2. CGEM • Fédérations • Commissions
VISA : Les membres de la CGEM «favorisés» ........................................... 3
Le 2-ème forum maghrébin des hommes d'Affaires, les 10 et 11 mai à Tunis ............. 3
«La tension sur les salaires gêne l’attractivité du pays», Entretien avec Mohamed
Horani, président de la CGEM ......................................................... 4
ٍُ5 .......................... انسُذ حىراٍَ :انًُثاق انىطٍُ نإلقالع انصُاعٍ أعطً دفعت غُر يسبىقت نالقتصاد انىط
Le PNEI a donné une impulsion sans précédent au secteur de l'industrie, Président de
la CGEM .............................................................................. 6
7 ................................................. انشايٍ َقذو انُىو حصُهت انسُاست انصُاعُت
7 ......................................................... حىراٍَ َُشئ يذ وَته انخاصت
Le président de la CGEM lance son blog ............................................... 8
La CGEM facilite l’accès à l’UE ...................................................... 8
Des Polonais à Tanger ................................................................ 9
«Plus de contrôle pour de meilleurs résultats», Youssef Benamansour président de la
FNPI ................................................................................. 9
Assises de l’industrie : Ce que veulent les opérateurs .............................. 10
11 ........................................ انحكىيت تخىض تحذٌ اإلقالع انصُاعٍ رغى صعىبت انظرفُت
21 ..................................... أوسًت يهكُت نًكافأة تحفُز االَخراط فٍ انًُثاق انىطٍُ نهصُاعت
31 .................................................. رئُس انباطروَا َؤكذ انذفعت انقىَت نهًُثاق
31 ................................................ انشايٍ َذعى إنً تحسٍُ يُاخ األعًال بانًغرب
41 ........................... يقاوالث األوفشىرَُغ استفادث يٍ 03 يهُىٌ درهى فٍ شكم تعىَضاث ضرَبُت
Immobilier : Les marges de la discorde .............................................. 15
3. CGEM • Fédérations • Commissions
Meknès. Action en faveur de la compétitivité des PME ................................ 16
180 entreprises catégorisées en douane et 400 autres sur la liste d'attente ......... 16
L’automobile tourne une page difficile : Entretien avec Larbi Belarbi, président de la
Fédération de l’automobile .......................................................... 16
Six ans après la première normalisation, une nouvelle loi pour régir les copropriétés 18
PME : Toujours la plaie des impayés ................................................. 19
La commission PME en tournée régionale .............................................. 19
Délais de paiement : Nouvelle sortie du patronat .................................... 20
Le Millenium Challenge Compact présenté au patronat ................................. 20
Agroalimentaire : Ce que pèse la filière ............................................ 20
Entretien avec Mohamed Horani : «Il est temps de réglementer les délais de paiement». 21
Des consultants belges en prospection ............................................... 23
PME : La CGEM plaide pour plus de sensibilisation ................................... 23
Signature du contrat-programme logistique? ......................................... 23
Tourisme durable : Les fédérations se mobilisent .................................... 24
Patronat la CGEM pousse les entreprises vers le marché vert ......................... 24
La CGEM célèbre la Journée de la Terre ............................................. 25
Le président de la chambre des conseillers reçoit M. HORANI ........................ 26
Commission Economie. Conférence-débat sur l’intelligence économique ................. 26
Trois questions à M.Chakib BELKHADIR, président de la fédération du commerce et
services ............................................................................ 27
4. CGEM •Fédérations •Commissions
05/04/2010
VISA : Les membres de la CGEM «favorisés»
L’information a été relayée par la CGEM Infos. La confédération patronale a signé une convention avec le consulat de
France à Casablanca pour faciliter l’accès à ses membres et leurs employés pour l’obtention du visa Schengen.
Ledit consulat a ainsi dédié des guichets et des tranches horaires pour un accueil privilégié. Les réponses aux dossiers
présentés devront être données sous 48 heures. Challenge Hebdo
06/04/2010
Le 2-ème forum maghrébin des hommes d'Affaires, les 10 et 11 mai à Tunis
Le 2-ème forum maghrébin des hommes d'Affaires aura lieu, les 10 et 11 mai à Tunis, avec la participation de plusieurs
acteurs économiques, hommes d'affaires, chercheurs et responsables gouvernementaux appartenant aux cinq pays du
Maghreb.
Lors d'un point de presse, le président de l'Union tunisienne de l'Industrie, du Commerce et de l'Artisanat (UTICA), M. Hédi
Djilani a indiqué que ce forum qui sera organisé sous le signe "Pour une entreprise maghrébine", sera marqué par la
participation d'environ 1000 hommes d'affaires venus de l'Union du Maghreb Arabe.
Y participeront également 200 hommes d'affaires représentant la Confédération Générale des Entreprises du Maroc
(CGEM), outre des ministres et responsables des départements du commerce, d'industrie, des douanes et des transports.
Challenge Hebdo
Ce forum, qui sera organisé à l'initiative de l'Union maghrébine des employeurs "UME", en collaboration avec l'UTICA et le
groupe libanais Al Iktissad Wal Aamal, vise à renforcer la complémentarité économique entre les pays de la région.
Cette rencontre sera également l'occasion de rechercher les opportunités de mise en oeuvre de partenariats entre les hommes
d'affaires des pays maghrébins, de débattre du rôle des établissements bancaires dans le financement de projets communs.
Il s'agit également d'échanger les points de vue entre les acteurs économiques et les hommes d'affaires sur les moyens
susceptibles de développer l'entreprise économique dans la région maghrébine et la promouvoir pour qu'elle soit en mesure
de faire face à la compétition étrangère, et de transcender les obstacles qui entravent la réalisation d'une complémentarité
réelle à l'échelle maghrébine.
Au programme de ce forum figurent, en outre, des réunions de travail consacrées à l'examen des effets de la crise
économique internationale sur les économies de la région et aux moyens de développer les échanges commerciaux entre les
pays maghrébins.
