2. LIENS ETYMOLOGIQUES
Les mots de la langue française n'ont pas été créés au hasard pour
désigner la multitude d'idées qu'ils représentent.
Aussi ils ne peuvent être entièrement compris si l’on s'arrête
seulement à leur signification usuelle.
C’est le sens primitif, celui qui relève de l'étymologie qui en fait
saisir la véritable portée.
14. L’autonomie
n’est pas l’indépendance pas plus que son
contraire n’est la dépendance.
L’autonomie
n’est pas l’indépendance pas plus que son
contraire n’est la dépendance.
L’autonomie s’inscrit dans le respect de la loi
humaine partagée
15. L’autonomie
n’est pas l’indépendance pas plus que son
contraire n’est la dépendance.
L’autonomie s’inscrit dans le respect de la loi
humaine partagée
16. L’autonomie s’inscrit dans le respect de la loi
humaine partagée
L’autonomie
n’est pas l’indépendance pas plus que son
contraire n’est la dépendance.
17. L’autonomie s’inscrit dans le respect de la loi
humaine partagée
L’autonomie
n’est pas l’indépendance pas plus que son
contraire n’est la dépendance.
18. L’autonomie s’inscrit dans le respect de la loi
humaine partagée
L’autonomie
n’est pas l’indépendance pas plus que son
contraire n’est la dépendance.
20. Autonomie
Axe allant de la
dépendance à
l’indépendance.
Axe allant du respect
de la loi à la liberté.
Axe allant des zones
de pouvoirs
respectives et
propres au statut et
à la fonction de
chacun
Ainsi l’autonomie se construit autour de trois axes
21. Autonomie
Axe allant de la
dépendance à
l’indépendance.
Axe allant du respect
de la loi à la liberté.
Axe allant des zones
de pouvoirs
respectives et
propres au statut et
à la fonction de
chacun
Ainsi l’autonomie se construit autour de trois axes
22. Autonomie
Axe allant de la
dépendance à
l’indépendance.
Axe allant du respect
de la loi à la liberté.
Axe allant des zones
de pouvoirs
respectives et
propres au statut et
à la fonction de
chacun
Ainsi l’autonomie se construit autour de trois axes
23. Autonomie
Axe allant de la
dépendance à
l’indépendance.
Axe allant du respect
de la loi à la liberté.
Axe allant des zones
de pouvoirs
respectives et
propres au statut et
à la fonction de
chacun
Ainsi l’autonomie se construit autour de trois axes
Voir intervention sur la
REFERENCE
24. L’autonomie relève d’un lien à l’autre. Cela implique
de n’être ni dépendant ni dans l’indépendance
totale. L’indépendance c’est l’incapacité ou la non
volonté de s’intégrer dans un lien de subordination.
Axe allant
de la dépendance à l’indépendance,
25. L’autonomie relève d’un lien à l’autre. Cela implique
de n’être ni dépendant ni dans l’indépendance
totale. L’indépendance c’est l’incapacité ou la non
volonté de s’intégrer dans un lien de subordination.
Axe allant
de la dépendance à l’indépendance,
26. L’autonomie relève d’un lien à l’autre. Cela implique
de n’être ni dépendant ni dans l’indépendance
totale. L’indépendance c’est l’incapacité ou la non
volonté de s’intégrer dans un lien de subordination.
Axe allant
de la dépendance à l’indépendance,
27. Cette axe correspond à la connaissance de son
« territoire » (nomos) et de ses règles de
fonctionnement. La connaissance de son champ de
compétence permet l’action ou l’agir de manière
responsable.
L’autonomie fait appel à la notion de responsabilité.
Axe allant
du respect de la loi à la liberté.
28. Cette axe correspond à la connaissance de son
« territoire » (nomos) et de ses règles de
fonctionnement. La connaissance de son champ de
compétence permet l’action ou l’agir de manière
responsable.
L’autonomie fait appel à la notion de responsabilité.
Axe allant
du respect de la loi à la liberté.
29. Cette axe fait appel aux marges de manœuvre
pouvant générer une forme de pouvoir : celui
d’agir. Cette axe participe à la conscience de soi et
à la responsabilité puisqu’il amène à faire des choix
en tenant compte d’autrui. L’autonomie est
associée à la notion de pouvoir et de
responsabilité.
Axe allant
des zones de pouvoirs respectives et propres
au statut et à la fonction de chacun.
