S3 revue de presse kylia - semaine du 13 au 19 janvier 2020
S44 revue de presse kylia - semaine du 26 octobre au 1 novembre 2015
1. La revue de Presse KYLIA
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LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE
Du 26 octobre au 1 novembre 2015
LES ARTICLES DE LA SEMAINE - RESIDENTIEL
Immobilier : les prix baissent de moins en
moins
Le 27/10/2015
Les prix dans l’ancien diminuent mais de façon modérée. Dans certaines métropoles régionales ils sont au contraire en hausse - Shutterstock
L’inflexion du marché immobilier dans l’ancien se confirme, selon le baromètre LPI-Se Loger.
Les prix reculent mais de façon plus modérée. Dans certaines grandes métropoles régionales,
ils sont même en hausse. L’activité reste soutenue.
Il est courant de dire que le temps influence notre humeur. L’approche de l’hiver est généralement
synonyme de ralentissement de rythme. Il semblerait qu’en matière d’immobilier les mêmes
phénomènes soient de mise. C’est en tout cas ce qui ressort du dernier baromètre LPI- Se Loger qui
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fait état d’un retour au calme pour les prix immobiliers en raison de la saisonnalité : après un été actif,
l’automne amène une période plus calme. Ainsi : « l’activité du marché de l’ancien est restée soutenue
en septembre, la pression sur les prix se fait moins forte ». Au niveau national, la différence entre le
prix moyen au m2 affiché et le prix moyen au m2 signé (c’est-à-dire constaté au jour de la signature
du compromis de vente) est de 0,7 % sur les trois derniers mois. « Dans l’ancien, les prix affichés
reculent deux fois moins vite qu’il y a un an, à la même époque », indique Michel Mouillart, professeur
d’économie à l’université Paris-Ouest et porte-parole du Baromètre LPI-Se Loger. Si la tendance est
baissière, elle est donc nettement moins brutale qu’elle ne l’était il y a douze mois. « Avec le recul
saisonnier des prix affichés, un équilibre se rétablit entre les vendeurs et les acheteurs. Les marges
de négociation sont maintenant revenues à leur niveau habituel », indique l’étude.
Une évolution des prix contrastée en province
Si la baisse des prix n’épargne pas les villes de province de plus de 150.000 habitants lorsque le
marché n’a pas bénéficié d’un rebond suffisant de la demande, le baromètre fait état : « d’une hausse
des prix dans près de 40 % de ces villes, comme Bordeaux, Lille, Marseille ou Toulouse ». Ainsi, à
Bordeaux, le prix moyen au m2 signé s’élève à 3.460 euros, ce qui correspond à une augmentation de
1,5 % sur les trois derniers mois. A Lille, le prix moyen signé est de 2.940 euros, soit une
augmentation de 5,5 % sur le dernier trimestre. Par comparaison les prix dans les grandes métropoles
sont à la baisse. A Paris, qui détient le record du prix au m2 le plus élevé (avec un prix moyen de
8.383 euros), la baisse sur les trois derniers mois est de 0,7 %. Le même phénomène s’applique à
des villes comme Marseille ou Lyon.
Des ventes dynamiques grâce aux conditions de crédit
Selon le baromètre, après la pause estivale, l’activité du marché de l’ancien s’est ressaisie en
septembre. « Les ventes se sont établies à 9,5 % au-dessus de leur niveau de septembre 2014 ».
Des résultats encourageants mais sans comparaison avec « les niveaux d’activité élevés qui
prévalaient en 2011 » grâce à un flux plus important de primo-accédants. En effet, en province, en
dépit des conditions de crédit favorables, « la demande n’a pas encore réussi à se redresser
suffisamment pour gommer les conséquences que la suppression du prêt à taux zéro avait produite
sur le niveau de la primo-accession »
Source : LesEchos.fr
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ANAH : une prime de 1.000 euros pour les
propriétaires qui louent moins cher
Le 27/10/2015
Sont concernés les propriétaires louant à des niveaux de loyers sociaux ou très sociaux.