Les participants pourront également assister aux exposés qui seront présentés par des experts européens et arabes sur les
expériences de l'Union européenne (UE) en matière d'intégration économique et du Conseil de Coopération du Golfe (CCG).
MAP
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5. CGEM •Fédérations •Commissions
«La tension sur les salaires gêne l’attractivité du pays», Entretien avec
Mohamed Horani, président de la CGEM
· Impliquer davantage le privé dans les stratégies de développement
· Avantages accordés à l’offshoring, pas à l’industrie IT local
- L’Economiste: Quel bilan le patronat fait-t-il du pacte Emergence?
- Mohamed Horani: Le bilan est globalement positif. Ce qui est intéressant dans ce pacte c’est la stratégie d’implémentation
industrielle sectorielle à travers le partenariat public privé, qu’il faudra renforcer davantage. Une stratégie sectorielle est
conçue et pensée pour les opérateurs. Ces derniers doivent donc impérativement participer à son élaboration et être impliqués
dans son implémentation.
- Est-ce que c’est le cas pour ce pacte?
- Absolument. D’un autre côté, dans toute stratégie moyen et long termes, on peut imaginer des choses au moment de
l’élaboration de la stratégie et lorsqu’on commence à implémenter l’on se rend compte qu’il y a une évolution, des
changements sur le terrain. Le fait d’impliquer le privé permet d’adapter cette stratégie aux mutations et évolutions des
secteurs concernés. Ce plan concerne six secteurs dont 4 nouveaux métiers et 2 secteurs «traditionnels» qu’il va falloir
moderniser. Ceci dit, par rapport à ce choix, on est interpelé. Qu’en est-il pour les autres industries. Au risque de ne pas être
exhaustif, je citerai l’industrie pharmaceutique qui, au lieu de l’encourager, on est en train de la condamner. Ce qui est
dommage. L’autre exemple, c’est le secteur des industries métallurgiques (IMME) qui réalise un chiffre d’affaires de près de
7 milliards de DH. Je ne suis pas en train de critiquer le gouvernement mais également le privé. Je demande aux fédérations
concernées de bouger et de monter avec leurs ministères de tutelle des contrats-programmes avec l’appui de la CGEM. Il
faut également des mesures pour les industries qui ne sont pas dans le pacte, au-delà des chantiers transversaux.
- Quid des compétences?
- Cette question mérite à elle seule tout un débat. De l’avis général, par rapport au secteur des TI, il y a problème du fait de la
contradiction manifeste. Il y a une industrie locale, qui a été prise en compte par le plan Maroc Numeric 2013, mais qui ne
bénéficie pas des mêmes mesures et incitations accordées à l’offshoring notamment à l’ITO alors que c’est le même métier.
Il va falloir corriger cette anomalie. Par ailleurs, il y a suffisamment de candidats sur le marché, beaucoup de nouveaux et
peu de personnes expérimentées. Ce qui est tout à fait normal. Lorsqu’on a lancé l’offshoring on s’est retrouvé avec une
offre d’emplois importante pour des profils expérimentés. Il fallait puiser chez la concurrence. Ce qui a crée une inflation des
salaires alors que l’un des arguments d’attractivité du Maroc porte sur les coûts. L’Economiste
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7. CGEM •Fédérations •Commissions
Le PNEI a donné une impulsion sans précédent au secteur de l'industrie,
Président de la CGEM
Le Pacte national pour l'émergence industrielle (PNEI) a donné une impulsion sans précédent au secteur de l'industrie et
démontré toute sa pertinence par un pragmatisme économique focalisant les efforts sur les filières pour lesquelles le Maroc
possède des avantages compétitifs clairs et exploitables, a affirmé le président de la Confédération générale des entreprises
du Maroc (CGEM), M. Mohamed Horani.
"En associant l'initiative privée au rôle moteur de l'Etat, le Pacte a réussi à donner une impulsion sans précédent au secteur
de l'industrie, démontrant que l'activité économique a besoin d'une vision stratégique, de plans d'actions et d'outils de
pilotage", a souligné M. Horani dans un exposé devant SM le Roi Mohammed VI à l'ouverture, mercredi à Casablanca, des
premières assises de l'Industrie.
Il a exprimé, à cet égard, la satisfaction des professionnels quant aux premiers résultats obtenus pour chacun des six métiers
mondiaux du Maroc (offshoring, industrie automobile, aéronautique, électronique, textile et cuir, agroalimentaire).
Les métiers d'offshoring représentent désormais près de 30.000 emplois et un chiffre d'affaires à l'export dépassant les 4,5
milliards de dirhams en 2009, a précisé le président de la CGEM.
Dans le secteur automobile, le Maroc a intégré le club fermé des producteurs de voiture à travers l'implantation d'un nouveau
site d'assemblage majeur de 400.000 véhicules, a rappelé M. Horani.
De même, a-t-il ajouté, l'industrie aéronautique et spatial compte plus de 60 entreprises avec un chiffre d'affaires de plus de 6
milliards de dirhams et un effectif de 7.000 emplois dans des métiers intégrant de plus en plus de valeur ajoutée.
Selon M. Horani, le potentiel de croissance du secteur électronique est estimé à près de 2,5 milliards de dirhams de PIB
additionnels, avec 9.000 nouveaux emplois directs à générer à l'horizon 2015.
Les actions entamées au niveau du secteur textile et cuir devraient permettre de pérenniser et de stabiliser le tissu actuel
estimé à 200.000 emplois et une contribution de 9,6 milliards de dirhams au PIB, a-t-il poursuivi.
Mettant en exergue l'importance de la filière agroalimentaire qui représente environ 35 pc du PIB industriel, le président de
la CGEM a indiqué que le travail effectué permettra de générer 10 milliards dirhams de PIB additionnels et 24.000 nouveaux
emplois directs à l'horizon 2015.
