3. Sur la démarche d’aménagement rue Kléber
« Moi, ça me plait »
« Il y a de la générosité dans ce projet »
« Les jardins, ce serait la cerise sur le gâteau »
« En arrivant, notre rêve c’était qu’en sortant de
notre local on puisse rencontrer ses voisins, trouver
un vrai lieu de solidarité. Visiblement avec ce projet,
on va pouvoir faire tout ça »
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5. Sur la démarche d’aménagement rue Kléber
« Je vous le dis, c’est très bien, mais franchement c’est
une utopie »
« On peut pas faire plaisir à tout le monde »
« Vous avez cerné certains problèmes, il y en a d’autres
que vous ne sentez pas : on y vit nous dans la rue Kleber »
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7. Sur le sentiment d’appartenance à la rue Kléber
« Faut qu’on soit bien dans notre rue ! »
« Il y a une vraie question de culture dans notre rue »
« La convivialité, ça se décide pas, ça existe ou
ça existe pas »
« Il y avait au moins une vingtaine de bars jusqu’à il n’y a
pas si longtemps dans notre rue »
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9. Sur les « bacs Kléber »
« C’est une très bonne idée les bancs, ça me parle et
ça m’attire. Par contre les bacs à fleurs, je n’y crois
pas trop »
« Pour ces bacs, il faut faire quelque chose de classe, qui
donne envie de s’asseoir ».
« Ça me rappelle des souvenirs [...], les gens
sortaient tous les chaises et vivaient dehors, on
faisait comme ça à la campagne avant ».
« Que ça marche ou pas, on doit tester pour le vérifier ».
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11. Sur le logement et l’espace public rue Kléber
« C’est mettre la charrue avant les bœufs que de se
consacrer à l’espace public avant de s’attaquer aux
conditions de logement »
« Le risque, c’est la spéculation : avec tous ces
aménagements, je pourrais vendre ma maison 3
fois le prix d’achat et m’installer ailleurs ! »
« Si la rue bouge, les propriétaires vont s’occuper de leurs
logements »
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13. Sur les nuisances constatées rue Kléber
« Il y a des choses à faire parce que
franchement, là, c’est lamentable »
« Les poussettes, elles passent pas. Si, sur la route. C’est
le seul endroit où elles passent. C’est ça la rue Kleber »
« Derrière chez moi, il y a un
karaoké. Nos jardins communiquent,
c’est pas normal »
« Pour moi, c’est pas des nuisances, c’est la vie »
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15. Sur le stationnement rue Kléber
« Il n’y a pas la place pour tout le monde pour se garer,
c’est mathématique »
« Si vous mettez des taxis à prix abordable, moi
je prends le taxi ! Bordeaux en voiture c’est
vraiment pas un plaisir »
« Toutes les maisons ne sont pas équipées de garage alors
on fait comment quand on a une voiture ? J’ai un bout de
chou de 2 ans, je vais pas aller me garer place André
Meunier »