30. Cette axe fait appel aux marges de manœuvre
pouvant générer une forme de pouvoir : celui
d’agir. Cette axe participe à la conscience de soi et
à la responsabilité puisqu’il amène à faire des choix
en tenant compte d’autrui. L’autonomie est
associée à la notion de pouvoir et de
responsabilité.
Axe allant
des zones de pouvoirs respectives et propres
au statut et à la fonction de chacun.
31. D’après ces 3 axes, l’autonomie prend en compte la présence
d’autrui, la loi ou les règles, et la conscience de soi.
Elle peut se présenter selon deux pôles : l’environnement (dont
autrui fait partie) et soi-même. L’autonomie sur les trois axes est sa
propre
capacité à déterminer des règles de conduite en fonction de
l’environnement, en vue d’une
finalité connue et voulue.
32. D’après ces 3 axes, l’autonomie prend en compte la présence
d’autrui, la loi ou les règles, et la conscience de soi.
Elle peut se présenter selon deux pôles :: l’environnement (dont
autrui fait partie) et soi-même. L’autonomie sur les trois axes est sa
propre
capacité à déterminer des règles de conduite en fonction de
l’environnement, en vue d’une
finalité connue et voulue.
33. D’après ces 3 axes, l’autonomie prend en compte la présence
d’autrui, la loi ou les règles, et la conscience de soi.
Elle peut se présenter selon deux pôles ::
• l’environnement (dont autrui fait partie)
• et soi-même.
L’autonomie sur les trois axes est sa propre
capacité à déterminer des règles de conduite en fonction de
l’environnement, en vue d’une
finalité connue et voulue.
34. D’après ces 3 axes, l’autonomie prend en compte la présence
d’autrui, la loi ou les règles, et la conscience de soi.
Elle peut se présenter selon deux pôles ::
• l’environnement (dont autrui fait partie)
• et soi-même.
L’autonomie sur les trois axes est sa propre
capacité à déterminer des règles de conduite en fonction de
l’environnement, en vue d’une
finalité connue et voulue.
35. L’autonomie est sa propre capacité à déterminer
des règles de conduite en fonction de
l’environnement, en vue d’une finalité connue et
voulue.
Cela amène une seconde définition
36. Pour Edgar MORIN l’autonomie est une capacité à agir avec
réflexion et en pleine connaissance des enjeux personnels et
sociaux des actions.
Cela suppose faire des choix, se situer, se donner des règles. Il est
donc indispensable de se connaître et de se prendre en charge.
Quadrature N°30, Oct. Déc. 98 p 5-11
37. Pour Edgar MORIN l’autonomie est une capacité à agir avec
réflexion et en pleine connaissance des enjeux personnels et
sociaux des actions.
Cela suppose faire des choix, se situer, se donner des règles. Il est
donc indispensable de se connaître et de se prendre en charge.
Quadrature N°30, Oct. Déc. 98 p 5-11
Les choix sont différents en
fonction de son niveau de
compétences.
38. Pour Edgar MORIN l’autonomie est une capacité à agir avec
réflexion et en pleine connaissance des enjeux personnels et
sociaux des actions.
Cela suppose faire des choix, se situer, se donner des règles. Il est
donc indispensable de se connaître et de se prendre en charge.
Quadrature N°30, Oct. Déc. 98 p 5-11
Se donner des règles c’est déterminer les valeurs
personnelles et professionnelles qui vont guider dans
l’évaluation des risques de nos choix.
39. Pour Edgar MORIN l’autonomie est une capacité à agir avec
réflexion et en pleine connaissance des enjeux personnels et
sociaux des actions.
Cela suppose faire des choix, se situer, se donner des règles. Il est
donc indispensable de se connaître et de se prendre en charge.
Quadrature N°30, Oct. Déc. 98 p 5-11
Etre cohérent avec ses valeurs en étant
conscient du pourquoi on les respecte..
40. Ce processus est une succession de 4
étapes.
L’autonomie ne s’apprend pas.
Elle se construit selon une succession en
d’étapes (SOIC).
41. L’autonomie ne s’apprend pas.
Elle se construit selon une
succession d’étapes dite « processus
SOIC » :
1 - Soumission
2 - Opposition
3 - Individualisme
4 - Coopération
42. ETAPE 1 : LA LA SOUMISSION
La première étape est une étape de découverte.
