1. Public Relations professional with a 5-year experience both in private-sector
PR firms and in government agencies with a particular talent in copy writing,
content conceptualization & social media management. Excels at liaising with
multi-disciplinary stakeholders. French Nationality.
J u l i e DUFOUR B A G D I K I A N
Julie BAGDIKIAN
2014 – 2015 @MCM PR Agency
BESTPRESS CLIPPINGS
2. LE MONDE ECO & ENTREPRISE
80 BOULEVARD AUGUSTE-BLANQUI
75707 PARIS CEDEX 13 - 01 57 28 20 00
26 JUIN 14
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UNIVERSITÉS & GRANDES ÉCOLES
Lagestionveut améliorersonimage
18 % des étudiants choisissent cette discipline qui souffre d'un déficit d'image
D
ans les médias etles cercles
politiques, onfait plus sou-
vent appel à un économiste
qu'à un spécialiste des sciences de
gestion. » Virginie de Barnier, direc-
trice de l'Institut d'administration
des entreprises (IAE) d'Aix-Mar-
seille,dressecedifficileconstat.
Afin de donner un coup de pro-
jecteur sur la gestion, discipline
qui souhaite être perçue comme
unescience,laFédérationnationa-
le pour l'enseignement de la ges-
tion des entreprises a organisé la
Semaine du management, à Mar-
seille, du19 au23mai.
Les responsables des écoles de
gestiondetoutelaFranceetdedix-
neuf associations d'enseignants
dans ces disciplines voulaient
s'inscrire dansle paysage des Ren-
contres économiques d'Aix-en-
Provence, où se pressent patrons
et hommes politiques.
En fait, la discipline souffre
d'un déficit d'image. A la question
«qu'est-cequelagestion?»,Caroli-
naSerrano-Archimi,professeureà
l'IAE d'Aix-Marseille, décrit «la
diversité et l'étendue du domaine
des sciences dites "de gestion", au
carrefour de l'économie, du mana-
gement et du marketing, des res-
sources humaines, dela logistique,
delafinance,dessciencesdel'orga-
nisation, voiredelasociologieet la
psychologie... ».
Au ban des universités
«Les sciences de gestion, nées
aux Etats-Unis dans les années
1960, ont eu du mal à sefaire une
place dans l'université, en France
commeailleursenEurope,faceàla
résistancedesuniversitairesquine
les considéraient pas comme une
science», raconte Pierre Batteau,
professeur de finance à l'IAE d'Aix-
Marseille,etl'undesraresuniversi-
taires à avoir osé franchir la fron-
tière entre économie et sciences
de gestion.
Celaexpliquepourquoilesbusi-
ness schools américaines sontpar-
tie intégrante des grandes univer-
sités, Harvard en tête, tandis que
ces études se sont développées, en
France, au sein de 200 écoles de
commerce, dont So grandes éco-
les, créées à l'initiative d'entrepre-
neurs ou de chambres de commer-
ce.Seulsles32institutsuniversitai-
res de management (appelés IAE
jusqu'en mai 2014) font exception
comme composantes des universi-
tés, tout en jouissant d'une certai-
ne autonomie.
La reconnaissance des sciences
de gestion est toutefois en marche
en France. Une section portant ce
nom est très active au Conseil
nationaldes universités (CNU), et
déjàprès de 2DOOprofesseurs et
maîtres de conférences en relè-
vent.
Plus largement, le secteur
compte 4DOOenseignants-cher-
cheurs, un effectif en forte crois-
sance, de 64% sur la période
1999-2010, dépassant, en nombre,
les professeurs d'économie. Dix-
neufassociations animent la disci-
pline et publient des revues,
350 thèses sont soutenues chaque
année, ce qui démontre la vitalité
du secteur : «II ne s'agitpas d'être
lu et évalué seulement par ses
pairs, mais bien d'apporter des
connaissances utilesàl'entreprise,
àlasociétéetaugrandpublic»,pré-
cise Jacques Igalens, professeur
desuniversitésàlaToulouseBusi-
ness School.
Les étudiants ne s'y trompent
pas, puisqu'ils sont de plus en plus
nombreuxase lancerdans ces cur-
sus. Loin néanmoins des Anglo-
Saxons, la formation en gestion
draine 18,4% de l'ensemble des
étudiants de France, contre 30%
au Royaume-Uni. •
ISABELLE REY-LEEEBVRE
3. 14 BOULEVARD HAUSSMANN
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11 JUIL 14
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L'HISTOIRE DU JOUR
Le covoiturage pour les malades,
un remède pour la Sécu ?