Il a indiqué, d'autre part, que dans le cadre de l'amélioration du climat des affaires, il a été procédé à la mise sur pied de la
commission nationale de l'environnement des affaires, un excellent forum d'échange entre les partenaires publics et privés
sur les réformes en cours.
Etabli sous forme d'un contrat-programme public-privé, le PNEI (2009-2015) porte notamment sur le développement des
quatre métiers mondiaux du Maroc orientés investissements directs (Offshoring, automobile, électronique, aéronautique et
spatial).
Il vise également le développement des deux secteurs traditionnels du Maroc, à savoir le textile et cuir et l'agroalimentaire et
le développement de plateformes industrielles intégrées. MAP
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9. CGEM •Fédérations •Commissions
Le président de la CGEM lance son blog
Véritable expérience communicationnelle, cette nouvelle aventure numérique est le prolongement de l’engagement du
président de la CGEM lors de sa campagne pour la présidence de la Confédération. Afin d’assurer une continuité à cet esprit
d’engagement, M. Horani a décidé de convertir le blog de sa campagne en une plateforme d’échanges et de débats.
Le lancement de ce nouveau canal cible non seulement les instances et les membres de la CGEM, mais aussi les
entrepreneurs et l’opinion publique.
S’ajoutant aux autres outils de communication de la Confédération générale des entreprises du Maroc, ce nouvel espace se
veut un champ d’écoute destiné à interagir avec toute personne ou organisme intéressé par l’action de la CGEM.
Il s’agit, en effet, de recueillir les idées et les propositions en mesure de renforcer l’action de la CGEM ainsi que ses
différentes instances : une sorte d’appel à l’intelligence collective pour œuvrer massivement à l’émergence d’une vision
innovante et courageuse mobilisée ardemment pour la construction du Maroc de demain.
Par ailleurs, le blog www.oser-innover.com est aussi une source d’information et d’actualité sur l’action du président et ses
positions face aux faits marquants de la scène nationale et internationale.
Ce blog se veut d'une grande proximité avec vous, vos attentes, vos aspirations. La langue de bois ne sera pas la bienvenue !
Franchise, honnêteté et transparence seront la base de nos échanges à venir. Libération
La CGEM facilite l’accès à l’UE
Les Echos
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11. CGEM •Fédérations •Commissions
09/04/2010
Assises de l’industrie : Ce que veulent les opérateurs
L’évaluation d’étape du Pacte pour l’Emergence industrielle a le mérite de donner de la visibilité aux opérateurs
économiques sur les différents métiers ciblés par le Maroc. Elle leur a aussi permis de livrer leurs craintes ou encore les
dysfonctionnements à corriger. Les ateliers qui ont suivi la séance plénière des premières assises nationales de l’industrie -
organisées à Casablanca mercredi 7 avril- ont été l’occasion pour un échange public/privé. Ce qui a permis de revenir sur des
dossiers comme le score dans Doing business, un classement sur lequel se basent les investisseurs dans leur décision et dont
l’amélioration devient une urgence. Hicham Naciri, président de la commission Droit à la Confédération générale des
entreprises du Maroc (CGEM) n’a pas manqué de «taquiner», Nizar Baraka, ministre des Affaires économiques et en charge
de la Commission de l’amélioration du climat des affaires sur ce dossier. Pour lui, il n’y a plus «de tabous à entretenir. Le
droit des affaires devrait coller à la réalité économique». En clair, Naciri milite pour «des actions concrètes pour
l’amélioration du score dans Doing business».
Jusque-là la commission chargée de l’amélioration du climat des affaires, activée depuis quatre mois, a mis en place une
stratégie et fixé les priorités. Pour cette année par exemple, elle planche sur la révision de la loi sur la SARL avec comme
objectif de prolonger le processus de réduction du capital minimum légal en permettant aux investisseurs de fixer librement
le montant du capital social qu’ils souhaitent apporter à leur société. La commission compte également mettre à jour la
Charte de l’investissement. Ce qui permettra d’harmoniser la législation et les incitations applicables à l’investissement. Le
texte proposé devra s’articuler de manière cohérente avec les politiques sectorielles et la réglementation fiscale.
Les opérateurs ont également pointés certains dysfonctionnements. C’est le cas pour les incitations dans l’offshoring.
Mohamed Horani, président de la CGEM, est monté au créneau pour critiquer le traitement différencié des entreprises
opérant dans les technologies de l’information selon qu’elles sont installées dans les sites dédiés ou pas. Une requête «notée»
par Ahmed Reda Chami, ministre de l’Industrie.
Dans ce secteur, qui constitue la locomotive du plan Emergence, le gouvernement a mis en place une offre attractive. Il
s’agit notamment de l’allégement de la pression fiscale liée à l’impôt sur le revenu (IR) qui peut atteindre jusqu’à 20%. Cette
mesure s’applique sur le revenu brut imposable par individu au lieu de la masse salariale comme ce fut le cas au départ.
Selon le ministère de l’Industrie, ce mécanisme a également profité à des entreprises qui ne sont pas installées dans les P2I et
ce, moyennant des certificats d’éligibilité. Au total, 25 certificats ont été délivrés en 2008 et 38 en 2009.
Autre avantage accordé dans l’offshoring, l’exonération de l’IR, de la taxe de formation professionnelle et des cotisations
patronales pour une durée allant de 24 à 36 mois. Au total, 22 entreprises ont été remboursées en 2009 pour un montant
global de 30 millions de DH.
Dans ce secteur, un pas important est franchi avec la quarantaine d’entreprises installées à Casanearshore et Rabat
Technopolis. D’ailleurs, dix-sept entreprises françaises spécialisées dans les systèmes informatiques ont choisi le Maroc.
Elles représentent 47% du chiffre d’affaires des 50 entreprises françaises les plus importantes.
