artistes. --> Créer ses propres lieux expérimentaux. - Voir introduction de David Batchelor + ARS, Hans Ulrich Obrist «…dontstop…» «si l’art existe encore c’est là où on l’attend le moins» Robert Musil. Qu’est ce qu’un musée qui est en deçà de l’expérience physique ? -> Travaillé dans des lieux indépendant voir transgressif: une critique des codes existant ? pas seulement, c’est un prolongement, centre et périphérie sont intimement lié. Ce n’ est pas une pratique anti-muséale, dogmatique du «ou-ou». --> «au milieu des choses mais au centre de rien» Deleuze. Marcel Broodthaers dans le cadre de son musée d’Art Moderne, département des Aigles, parlait : (a) d’une parodie artistique des évènements politiques et (b) d’une parodie politique simultanée des évènements artistiques - impliquant que le musée non officiel, fictif, avait l’avantage de pouvoir incarner à la fois (a) et (b). - Do it, en 1919 Marcel Duchamp envoyait d’Argentine à ses soeurs parisiennes les instructions pour la réalisation du «ready-made malheureux». exemple : «faire un tableau ou une sculpture comme on enroule une bobine de film-cinéma» écrit à l’infinitif, l’oeuvre peut être constamment réactivé par celui qui li l’instruction. --> Prolongement qui commence en 1994, Kunstahalle de Klagenfurt en Autriche: 12 texte traduit en huit langues, il s’agissait d’instruction a partir desquels les visiteurs étaient convié à les réaliser. Le spéculateur active l’oeuvre. - AnnLee: «comment donner à une communauté une structure sociale ?» Idée amorcé par Philippe Parreno & Pierre Huyghe. En 1998, à l’ ARC, AnnLee commence par une question : Comment un personnage - un signe, comme ils l’appellent - peut-ils contribuer à créer une communauté entre artistes? Plutôt que d’avoir plusieurs artistes qui signes un même objets, un seul objets est signé par plusieurs artistes, dans le temps. AnnLee devient une succession d’oeuvre, un instantané de sa consistance, canalise et finalement ouvre sur la prochaine production (voir Le cours des choses). AnnLee est une oeuvre-exposition: Bakhtine (imaginons qu’il fasse référence à AnnLee) : «Il n’y a pas dans ses œuvres, pluralité de caractères et de destins se développant au sein d’un monde unique, monde objectif éclairé par l’unique conscience de l’auteur, mais véritablement MULTIPLICITÉ DE CONSCIENCE PLEINEMENT QUALITFIEEZ, POSSÉDANT CHACUNE LEUR MONDE et se combinant ici dans l’unité d’un événement, tout en restant non confondues. Effectivement, les héros principaux de Dostoïevski, tels que les conçoit l’écrivain lui-même, NE SONT PAS SEULEMENT PRODUIT DE LA PAROLE DE L’AUTEUR MAIS AUSSI SUJETS DE LEUR PROPRE PAROLE DIRECTEMENT SIGNIFIANTE.» --> Les expositions les plus originales depuis la fin du XIXème on été conçues par les Artistes eux même, a commencer par l’exposition en 1885 par Courbet.
