S3 revue de presse kylia - semaine du 13 au 19 janvier 2020
Revue de presse kylia semaine 18
1. LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE
Du 23 au 27 avril 2012
Logement : la CNL veut "faire barrage"
Le 23/04/2012
La Confédération nationale du logement (CNL), la plus importante association de locataires, a
appelé aujourd'hui à une "participation massive" au second tour de l'élection présidentielle le 6 mai,
"pour faire barrage" à la politique actuelle du logement.
"La participation massive au scrutin du 6 mai est nécessaire, pour faire barrage à la poursuite et
l'amplification d'une politique qui a fait du logement un produit marchand et cher, contre l'intérêt
général", estime la CNL dans un communiqué.
"Le bilan gouvernemental est particulièrement négatif pour les locataires, mal-logés, sans-logis,
accédants à la propriété et pour l'ensemble des consommateurs", selon la CNL.
"Notre pays a besoin d'autres choix politiques, économiques et sociaux en rupture avec ceux mis en
œuvre depuis 2007", année de l'élection du président actuel Nicolas Sarkozy, ajoute la CNL au
lendemain du premier tour de l'élection présidentielle.
"Pour ce gouvernement et son candidat, le logement, et particulièrement le logement social, n'est plus
une priorité nationale, mais une source de spéculation, de profit répondant aux intérêts particuliers",
considère l'association.
La CNL appelle "à faire du 1er mai prochain un rendez-vous important des luttes", réclamant "un
blocage de tous les loyers, la construction de 250.000 de logements véritablement sociaux par an,
l'arrêt de toutes les saisies et expulsions, la majoration de 25% des aides personnelles, la mise en
œuvre d'un service public du logement, de l'habitat et de l'énergie".
Source : LeFigaro.fr
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2. Les banques françaises devraient résister à une baisse de
15 % du marché immobilier
Le 24/04/2012
Dans une étude parue mardi 24 avril, l'agence de notation Standard & Poor's,
estime que le marché du crédit immobilier restera une activité « vitale » pour
les banques françaises qu'elles éviteront de mettre en péril.
Le 12 avril dernier, l'agence de notation Standard and Poor's estimait que le marché immobilier
français, surévalué par rapport à ses pairs européens, pourrait voir ses prix baisser en moyenne de
15 % dans les deux années à venir. La production nouvelle de crédits immobiliers pourrait dès lors
s'effondrer de 20 % à 30 % en 2012. Les banques françaises, pour lesquelles cette activité est
« vitale » selon l'agence, pourront-elles y faire face ?
Dans une étude publiée aujourd'hui Standard & Poor's ne prévoit pas en tout cas de dégrader les
notes en raison de ce facteur. Elle estime même que le marché immobilier français demeure un
élément de soutien pour les notes des banques françaises : il est globalement sain, contient peu de
risque, est source de forte fidélisation des clients, et génère d'autres sources indirectes de revenus.
Atterrissage en douceur
Par conséquent, même si la hausse du chômage devrait provoquer une dégradation du coût du
risque, c'est-à-dire une hausse des créances douteuses, S&P ne prévoit pas une dégradation
supérieure à 12 points de base entre 2012 et 2013. Ce qui ferait revenir le coût du risque simplement
à ses niveaux de 2009.
A ceux qui en doutaient, S&P assure que même avec les contraintes réglementaires dites de Bâle III
les obligeant à renforcer leurs fonds propres et leur liquidité pour éviter toute nouvelle crise, les
banques françaises continueront de considérer le crédit à l'habitat comme une activité stratégique.
« De ce fait, nous ne prévoyons pas un tarissement de l'offre de crédit, mais plutôt une contribution
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restriction modérée de l'offre de crédit », explique l'agence.
Volume contre marges
Les marges des banques françaises étant en outre inférieures à celles appliquées dans les autres
pays européens, elles seront en mesure de compenser la baisse des volumes par une amélioration de
leurs marges. Ne souhaitant toutefois pas « mettre en péril le marché », les banques ne devraient pas
augmenter les taux de plus de 50 ou 100 points de base d'ici fin 2013, prédit l'agence.
Certes une baisse plus marquée et prolongée des prix n'est pas à exclure mais S&P ne l'envisage pas
à ce stade, « compte tenu des facteurs structurels de soutien des prix, en particulier la persistance
d'un excès de demande de logement sur l'offre ».
Source : LesEchos.fr
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4. Immobilier à Paris : poursuite de la baisse des prix
Le 26/04/2012
Dans l'ancien à Paris, les prix accusent un recul trimestriel de 0,9% à fin février. D'ici à juin
prochain, le mètre carré pourrait se négocier autour de 8.100 euros et retrouver ainsi le niveau
de juin 2011.