L’offshoring est également à l’origine de 6.000 emplois en 2009 enregistrant ainsi une augmentation de 17% par rapport à
2008. Mais l’afflux d’entreprises dans ce secteur a créé des tensions sur les salaires. Horani a d’ailleurs relevé «les risques
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16. CGEM •Fédérations •Commissions
Immobilier : Les marges de la discorde
· La FNPI doute de l’objectivité de l’étude de McKinsey
· Deux rapports pour un secteur
· Labellisation et catégorisation pour harmoniser les standings
La critique est à peine voilée. La Fédération des promoteurs immobiliers (FNPI) dit toujours ne pas comprendre l’intérêt et la
démarche du département des Finances concernant l’étude sur les marges. Le timing choisi (la veille de l’adoption de la loi
de Finances), l’objet de l’étude (marges dans les transactions immobilières pour des raisons occultes), la méthodologie (sans
associer les opérateurs)… sont autant de griefs retenus par la FNPI. A en croire les opérateurs, valeur aujourd’hui, ils n’ont
toujours pas reçu l’étude en question. Ce n’est pas faute de l’avoir demandée, répètent-ils. Leur étonnement est encore plus
grand face à la sortie de «deux études en même temps pour le même secteur mais avec des objectifs différents». La première,
prospective, est commanditée par l’Habitat à Ernst &Young. Quant à la seconde, qui porte sur le diagnostic du secteur, elle a
été commanditée par le département des Finances à McKinsey. Si les promoteurs admettent que l’avantage des études est
d’enrichir le débat dans un secteur connu pour son opacité, ils n’en demeurent pas moins étonnés quant à la pertinence des
deux en même temps. En clair, la FNPI conteste l’étude des Finances, et sur sa forme et sur sa méthodologie dans la mesure
où, «l’on y parle de promoteurs, mais sans les consulter sur la question des marges». La FNPI regroupe 300 entreprises. Sur
le fond, précisent les promoteurs, la question des marges peut être bien posée sachant qu’elle est relative en fonction de
chaque secteur voire chaque entreprise d’un même secteur. Mais, «à partir du moment où cette question a été posée, sur le
plan méthodologique les opérateurs devaient être associés à cette étude». Le timing choisi pour rendre publics les résultats de
cette étude pose aussi problème aux opérateurs qui étaient à ce moment-là en négociations pour des dispositions de la loi de
Finances pour la relance du logement social.
Comme pour couper court à cette polémique, la FNPI va amorcer une grosse révolution, en annonçant l’affichage des prix
sur les chantiers dès juin prochain. Une manière, entre autres, de lutter contre le phénomène du «noir» dans l’immobilier que
Ibn Mansour qualifie de «problème d’ordre culturel et de moralité». A ce titre, l’indice des prix de l’immobilier de Bank Al
Maghrib arrive à point nommé. Ceci d’autant plus que la FNPI finalise un processus de labellisation et de catégorisation qui
permettra de déterminer les différents standings, les niveaux de finition. Des bureaux d’études ont été sollicités pour préparer
des labels standardisés pour le secteur. «La qualité est un chantier lourd et difficile, mais la trame a déjà été définie avec une
grille d’une quarantaine de pages», précise-t-on auprès de la FNPI. Une chose est sûre: l’enjeu n’est pas tant le contenu du
label, mais la démarche pour le rendre public. L’Economiste
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17. CGEM •Fédérations •Commissions
Meknès. Action en faveur de la compétitivité des PME
Trente-deux entreprises de la région de Meknès-Tafilalet ont bénéficié de 45 actions de soutien
Dans le cadre des Journées régionales de l'industrie organisées par le ministère de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles
technologies, la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) et l'Agence nationale pour la promotion de la
petite et moyenne entreprise, sous le thème "compétitivité des PME", Ahmed Réda Chami, ministre de l'Industrie, du
Commerce et des Nouvelles technologies, accompagné de Mohamed Faouzi, wali de la région de Meknès-Tafilalet et
gouverneur de la préfecture de Meknès, a récemment présenté les programmes d'appui aux entreprises et les chantiers lancés
depuis la signature, sous la présidence de S.M. le Roi, du pacte national pour l'émergence industrielle 2009-2015, qui scelle
l'engagement du gouvernement et du privé pour le développement de l'industrie marocaine.
Au cours de cette journée tenue dans un établissement hôtelier de la ville et à laquelle ont participé les chefs d'entreprises et
les opérateurs économiques de la région, le ministre a rappelé que le pacte national pour l'émergence industrielle s'inscrit
dans le cadre de la nouvelle stratégie dédiée à la modernisation de l'économie marocaine et s'affirme comme une mesure
phare pour l'ensemble des investisseurs et acteurs économiques, en apportant la visibilité nécessaire sur ce que sera
l'industrie marocaine de demain. Ce pacte, a-t-il dit, scellé entre le gouvernement, le Groupement professionnel des banques
du Maroc (GPBM) et la CGEM consolide dans un document unique les engagements mutuels de l'Etat et du secteur privé,
formalisant ainsi le contrat programme couvrant la période 2009-2015. Ce pacte englobe 111 mesures autour de 3 axes
majeurs à savoir "les métiers mondiaux du Maroc", la compétitivité des entreprises" et "la gouvernance et exécution".
Le Matin
180 entreprises catégorisées en douane et 400 autres sur la liste d'attente
La catégorisation des entreprises en douane attire de plus en plus d’entreprises. Selon l’Administration des douanes, 180
entreprises bénéficient aujourd’hui des avantages liés à ce statut, notamment en termes de facilitation du passage en douane
et de fluidité des procédures. Plus de 400 autres sont inscrites sur la liste d’attente. En janvier 2009, les entreprises
catégorisées étaient au nombre de 140.
Le dispositif a été mis en place en 2007 en partenariat entre la Douane et la CGEM. La Vie Eco
12/04/2010
L’automobile tourne une page difficile : Entretien avec Larbi Belarbi,
président de la Fédération de l’automobile
Un vent d’optimisme souffle sur le secteur automobile. En effet, la reprise se confirme après une année difficile. Seuls les
équipementiers ont pu tirer leur épingle du jeu.