ANAH : une prime de 1.000 euros pour les propriétaires qui louent moins cher (C) SIPA
Après le dispositif MultiLoc’ de la mairie de Paris, l’ANAH (Agence nationale de l’habitat) entend elle
aussi inciter les propriétaires privés à louer leurs logements à des loyers abordables, qu’ils soient
vacants ou non. A partir du 1er novembre 2015 et jusqu’au 31 décembre 2017, les bailleurs pourront
bénéficier d’une prime de 1 000 euros s’ils s’engagent à mettre en location leurs biens en loyer
conventionné social et très social.
Cette nouvelle disposition doit permettre de développer dans le parc privé des logements à
loyers maîtrisés immédiatement disponibles", précise l’ANAH.
Cette prime est accordée au propriétaire bailleur qui confie son logement conventionné pour une
durée d’au moins 3 ans à une association ou une agence immobilière sociale agréées pour faire de
l’intermédiation locative. Ces structures assurent la sécurité du paiement des loyers et des charges.
Elles s’occupent de la remise en état gratuite du bien avant de le restituer au propriétaire. Et si
nécessaire, un accompagnement social peut être proposé au locataire.
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Plafonds de loyers applicables en 2015
Zone A bis - A Zone B1 - B2 Zone C
Loyer "social" 6,62 €/m² 6,02 €/m² 5,40 €/m²
Loyer "très social" 6,26 €/m² 5,85 €/m² 5,21 €/m²
Attention : révisés chaque année, les plafonds de loyers sont exprimés en euros par mètre carré de
surface habitable dite "fiscale", charges non comprises. La surface habitable "fiscale" est la surface
habitable, à laquelle s'ajoute la moitié de la surface des annexes (dans la limite de 8 m²).
Source : LeNouvelObs.com
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Nombre de ventes en augmentation
Le nombre de ventes a davantage progressé en grande couronne (+ 23 %) et en petite couronne (+
17 %) que dans Paris (+ 8 %). Quant au mois de septembre, il devrait enregistrer un « nombre de
ventes élevé sur l'ensemble de l'Ile-de-France », estiment les notaires au vu du volume des avant-
contrats. Si la tendance baissière des prix s'est interrompue pendant l'été, « les récents mouvements
de hausse sont encore trop modestes » pour l'inverser réellement.
Dans l'ancien, le prix des appartements s'est érodé de 2,1 % en Ile-de-France, à 5 290 euros le m2 en
moyenne, et de 1,8 % dans Paris, à 8 000 euros le m2, à fin août sur un an. Pour les notaires, d'ici la
fin de l'année les prix de l'immobilier ancien « ne s'engagent pas dans un mouvement de hausse ».
Source : LePoint.fr
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Locataire, propriétaire : qu’ai-je le droit de faire
pendant la trêve hivernale ?
Le 1/11/2015
La trêve hivernale démarre ce 1er novembre pour cinq mois. Expulsions, coupures d’électricité,
procédures judiciaires : qui a le droit de faire quoi ? Le Figaro fait le point.
• Je suis propriétaire, je ne peux pas faire expulser mon locataire
VRAI, MAIS... La trêve hivernale signifie que l’expulsion d’un locataire, après une décision de justice,
ne peut pas être exécutée et est donc de facto suspendue jusqu’à la fin de la période. La trêve
concerne aussi bien les logements vides que meublés.
Cependant, deux exceptions sont prévues par la loi: un locataire peut être expulsé si son relogement
est assuré «dans des conditions suffisantes respectant l’unité et les besoins de la famille». Si le
locataire habite dans un immeuble ayant fait l’objet d’un arrêté de péril, il peut également être expulsé,
même durant la trêve hivernale.
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• Je suis propriétaire, je ne peux pas faire expulser des squatteurs
VRAI, MAIS... Depuis la loi Alur, les squatteurs, c’est-à-dire des personnes occupant un logement
sans en avoir jamais eu l’autorisation, sont protégés par la trêve hivernale. Mais le juge peut
«supprimer le bénéfice du sursis prévu» s’il est saisi par le propriétaire.