La baisse des prix des appartements anciens est bel et bien enclenchée à Paris. Le prix de vente au
mètre carré poursuit son recul en passant de 8.380 euros en novembre 2011 à 8.300 euros en février,
selon les dernières statistiques des Notaires de Paris, Ile-de-France. Portant sur les actes de vente
signés et par conséquent sur les avant-contrats signés trois mois avant, ces statistiques font état une
baisse trimestrielle de 0,9% à fin février.
En analysant cette fois les avant-contrats conclus en février, qui déboucheront sur des actes notariés
signés avant l'été, les notaires tablent sur un prix de vente à Paris aux alentours de 8.100 euros le
mètre carré, soit un prix proche de celui atteint en juin 2011. Et en baisse par rapport au pic de 8.380
euros le mètre carré, enregistré en novembre 2011.
Reste que malgré cette glissade, l'achat immobilier dans la capitale reste souvent inabordable pour
les acquéreurs, en particulier les primo-accédants. Dans cette période marquée par les échéances
électorales, les acheteurs ont tendance à reprendre le pouvoir.
Pic historique des ventes en janvier
Quant au volume des ventes des appartements anciens dans Paris intra-muros, il totalise 10.300
transactions signées entre début décembre 2011 et fin février 2012, soit une hausse de 21 % par
rapport à décembre 2010 et février 2011. Ce boum s'explique essentiellement par l'effet de la réforme
er
sur l'imposition des plus-values immobilières. Juste avant l'entrée en vigueur à compter du 1 février
2012, de ce régime de taxation durci, 5.348 ventes ont été signées durant le seul mois de janvier. Un
véritable pic des ventes jamais enregistré à Paris au cours des dix dernières années !
Source : LesEchos.fr
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5. Immobilier locatif : retour en grâce des SCI soumises à l'IS
Le 27/04/2012
L'avantage de détenir de l'immobilier locatif dans une société assujettie à l'impôt sur les sociétés (IS) a
longtemps été effacé par la taxation applicable lors de la cession des titres ou de l'immeuble,
cependant que le recours à une structure non IS permettait d'accéder à l'exonération après
quinze ans de détention.
L'alourdissement de l'imposition des plus-values immobilières des particuliers, avec une exonération
acquise dorénavant au bout de trente années de détention, a modifié la donne.
La société civile immobilière (SCI) soumise à l'IS permet tout d'abord de réduire l'assiette taxable des
loyers, un amortissement du bien ainsi que les frais d'acquisition pouvant être déduits. Le résultat net
est ensuite imposé à 33,33 % (15 % dans la limite de 38.120 euros), alors que le particulier aurait été
imposé au taux de 54,12 % (impôt sur le revenu au taux marginal et prélèvements sociaux inclus, hors
contribution sur les hauts revenus). Certes, le résultat n'est pas encore entre les mains de la personne
physique, qui devra s'acquitter pour ce faire de l'imposition sur les dividendes (36,5 % en cas d'option
pour le prélèvement forfaitaire libératoire ou 37,72 % en cas d'imposition au barème au taux marginal
de l'IR) mais son montant peut être calibré au gré de ses besoins.
Relevons en outre que les loyers dans la SCI à l'IS ne sont soumis ni aux prélèvements sociaux ni à la
contribution sur les hauts revenus, ce qui permet d'affecter plus de liquidités au remboursement de la
dette d'acquisition de l'immeuble.
Enfin, l'inconvénient persistant lié au régime fiscal de sortie (absence d'abattement au titre de la durée
de détention en cas de cession des titres et majoration de l'assiette taxable du montant de
l'amortissement déduit en cas de cession de l'immeuble par la société) peut être fort opportunément
atténué par la donation des titres avant leur cession voire même après la cession de l'immeuble par la
société. Qui a dit que SCI soumise à l'IS et immobilier faisaient mauvais ménage ?
Source : LesEchos.fr
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6. A propos de KYLIA
KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau 100% web composé d’une famille
d’enseignes immobilières toutes spécialisées dans un domaine de transaction.
Le concept KYLIA repose sur 3 idées fortes :
• La dématérialisation de l’agence avec vitrine permettant une meilleure rémunération des agents et la
pratique de taux de commission jusqu’à deux fois inférieurs par rapport aux agences immobilières
traditionnelles.
• L’hyperspécialisation des agents engendrant une plus grande réactivité sur le terrain, plus de
professionnalisme mais surtout plus d’efficacité vis-à-vis des clients.
• La culture du partage permettant de fédérer l’ensemble des équipes autour d’un objectif commun :
La croissance !
Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com
Contact Presse : KYLIA Immobilier
Marie LAURENT / pub@kylia-immo.com / 01 46 51 93 39
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