4. ž Projets
réalisés avec: Centre de sécurité
civile (ville de Montréal), CRE de Laval
(MAM, etc.), DSP de Montréal,
Environnement Canada, Fonds d’action
changement climatique (FACC), ville de
Granby, Ouranos, SCHL (Montréal et
Toronto), etc.;
ž Plus d’une vingtaine d’étudiants
diplômés.
5. • Imagerie
satellitale:
Landsat 5 (120m), Landsat 7
(60m), Landsat 8 (100m) et Aster
(90m)
• Période couverte 1984 -2013
• Villes abordées: Montréal, Toronto
et Granby
6. • Liens
avec les cartes d’utilisation/
occupation des sols
• Liens étroits avec NDVI et NDBI
• Confections de cartes thermiques
estivales
• Tests effectués en période hivernale
• Évaluation des pratiques
d’aménagement et de la réglementation
municipale
14. Environnement
et santé
Environnement
Canada
- chaleur
accablante
- veille
canicule
- qualité de
l’air
Ville de
Montréal
Aérosol
(PM 2.5)
-impact sur la
santé
-interventions
possibles
Îlots de
chaleur
-plan de
mesures
d’urgence en
cas de chaleur
extrême
-mesures de
mitigation
-schéma
d’aménagement
15. Situation en 2010 (Environnement Canada)
Moyenne annuelle des
concentrations
quotidiennes
maximales sur une
période de huit heures
Moyenne annuelle des
concentrations
quotidiennes moyennes
sur une période de
24 heures
Moyenne annuelle des
concentrations
quotidiennes moyennes
sur une période de
24 heures
Moyenne annuelle des
concentrations
quotidiennes moyennes
sur une période de
24 heures
Tendances globales qui ne reflètent pas les particularités
localement et temporellement
16. ž
ž
ž
Les signes sont de plus en plus clairs que dans les milieux urbains le
degré d’exposition des individus, à court et à long termes, aux
polluants atmosphériques a un impact majeur sur la morbidité/
mortalité cardiovasculaire et pulmonaire.
Dans un milieu urbain donné, pour mieux comprendre cette
association pollution-santé on a besoin, entre autres, de données sur
les concentrations des polluants dans l’air ambiant à une échelle
locale (ex. un quartier) par période de temps (horaire, saisonnière,
annuelle, etc.)
Qu’en-est-il de Montréal? Que peuvent nous apporter les
technologies géo-spatiales dans ce domaine?
30. • Utilisation
de l’imagerie aéroportée de la compagnie ITRES
de Calgary:
CASI hyperspectral jusqu’à 228 bandes (,38-1,05 µm)
TABI (3-5 µm) et
TASI hyperspectral 32 ou 64 bandes (8-11 µm)
• Utilisation d’imagerie thermique manuelle:
NEC, R300Z, 340 X 240, 8-12 µm
et d’Ibutton
31. • Tests
effectués les 2-3 septembre 2012 à 80
cm avec CASI ainsi qu’à 80 cm et 25 cm pour
TABI
• Vols nocturne et diurne
33. ž CASI
environ
80 cm (72
bandes
spectrales)
ž TABI environ
80 cm (1
bande) jour
+nuit
ž TABI la nuit
extra 5 lignes
de vol à 25 cm
Source: F. Cavayas
34.
35. ž augmentation
notoire de la précision des
résultats, tant radiométrique que géométrique;
ž analyse des matériaux de surface (toiture blanche,
verte, etc.);
ž analyse des surfaces perméables/imperméables,
ž évaluation des mesures de mitigation;
ž analyse de l’influence des végétaux, (nombre et
disposition des végétaux);
ž analyse de la déperdition de chaleur;
ž calculs de divers paramètres
ž développement d’expertise.