2. Il est né le 10 mars 1920, près de Versailles, et rien qu’avec 39 ans il est mort d´un infarctus, quand il regardait une adaptation d´un roman à lui.
3. Depuis qu’il était petit, il n’était pas en bonne santé, c’est pourquoi il étudiait chez lui. Il a commencé une première partie de ses études de philosophie au lycée Hoche de Versailles et, après avoir passé des accidents de santé, il a obtenu son diplôme au lycée Condorcet, à Paris. Il est entré à l'École Centrale de Paris en 1939. À la fin de ses études, il travaille comme ingénieur à l'Association française de normalisation (AFNOR)
4. Boris Vian était un genre d’homme de la Renaissance né au XX e siècle. Il était écrivain et poète, ingénieur, journaliste, acteur, inventeur, traducteur , critique et musicien de jazz, auteur de chansons… Cela peut être question d´éducation , puisqu ´ il a grandi dans une famille fortunée et cultivée, qui a influencé bien sur lui.
5. C’est une part de la partition de Le Déserteur, une chanson antimilitariste de Boris Vian Son père, Paul Vian, était rentier, poète amateur, traducteur d’anglais et d´allemand, il était aussi intéressé en mécanique et électronique, il avait des tendances libertaires, antimilitaristes et athées. Sa mère, Yvonne Revenez, était interprète d’harpe et amie de l’opéra.
6. En plus, Boris Vian a reçu des influences s urréalistes et des autres de l´ auteur de « Ubu Roi » , Alfred Jarry.
7. Il avait une grande amitié avec Simone de Beauvoir, Jean-Paul Sartre Jean-Paul Sartre Simone de Beauvoir
8. et d´autres personnages du monde du jazz comme : Duke Ellington, Mile Davis, Charlie Parker… Duke Ellington Mile Davis Charlie Parker
9. Dans les années quarante, Boris Vian a commencé à écrire publiant des récits pour Les temps modernes avec des surnoms comme Bison Ravi ou Hugo Hachebuisson. La première oeuvre qui lui est attribué e (comme Vian) a été « Vercoquin et le Plancton » (1946).
10. Après années de jugements contre le prétendu Sullivan, Vian a reconnu être le vrai écrivain. Les critiques, offens és, ont mené des attaques constantes non seulement contre les oeu vres sign ées avec des surnoms, mais aussi contre les sérieuses signées avec son vrai nom aussi. En 1950, Boris Vian était condamné à payer une amende pour outrage aux bonnes mœurs dans les deux premières œuvres signées comme Vernon Sullivan. « J'irai cracher sur vos tombes », écrit en 1946, signé avec le surnom Vernon Sullivan et avec le nom de Vian comme le traducteur, a provoqué un grand scandale et on l´a censuré e par son sujet violent et sexuel.
11. Son o e uvre est considérée (titre posthume) comme le manifeste de la jeunesse existentialiste de Saint-Germain-des-Prés.
12. Andy Chango a passé cinq ans à étudier Boris Vian et avec l’aide du poète Luis Antonio de Villena et du musicien Javier Krahe, il a créé un disque appelé Boris Vian avec des adaptations aux nouveaux temps et au son des mots espagnols de ses chansons. Avec le disque il y a un livret avec les chansons écrites en français et espagnol pour que le lecteur peut voir les changements.
13. Dans la couverture, dessinée par Edgardo Carosia, est représenté Chango devant un pianocktail une invention que Vian propose dans son livre « L'écume des jours », un instrument qui associait les notes avec un alcool ou un goût et suivant la mélodie il servait un whisky ou un rhum.