Par ailleurs, selon le président de la Fédération de l’automobile, Larbi Belarbi, les mesures prises dans le cadre du Pacte
industriel devraient renforcer la compétitivité du secteur à l’échelle régionale et internationale.
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18. CGEM •Fédérations •Commissions
- L’Economiste : La crise qui a frappé le secteur automobile est-elle derrière nous?
- Larbi Belarbi : Le marché de l’automobile au Maroc, à cause de la crise, a enregistré dans son ensemble une baisse de
10% environ à fin 2009. Malheureusement, ce trend baissier s’est poursuivi au terme de ce premier trimestre. Mais au sein
de la profession, nous avons une approche plus optimiste pour le second semestre. C’est pour dire qu’on doit normalement
finir l’année sans perte de marché. Sachant qu’il y a le salon de l’automobile qui est prévu en mai prochain, des projets
industriels assez importants qui démarrent et des intempéries qui se terminent. De plus, la croissance économique prévue
pour cette année est de 3,5 à 4%… Tous ces éléments combinés devraient permettre au marché de reprendre au deuxième
semestre.
- La filière équipement s’en est bien sortie…
- Les performances ont été en effet meilleures que prévu en 2009. C’est dû à l’amélioration, au milieu de l’année, des
commandes européennes, boostées par les primes à la casse. Plusieurs entreprises internationales ont également fait appel à
nos équipementiers, étant donné que la plateforme industrielle automobile marocaine se place maintenant, parlant de
compétitivité, à un niveau plus intéressant que plusieurs pays de l’Est, traditionnelles destinations de ces commandes.
- Est-ce qu’on peut chiffrer la participation du Maroc dans ce marché mondial, en termes d’équipements
automobiles?
- Vous savez, le secteur est encore tout jeune. Rappelez-vous, les premiers investisseurs se sont installés dans la zone franche
de Tanger (TFZ). C’est là, en effet, où, pour la première fois, il y a eu plus de 5.000 salariés travaillant plus particulièrement
pour l’automobile dont 100% de la production est destinée à l’export. Et c’est en 2007que le Maroc a commencé à exporter
des véhicules automobiles. Exportation adressée, dans un premier temps, au marché européen, Espagne, France et
Allemagne notamment.
Dernièrement, en 2009, nous avons commencé à exporter en Egypte et en Tunisie. C’est pour vous dire que la croissance est
donc récente. On peut dire que les cinq dernières années, si on exclut 2009 qui est une année très spéciale, le marché de
l’équipement connaît une croissance en moyenne supérieure à 20%. Maintenant avec les perspectives qu’ouvre l’usine de
Renault de Tanger, qui doit démarrer sa production début 2012, l’on s’attend à un véritable décollage du secteur. De plus,
l’ensemble des équipementiers de premier rang, qui commencent à s’installer à Tanger, Casablanca et dans la région de
Kénitra pour fournir l’usine de Tanger, mais également pour exporter, vont contribuer au rayonnement international de la
plateforme industrielle automobile du Maroc. Ainsi, nous tablons sur une croissance moyenne de plus de 27% par an dans
les trois prochaines années.
- Quelle est la contribution du pacte Emergence industrielle au secteur de l’automobile?
- Le pacte Emergence est avant tout une orientation sur 2015. Ce deadline est basé sur des objectifs chiffrés et des stratégies
budgétées. A terme, les prévisions portent sur une production de 400.000 véhicules par an, un développement nouveau des
équipementiers de 1er et 2e rang, une progression de 25 à 30% annuelle des investissements, destinés à des produits pour
l’export. Sur le plan emploi, ce sont près de 70.000 nouveaux postes qui sont ciblés. L’Economiste
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19. CGEM •Fédérations •Commissions
Six ans après la première normalisation, une nouvelle loi pour régir les
copropriétés
Le projet de loi fait la distinction entre les petites copropriétés, concernant des immeubles ne dépassant pas 20
appartements, et les grands ensembles immobiliers.
Le nouveau texte traite aussi des copropriétés en difficulté qui pourront réclamer l'intervention d'un administrateur.
La fameuse loi 18-00 qui réglementait pour la première fois la copropriété au Maroc a-t-elle fait son temps ? Après moins de
6 ans d’existence (le texte est entré en vigueur en 2004), cette loi vit ses derniers jours puisqu’un autre texte a été déposé au
Secrétariat général du gouvernement (SGG) et devrait en sortir bientôt pour suivre le circuit officiel d’adoption. Quelles sont
les raisons qui expliquent ce changement ? Pour Mohamed Koutbi, directeur délégué de la Fédération nationale des
promoteurs immobiliers (FNPI), «l’actuel texte est plein d’insuffisances et sa réforme était plus que nécessaire». M.Koutbi
qui a participé à l’élaboration du nouveau projet explique qu’il a fallu rédiger un nouveau texte pour pallier les insuffisances
de l’actuelle loi, ce qui explique d’ailleurs que le projet, plus volumineux, comporte 111 articles contre 61 pour la loi 18-00.
Premier changement, con-trairement à la réglementation actuelle, le nouveau texte fait la distinction entre les petites
copropriétés, concernant des immeubles ne dépassant pas 20 appartements, et les grands complexes immobiliers. Les
premières sont administrées par un syndic et un syndic adjoint et les secondes par un organe de contrôle qui est le conseil
syndical dont les attributions ont été complètement remaniées. Selon M.Koutbi, le second paragraphe qui n’existe pas dans la
loi 18-00 fait la distinction entre les copropriétés verticales (généralement des immeubles de 20 appartements) ou la
copropriété qui se limite aux parties indivises de l’immeuble tels que les escaliers, les ascenseurs, la terrasse ou encore le
garage et les copropriétés horizontales comprenant aussi bien des appartements que des villas, des hôtels et d’autres
équipements. La Vie Eco
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20. CGEM •Fédérations •Commissions
PME : Toujours la plaie des impayés
· Les opérateurs réclament une législation dans ce sens
· L’informel aussi pointé
«La PME, champion national», c’est le thème retenu par le Centre des jeunes dirigeants (CJD) lors de sa plénière du 8 avril
dernier. Au menu des débats figuraient l’état des lieux de la PME au Maroc, les dispositifs d’appui et l’ouverture à l’export.