B
ientôt un site Blablacar pour les
malades? La question n'a rien de
saugrenu auxyeux de la Fédération
nationale des transports sanitaires
(FNTS), qui préconise de dévelop-
per le covoiturage pour les soins de rééduca-
tion fonctionnelle, les chimiothérapies ou les
dialyses. Si les trajets sont un
peu plus longs pour les pa-
tients, ceux-ci ne perdentpas
forcément au change. «A la
polyclinique duparc Rambot, à
Aix-en-Provence, où le covoi-
turage a été mis en place pour
les patients en chimiothérapie,
les retours sont très positifs»,
assure Thierry Schifano, pa-
tronde laFNTS. Ces temps de
transport sont devenus « des
moments de solidarité et de
partage» entre les patients,
sur leur maladie, les soins qui
leur sont prodigués...
La fédération n'invente rien.
Le covoiturage existe déjà,
mais il est pratique au comp-
te-gouttes et ne représente
que 13% des coûts de transport. Pourtant, se-
lon les accords existants entre PAssurance-
maladie et les transporteurs, les économies
pour la Sécurité sociale s'élèvent à 40 % si le
taxi ou VSL (véhicule sanitaire léger) trans-
porte trois patients et à 25% s'il en compte
deux. Résultat, le transport covoituré revient
en moyenne à 19 euros pour 2
à 3 patients, contre plus de
32 euros enVSL ouen taxi in-
dividuel. La fédération pro-
pose ces économies, évaluées
à 500 millions d'euros par an,
pour répondre aux critiques
de la Cour des comptes qui
dénonce régulièrement le
coût des transports sanitaires.
D'un montant de 3,5 milliards
par an, celui-ci progresse
deux fois plus vite que les
autres dépenses de santé.
Mais l'essor du covoiturage
passe d'abord par une
meilleure organisation entre
hôpitaux, transporteurs et
patients, souligne la FNTS. •
ARMELLE BOHINEUST
4.
5.
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7.
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13 NOV 14
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ThierrySchifano(FNTS):
«Letransportsanitairepaieleprixd'uneorganisationensilos»
La17e
Université dutransport
sanitaire se tient demain et
samediàBordeaux.Organisée
parla Fédération nationale du
transportsanitaire(FNTS),
elle doit permettre aux acteurs
decesecteurfragiledefaire
émergerunnouveaumodèle
économique, explique
sonprésidentThierry Schifano.
LEQUOTIDIENDUMÉDECIN:
Quelleestlasituation financière
actuelle du transport sanitaire ?
THIERRY SCHIFANO : Le secteur
estengrandedifficulté.Alorsquele
volume de la dépense de transport
sanitaire continue de croître, entre
2 et 5 % par an à cause du vieillisse-
ment de la population, des entre-
prises structurées décrochent. Leur
risque de défaillance a presque
doublédepuis2011. Plus de20 %de
la profession affiche des résultats
négatifs, tandis que les autres entre-
prises,quiréalisententre0,8%etI%
de marge, peinent à renouvelerleur
flotte devéhicules. Le transport sa-
nitaire paie le prix d'une organisa-
tion du secteur en silos, non trans-
versale.
La Cour des comptes mise sur
440millionsd'économies,notam-
mentenadaptantlesvéhicules
auxbesoinsdespatients.Quelles
sontvospropositions?
La Cour des comptes, loin du ter-
rain, diffuse des clichés ! Comment
Entretien
peut-onmieuxadapterlesvéhicules
auxbesoinslorsque,sur65millions
de trajets, seulement 15 millions sont
réalisés en ambulance ? Quand on
regardeladépense,ces15millions
de transports en position couchée
coûtent 1,3 milliard d'euros. Les
50autresmillionsdetrajetsassissont
partagésentrelestaxis(pour1,1mil-
liard d'euros) et les véhicules sani-
taireslégers(pour800millionsd'eu-
ros), deux moyens qu'il faudrait enfin
harmoniser.
Nous avons beaucoup travaillé
sur la réorganisation du secteur.
D'après nos retours d'expérience,
le covoiturage permet de réaliser
600millionsd'eurosd'économieen
transport assis, tout en améliorant la
margedenosentreprises.
Plus largement, notre plan stra-
tégique 2012-2015 dessine d'autres
voies d'optimisation ces dépenses.