• Je suis propriétaire, je ne peux pas amorcer de procédure en cas de non-paiement du loyer
FAUX - Seules les exécutions de décisions de justice sont suspendues durant la trêve hivernale. Mais
un propriétaire dont le locataire ne paierait plus ses loyers depuis au moins deux mois, principale
cause des expulsions, peut tout à fait entamer une procédure judiciaire durant l’hiver. Au terme des
démarches, le propriétaire peut même obtenir durant la trêve hivernale un jugement favorable qui
ordonne l’expulsion du locataire mauvais payeur ; la décision ne sera simplement pas appliquée avant
la fin de la trêve.
• Je suis locataire, l’électricité de mon logement peut être coupée si je ne paye pas mes
factures
FAUX - La trêve hivernale ne protège pas seulement les locataires de l’expulsion mais aussi des
coupures d’énergie: électricité et gaz. En revanche, l’opérateur peut décider de réduire la puissance
jusqu’à 3 kilowatts/heure en cas de facture impayée, sauf si vous êtes bénéficiaire du tarif de première
nécessité, accessible sous conditions de ressources.
• Je suis propriétaire, je peux expulser moi-même mon locataire
FAUX - Évidemment non! Si le recours à la force publique, c’est-à-dire les forces de l’ordre, n’est pas
possible pendant la trêve hivernale, faire justice soi-même n’est une solution ni pendant cette période
ni en-dehors. Un bailleur qui procède lui-même à l’expulsion de son locataire s’expose d’ailleurs à des
poursuites qui peuvent lui valoir trois ans de prison et 30.000 euros d’amende.
Source : LeFigaro.fr
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LES ARTICLES DE LA SEMAINE - COMMERCE
Reprendre un fonds de commerce en
redressement judiciaire
Le 30/10/2015
Vous pensez faire une affaire en reprenant un fonds en faillite à un prix imbattable. Gare aux illusions.
'L'étude du bail commercial et ses conditions d'exécution sont des points essentiels à clarifier en
amont [de la reprise]', assure Céline Chevillon, avocate associée du cabinet Varoclier, spécialiste des
procédures collectives.
En cas de redressement judiciaire, l'entreprise poursuit son activité et les salariés sont toujours en
poste. Néanmoins, l'entreprise va mal. Elle est endettée et n'arrive pas à payer ses créanciers (Urssaf,
fournisseurs, banques, bailleur...). C'est la raison pour laquelle un administrateur judiciaire a été
nommé. Son rôle : établir un remboursement échelonné des créanciers. Malgré cela, la cession du
fonds est possible dans le cadre d'un plan de cession. L'interlocuteur du repreneur ou de son conseil
est alors l'administrateur judiciaire. Celui-ci le renseigne sur l'entreprise et il fixe une date limite (jour et
heure) pour déposer une offre. "Faire une offre dans ce contexte, c'est l'occasion de reprendre un
fonds dont la valeur subit une décote de 20 à 30 %. Mais il faut disposer des capitaux nécessaires car
le repreneur devra supporter beaucoup de dépenses les premiers mois. Nous ne proposons ce genre
d'affaires qu'à nos clients qui sont déjà chefs d'entreprise et dont nous savons qu'ils ont les moyens
financiers de la reprise", précise Ali Talla, spécialiste de la reprise d'entreprises en difficulté chez
Century 21 Horeca Paris.