  • 19. - Vision City / Clip City : Rendre publique l’exposition comme exhortation au dialogue dans la ville. Vingtcinq praticiens travaillant à des oeuvre expérimentales furent invité à participer au projet, a produire de petit clips - de vingt et cinquante secondes - pour les panneaux électroniques de Séoul. Conversion de l’espace publicitaire en tableaux publics. Aucun passant n’a donc la vision totale, ou ne voit tout les clips diffusé dans la ville: la partie pour le tout. Ce projet déborde finalement la ville, le cadre du musée, de la télévision etc… - Batterie et laboratoire : Alexandre Dorner, directeur du musée d’Hanovre au nord de l’Allemagne dans les année 1920, définissait le musée comme une centrale électrique (Kraftwerk) il invitait des artistes à développer des installations nouvelles et dynamiques pour ce qu’il appelait le «musée en mouvement». Musée en un état de transformation permanente / Musée oscillant entre objet et processus / Musée a identité multiples / Musée comme pionnier ; en activité, et sans retenue / Musée comme vérité relative / Musée basé sur un concept dynamique de l’histoire de l’art / Le «musée élastique», avec des expositions flexibles dans un bâtiment adaptable. La complexité interne de l’exposition peut se nourrir, non pas tant des objets présents, que des événements. Tout comme l’architecture fantastique des Carceri (prisons) du Piranèse, les éléments structurels accidentés de l’exposition se font complexes, avec des connexion pointant dans toutes les directions, un édifice parsemé de chemins non linéaires permettant à chaque visiteur d’inventer le sien son propre. L’exposition traditionnelle, encore essentiellement calquée sur les cabinets de curiosité de la Renaissance, entraîne, souvent du fait de la surcharge sensorielle, une carence sensorielle. En revanche, l’exposition véritablement contemporaine, singulièrement caractérisée par la «non-finitude» et l’incomplétude, doit suscité une forme de participation synecdotique. L’installation non linéaire doit permettre au visiteur de créer en permanence - de remettre en question - sa propre histoire, de trouver ses propres paroles. Il faut rassembler un peu nos différents travaux jusqu’à présent, c’est pour cela que je suis en train de faire un blog dont vous seul aurez accès (dès qu’il est opérationnelle je met l’adresse ici). Se sera facile de publier vos vidéos/photos/textes/dessin etc...  Il s’agit d’avoir la «matière» à disposition de chacun. Il va falloir qu’on s’investisse dès la semaine prochaine à rencontrer des Assos, des bars, caffé, galerie etc... donc faut pouvoir présenter le truck rapidement. Faire une petite édition ou tout rassembler sur une clé. On pourra «piocher» dans les travaux des uns et des autres en fonction de ce qu’on veux montrer, mais aussi dans le texte en train d’être écrit. Michaël, Baci !
  • 20. 12/12/2013 Yo les BigBoy ! c’est Chloé ,on a donc deux liste a remplire pour  sediviser qui s’occupe activement des asso et qui s’occupe des lieu de diffusion ! : ASSO: - Michael -Loona -carole  -igor LIEU DE DIFFUSION: -Fleur fleur.dujat@gmail.com -Chloé chloe-malaise@orange.fr - françois -loona Yo! Plus en détails :            --> Rencontrer des assos : Appo33, 1000Feuilles, Fertile, Galerie SHort. En vu de de savoir si ils peuvent nous soutenir au niveau du materiel, par exemple groupe éléctrogène, mais aussi en term de diffusion sur internet ou micro-budget.           --> Avoir un budget et soutient des beaux arts (commission le 22janvier, par conséquent les dossier doivent être fait pour le 13 janvier) Michaël: je peux monter un dossier seul, mais besoin de vos boulots           --> Rechercher des lieux de diffusions vidéos dans l’espace urbain (café, bar, différentes galeries, il y aura internet aussi)           --> Tennu de chantier complète (casques, lumières frontale, chaussure et veste et peut être pantalon).           Chloé : petite parenthese est-ce que veste et pantalon sont vraiment nécessaire? Dans «en Chantier» c’est intéressant qu’il soient tous habillés pareil qu’il investissent un rôle, qu’ils intègrent un groupe, mais nous proposons une interaction un truc communicatif aussi, qui dit «viens « et la tenu créerai un peu une barrière non?                    Casque OK (X5)                     Fhaussures OK(lila ? et gants Ok aussi)                  Masque de protection OK( pour pas respirer trop de mierda)                  Frontales PAS ok ( moi j’en ai une perso on peu peut etre en collecté chacun...?) Oui, on fait ça !  j’en ai deux ou trois chez mes parents (du coup je ne peux pas les avoir avant le 5 janvier) OKK ! c’est déjà très bien pour le 5janvier !          -->  avoir une Clé 4G (Orange ou je ne sais qui) François 