Les délais de paiement et la concurrence déloyale figurent en tête des préoccupations des PME. «Il est temps que notre pays
dispose d’une loi régissant les délais de paiement, à l’instar d’autres pays comme la Tunisie», affirme Mohamed Horani,
président de la CGEM. Les problèmes de financement, de carence managériale et d’ouverture à l’export sont aussi pointés du
doigt. Pour y remédier, l’Etat a prévu un panel de dispositifs et de mesures au profit des PME qui représentent 95% du tissu
économique du pays. «Nous avons mis en place des fonds d’amorçage, qui consistent à prendre des participations dans les
entreprises en création, avec notamment des options de sortie», souligne Ahmed Reda Chami, ministre de l’Industrie, du
Commerce et des Nouvelles technologies. Pour les technologies de l’information, le lancement d’un fonds de 100 millions
de DH se fera bientôt. Ce fonds, dont l’accord a été signé durant les Assises de l’industrie (www.leconomiste.com), est le
fruit d’une contribution à parts égales de l’Etat, de la CDG et de 3 banques: la BMCE, Attijariwafa bank et la BCP. «Pour les
autres secteurs, nous avons lancé un appel d’offres pour solliciter des gestionnaires pour gérer des fonds public-privé. En
première phase, l’Etat mobilisera 350 millions de DH», poursuit Chami. L’Etat apporte ainsi, via les programmes
Moussanada et Imtiaz, l’expertise et le soutien financier. Mais comment différencier les entreprises qui pourraient bénéficier
de l’un de ces programmes? «C’est à travers une plateforme de rating et en fonction du score que nous pourrons classer les
entreprises», explique Chami. Dans ce sens, une des conventions signées lors des Assises de l’industrie porte sur le
financement des entreprises, dont notamment le système de scoring. Objectif: mesurer de manière objective les risques que
présente une entreprise. «Les PME ont donc intérêt à optimiser leur score en améliorant leurs performances économique et
financière», affirme Horani. L’ouverture à l’export est un autre motif d’inquiétude pour les PME. En effet, les chiffres
montrent que seules 7.500 entreprises sont exportatrices, alors que 22.000 importent. L’Etat contribue massivement à
encourager les exportateurs, en mettant à leur disposition des «contrats de croissance à l’export». «Ils consistent à prendre en
charge jusqu’à 80% des charges marketing et commerciales à l’export», souligne Abdellatif Maâzouz, ministre du
Commerce extérieur. Toutefois, le vrai problème réside dans l’offre à l’export et au niveau de la compétitivité de
l’entreprise. L’Economiste
14/04/2010
La commission PME en tournée régionale
La CGEM renforce son ancrage régional. En effet, la commission PME organise des journées régionales de la PME à Safi et
Essaouira (fin avril), Nador (juillet) et Kénitra (octobre). Les thèmes, qui seront développés de concert avec les unions
régionales, auront pour objectif de valoriser les PME locales via les activités de transformation et ce, selon les spécificités de
chaque région. L’Economiste
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21. CGEM •Fédérations •Commissions
Délais de paiement : Nouvelle sortie du patronat
Les délais de paiement constituent un vrai cheval de bataille pour la commission PME. Un important colloque sera tenu à
Casablanca sur cette thématique en septembre. Le patronat dévoilera sa vision de cette problématique, chiffres à l’appui,
dans le but de permettre au gouvernement de faire le meilleur choix. Pour ce faire, les ministres du Commerce et de
l’Industrie, des Affaires générales et économiques, du Commerce extérieur, de la Justice et des Finances seront invités à
prendre part aux travaux de cette grande rencontre. L’Economiste
Le Millenium Challenge Compact présenté au patronat
Grand oral du top management de l’Agence du partenariat pour le progrès (APP) le 15 avril, au siège de la Confédération
générale des entreprises du Maroc (CGEM). Au menu, la présentation des projets qui rentrent dans le cadre des programmes
Millenium Challenge Compact au Maroc. L’Economiste
Agroalimentaire : Ce que pèse la filière
· Une production de l’ordre de plus de 68 milliards de DH
· Plus de 2.000 unités industrielles et 90.000 emplois
L’industrie agroalimentaire représente près du tiers de la valeur ajoutée industrielle. Elle contribue également à hauteur du
tiers du PIB industriel. Le secteur compte plus de 2.000 unités industrielles, soit plus du quart de l’ensemble des unités
industrielles. Ce sont les dernières données de l’étude commanditée par la Fédération nationale de l’agroalimentaire auprès
de Meda Consulting dans le cadre du Programme d’appui aux associations professionnelles (PAAP). L’analyse sectorielle a
pour objectif l’élaboration d’une démarche participative pour l’émergence du secteur agroalimentaire. Selon les constats
préliminaires de l’étude, le secteur emploie près de 90.000 personnes, soit 17,6% de l’effectif industriel global et génère une
production évaluée à près de 68 milliards de DH (chiffres de 2007), ce qui représente environ 28,2% de la production
industrielle globale. L’agroalimentaire constitue donc le premier secteur d’activité de l’industrie de transformation, mais
cette position est menacée, vu que moins de 20% des investissements industriels lui sont destinés. Un risque confirmé par le
poids du secteur dans les exportations, qui reste très faible. D’ailleurs, les produits exportés sont de faible valeur ajoutée et
l’investissement étranger dans la filière ne dépasse guère 15% par rapport à celui de l’industrie. D’où la faible ouverture du
secteur sur les technologies modernes. Si l’agriculture participe à hauteur de 13 à 18% du PIB, la participation de
l’agroalimentaire n’est que de 4%. Une fois arrimé au pacte Emergence et au Plan Maroc vert, le secteur pourrait augmenter
sa part de manière significative, à l’instar des pays industrialisés, où la participation de l’agroalimentaire au PIB est au moins
égale à celle de l’agriculture. L’Economiste
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24. CGEM •Fédérations •Commissions
Des consultants belges en prospection
La Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) organise le 27 avril une réunion de présentation entre les
cabinets de consultants marocains et belges.