Vigilance et trésorerie
En effet, en tant qu'acquéreur, vous reprendrez le fonds de commerce, mais aussi parfois certains
salariés, et les contrats attachés au contenu du fonds (contrats avec les fournisseurs, bail
commercial...). Dès lors, la rédaction de votre offre et sa présentation ont une importance cruciale,
tout autant qu'une analyse du fonds de commerce dans sa dimension juridique. "L'étude du bail
commercial et ses conditions d'exécution, de même que l'existence de biens grevés de privilèges -
comme une machine financée par la banque garantie par un nantissement - sont des points
essentiels à clarifier en amont", assure Céline Chevillon, avocate associée du cabinet Varoclier et
co-auteur de Accompagner le chef d'entreprise en difficulté (éditions Lexis Nexis, collection Affaires
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Finances). "Nous savons mesurer la portée de certains éléments juridiques de nature à engager le
repreneur au-delà de ce qu'il imagine au premier abord, nous le conseillons dans l'étendue de son
offre qui devra notamment répondre aux trois critères légaux, à savoir : le maintien de tout ou partie
des activités de l'entreprise, celui de tout ou partie des emplois, et l'apurement du passif", renchérit
François Meurin, avocat associé au sein du cabinet Touraut à Meaux. S'agissant du personnel, le
cessionnaire doit préciser dans son offre les salariés qu'il envisage de rependre et les postes
concernés. Le jugement du tribunal reprendra les dispositions de l'offre retenue et l'administrateur
judiciaire licenciera les salariés non repris. "L'offre devra justifier la sélection des postes conservés, la
rendre cohérente dans le prévisionnel et démontrer en quoi cela assurera la pérennité de l'activité.
Dans les faits, le tribunal a tendance à privilégier les offres assurant le maintien de quelques emplois,
comparé à un prix plus élevé sans reprise de poste", poursuit François Meurin.
Transparence
Sauf cas exceptionnel, vous ne serez sûrement pas le seul à présenter une offre. L'administrateur va
retenir uniquement celles qui ont été remises dans le délai imparti. Il les transmet au greffe du tribunal,
où elles deviennent publiques, et il rédige son rapport qu'il présentera au tribunal. Quinze jours
minimum doivent séparer l'expiration du délai de remise des offres et l'audience du tribunal. Pendant
ce délai, les repreneurs peuvent comparer leurs offres respectives, et donc améliorer la leur (sous
condition de la remettre au plus tard deux jours ouvrés avant l'audience). "Cette transparence est un
véritable atout pour le repreneur qui pourra ainsi ajuster sa stratégie de reprise", explique Céline
Chevillon.
Attention ! Votre offre vous engage à reprendre l'activité en l'état dans les conditions que vous
présentez. Impossible de soumettre la reprise à une condition d'obtention du crédit, ni de négocier
après coup le prix à la baisse. Vous devez être en possession le jour de l'audience d'un chèque de
banque ou d'une garantie bancaire de la totalité de prix.
Solennité
Chacun des candidats à la reprise présentera son projet lors d'une audience privée présidée par le
juge et réservée aux personnes convoquées parmi lesquelles se trouvent le procureur de la
République, l'administrateur judiciaire, le dirigeant défaillant, le représentant des salariés et le
mandataire judiciaire qui représente les intérêts des créanciers, tous vêtus de la robe noire propre aux
professions judiciaires. Face à tant de solennité, un repreneur non averti peut facilement se sentir mal
à l'aise pour argumenter sa proposition. L'assistance d'un conseil peut être appréciée. Le tribunal se
déterminera en fonction du prix proposé, de la solvabilité du candidat, de la qualité du projet
d'entreprise, et de l'aspect social (postes salariés maintenus). C'est par un jugement d'homologation
qu'il autorisera la cession au repreneur sélectionné. L'acte de cession qui met fin à cette procédure
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particulière de cession est rédigé par le conseil de l'acheteur quelques mois plus tard. Mais l'entrée en
jouissance se fait à la date du jugement.