  • 21. ENFIN : Le plus important:  --> Chacun se charge d’un projet  L’idée est d’être «chef de chantier» et «ouvrier» sur les chantiers des autres. N’hésitez surtout pas à demander la participation des uns et des autres. Je vous conseil de vous faire tourné le dvd «en chantier» sur Mark Tompkins (pour l’instant c’est Igor qui l’a). C’est vraiment étonnant. Se faire confiance, si on donne de l’énergie dans nos travaux on peu aller quelque pars, ça sert à rien de le faire à moitié. It’s your work ! Individuellement dans une mouvance collective. Michaël, Baci ! 12/12/2013 Fleur : Boom !  J’ai commencé à corriger les fautes du texte puis j’ai fini par refaire le dernier paragraphe :  Premièrement, les relations corporelles que nous pouvons tisser avec le complexe sont extrêmement variables. Elles dépendent de l’architecture de l’espace dans lesquels nous sommes, de l’instant où il est investi : la perception au sein d’un même espace n’est pas la même de jour ou de nuit. Nos actions dépendent aussi du temps : ce lieu abandonné, laisse passer à travers sa structure  vent et pluie. De plus ce site est un passage: taggeurs, photographes ou  simples visiteurs curieux fréquentent le lieu. Ce que nous faisons est exposé à la vu de tous. Le visiteur est amené à devenir spectateur, que ce soit par la vue d’une sculpture passée ou par celle d’une performance présente. Il peut même en devenir l’acteur.  Notre travail doit donc prendre en considération les hasards du lieu et jouer avec.  D’autre part, ce site recèle d’une multitude de matériaux hétérogène. Chacun ayant une histoire, on ne peut donc pas les prélever. Il faut agir sur le lieu, notre action ne peut être qu’ immédiate. Les expérimentations produites lors de la découverte du lieu sont visibles uniquement sous la forme de «document archive» vidéos, photos, dessins, écrits.   En un second point, nous questionnons les espaces dans lequel l’oeuvre est créée et montrée et plus précisément en quoi ce dernier ouvrent de nouveaux rapports entre oeuvre et regardeur. A travers ces deux axes de recherche, Il s’agit de déconstruire l’espace traditionnelle de la représentation artistique -le musée, la galerie d’exposition-. Nos projets proposent des travaux In situ, le lieu de création est également le lieu d’exposition. Le site n’est pas la propriété de l’artiste, il invite donc et confronte l’individu à son propre potentiel créatif. Chaque travaux est ouvert à l’interactivité . Les expérimentations et observations menés ont donné naissance au projet «espace transitoir ?/ arrangement provisoir? «: Performance sculpturale interactive. Bon maintenant faut que je dorme ! A que bonsoir
  • 22. YO !       La démolition des anciens abattoirs de Nantes commence en Janvier ! Par conséquent, nous ne travaillerons pas en coopération avec la ville de Nantes, nous n’aurons jamais le temps de mettre en place le projet avec l’administration. Le temps que le projet soit accepté les anciens abattoirs n’existerons plus.       Il va falloir être très réactif par rapport à ce que nous devons mettre en place pour le projet: c’est à dire les questions autour du matériel de chantier (tenues complètes et impec’). Question autour des espace de diffusions, pas de diffusion dans les rues, pour la simple raison que sinon nous devons prévenir la ville. Donc les espaces de diffusions seront dans des cafés, bars, galerie, et sur internet.  Et enfin sur notre propre fonctionnement l’or de l’acte, quel groupe sculpt et dans quel ordre ?       Je met en place se soir (vers 00h00) un blog ou peuvent être publié vos vidéo/photo, c’est un  site wordpress qui sera privé, il n’y a que vous qui peuvent voir le contenu. Nous avons besoin de vos photos, vidéos...) pour monter de petits « portfolio » et dès la semaine prochaine allé voir des assos pour présenté les taff, savoir si eux peuvent nous soutenir en nous prêtant du matériel par exemple (groupe électrogène...) Nous allons demander un budget aux beaux arts le 22 janvier, je suppose que nous aurons déjà fait notre projet sculpturale.  Bref ! ce week-end et la semaine prochaine, il va falloir être plutôt au taquet.  Michaël, Baci ! 16/12/2013: Bonjour a tous, Je fais suite au message pressant de Michael, qui montre bien que ça presse désormais ! Du coups, on a tout les deux décidé de faire une réunion Lundi 16 pour être au clair, définitivement.  Car il va désormais falloir donner les bouchés double et que tous mettent les mains à la pattes ! Pour cela, je vous renvoie tous vers le PiratePad pour inscrire votre nom sur les différents rôles clef qui nécessitent de l’aide, à voir là ou vous voulez aider. (...) Donc voilà, vous savez ce qui attend les retardataires, cenir c’est primordial, et venir à l’heure ! Lundi 16 à 13h salle varèse ! Tchou les loulous et bon week end. François YO ! Note de la réunion du lundi 16/12/13 Par rapport aux espaces de diffusions :  - Galeries: si on veux que la vidéo soit diffusée pendant 24h, chercher les galeries qui ont des vitrines en priorité. Pas forcément pour projeter sur la vitre mais qu’on vois de l’extérieur la vidéo. Si cela est projeté sur la vitre, en plein jour on risque de ne pas voir grand choses, la nuit cela devient intéressant : peut être que lorsque le jour baisse on peux faire en sorte que, dans les galeries ils changent le support de projection: qu’il passe du mur à la vitre par exemple. - Dans la rue : le seul problème est le son : soit on se débrouille pour mettre des baffles sous des grilles protectrices (sorte de cage), soit toutes les vidéos qui sont diffusées dans la rue n’aurons pas le son qui les accompagnes.  - créer des cartels avec le lien vers internet (on rencontre Apo33 cette semaine pour savoir comment on fait un hébergement internet) et un numéro de portable pour prendre des rendez vous, et amener les gens sur le site. 