C’est une période d’apprentissage ou l’apprenant
n’assume pas de responsabilité, les connaissances
sont insuffisantes pour prendre des décisions.
C’est une relation de soumission, de dépendance.
43. ETAPE 1 : LA LA SOUMISSION
La première étape est une étape de découverte.
C’est une période d’apprentissage ou l’apprenant
n’assume pas de responsabilité, les connaissances
sont insuffisantes pour prendre des décisions.
C’est une relation de soumission, de dépendance.
44. La deuxième étape est une relation d’opposition.
Pendant cette phase, les connaissances
commencent à être suffisantes pour oser passer
à l’action soi-même.
L’apprenant souhaite se détacher de sa relation de
soumission. C’est la contre dépendance.
L’OPPOSITION
45. A l’étape suivante, l’individualisme apparaît.
L’apprenant pense et agit par lui-même.
Il a confiance en ses compétences, qui existent
vraiment.
Cette étape participe à la construction identitaire.
L’INDIVIDUALISME
46. A l’étape suivante, l’individualisme apparaît.
L’apprenant pense et agit par lui-même.
Il a confiance en ses compétences, qui existent
vraiment.
Cette étape participe à la construction identitaire.
L’INDIVIDUALISME
47. La dernière étape est celle de la coopération.
C’est une phase d’interdépendance.
Dans cette relation l’autre est considéré comme
son égal, un pair.
Les compétences de chacun sont reconnues.
LA COOPERATION
48. La dernière étape est celle de la coopération.
C’est une phase d’interdépendance.
Dans cette relation l’autre est considéré comme
son égal, un pair.
Les compétences de chacun sont reconnues.
LA COOPERATION
49. La dernière étape est celle de la coopération.
C’est une phase d’interdépendance.
Dans cette relation l’autre est considéré comme
son égal, un pair.
Les compétences de chacun sont reconnues.
LA COOPERATION
Hermogène ! Les mots ne sont que des conventions et qu’ils n’ont aucun lien d’imitation avec ce qu’ils nomment.
Cratyle soutien l’inverse
Socrate prend une position médiane
..
.. S’inscrit dans la loi : statut
Humaine : Ce n’est pas une loi divine – c’est une loi qui est rédigée par l’homme ou une autorité autorisée (Parlement – Conseil d’administration – une direction -) pour l’homme
Partagée : Elle s’applique à tous dans le territoire ( nomos = portion de terre d’usages et de coutumes partagées),
.. S’inscrit dans la loi : statut
Humaine : Ce n’est pas une loi divine – c’est une loi qui est rédigée par l’homme ou une autorité autorisée (Parlement – Conseil d’administration – une direction -) pour l’homme
Partagée : Elle s’applique à tous dans le territoire ( nomos = portion de terre d’usages et de coutumes partagées),
.. S’inscrit dans la loi : statut
Humaine : Ce n’est pas une loi divine – c’est une loi qui est rédigée par l’homme ou une autorité autorisée (Parlement – Conseil d’administration – une direction -) pour l’homme
Partagée : Elle s’applique à tous dans le territoire ( nomos = portion de terre d’usages et de coutumes partagées),
Qu’entend on par h et p
La loi est dite Humaine : Car elle n’est pas d’origine divine :elle n’est pas transcendante – c’est une loi qui est rédigée par l’homme pour l’homme
Et Partagée : Elle s’applique à tous dans un contexte, territoire repéré, délimité, commun et connu de tous ( on en revient au fameux nomso)
= assumer ses dépendances et évoluer vers une certaine indépendance, tout en manifestant des comportements de communication et de partage avec autrui
Ces 3 axes ont en commun de souligner l’importance de l’environnement (le nomos) du soi (l’autos) et
Elle est le résultat d’un process d’évolution qui suppose : conscience de soi et positionnement.
L’apprenant passe d’une étapeà l’autre
cette étape est marquée par l’ambivalence : celle de vouloir se détacher de sa dépendance à
autrui mais dans une certaine insécurité personnelle.
À ce stade : l’autonomie peut être une motivation à travailler avec l’autre.
À ce stade : l’autonomie peut être une motivation à travailler avec l’autre.
À ce stade : l’autonomie peut être une motivation à travailler avec l’autre.
La prochaine fois nous nous pencherons sur ‘l’auto du sujet etla relation educ.
D’ici là non WE à tous