En matière de régulation des flux
hospitaliers, la messagerie sécurisée
entre les acteurs pourrait être très
utile. Les consultations devraient
êtremieuxcoordonnéesetl'urgence
préhospitalière, revue. Un décret
que nous attendons désespérément
devraitpermettre la fongibilité des
enveloppesvilleethôpital.
Enfin,lesecteurchercheàinno-
veravec«l'ambulance2.0»,quien-
globedesvéhicules àfaibleémission
de carbone ou fonctionnant grâce
aux nouvelles énergies, la dématé-
rialisation des factures ou encore
l'éco-conduite.
Qu'attendredecette17e
université?
Repères
5DOO entreprises de transport
sanitaire
462OlSalariés
26180véhicules:42%sontdesambu-
lances,58%desVSL
65millionsdetransportsparan
5millionsdepatientstransportés(8%
delapopulation)
Seuls, les transporteurs sani-
taires ne pourrontmettre enplace ce
nouveaumodèleéconomique,pour-
tant très attendu. Ça commence à
bouger dans tous les départements,
maisilfautaccélérerlemouvement.
Au1er
janvier2015,lesVSLbéné-
ficierontd'une nouvellegrille tari-
faire qui répercute l'augmentation
de4,5pointsdelaTVA;maiscen'est
qu'une régularisation, non une
revalorisation. Il faut que chaque
partenaire (les établissements via
les fédérations PHR PKP, FEHAP,
SYNERPA, l'assurance-maladie , la
directiongénéraledel'offredesoins,
le Conseiléconomique, socialeten-
vironnemental) partage savisionde
la santé et casse cette organisation
en silos. Le ministère de la Santé a
reconnu la pertinence de notre plan
stratégique : il doit nous aider à le
développer. Les établissements et
les prescripteurs doivent se l'appro-
prier, et l'assurance-maladie doitéta-
blirdesaccordsdebonnepratique.
ProposrecueillisparColineCarré
r~-
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Lesmétiersdel'environnement
àlarecherched'ingénieurs
Les métiers de l'environnement recrutent. Rien que dans
les énergies renouvelables, il faudra embaucher 10 DOO
personnes par an pour atteindre les objectifs fixés par la
loi de transition énergétique. Certains métiers sont déjà en
tension. ParGwenoleCuiomard.
L
es métiers de l'environnement ont le vent en poupe Ainsi, le
chiffre daffaires du cabinet de recrutement Elatos, spécialise
dans lembauche des spécialistes de l'environnement et
de l'énergie, a bondi de 40 % entre 2013 et 2014 « Les métiers
des energies renouvelables font travailler aujourd'hui quelque
75 000 personnes en France, explique, par ailleurs Damien Mathon,
delégue géneral du Syndicat des énergies renouvelables Ce chiffre
devrait être multiplie par 3 d'ici à 15 ans si les objectifs fixés par la
bi de transition energetique sont atteints L'idée est de produire
23 % d'énergies renouvelables en 2020 et 32 % en 2030 On est a
14 % aujourd'hui II y a donc 150 000 emplois à creer en 15 ans Cela
fait10 DOO paran «Dans «l'économieverte» lesprincipauxsecteurs
créateurs demplois sont, et seront, l'énergie, la gestion des déchets,
l'eau l'assainissement la transition energétique et tout ce qui touche a
la réalisation des infrastructures, comme les travaux publics
« UNE FORTE DIMENSION INTERNATIONALE »
« Trois types de fonctions sont aujourd'hui en tension, poursuit lens
Bickmg, gerant du cabinet de recrutement Elatos, spécialise dans les
domaines de l'environnement etde l'énergie Toutd'abord nos clients
recherchent des spécialistes de la recherche et developpement,
comme les ingénieurs-chefs de projet, les charges d'étude, les
ingénieurs en ecoconception, les experts en bilan carbone ou les
experts en efficacité energetique Ensuite, ils ont du mal a trouver
des spécialistes de l'exploitation (électriciens, spécialistes de la
maintenance) Enfin, ils désirent aussi embaucher des cadres des
fonctions support, comme des juristes spécialisés pour sécuriser
un environnement juridico-administratif pesant » Pour faire
carrière, des connaissances pointues (Bac +5) en technique sont
indispensables C'est la base Ensuite, disposeï de connaissances
en management et maîtriser l'environnement economique seront
un atout « Les entreprises recherchent des profils d'ingénieurs