  • 23. Faut bien avoir en tête le projet et ce que nous sommes pour pouvoir se présenté clairement, et bien expliquer en quoi on a besoin de leurs participations, en fichier joint: nos intentions (si il demande un mail, ou un document écrit). --> Chloé est la référante mais après, Marriane, Fleurette, Violette, franco aussi sont dans le coup (est ce que j’oublie quelqu’un ?) Par rapport aux associations :  - Apo33 à rencontré cette semaine (ils nous connaissent), on va mettre en rendez vous. - Pris contact avec Fertile, Galerie SHort, vous pouvez déjà aller les rencontrer sur le terrain, de la simple visite de courtoisie, question matos, micro budget... - Si on veux une aide de l’association 1000 Feuille, il va falloir faire un bon petit dossier, les rencontrer en chaire et en os. Ca pourrais être bien.  - voir peut être d’autre si vous avez des idées. Assos et espace de diffusion sont très lié. Par exemple une assos peut nous aider à trouver espace de diffusion, avoir du matos, etc.. c’est a dire qu’il faut faire de petits contrendu, qui a été rencontré, ce qui a été dis etc… -> je m’en occupe avec loona, carole Clé 4G, pour l’instant en suspend, Mardi 17 (aujourd’hui) on envoi un mail, j’ai rencontré la Nana qui fait le lien entre l’administration et les «clients» j’ai discuté avec elle. Francois envoi un mail de collaboration. En fin de semaine nous aurons une réponse.  Par rapport aux tenus de chantier, trouver de petites lampes frontale. Ya les vacances qui arrivent, faite un maxes de repérage avant pour que dès la rentré on les boost, que se soit espace de projection ou assis’ On attend que Marianne nous donne la date exacte du début de la démolition des abattoirs. Vous avez les numéros de téléphone de tout le monde sur piratepad, faut juste se booster les uns les autres.  Michaël, LOVE
  • 24. 25/12/2013 Yo ! Clé 4G : Francois avance les sous, nous l’aurons au plus tard le 5 janvier. ASSOS, GALERIES ET ESPACES DE DIFFUSIONS APPO33: Le 7 décembre, nous avons un nouveaux rendez vous avec eux, Romain nous fait une formation accéléré pour savoir faire du direct.  --> Ils nous ont aussi proposé des espaces de diffusions. COLLECTIFS FERTILE et PAS AVANT 15H : Suite à une conversation avec Vianney Cottineau : Ils sont d’accord pour nous soutenir au niveau du matos de chantier (je leurs ai envoyé une liste). Ils sont partant pour faire un «stand» restauration, à coté de l’espace dans lequel nous interviendrons durant les 24h. Ils sont prêt à mettre un espace de diffusion dans leur friche aménagée «Le caillou» pour plus d’info je vous invite à consulter le site internet de Fertile. Pour les assos a rencontré ont est bon, TOUT LE MONDE SE FOCALISE SUR LES ESPACES DE DIFFUSIONS, et la question du matériel de projection (il faut une connexion internet, vidéo projecteur ou écran d’ordi, papier que les gens peuvent emporter avec eux. on verra le 8 décembre pour le lien internet et nous pourrons voir pour le numéro de téléphone inscrit sur les cartels de pendant les vacances, qui sera notre «Groom» ? La plus part des galeries que nous avons rencontré dépendent du Voyage à Nantes. Ce qui veux dire, qu’il faut discuter avec la ville de Nantes si on veux exposer dans certaines galeries. Cela peu être chaud MAIS : Je pense vous envoyer un mail qui reformule le projet dans de nouveaux termes. Il n’est plus question des anciens abattoirs de Rezé nul pars dans les textes. L’endroit ou nous nous trouverons devient un espace «fantôme», il n’existe qu’une indication temporelle, le direct. Ce que nous proposons aux galeries est donc une vidéo sans définition spatial. Si elle accepte de diffuser cette vidéo, elle accepte de ne pas savoir ou est le lieu dans lequel nous intervenons. Les espaces en friche existe dans toute les villes, à Nantes comme ailleurs en