L’événement qui se tient en collaboration avec l’Union wallonne des entreprises et l’Association des bureaux conseil et de
formation. Cette rencontre a pour objectif d’examiner les possibilités de partenariats entre les cabinets marocains et belges
afin de pouvoir prospecter ensemble de nouveaux marchés. L’Economiste
PME : La CGEM plaide pour plus de sensibilisation
La CGEM a un rôle important dans l'amélioration des scores des PME, à travers le volet de la sensibilisation.
La problématique du financement n’est plus posée avec la même acuité.
S’exprimant lors de la rencontre organisée par l’OJD, Mohamed Horani a souligné «qu’on a toujours le même problème de
définition de la PME. Il faut savoir que les PME sont pour près de 30% dans les exportations, qu'elles représentent 50% des
investissements privés et emploient 60% des salariés. C'est donc la base de notre économie qui est composée à 95% de PME
dont 30% travaillent dans le commerce et près de 40% dans les services».
Le patron des patrons pense surtout que “le pacte Emergence veut toujours mettre fin aux importants problèmes comme la
sous-capitalisation, la carence des structures managériales et la faible internationalisation».
Les derniers indicateurs du baromètre de conjoncture mis en place par la CGEM montrent que 50% des opérateurs pensent
que la reprise est pour le 2ème semestre 2010, tandis que les autres 50% estiment qu'elle le sera pour 2011. «Nous avons
posé une autre question sur le degré d'inquiétude des dirigeants d'entreprise et paradoxalement,Challenge qui sont
ce sont 60% hebdo
inquiets. Mais je pense que cette inquiétude exprime plutôt une vigilance de la part des opérateurs. 39% disent qu'ils sont
inquiétés par la concurrence déloyale. La problématique du financement vient pour sa part au 6ème rang. ajoute M. Horani.
La question du type d'entreprise familiale, toujours prédominante, n'est pas en quelque sorte la cause principale de la non
adaptation des PME à leur environnement. Selon le président de la CGEM, «le problème ne se pose pas à ce niveau. Je vous
donne l'exemple de la Turquie où les entreprises familiales sont les plus performantes. Par contre, je dirais que nous avons
des entreprises qui sont plus individuelles. S'il y a un pas à faire, c'est de savoir plus partager» conclut-il.
Finances News Hebdo
16/04/2010
Signature du contrat-programme logistique?
Selon des professionnels du transport et de la logistique, le contrat-programme relatif à la stratégie nationale de la logistique
devrait être signé la semaine prochaine entre le gouvernement et la Confédération générale des entreprises du Maroc
(CGEM). Le contrat d’application concernant les zones multiflux de Casablanca serait également paraphé.
L’Economiste
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25. CGEM •Fédérations •Commissions
Tourisme durable : Les fédérations se mobilisent
· Un forum pour promouvoir ‘’l’investissement vert’’
· Des recommandations pour une large implication
Comment faire du tourisme un pilier du développement durable? Et comment convaincre les opérateurs de s’orienter
davantage vers les investissements “verts’’. Les invités du 1er Forum National sur l’investissement touristique durable,
organisé jeudi dernier à Rabat à l’occasion de la journée de la terre, ont tenté d’apporter des réponses à ces questions. Ayant
pour thème “Le Tourisme à l’ère du développement durable’’, cet évènement (1) vise à ‘’trouver des pistes de réflexion, afin
de proposer des recommandations et une feuille de route pour notre secteur’’ a expliqué Othmane Chérif Alami, président de
la Fédération nationale du tourisme. Il s’agit de sensibiliser et de convaincre les différents acteurs de faire du Tourisme
durable et responsable un véritable levier de développement du secteur. En effet, une telle démarche, n’est pas seulement un
moyen de réduire les coûts et les charges d’exploitation, mais aussi “une question d’image auprès des différents partenaires
(clients et fournisseurs), qui sont de plus en plus exigeants en matière de respect de l’environnement. «C’est également un
outil de compétitivité pour nos entreprises» selon Andreas Museler, président de Tour Operators Initiatives. «Faire ancrer ce
principe de développement durable est certes difficile, mais pas impossible» a affirmé Ali Ghannam, président de la
Fédération nationale de l’industrie hôtelière (FNIH). C’est un grand défi, qui consiste à changer les mentalités et les
habitudes et faire comprendre qu’une démarche responsable respectant l’environnement est avant tout un investissement.
‘’L’industrie hôtelière implique plusieurs acteurs, il est donc impératif de convaincre toute la chaîne de la nécessité d’adhérer
à une démarche écologique et responsable. Aussi, le retour sur investissement de ce genre de projets se fait sur le long terme,
ce qui constitue une des principales contraintes’’ a affirmé Alami. L’Economiste
17/04/2010
Challenge hebdo
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26. CGEM •Fédérations •Commissions
La CGEM célèbre la Journée de la Terre
En effet, la commission développement durable organise, une conférence débat sur « l’économie verte au Maroc » le 20 avril
2010 à Rabat.
Cette conférence verra la participation de plusieurs Ministres : Mme Amina Benkhadra, Ministre de l’Energie et des Mines,
de l’Eau et de l’Environnement, M. Salaheddine Mezouar, Ministre de l’Economie et des Finances, M. Ahmed Réda Chami,
Ministre de l’Industrie, du Commerce et des Nouvelles Technologies, M. Abdelkbir Zahoud, Secrétaire d’Etat chargé de
l’Eau et de l’Environnement aux côtés de personnalités de renommée nationale et internationale oeuvrant dans le
développement Durable.