Source : L’Hôtellerie-Restauration.com
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Reprise en liquidation judiciaire : "Le plus dur
a été d'obtenir la garantie bancaire"
Le 30/10/2015
Tulle (19) Stéphane Houdayer avait créé et tenu son restaurant pendant une dizaine d'années. Il a
exercé son métier en tant que salarié pendant une dizaine d'autres. Mais, à 45 ans, redevenir
restaurateur le démangeait. C'est l'acquisition d'un fonds en liquidation judiciaire qui lui a permis de
Cela a été beaucoup plus compliqué que ce qu'on l'on imaginait. On a failli se décourager et
abandonner le projet plusieurs fois", confie d'emblée Céline, la compagne de Stéphane Houdayer,
chef et désormais propriétaire du Bouche à oreille à Tulle (Corrèze). En septembre 2014, le couple
apprend qu'un bar-restaurant musical est en liquidation judiciaire. Une occasion unique d'acheter le
fonds à un prix inférieur à celui du marché, ce qui peut correspondre à leur budget. Ils contactent le
mandataire liquidateur en charge de la cession qui leur transmet toutes les informations, le détail de la
procédure à respecter et les délais pour soumettre une offre. Ils se rapprochent d'un avocat local
spécialisé dans l'accompagnement du chef d'entreprise de PME-TPE. Celui-ci les guide tout au long
des étapes à suivre lors de cette procédure particulière qui implique de présenter une offre de reprise
conforme au cahier des charges imposé par le mandataire liquidateur, et de passer devant le tribunal
de commerce. "Le plus dur a été d'obtenir le crédit et les garanties bancaires", explique Stéphane
Houdayer.
Réticence des banques
Ils essuient quatre refus sur les six banques qu'ils approchent. "Nous avons senti une vraie réticence
des banques du fait qu'un autre restaurant allait prendre la suite d'un établissement du même secteur
ayant déjà fait faillite. Pourtant, notre projet se positionnait sur un créneau différent et je pouvais faire
valoir mon expérience réussie de chef d'entreprise", confie l'ex-patron du Passé simple de 1995 à
2004. Ils finissent tout de même par obtenir l'appui d'une banque ainsi qu'un prêt d'honneur délivré par
le réseau Initiative Corrèze. Entre temps, il leur a fallu régler un problème juridique concernant les
murs qui bloquait la procédure de reprise du fonds de commerce. Ce n'est qu'en avril 2015 qu'une
ordonnance du juge commissaire leur accorde la cession du fonds. "Quelques jours plus tard à peine,
nous découvrions un important dégât des eaux", raconte le repreneur encore échaudé par cette
mauvaise surprise. Après plusieurs mois nécessaires aux expertises des assurances, les travaux sont
enfin réalisés. À la mi-septembre, Stéphane Houdayer ouvre les portes de son restaurant. Par souci
de simplicité, il a conservé la même enseigne, mais il se positionne sur une gamme différente.
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Désormais, le Bouche à oreille propose une cuisine axée sur les produits locaux, frais et de saison.
"Sélectionner rigoureusement ses produits, en fonction de la saisonnalité. Respecter les goûts, les
associer, les magnifier, en toute simplicité", voilà la devise de Stéphane Houdayer, qui a débuté dans
le métier à Laval auprès du MOF Pierre Portier, chef de la Gerbe de blé. Récemment, il a consolidé
sa réputation de chef de cuisine au Petit Clos (Ussac), à la Truffe noire (Brive), à l'auberge Saint-Jean
(Ussac) et dernièrement à 'La Treille Muscate' (Uzerche). La carte, qui sera renouvelée tous les mois,
affiche des formules midi et soir consciencieusement étudiées pour mieux coller aux attentes de la
clientèle. Pour l'aider à servir une trentaine de couverts, le chef a embauché un responsable de salle,
une apprentie au service et deux apprentis cuisiniers.
Source : L’Hôtellerie-Restauration.com
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A propos de Kylia
KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau d’agences immobilières Nouvelle
Génération : Le 1
er
réseau immobilier à partager sa croissance avec l’ensemble de ses agents.
Kylia développe un modèle économique orienté « Agent » : Une entreprise construite par et pour ses
agents immobiliers.
Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com
Contact Presse : KYLIA Immobilier
Caroline PILATO / rp@kylia-immo.com / 01 47 70 24 18