France, et dans le monde d’ailleurs. L’espace devient indéfini, dans le temps ! Nous laisserons le lien à disposition des gens qui regarde la vidéo depuis l’espace de diffusion, plus un numéro de téléphone. Si ils appèlent il pourrons converser avec une personne qui leur indiquera un lieu de rendez vous et une heure. Je pense que le lieu de rendez vous peu se faire chez quelqu’un ou la vidéo est diffusée dans l’intimité. Après le dialogue, possibilité pour les intéressés de nous rejoindre. Cela signifie que le regardeur «actif» en saura plus que la galerie dans laquelle la vidéo est exposée, et que nous partons de l’espace quotidien, ce qui rejoint le travail de Fleurette pour les trajets (mais au faite.. vous avez fais vos trajets?…) je trouve sa drôle. Cela rejoint aussi la question de l’habitat: un des premiers mail que je vous avez envoyé se nommais «habiter le provisoire»... EST CE QUE VOUS ETES MOTIVEE ?  J’ai besoin de le savoir parce que je tiens a vous dire ceci :  Matéos, Loona, Simon m’ont expliqué pour diverses raisons qu’ils ne pouvaient plus participer au projets. Quand j’ai lancé le collectif, je m’attendais pas à cela. Mais en même temps je ne m’attendais pas aussi que certains s’implique autant et que d’autres se rendent simplement disponible pour de bonnes expérimentations en petits groupes ou encore ceux qui ont été simplement présent aux réunions en Amphi, en salle Varès, en salle Gutemberg ou chez Carole est suffisant. Tout le monde connais le projet dans ses lignes. Nous savons de quoi nous parlons quand nous disons projets «anciens abattoirs de Rezé» : espace commun et pratiques diverse. C’est suffisant. Mais en revanche, ce qui me troublerai (et c’est gentiment dit) c’est que le projet perde de sa dynamique alors que nous avons fait le plus gros : Tout le monde ai vu l’évolution du projet, que tout le monde soit d’accord, et au jus de ce qui se passe. --> Pour ma pars je ne considère pas que je mène «SItuations Varriables», j’y participe comme j’y peux.
  • 25. Au début un enseignant et des étudiants m’ont dit : tu sais, ceux à qui tu t’adresse sont des beauxaristes, le collectif ils connaissent pas. Nous n’avons rien à prouver. Mais ce que nous donnons à voir est simplement une idée de la création alternative de celle qui est pratiquée actuellement aux beaux arts de Nantes, autant le faire pleinement. Une expérience (ou recherche) protéiforme, signée ou non, par ensemble d’identités.  Cela peu paraître comme des «gros mots», oui, nous n’avons pas encore réaliser «A titre provisoire». Nous n’avons finalement qu’une grossière idée globale et verbale de ce qui va se produire concrètement. Un objet qui naîtra de la pratique. Galerie PARADISE, PLO’N, ESPACE LVL, DULCIE, SHort, ESPACE LVL. --> Je vous envoi bientôt les intentions réécrite pour rencontrer les galeires. --> Il n’existera pas que des diffusions dans des galeries mais aussi dans la rue: Je pense surtout à des espaces de diffusion depuis l’espace quotidien. Il faut prendre contact avec des gens, étudiants des beaux arts ou ailleurs. exemple : envoyer un appel à projet (définissant subtilement le projet etc…). Des gens qui ne sont pas des beaux arts… Il faudra qu’a chaque endroit de diffusion il y ai les cartels mis a disposition du public (sur lesquels apparaissent numéro de téléphone et lien vers internet). Chaque espace de diffusion doit fonctionner de manière autonome, pas besoin de quelqu’un dans un espace de diffusion !  ECOLE D’ARCHI : A rencontré car ils ont des vitrines, on peut facilement avoir accès à la vidéo de l’exterieur.  -On compte sur vous pour envoyer votre pseudo wordpress à michaël (pour les derniers qui ne l’on pas fait), de publier vos photos/textes/vidéo/dessins…  -On compte sur vous pour faire vos trajets, et contacter Fleurette ! -On écris une demande d’aide financière aux beaux arts, il faut qu’on puisse documenter ce qui est avancé sur papier.  