L’objectif de cette conférence est :
• d’informer les entreprises marocaines sur les différentes opportunités d’affaires offertes par le marché vert ;
• de créer un cadre propice au développement de ce segment ;
• de faciliter notamment l’accès de l’entreprise marocaine aux grands projets structurants du Royaume à savoir les
programmes d’assainissement ou le plan solaire.
La CGEM est membre fondateur de l’Association Espace Mohamed Abdou à Casablanca (AEMA) avec laquelle. Elles
mèneront conjointement une manifestation le samedi 17 avril destinée aux enfants du quartier accompagnés de leurs parents.
Au programme de cette journée:
• Une exposition de panneaux d’information sur le Parc et son histoire, sur les principales espèces végétales qui s’y trouvent,
sur l’AEMA et sur Mohamed Abdou ;
• Une animation par un architecte-paysagiste : remise en état de la pelouse, présentation des différentes machines et outils
aux enfants ;
• La plantation d’arbustes offerts par la Division des Espaces verts de la ville ;
• Un lâcher de ballons pour clore l’événement.
Les enfants, habillés d’un tee-shirt à l’effigie de la Journée de la Terre et de l’AEMA participeront, dans la mesure du
possible, à ces différentes actions.
Un diplôme de « Jeune Citoyen Vert » leur sera remis par les officiels qui seront présents, afin de marquer leur engagement
pour la planète.
A travers cette action, l’AEMA souhaite sensibiliser les enfants, ces « citoyens en herbe », aux problèmes environne-
mentaux, et participer ainsi à la défense des principes de la « Green Génération », thématique phare d’Earth Day pour 2010 !
CGEMINFOS
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27. CGEM •Fédérations •Commissions
Trois questions à M.Chakib BELKHADIR, président de la fédération du commerce
et services
Dans cet entretien M. Belkhadir nous livre les principaux axes de la nouvelle Stratégie 2012 que compte lancer la Fédération
du Commerce et Services.
La Fédération du Commerce et Services se prépare à lancer une nouvelle Stratégie, à horizon 2012, quelles en sont les
grandes orientations ?
. Parmi les axes stratégiques retenus par le nouveau Bureau de la FCS, figurent en premier plan : l’accompagnement du Plan
Rawaj au niveau régional et le développement de partenariats internationaux visant à dynamiser les secteurs du Commerce et
des Services marocains. La Stratégie, en cours d’élaboration, s’inscrit dans une démarche dynamique d’Innovation et de
Proximité.
Quelle est la vocation de la FCS ?
. La Fédération du Commerce et Services a pour vocation de fédérer les entreprises de ses secteurs autour d’intérêts écono-
miques, sociaux et environnements communs :
- Représenter et défendre les intérêts de nos membres auprès des pouvoirs publics et des acteurs institutionnels nationaux et
internationaux
- Promouvoir et accompagner le développement du Commerce et des Services au Maroc
- Impulser des actions innovantes visant la modernisation de ses secteurs (technologique, modes de Gouvernance, Dé-
veloppement des Compétences…)
Quelle est la finalité de l’enquête initiée par la Fédération ?
. A ce titre, il nous a semblé primordial d’être à l’écoute des entreprises adhérentes, quant à leurs attentes vis-à-vis de la FCS
et à leurs suggestions sur les axes de développement futurs des Secteurs du Commerce et des Services. Nous souhaitons que
le traitement des problématiques et enjeux prioritaires de nos secteurs soit fait avec l’implication de nos membres. Ainsi, la
Fédération pourra leur apporter une Valeur Ajoutée concrète.
L’enquête a été initiée depuis le 12 avril 2010, auprès de l’ensemble des membres de la FCS contactés par un Cabinet dédié
à cette étude. CGEMINFOS
28. CGEM •Fédérations •Commissions
Le président de la chambre des conseillers reçoit M. HORANI
Le Président de la Chambre des Conseillers, M. Mohamed Cheikh Biadillah a reçu, le mercerdi 14 avril 2010, le Président de
la CGEM, M. Mohamed Horani. Lors d’un entretien entre les deux parties, M. Biadillah a affirmé que la dynamisation du
rôle de la Confédération Générale des Entreprises du Maroc est de nature à assurer le soutien des réformes stratégiques
structurantes et les grands chantiers initiés par S.M. le Roi Mohammed VI pour la mise à niveau de l’économie nationale.
Cela permettra de garantir un climat sain et propice aux investissements renforçant ainsi la confiance dont jouit le Maroc
auprès des milieux économiques et financiers.
La rencontre entre MM. Biadillah et Horani a été l’occasion d’évoquer également des questions se rapportant à la
mondialisation et ses répercussions sur le tissu économique national, la Loi sur la compétitivité, la levée des barrières
douanières en 2012, outre l’examen des moyens d’élargir l’affiliation à la CGEM et le projet. CGEMINFOS
Commission Economie. Conférence-débat sur l’intelligence économique
La Commission Economie organise sous la présidence de M. Driss Alaoui Mdaghri, le 23 avril 2010 de 9h30 à 12h30 au
siège de la CGEM, une conférence-débat sous le thème «L’Intelligence Economique : Quel intérêt pour les entreprises
marocaines ?». Cette conférence aura pour objectif de sensibiliser les entreprises marocaines à l’importance stratégique de
l’Information et au rôle de l’Intelligence Economique, qui met ainsi à la disposition des entreprises, des méthodes et outils
permettant de comprendre son environnement et de saisir les opportunités, détecter les tendances du marché et faire face à la
concurrence. Cette conférence-débat sera animée par M. Franck Tognini, Conseiller auprès des entreprises en matière de
gestion, d’analyse et de protection de l’information et co-auteur de l’ouvrage «Petit Manuel d’intelligence économique au
quotidien».
Le Professeur Ahmed Azirar, membre de la Commission Economie et Président de l’Association Marocaine Des
Economistes d’Entreprise apportera à cette intervention la perspective marocaine.
Contact : Mme Asmaâ Zniber, zniber@cgem.ma. CGEMINFOS
Challenge hebdo
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