adaptables et polyvalents Ils feront leurs premieres armes sur des
métiers techniques pour ensuite évoluer vers le management de
PourOlivierPaccaud,directeurdesétudesdel'écoled'ingénieursSCSILaRochelle,«lespécialiste
desmetiersdeIenvironnementdoitcommencerparlatechnique,maîsnepass'yenfermer.Cene
seraqu'uneetape.Lemieuxestdepouvoirdémontreruntriptyquedeconnaissances:latechnique,
lemanagementhumainetlafinance-gestion.Aveccestroispiliers,lejeuneingénieurpourraévoluer
verspluscleresponsabilitéspouratteindreladirectiondeprojetpuisl'exploitationdesites»
projets avec une forte dimension internationale et interculturelle »,
estime Olivier Paccaud, directeur des études de l'école d'ingénieurs
EIGSI La Rochelle, diplômant 150 personnes par an
« MULTIPLIER LES EXPÉRIENCES »
Aujourd'hui, toutes les décisions sont prises au niveau européen
voire planetaire Le bon ingénieur doit donc se placer dans une
logique de veille, prendre du recul et adopter un positionnement
d'ingénieur stratège « Nous venons de créer un département eau
et environnement conclut Hocme Akir, DRH chez Fondasol,
un bureau d'études en ingénierie géotechnique ayant recruté
SO personnes, dont SO % d'ingénieurs en 2014 Pour progresser
professionnellement, il faut, à mon sens, multiplier les expériences
sur le terrain réaliser une mission, comprendre la chaîne logistique,
puis aller vers I encadrement, la gestion de projet Cela nécessite
aussi des capacités commerciales pour être l'interface avec le client
L'idée est de ne pas se spécialiser trop tôt tout en ne brûlant pas les
etapes »**f
Quelle formation pour intégrer les métiers du développement durable ?
Jean-YvesRossignolestprofesseurassociéàl'InstitutnationalpolytechniquedeToulouse.IlestresponsablepédagogiqueduMastèrespécialisééco-ingémerie.Il
estingénieurconseilindépendantspécialistedesbilansd'émissiondegazàeffetdeserre.
« Le Mastère spécialisé en éco-mgénierie de l'INP apour but de faire appréhender aux étudiants toutes les problématiques d'un projet :
technique, économique, réglementaire, social, environnemental,éthique. Toutcela est relié et interdépendant. Nous nous plaçons donc
dansunelogiqueinterdisciplinairecarl'ingénieurdevraentrelacerdiversescompétencespourdévelopperdesprojetsdurables.C'est,me
semble-t-il, la meilleurefaçon de se former pourtravaillerdans ledéveloppementdurable. C'est unefaçonderendre nosingénieurs plus
intelligents,d'enfaireplusdes"chefsd'orchestre"quedeshyper-spécialistes .Cettecompétencetransversalevaêtretrèsappréciéedes
employeurscarcessalariéscréerontdelavaleur,donnerontunavantagecompétitifàleursociétéendéveloppantl'innovation,ladimension
durabledesprojets,ladimensionresponsable.Maîscescursussont,pourl'instant,rarissimes.Pourseformeraudéveloppementdurable,
je conseille alors de choisir des voies de formation développant le plus possible l'ouverture d'esprit. Il vaut mieux éviter les filières trop
techniques et trop spécialisées, line bonne approche est aussi de chercher un emploi dans le conseil en développement durable et de
se former sur le tas. L'idée est de pouvoir envisager tout projet dans sa complexité. L'idéal serait de pouvoir composer son menu dans
différentesformationspourconstituerunparcourscohérentendéveloppementdurable.» j|
Jean-YvesRossignol
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13. Reportage diffusé dans le JT 18 :18 de La Provence le 26 nov. 2014.
De 6:40 min à 8:06 min.
Lien vers la vidéo : http://www.dailymotion.com/video/x2b4jx1_le-18-18-manifs-blocage-jusqu-ou-
iront-les-agriculteurs_news
Diffusion le 13/11/14
Lien : http://www.allodocteurs.fr/video.asp?idvideo=9317
Le reportage démarre à 12 :00 min.
14. Reportage diffusé dans le JT 19/20 de France 3 Provence-Alpes le 26 nov. 2014.
De 9 :18 min à 11 :20 min.
Lien vers la vidéo : https://itunes.apple.com/fr/podcast/journal-france-3-19-20-
provence/id285420504?i=326196404&mt=2
Reportage diffusé le 6 février 2015.
A partir de 08:57 min.
Lien : http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/emissions/jt-1920-provence-alpes