Nous fixerons au plus vite une date pour notre projet. Michaël, LOVE 26/12/2013 Yo ! Suite à vos remarques, et a celles de Virginie Pringuet et Claire Maugeais, je vous transmet donc les documents qui à la fois exprime se que nous sommes, notre projet collectif, notre cheminement jusqu’à se dernier. J’ai également rédigé ce qui sera joint à ces documents lorsque nous rencontrerons les galeries, leur expliquant en quoi leur participation est importante. --> je ferrai une petite mise en page «in disgn» pour que se soit clean, sous forme d’un petit livret. Les fichiers joint sont à lire consciencieusement les coco ! parce que j’ai pas hésité à aussi exprimé notre position plastique à travers les questionnement que nous posons. De plus j’ai fait de nouvelles recherches concernant d’autres «événements» artistiques, j’en fait mention dans les textes, je vous laisse les consultés aussi. Il va falloir que nous réfléchissions à notre fonctionnement sur le site: suite à une conversation avec Mateo, je ne pense pas qu’il se joindra à nous le jour J. De même pour Simon qui part en Erasmsus. Nous sommes 15, par conséquent cela change la question des groupes. Nous pouvons travailler par groupe de 3 sur 5 étapes, ou travaillé par groupe de 5 sur trois étapes ou encore trouver un autre fonctionnement alternatif. Je vous rappel que pour monter le dossier pour les beaux arts nous avons besoin de vos textes/vidéo/ photos/sculpture… Pseudo wordpress à m’envoyer pour les derniers et ensuite vous aurais accès en administrateur du blog. Il y a déjà un certains nombres de performances publiés, à vous de faire le reste. --> Checker Piratpad (quand à ce que nous avons à faire à la rentrée) --> passez de bonnes fêtes, à bientôt, Michaël, LOVE
  • 26. 12/01/14 : YO ! Pour la diffusion en direct, le siège, le groupe électrogène, on est bon. Reste a s’assuré d’avoir assez de tenu de chantier et des lumière frontales ! ASSOS / Référents : Fertile, Pas avant 15h, Appo33, Mire, Compagnon Bâtisseurs --> Michael, Igor, François DIFFUSIONS / Référents: Galerie Short, espace LVL, Pol’n, Dulcie -> Michaël Ecole d’archi (voir pour les vitrine) --> Mattéo diffusion depuis chez l’habitant/restaurant/bar… --> Igor & Sarah (voir Hôtel Pommeray, Danny steve avait projeté une vidéo depuis l’hôtel et également à l’intérieur). Diffusion dans d’autre école d’art : Rouen-> Lonna Lorient-> Michael Je vous envois les fichiers concernant « A titre provisoire «. En fonction des demandes qu’on doit faire, il faut un peu modifier les textes. 1) Présentation de nous… ça change pas. 2) L’explication de notre projet et de notre cheminement… ça change pas. 3) La troisième parti, la demande de participation change en revanche, si on veux par exemple qu’une vidéo soit projeté dans un bar, c’est pas la même chose que dans une galerie… Faut bricolé un peu avec le texte, sur la demande de participation. etc... Voila: Francois, Sarah, Loona, Igor, Mattéo et moi sommes «référent» de différentes choses (plus la subvention des beaux arts aussi!). On se tient au jus ! Mais faut pas perdre de temps, notre projet à lieu début février! La dernière fois, nous nous étions dis ceci comme sous-groupe: Marianne, Lonna, Simon, François (Simon remplacé par Marie qui vient d’arrivé!) Michaël, Igor, Chloé, Carole Fleur, Mattéo, Lila, Alexandre Sarah, Violette, Ruben, Marie. ZOE? Alors, maintenant, il faut savoir à quel moment de la journée vous désirez être présent sur le site, en fonction de ça on peut refaire les groupes jusqu’à ce que l’on soit bien calé ! --> J’ai posté le message sur Piratepad, vous pouvez écrire l’horaire qui vous convient. …En attendant on peut continuer à intervenir tranquillement sur le site.